L'Aiguille creuse - Leblanc Maurice - E-Book

L'Aiguille creuse E-Book

Leblanc Maurice

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  • Herausgeber: Henri Gallas
  • Kategorie: Krimi
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2018
Beschreibung

Arsène Lupin serait-il mort ? Isidore Beautrelet, jeune étudiant en rhétorique et détective amateur génial, n'en croit pas un traître mot. Il se lance à la recherche du célèbre gentleman cambrioleur. 

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L'Aiguille creuse

Maurice Leblanc

Publication: 1909Catégorie(s): Fiction, Policiers & Mystères
A Propos Leblanc:

Maurice-Marie-Émile Leblanc (11 November 1864 - 6 November 1941) was a French novelist and writer of short stories, known primarily as the creator of the fictional gentleman thief and detective Arsène Lupin, often described as a French counterpart to Conan Doyle's creation Sherlock Holmes.

Disponible sur Feedbooks Leblanc:Arsène Lupin, Gentleman-Cambrioleur (1907)Les Confidences d'Arsène Lupin (1913)L'Île aux trente cercueils (1920)Arsène Lupin contre Herlock Sholmès (1908)Le Bouchon de cristal (1912)813 (1910)Le Triangle d'or (1918)L'Éclat d'obus (1916)Les Dents du tigre (1921)Les Huit coups de l'horloge (1923)
Copyright: This work is available for countries where copyright is Life+70 and in the USA.
Note: Ce livre vous est offert par Feedbooks.http://www.feedbooks.com Il est destiné à une utilisation strictement personnelle et ne peut en aucun cas être vendu.

Chapitre1 Le coup de feu

Raymonde prêta l’oreille. De nouveau et par deux fois le bruit se fit entendre, assez net pour qu’on pût le détacher de tous les bruits confus qui formaient le grand silence nocturne, mais si faible qu’elle n’aurait su dire s’il était proche ou lointain, s’il se produisait entre les murs du vaste château, ou dehors, parmi les retraites ténébreuses du parc.

Doucement elle se leva. Sa fenêtre était entrouverte, elle en écarta les battants. La clarté de la lune reposait sur un calme paysage de pelouses et de bosquets où les ruines éparses de l’ancienne abbaye se découpaient en silhouettes tragiques, colonnes tronquées, ogives incomplètes, ébauches de portiques et lambeaux d’arcs-boutants. Un peu d’air flottait à la surface des choses, glissant à travers les rameaux nus et immobiles des arbres, mais agitant les petites feuilles naissantes des massifs.

Et soudain, le même bruit… C’était vers sa gauche et au-dessous de l’étage qu’elle habitait, par conséquent dans les salons qui occupaient l’aile occidentale du château.

Bien que vaillante et forte, la jeune fille sentit l’angoisse de la peur. Elle passa ses vêtements de nuit et prit les allumettes.

– Raymonde… Raymonde…

Une voix faible comme un souffle l’appelait de la chambre voisine dont la porte n’avait pas été fermée. Elle s’y rendait à tâtons, lorsque Suzanne, sa cousine, sortit de cette chambre et s’effondra dans ses bras.

– Raymonde… c’est toi ?… tu as entendu ?…

– Oui… tu ne dors donc pas ?

– Je suppose que c’est le chien qui m’a réveillée… il y a longtemps… Mais il n’aboie plus. Quelle heure peut-il être ?

– Quatre heures environ.

– Écoute… On marche dans le salon.

– Il n’y a pas de danger, ton père est là, Suzanne.

– Mais il y a du danger pour lui. Il couche à côté du petit salon.

– M. Daval est là aussi…

– À l’autre bout du château… Comment veux-tu qu’il entende ?

Elles hésitaient, ne sachant à quoi se résoudre. Appeler ? Crier au secours ? Elles n’osaient, tellement le bruit même de leur voix leur semblait redoutable. Mais Suzanne qui s’était approchée de la fenêtre étouffa un cri.

– Regarde… un homme près du bassin.

Un homme en effet s’éloignait d’un pas rapide. Il portait sous le bras un objet d’assez grandes dimensions dont elles ne purent discerner la nature, et qui, en ballottant contre sa jambe, contrariait sa marche. Elles le virent qui passait près de l’ancienne chapelle et qui se dirigeait vers une petite porte dont le mur était percé. Cette porte devait être ouverte, car l’homme disparut subitement, et elles n’entendirent point le grincement habituel des gonds.

Lesen Sie weiter in der vollst?ndigen Ausgabe!

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