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Décryptez La Photo qui tue d'Anthony Horowitz avec l’analyse du PetitLitteraire.fr !
Que faut-il retenir de
La Photo qui tue, le recueil de nouvelles fantastiques qui a glacé le sang des lecteurs ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette œuvre dans une analyse complète et détaillée.
Vous trouverez notamment dans cette fiche :
• Un résumé complet
• Une analyse des spécificités de l’œuvre : les protagonistes, le fantastique, le schéma narratif des contes de fées et les desseins de l'oeuvre
Une analyse de référence pour comprendre
rapidement le sens de l’œuvre.
LE MOT DE L’ÉDITEUR :
« Dans cette nouvelle édition de notre analyse de
La Photo qui tue (2017), avec Elena Pinaud, nous fournissons des pistes pour décoder ce recueil de nouvelles fantastiques destiné à la jeunesse. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l’œuvre et d’aller au-delà des clichés. » Stéphanie FELTEN
À propos de la collection LePetitLitteraire.fr :
Plébiscité tant par les passionnés de littérature que par les lycéens, LePetitLittéraire.fr est considéré comme une référence en matière d’analyse d’œuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numérique, ont été conçues pour guider les lecteurs à travers la littérature. Nos auteurs combinent théories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire découvrir et redécouvrir les plus grandes œuvres littéraires.
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Seitenzahl: 29
Veröffentlichungsjahr: 2014
Écrivain anglais
Né en 1955 à LondresQuelques-unes de ses œuvres :Le Faucon malté (1986), romanL’Île du crâne (1988), romanLa Photo qui tue (2005), nouvellesAnthony Horowitz est un écrivain anglais et un auteur de scénarios pour des programmes radio et télévisés. L’Île du crâne, Satanée grand-mère (1994) et Mortel chassé-croisé (1996) sont des histoires fantastiques qui, avec des pointes d’humour, font référence à son enfance solitaire et soumise à l’autorité des adultes. Des romans d’aventures comme Le Faucon malté, L’Ennemi public n° 2 (1987) et Devine qui vient tuer (1991) parodient le style des fictions classiques de détectives. Les actions sont intrigantes et complexes, et les récits très vifs.
Nouvelles fantastiques qui font froid dans le dos
Genre : nouvelles fantastiquesÉdition de référence :La Photo qui tue. Neuf histoires à vous glacer le sang, traduit de l’anglais par Annick Le Goyat, Paris, Le Livre de Poche Jeunesse, 2005, 218 p.1re édition : 1999Thématiques : surnaturel, fantastique, fantômes, magie, démons, peurLa Photo qui tue. Neuf histoires à vous glacer le sang (Horowitz Horror, 1999) est un recueil de nouvelles d’un fantastique troublant : les protagonistes, tous des adolescents anglais au quotidien tout à fait banal, se voient impliqués soudainement dans des aventures incroyables qui les font plonger soit dans un univers parallèle, soit dans le monde des morts, ou qui changent tout simplement leur vie à jamais.
Les neuf textes qui composent l’anthologie se ressemblent tout d’abord par par leurs descriptions précises et réalistes. Par ailleurs, il y a peu de dialogues, et toutes les nouvelles suivent le schéma narratif classique des contes de fées.
Matthew achète au marché aux puces un cadeau d’anniversaire pour son père : il s’agit d’un appareil photo, vendu par une personne qui souhaite se débarrasser des objets de trois étudiants à qui elle louait un appartement et qui ont disparu. Celle-ci ne se doute pas une seconde que la cause de la disparition se situe précisément dans cet objet. Matthew essaie l’appareil et photographie un miroir. Peu de temps après, le miroir se casse : pour le garçon, ce n’est qu’un accident. Il s’agit pourtant d’un avertissement.
Ravi du cadeau offert par son fils, son père prend en photo l’arbre planté par sa femme le jour de leur mariage, ainsi que leur chien. Le lendemain, toute la famille constate que l’arbre est mort. Le chien, quant à lui, est tué accidentellement par une voiture. Alors que ses parents se consolent en se disant qu’il leur reste les photos prises la veille, Matthew repense au miroir brisé et décide de faire développer la pellicule oubliée dans l’appareil par le vendeur, espérant y découvrir des indices. Les trois étudiants et leurs amis s’étaient photographiés au cours de ce qui ressemble, aux yeux de Matthew, à une séance de spiritisme. Ils ont dû invoquer un démon qui a fini par apparaitre. L’appareil photo est désormais possédé par ce démon, qui a fait disparaitre les étudiants.
Matthew décide donc de détruire l’appareil, mais sa famille l’a emporté pour se photographier dans un parc londonien. Matthew part à leur recherche : heureusement, ils n’ont pas eu le temps de se prendre en photo. Par contre, il est déjà trop tard pour Londres : son frère a immortalisé la ville. Il ne leur reste plus qu’à contempler « les ténèbres qui s’abattent sur la ville » (p. 36).