Le Grand Monarque - Jean Bendor - E-Book

Le Grand Monarque E-Book

Jean Bendor

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Beschreibung

Le Grand Monarque ou G.M. est le personnage central des prophéties de Nostradamus. Quand bien même il n’apparaît clairement dans aucune autre prophétie, pas même la Bible, il n’en figure pas moins, dans une multitude d’ouvrages, à connotation religieuse. Ce mystère vient de ce que les prophètes l’affublent de noms et d’appellations toujours différents. Outre sa royauté sur la France, découvrons ensemble les identités cachées du G.M. et sa prédominance dans l’apocalypse. Entre autres conclusions, sa sublime Majesté ne serait rien moins qu’une autre face de saint Michel. Sa guerre, contre les puissances infernales de Satan, figure en termes d’Armageddon. Conformément à la prophétie, il vainc Bélial, le chef des démons, son compère, le faux prophète et leurs légions infernales à tous deux, nommés dans la Bible, Gog et Magog. Le contexte oblige à une large tranche d’histoire romaine dans le futur apocalyptique, de sorte que la révélation remet en cause les fondements de notre culture.


À PROPOS DE L'AUTEUR

Jean Bendor - Au premier matin de sa retraite en 1963, la clé de l'hérmetisme s'est soudain apparue. Un principe d'écriture cher aux antiques philosophes, prophétes et patriarches d'antan....

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Nostradamus

Le Grand Monarque

(la fin du mytère !)

Jean BENDOR

NOSTRADAMUS

Le

Grand Monarque

(la fin du mystère !)

Copyright © 2023 - Jean Bendor

Tous droits réservés de reproduction, d’adaptation et de traduction réservés pour tous pays

AVANT PROPOS

Le point de départ de mes recherches repose sur trois flashes, aussi fugitifs que soudains, grâce auxquels le Grand Monarque et futur roi de France a révélé ses véritables secrets. Mais avant de développer le sujet, je crois devoir exposer les raisons, qui m’ont amené à identifier l’illustre personnage. A cette époque, je cherchais à percer les secrets d’une comète ignée qui figure tant dans les prophéties que dans l’histoire de notre culture.

Le premier flash s’est produit au premier jour de ma retraite. Ce matin-là, je me suis plongé dans la lecture des manuscrits de Qumrân, dans l’espoir d’y découvrir quelque nouvel indice. Au détour d’une phrase, j’ai soudain vu, aussi nettement que dans un film, le Soleil projeter sur Mercure, une longue flamme lourdement chargée de matière, à la suite de quoi, la taille de la minuscule planète approchait celle de la Terre. Certaines sources donnent à penser qu’elle serait aussi grande que Jupiter, mais c’est faux ! Il n’en reste pas moins que sa naissance l’aura dotée d’une force d’attraction comparable à celle des plus grandes planètes de notre système, ce en quoi elle partagerait, à moindre échelle, certaines affinités avec les étoiles à neutrons.

Ainsi revêtue, rutilante comme un soleil, Mercure prit son essor pour entreprendre, dans le système solaire, une équipée de plus d’un siècle, voire deux, un temps durant lequel elle sèmera un effroyable chaos au sein de la mécanique céleste.

Après quinze autres jours, un second flash m’a révélé une foule de secrets cachés dans les étoiles, dont le fait que le ciel est habité par des êtres à notre image et quelques autres entités, éminemment puissantes, mais de nature non humaine. Il ressort de cette vision, que nous sommes liés aux astres et à leurs occupants, aussi étroitement que les doigts de la main, et cela vaut tant pour les puissances primordiales, les étoiles, que pour les peuples extraterrestres, et ils sont extrêmement nombreux.

A ce propos, Ptolémée aurait un jour déclaré :

« les astrologues, mais aussi les philosophes, conviennent que les planètes ont gouvernement et domination sur les choses terrestres. »

Deux semaines plus tard, un dernier flash m’a donné la clé de l’hermétisme, un principe d’écriture propre aux prophètes, philosophes et autres patriarches d’antan, à partir duquel il devient possible de décrypter la plupart des prophéties cachées, dont certaines le sont depuis plusieurs milliers d’années. Cette méthode, appelée « langue des oiseaux », permet encore de saisir le sens des métaphores bibliques, des manuscrits de Qumrân et autres antiques écrits, dont beaucoup échappent encore aux biblistes et analystes les plus éminents et en finalité, d’étendre un large regard sur le futur.

Fort de cette acquisition, je me suis lancé dans le décryptage des prédictions de Nostradamus dont je percevais désormais les contours. Cette aptitude m’a permis de décrypter la totalité des prédictions dissimulées dans les obscurs quatrains et les épîtres dédiées à César et à Henri, dans leur sens originel.

Sur les conseils éclairés de l’auguste devin, j’ai fondé l’essentiel de mes recherches sur les ouvrages des antiques poètes, philosophes, prophètes et historiens grecs et latins qui, pour leur grande majorité, retracent les mystères liés à la fin des temps. Soulignons, à cet égard, que l’apocalypse ne signifie pas la fin du monde, mais la fin d’une ère. Le décryptage terminé, il m’est vite apparu que, contrairement à une idée fortement ancrée dans les esprits depuis maintenant plusieurs siècles, aucune de ses prophéties ne sortait jamais du cadre apocalyptique.

Partant de cette constatation, j’ai publié, voilà quelques années, un livre dans lequel je retrace l’essentiel de la prédiction cachée dans le séculaire ouvrage. Sa publication avait pour principal objet de m’assurer la pérennité de la découverte, mais, pour des raisons personnelles et en accord avec l’Editeur, j’ai mis prématurément fin à sa publication.

J’ai finalement décidé de développer certains sujets séparément, à commencer par les mystères liés au futur Grand Monarque, en abrégé G.M., afin d’alléger la lecture et par là même, la longueur du texte. J’ai également résolu de ne publier que les prédictions les plus appropriées au sujet abordé. En dépit de cette réserve, Nostradamus n’en dispensera pas moins sa lumière, tout bonnement parce que, prise dans son ensemble, son œuvre apporte plus de précisions que nulle autre sur le grand et mystérieux Souverain.

Contrairement à une idée largement répandue, selon laquelle les prédictions de Nostradamus porteraient, pour l’essentiel, sur les siècles écoulés entre sa mort et nos jours, l’avenir démontrera qu’aucune d’entre elles ne s’écarte jamais de l’apocalypse et par là même, des prophéties bibliques.

Le concept étant établi, il s’avère que les vaticinations de l’auguste devin cheminent de conserve avec la Bible, les manuscrits de Qumrân et autres prédictions non reconnues des instances religieuses ou cachées dans les légendes des temps anciens. A cet égard, la guerre de Troie est une prophétie cachée depuis des millénaires, ce pourquoi celles de Nostradamus évoquent, peu ou prou, 80 noms de héros ou héroïnes mythiques. L’œil averti trouvera sans peine, Hercule, Deucalion, Hermès, Achille, Charon, Silène, Borée, Phaéton, Vesta, etc.

Cette observation vaut pour tous les antiques mythes et légendes, de tout pays, de toutes cultures, sur lesquels les anciens peuples ont bâti leurs us, coutumes et religions. S’ajoutent à cela quelques siècles inhérents aux guerres puniques, pour lesquels l’Histoire révèle qu’ils étaient fortement marqués par l’hellénisme.

En dépit des convictions acquises depuis de nombreux siècles, rien de cela ne se serait encore produit. Dans ce concept, Adam et Eve n’auraient pas encore goûté au fruit de la connaissance. La guerre de Troie n’aurait pas encore eu lieu. Les guerres puniques ne se seraient pas encore produites. C’est en cela que réside la Révélation promise par les Ecritures. En résumé, le futur serait inscrit dans le passé, comme s’étant déjà accompli, preuve en est qu’il figure dans nos livres d’histoire.

Le phénomène pourrait trouver son explication dans une courbure de l’espace temps, en tout point conforme à la théorie d’Einstein sur la relativité, ce pourquoi une tranche du futur se retrouverait inscrite, dans nos annales historiques.

Quand bien même ces précisions bousculent notre culture, elles n’en sont pas moins nécessaires pour replacer le Grand Monarque dans son contexte originel. Pour démontrer la cohérence du propos, outre Nostradamus, il me faudra parfois faire appel aux bienheureux visionnaires d’apparitions mariales et autres voyants des siècles passés. Cela étant, j’ai parfaitement conscience que mes déclarations remettent en question les fondements de notre civilisation, mais je ne fais en cela que rapporter le résultat de mes investigations, sans en détourner le sens.

En ce qui concerne le décryptage de son œuvre, Nostradamus a laissé filtrer, un certain nombre d’indices, sous forme de lettres, pour lesquelles, en raison de leur longueur, il m’a paru plus approprié de n’en publier que les extraits les plus enrichissants.

EPITRE A CESAR

Nostradamus a écrit deux épîtres. Contrairement aux allégations de la majorité des exégètes, la première n’était pas destinée à son fils biologique, justement prénommé César, mais à un personnage imaginaire que Nostradamus s’est inventé pour les besoins de la cause. Il s’agit plus précisément d’un testament par lequel il lègue, au continuateur de son œuvre, ses mystérieuses prédictions. Cela étant, l’élu découvrira les ruses et astuces employées pas leur auguste auteur, de sorte qu’elles échappent à la sagacité des moines inquisiteurs.

Nostradamus a dû réfléchir longuement à la tournure des mots, étant donné que la lettre, elle-même, devait être suffisamment hermétique pour ne pas être comprise par les instances religieuses. En dépit de ces complications, elle devait être assez claire pour que l’héritier de son œuvre en saisisse le sens. Pour preuve de sa complexité, personne, avant ces jours, n’est encore arrivé à en saisir sa véritable signification. La première épître commence ainsi :

C 1 - Ton tard advènement1 Cesar Nostredame, mon filz, m’a faict mettre mon long temps par continuelles vigilations nocturnes réferer par escript, toy délaisser mémoire, après la corporelle extinction de ton progéniteur2, au commun profit des humains de ce que la divine essence par Astronomiques révolutions m’ont donné cognoissance.

Transcription :

Ta naissance tardive, César Nostredame, mon fils, m'a fait passer de longs moments en continuelles veilles nocturnes pour te rapporter par écrit ce mémoire. Il devra servir, après l'extinction corporelle de ton géniteur, pour le commun profit de l'humanité, afin de faire connaître ce que la divine essence m'a donné connaissance par les révolutions Astronomiques.

La naissance tardive et le fait qu’il destine le « mémoire » aux humains qui viendront après lui, tendent à exclure tout lien avec son fils biologique. Notons la majuscule à Astronomique, car il m’est apparu, que ce genre d’attribut formait une clé sur laquelle nous reviendrons en temps opportun. J’ai conservé le premier paragraphe dans sa version moyenâgeuse, mais, désormais, afin de simplifier la lecture, nous passerons directement aux traductions dans le langage traditionnel, comme pour les extraits suivants :

C2 – Et puisqu’il a plu au Dieu immortel que tu n'aies pas vu le jour dans cette époque terrienne ; je ne veux pas parler des années qui ne sont pas encore passées, mais des mois de guerre durant lesquels tu seras incapable de comprendre, dans ton faible entendement, ce que je serai à ma mort contraint d'abandonner. Car il n'est pas possible de laisser par écrit ce qui serait effacé par l'injure du temps, et parce que la parole héréditaire de la prédiction occulte dont tu hériteras sera enfermée en moi. 

Les mois de guerre et l’allusion très nette au facteur temps excluent encore une fois tout lien avec son fils, justement prénommé César. Si on s’en tient rigoureusement à la prédiction, Nostradamus ne s’adresse pas à notre époque, car je n’ai plus vécu de guerre depuis ma prime enfance et vu mon âge, j’ai assez peu de chance de voir la prochaine, quoique…

L’épître est tellement riche d’enseignements, qui ne demandent qu’à être commentés, que, pour en extraire l’essentiel, il faudrait y consacrer plus d’une centaine de pages.

C6 – Puis j'ai décidé d’étendre à tous la nouvelle de l'avènement, par d'obscures et énigmatiques sentences, de sorte que les causes futures, même les plus évidentes et celles que j'ai aperçues, quelles que soient les mutations humaines qui adviennent, ne scandalisent pas les oreilles fragiles. Le tout est écrit sous une apparence nébuleuse plus que vraiment prophétique, de manière que « ceci soit caché aux riches et aux puissants et révélé aux petits, aux humbles », et aux Prophètes.

Nostradamus dit, ici, avoir caché la nouvelle sous un manteau d’hermétisme, de sorte que l’annonce ne choque pas les individus les plus sensibles. Il précise, encore, qu’elle ne doit pas être divulguée inconsidérément.

C8 – Quant à nous, pauvres humains, nous sommes bien incapables, par notre connaissance naturelle et notre intelligence, de connaître les secrets cachés de Dieu le créateur. « Parce qu'il ne nous appartient pas de connaître le temps, ni le moment, etc. » Néanmoins, certains dans le présent peuvent devenir et être des personnages à qui Dieu le créateur veut révéler, par des visions imaginaires, certains secrets de l'avenir accordés à l'astrologie « judicielle3 », aussi bien que des visions du passé, comme si certaine énergie et faculté venaient volontairement vers eux, apparaissant comme flamme de feu, illuminant leur esprit, que l'on jugerait comme étant d'inspirations divines et humaines.

Ce passage précise qu’il ne nous appartient pas de connaître ces secrets par notre seule faculté de raisonnement. Néanmoins, par le moyen de l’astrologie « judicielle », certains élus pourront voir en esprit quelques secrets du futur, aussi bien que du passé. Ces visions viendront illuminer leur esprit. Soulignons cette petite phrase : « aussi bien que du passé ». Elle confirme la théorie selon laquelle le passé et le futur se confondent. A cet égard, il apparaîtra, sous peu, que Nostradamus projette la période inhérente aux guerres puniques dans le futur.

C19 – Voilà pourquoi, mon fils, tu peux facilement, sans même réfléchir, comprendre que les choses qui doivent se produire peuvent se prophétiser par les nocturnes et célestes lumières qui sont naturelles et par l’esprit de prophétie.