Le Tour du monde en 80 jours: Französisch Lektüre A1 – B1 - Jules Verne - E-Book

Le Tour du monde en 80 jours: Französisch Lektüre A1 – B1 E-Book

Jules Verne.

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Beschreibung

Französisch lernen mit klassischen Werken. Die Bücher dieser Reihe eignen sich für Jugendliche und Erwachsene, die mit klassischen Werken ihre Lesefähigkeit verbessern wollen. Französisch Niveaus A1 bis B1. Durchgehend in französischer Sprache. Das Buch erzählt die Geschichte von Phileas Fogg und seinem Diener Passepartout. Fogg ist ein reicher Mann aus London. Er wettet, dass er in 80 Tagen um die Welt reisen kann. Fogg und Passepartout reisen mit verschiedenen Transportmitteln, wie Schiffen und Zügen. Auf ihrer Reise erleben sie viele Abenteuer. Sie treffen interessante Menschen und haben manchmal Probleme. Zum Beispiel werden sie fälschlicherweise für Verbrecher gehalten. Auch gibt es einen Detektiv, der sie verfolgt. Der Detektiv denkt, dass Fogg ein Bankräuber ist. Am Ende kommen Fogg und Passepartout zurück nach London. Sie sind zu spät. Sie denken, sie haben die Wette verloren.

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Veröffentlichungsjahr: 2025

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Jules Verne

Le Tour du monde en 80 jours: Französisch Lektüre A1 – B1

Französisch lernen mit klassischen Werken. Die Bücher dieser Reihe eignen sich für Jugendliche und Erwachsene, die mit klassischen Werken ihre Lesefähigkeit verbessern wollen. Französisch Niveaus A1 bis B1. Durchgehend in französischer Sprache.

Inhaltsverzeichnis

Chapitre 1 - Phileas Fogg et son domestique Passepartout

Chapitre 2 - Passepartout a trouvé son idéal

Chapitre 3 - Une conversation qui pourrait coûter cher à Phileas Fogg

Chapitre 4 - Passepartout est bouleversé

Chapitre 5 - Les gens de Londres font des paris

Chapitre 6 - Fix s'impatiente à juste titre

Chapitre 7 - Une nouvelle preuve de l'inutilité des passeports

Chapitre 8 - Passepartout en dit trop

Chapitre 9 - Le voyage se déroule bien

Chapitre 10 - Passepartout a beaucoup de chance

Chapitre 11 - Phileas Fogg achète un éléphant

Chapitre 12 - Une chevauchée aventureuse à travers l'Inde

Chapitre 13 - La chance aide les braves

Chapitre 14 - Phileas Fogg descend la vallée du Gange

Chapitre 15 - Phileas Fogg doit à nouveau payer quelques milliers de livres

Chapitre 16 - Fix interroge Passepartout

Chapitre 17 - De Singapour à Hong Kong

Chapitre 18 - Phileas Fogg, Passepartout et Fix ont tous du pain sur la planche

Chapitre 19 - Passepartout s'intéresse au sort de son maître

Chapitre 20 - Fix prend contact avec Phileas Fogg

Chapitre 21 - Le capitaine risque de perdre sa prime

Chapitre 22 - Il est bon d'avoir un peu d'argent en poche

Chapitre 23 - Passepartout a le nez qui s’allonge

Chapitre 24 - La traversée de l'océan Pacifique

Chapitre 25 - Une réunion

Chapitre 26 - Le train express sur la ligne du Pacifique

Chapitre 27 - Un morceau de l'histoire des Mormons

Chapitre 28 - Passepartout appelle à la raison

Chapitre 29 - Cela n'arrive que sur les chemins de fer américains

Chapitre 30 - Phileas Fogg ne fait que ce qu'il doit faire

Chapitre 31 - Fix soutient M. Fogg

Chapitre 32 - Phileas Fogg aux prises avec la malchance

Chapitre 33 - Phileas Fogg a tout prévu

Chapitre 34 - Fix n’a que ce qu’il mérite

Chapitre 35 - Passepartout ne se fait pas répéter deux fois une commande

Chapitre 36 - Les paris sur Phileas Fogg augmentent à nouveau

Chapitre 37 - Phileas Fogg a trouvé le bonheur

Impressum

Chapitre 1 - Phileas Fogg et son domestique Passepartout

Phileas Fogg vit à Burlington Gardens, à Londres. C'est un membre important du Reform Club pourtant il n'a jamais fait rien de spécial. Fogg est un homme mystérieux dont on sait seulement qu'il est gentil et qu'il est un gentleman élégant. Certains disent qu'il ressemble au poète Byron. Mais il a une barbe et aucune passion ne se lit sur son visage. C'est un vrai Anglais mais personne ne sait vraiment s'il vient de Londres. On ne le voit jamais dans les magasins, les banques ou sur les bateaux à Londres. Il n'est ni avocat, ni commerçant, ni scientifique. Il fait simplement partie du Reform Club.

Phileas Fogg est un mystérieux gentleman au Reform Club. La banque Baring Frères l'a recommandé parce qu'il y a placé son argent. Il paie toujours ses factures à temps. Fogg est riche mais personne ne sait comment il a fait fortune. Il ne dépense pas trop mais il n'est pas avare non plus. Il fait souvent des dons en secret à de bonnes causes.

Fogg parle peu et est très mystérieux. Sa vie est publique mais il fait toujours exactement la même chose. Cela éveille la curiosité des gens. Il connaît bien la carte du monde. Il connaît beaucoup de choses sur les endroits lointains. Parfois, au club, il corrige les rumeurs sur les voyageurs en quelques mots clairs. On a l'impression qu'il a voyagé partout.

Phileas Fogg vit à Londres depuis de nombreuses années et ne fait que passer de sa maison au club chaque jour. Il lit les journaux et joue au whist. Il gagne souvent à ce jeu mais il fait don de ses gains. Fogg joue plus pour s'amuser que pour gagner.

On sait peu de choses sur la vie privée de Fogg. Il n'a pas de famille ou d'amis proches et vit seul dans sa maison. Seul un domestique vit avec lui. Il passe la plupart de son temps au club, où il mange et s'occupe. Fogg rentre chez lui tous les jours à la même heure. Il se déplace toujours au même rythme et savoure les meilleurs mets et boissons du club.

Phileas Fogg vit dans une maison confortable mais pas somptueuse. Il a des habitudes bien établies et n'a pas besoin de beaucoup d'aide. Il attend ponctualité et régularité de son unique domestique. Le 2 octobre, Fogg a renvoyé son domestique James Forster parce que l'après-rasage n'était pas à la bonne température. Il attend maintenant un nouveau domestique qui doit arriver entre 11 heures et 11 heures 30.

Fogg vient de s'asseoir dans son fauteuil, il regarde sa montre et s'apprête à se rendre au Reform Club à onze heures et demie. À ce moment-là, on frappe à la porte. Le domestique renvoyé entre et annonce que le nouveau domestique est là. Un homme d'une trentaine d'années entre et salue Fogg. Fogg lui demande s'il est français et s'appelle Jean.

Jean Passepartout, le nouveau domestique, se présente à Phileas Fogg. Il explique qu'il a déjà exercé de nombreux métiers : chanteur, artiste de cirque, professeur de gymnastique et pompier. Il vit en Angleterre depuis cinq ans et il cherche maintenant un travail tranquille. Il a entendu parler du sens de la ponctualité de Fogg et souhaite travailler avec lui.

Fogg estime que le nom Passepartout lui convient bien et il l'engage. Il a déjà entendu de bonnes choses sur Passepartout. Il lui demande l'heure. La montre de Passepartout a quatre minutes de retard mais Fogg l'engage quand même. À partir de ce moment, Passepartout travaille pour lui. Il est 11h29 du matin, le 2 octobre 1872.

Phileas Fogg se lève, prend son chapeau et quitte la maison sans un mot de plus. Passepartout entend la porte d'entrée se refermer deux fois. C'est d'abord Fogg qui quitte la maison puis son ancien domestique.

Maintenant, Passepartout est seul dans la maison.

Chapitre 2 - Passepartout a trouvé son idéal

Passepartout réfléchit au calme et à l'inexpressivité de son nouveau patron. Il compare Fogg aux statues de cire de Madame Tussaud à Londres, qui ont l'air très réalistes mais ne peuvent pas parler.

Passepartout a bien observé Fogg : c'est un bel homme d'une quarantaine d'années, grand, aux cheveux et à la barbe blonds, sans rides et avec de belles dents. Fogg semble très calme et serein, avec un regard clair et sans grands mouvements. Passepartout pense que Fogg incarne la précision parfaite.

Phileas Fogg est un homme très précis et efficace. Il ne se déplace qu'autant que nécessaire et prend toujours le chemin le plus court. Il ne gaspille aucun mouvement et reste toujours calme et serein. Il n'est jamais pressé mais toujours à l'heure. Fogg vit seul. Il évite les contacts sociaux afin d'éviter les conflits.

Passepartout est un Parisien sympathique. Il vit en Angleterre depuis cinq ans. Il a longtemps cherché un employeur qui lui convienne. Passepartout est un type avenant avec un visage agréable, des yeux bleus, un teint sain et un corps robuste. Il a les cheveux bruns, légèrement roux. Passepartout se demande s'il convient bien à Phileas Fogg en tant que domestique. Il souhaite mener une vie tranquille et a entendu dire que les gentlemen anglais sont très ponctuels et froids. Il a déjà eu de nombreux employeurs mais aucun ne lui convenait. Son dernier patron rentrait souvent tard le soir. Passepartout veut préserver sa bonne réputation. Il a alors entendu parler de Fogg et a pensé que sa vie tranquille lui conviendrait bien.

Après que Fogg a quitté la maison, Passepartout en fait attentivement le tout. La maison bien rangée et bien aménagée lui plaît. Elle est moderne, avec un éclairage et un chauffage au gaz, ainsi que des horloges électriques. La chambre de Passepartout, située au deuxième étage, lui plaît aussi. La maison lui convient bien.

Dans sa chambre, Passepartout découvre un programme pour le déroulement de sa journée. Le programme indique exactement ce qu'il doit faire chaque jour : thé et tranches de pain grillé à 8h23, eau pour le rasage à 9h37 et ainsi de suite. Tout est planifié avec précision, du matin jusqu'à ce que Fogg aille se coucher à minuit.

Les vêtements de M. Fogg sont bien rangés. Chaque vêtement a un numéro et une date à laquelle il doit être porté. Les chaussures sont également bien rangées.

La maison est confortable et agréablement aménagée. Il n'y a pas de livres car Fogg utilise ceux de la bibliothèque du Reform Club. Dans la chambre, il y a un coffre-fort sécurisé. Il n'y a pas d'armes dans la maison. Cela montre que Fogg est un homme pacifique.

Passepartout est heureux après avoir bien regardé l'appartement. Il est heureux et pense que Monsieur Fogg et lui s'entendront bien. Il pense que Fogg est très ordonné, presque comme une machine. Il se réjouit de travailler pour lui.

Chapitre 3 - Une conversation qui pourrait coûter cher à Phileas Fogg

Phileas Fogg quitte sa maison à onze heures et demie pour se rendre au Reform Club. Le club est un grand bâtiment très précieux. Au club, Fogg prend son petit-déjeuner composé de différents plats et boit un thé spécial. Après le petit-déjeuner, il lit les journaux, d'abord le Times, puis le Standard. Pour le déjeuner, il mange des plats similaires à ceux du petit-déjeuner, avec en plus une sauce spéciale. L'après-midi, il lit le Morning Chronicle dans le grand salon du club.

Une demi-heure plus tard, quelques membres du Reform Club arrivent. Comme Phileas Fogg, ils sont passionnés par le whist. Parmi eux se trouvent l'ingénieur Andrew Stuart, les banquiers John Sullivan et Samuel Fallentin, le brasseur Thomas Flanagan et Walther Ralph de la Banque d'Angleterre. Ils sont riches et connus.

Ils parlent d'un vol qui s'est produit à la Banque d'Angleterre. Walther Ralph espère qu'ils attraperont le voleur. Ils ont envoyé de bons policiers dans les ports importants. Ils demandent s'il y a une description du voleur. Walther Ralph répond que le coupable n'est pas un voleur mais un gentleman. C'est ce que dit le journal Morning Chronicle.

Le vol dont ils parlent s'est produit trois jours auparavant. Quelqu'un a volé une liasse de billets de banque d'une valeur de 55 000 livres à la Banque d'Angleterre.

Le gouverneur adjoint Walther Ralph explique que le cambriolage s'est produit pendant que le caissier était occupé. Ce dernier ne pouvait pas avoir les yeux partout en même temps.

La Banque d'Angleterre est très attentive au bien-être de ses clients. C'est pour cela qu'il n'y a ni gardes ni grilles. L'argent et les billets de banque sont laissés en évidence. On raconte qu'un jour, un visiteur a pris un lingot d'or. Ils l'ont regardé et l'ont laissé faire. Le lingot est passé de main en main et est revenu une demi-heure plus tard.

Le 29 septembre, une liasse de billets de banque a été volée mais elle n'est pas revenue.

La banque a envoyé des détectives dans les grands ports comme Liverpool, Glasgow, le Havre, Suez, Brindisi et New York. Ils ont offert une récompense de 2 000 livres et 5 % de la somme retrouvée. Les détectives sont chargés de surveiller tous les passagers en attendant les résultats de l'enquête.

Il y a des raisons de croire que l'auteur du vol à la Banque d'Angleterre n'appartient pas à une bande organisée de voleurs. Le 29 septembre, on a vu un gentleman bien habillé et aux bonnes manières dans la salle des paiements de la banque. La police a pu établir un portrait précis de cet homme et l'a envoyé à des détectives dans tout le Royaume-Uni ainsi que sur le continent. Beaucoup sont optimistes quant à l'arrestation du voleur.

Cet incident fait couler beaucoup d'encre à Londres et dans toute l'Angleterre. Au Reform Club, les membres en discutent, d'autant plus qu'un des sous-gouverneurs de la banque, Walther Ralph, est présent. Ralph pense que la récompense offerte va motiver les enquêteurs mais son collègue Andrew Stuart est plus sceptique. Ils débattent à la table de jeu, la conversation s'interrompant pendant le jeu mais reprenant lors des pauses.

Andrew Stuart affirme que le voleur ne se fera probablement pas attraper car il y a de nombreux endroits dans le monde où il peut se cacher. Phileas Fogg objecte à voix basse que la Terre était plus grande autrefois. La discussion se poursuit, Stuart demandant si la Terre est devenue plus petite.

Walther Ralph est d'accord avec Phileas Fogg pour dire que la Terre est devenue plus petite. On peut désormais en faire le tour beaucoup plus rapidement. Cela signifie aussi que la police pourra peut-être trouver le voleur plus rapidement.

Stuart ne le croit pas et pense que voyager est plus difficile si l'on tient compte du mauvais temps, des accidents et d'autres problèmes. Fogg affirme qu'il est possible de faire le tour du monde en 80 jours même en prenant toutes ces difficultés en compte. John Sullivan compte le temps nécessaire pour chaque trajet et arrive à un total de 80 jours.

Stuart est toujours sceptique et pense qu'il peut aussi y avoir des problèmes comme des agressions. Fogg insiste sur le fait que tout est possible. Fogg suggère qu'ils fassent le voyage ensemble.

Stuart est surpris et pense qu'il est impossible de faire le tour du monde en 80 jours. Il va même jusqu'à parier 4 000 livres que c'est impossible.

Fogg répond que c'est tout à fait possible. Il est prêt à partir immédiatement mais il ne veut pas que Stuart paie le voyage. Stuart préfère continuer à jouer et Fogg demande alors à ce que les cartes soient redistribuées.

Soudain, Stuart prend le pari au sérieux et décide de proposer 4 000 livres. Un autre membre du club tente de raisonner Stuart. Pour lui, parier une telle somme n'est pas sérieux. Mais Stuart veut parier et dit qu'il est tout à fait sérieux.

Fogg accepte le pari et dit qu'il a 20 000 livres à la banque qu'il veut miser. Sullivan est choqué par l'importance de la mise et met en garde Fogg contre tout retard inattendu. Fogg reste cependant calme et affirme qu'il va planifier son voyage avec précision. Il pense qu'il peut relever le défi.

Phileas Fogg assure qu'il ne plaisante pas. Il parie 20 000 livres qu'il peut faire le tour du monde en 80 jours. Cela représente 1 920 heures ou 115 200 minutes. Les autres membres du club acceptent le pari.

Fogg prévoit de prendre le train pour Douvres ce soir. Il dit qu'il doit être de retour à Londres le 21 décembre à 20h45 pour gagner son pari. Il a pris soin de faire préparer un mandat de

20 000 livres il y a quelques instants.

---ENDE DER LESEPROBE---