Les 100èmes délirants E-Book

Anthony Salaün

• Herausgeber: Books on Demand
• Kategorie: Gesellschafts- und Liebesromane
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2020

Seitenzahl: 14

Beschreibung

Les tempêtes et les peines sont les mêmes. Il n'y a pas de consolation à un chagrin d'amour. Il n'y a que des plaies ouvertes. Certains disent que les victimes de l'amour souffrent leurs amours mortes tout le long de leur vie. On peut donc légender que la tempête sentimentale blesse l'âme d'une longueur éternelle.

Leseprobe

Pour Lindsay et Rosie...

Toutes les larmes de la peine de cœur.

Anthony

PRESENTATION DE L'AUTEUR

Les personnes les plus humaines, les plus touchantes, les plus chaleureuses dans leur approche de la vie, sont presque toujours des êtres dont la vie a été marquée par un drame moral et irrémédiablement scellé. Cette remarque de ma part me convient parfaitement dont mon destin, frappé de foudre, de tourmentes et de renaissances sentimentales ou platoniques, ne prit de relief que par comparaison avec l’œuvre de l'humanité et, en première instance, par la méchanceté humaine, dynamique la plus croissante mondialement après l'amour et qui, accréditée par des millions d'exemples, orchestrée à la ville comme à la campagne, est une des bassesses de l'humanité tout entière.

Personnellement, moi, Anthony, Totoche pour les intimes, l'écrivain qui vit dans l'ombre, est né en 1972 à Fécamp, une petite ville balnéaire de Normandie, en France. Mon père était douanier. Pauvre communiste et irascible, il ne me transmettra rien d'éducatif. Ma mère était une analphabète, taiseuse. C'était un milieu familial très modeste, moraliste et trop respectueux des normes sociales. Je souffrais d'une grande infirmité nettement transmise par une tare héréditaire : la dépression. En 1992, j'entrais au Football Club Octeville, où j'occupais le poste de stoppeur, et j'y découvrais l'émotion du terrain, l'esprit d'équipe, où ma nervosité, ma nature gagnante m'exposaient aux réelles ambitions. Dépression oblige, je me réfugiais dans la rêverie et m'entraînais à la composition de poèmes abstraits.