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Renforcer la confiance en soi : le manque d'assurance, c'est du passé ! Connaissez-vous cette sensation angoissante que l'on ressent lorsqu'on parle devant un grand public ? Déjà à l'école vous aviez peur d'entrer seul dans une pièce pleine de monde ? Et vous n'arriviez même pas à aborder votre béguin sans bégayer ? Vous trouverez la solution à tous ces problèmes dans ce livre ! Imaginez que vous vous trouvez devant un groupe. D'innombrables paires d'yeux sont braquées sur vous et attendent que vous commenciez à parler... Mais en l'espace de quelques secondes vous sentez votre assurance initiale se dissiper… Qui d'entre nous n'a jamais rêvé de surmonter tout type de blocage dû à l'insécurité grâce à de simples astuces ? Si vous doutez que cela soit tout à fait possible pour vous aussi, lisez ce livre ! Ce guide est parfait pour vous si : - Vous voulez savoir d'où vient votre manque de confiance en vous - Vous cherchez des solutions efficaces pour avoir plus confiance en vous - Vous voulez transformer la panique en optimisme - Vous souhaitez considérablement améliorer votre charisme et votre langage corporel Chaque section de ce livre vous ouvre la porte pour devenir une personnalité charismatique ! - La confiance en soi - c'est quoi au juste ? - D'où vient ma peur et comment puis-je la combattre ? - La liberté grâce aux limites - apprendre à dire « non » - Convaincre les gens facilement comme par magie - Et bien d'autres choses encore ! Vous obtenez ici la clé pour libérer une confiance en soi insoupçonnée et catapulter votre force intérieure à un niveau sans précédent ! Procurez-vous ce livre exceptionnel et accédez dès aujourd'hui à une qualité de vie incomparable !
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Seitenzahl: 129
Veröffentlichungsjahr: 2024
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RENFORCER SA
CONFIANCE EN SOI
Gagner en assurance !
Comment améliorer considérablement votre rayonnement et votre langage corporel à l'aide de méthodes efficaces et faire passer votre personnalité à un niveau supérieur
Deuxième édition originale 2022
Copyright © by Victoria Lakefield
Independently published | ISBN : 9798842202041
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Contenu
La confiance en soi - qu'est-ce que c'est au juste ?
Combattre la peur
Peurs primaires vs. peurs fictives
Se dÉbarrasser de la peur en 7 Étapes
Le test des dangers
Réécrire les scénarios d'horreur
Méditation
Utiliser les expériences positives comme motivation
Ne pas se battre seul
Agir vaut mieux que penser
Vivre le pire des scénarios
Surmonter la nervosité
Conseils utiles contre la nervositÉ
La posture optimale
La respiration optimale
Boire, boire, boire
L'acceptation pour une sérénité intérieure
Découvrir et utiliser la force mentale
L'optimisme au service de la confiance en soi
Pourquoi penser de maniÈre optimiste ?
Devenir optimiste avec 3 questions et des exercices
La liberté par les frontières
Pourquoi les gens ont besoin de limites
Apprendre À dire "non"
DÉvelopper le bon instinct
Accepter les limites
DÉfendre ses propres limites
ProblÈmes liÉs À la dÉfense des limites
Repousser les limites
Renforcer le noyau interne
Le pouvoir de l'image d'autrui
ProactivitÉ et estime de soi
Apprendre À Être au-dessus de la mêlÉe
Pourquoi on prend trop à cœur
Conseils pratiques pour être au-dessus de la mêlée
Pour une meilleure confiance en soi
Les neuf grandes rÈgles
Prendre ses responsabilités
Sortir de la zone de confort
Le chemin est le but
La détente est essentielle
Chaque combat doit être mené
Prendre conscience de soi
La force d'un homme dépend de celle de son entourage
La lecture forme
La motivation par l'imagerie mentale
Mesures pratiques immÉdiates
Un combat qui en vaut la peine
L
es termes "conscience de soi", "confiance en soi" et "assurance" sont souvent - dans la plupart des cas, pour être précis - utilisés de manière presque synonyme. Et en effet, il s'agit de choses qui se ressemblent étrangement. Mais ce ne sont en aucun cas des synonymes. Alors, quand on parle de confiance de soi, que veut-on dire exactement ? En général, deux choses exactement : d'une part, la notion de conscience de soi au sens littéral, c'est-à-dire être conscient de soi-même. Être conscient de soi. Jusque-là, c'est logique. Cela peut être aussi interprété de deux manières différentes. Être conscient de soi au sens du caractère, ce qui signifie en savoir le plus possible sur soi-même en tant que personne. La vision philosophique de la conscience de soi est un peu plus complexe - encore plus complexe que ne l'est déjà la conscience de soi - puisqu'elle parle tout de même de la connaissance de sa propre existence. Une idée qui a culminé dans le "Cogito ergo sum" de Descartes : Je pense, donc je suis. Je sais que j'existe.
Mais la confiance en soi est aussi - et c'est l'idée centrale de ces pages - une sorte de terme générique. Confiance en soi, assurance, estime de soi... tout cela se combine pour produire la conscience de soi en tant que conglomérat de divers traits de caractère autodéterminés. Et ceux-ci se soutiennent et s'influencent mutuellement. Parler de ceci, c'est aussi parler de cela. Il est quasiment impossible de décrire les possibilités de renforcer sa propre conscience de soi et de séparer clairement ces notions les unes des autres. C'est pourquoi de nombreuses définitions, explications et références seront répétées plusieurs fois dans les pages suivantes. Cela n'est pas dû à un manque de fil conducteur, si cette anticipation préventive est permise, mais à la nécessité de souligner et de mettre en évidence la parenté de tous les termes qui relèvent du thème de la confiance en soi.
Cela comprend non seulement diverses stratégies et conseils pour renforcer la confiance en soi, l'assurance, etc., mais aussi des mesures anticipées, pour par exemple vaincre les peurs sociales, ou divers conseils sur ce que l'on peut faire contre une nervosité presque maladive. Car la véritable confiance en soi - au sens d'une personnalité mature, confiante et sûre d'elle - ne peut être atteinte que si l'on n'est plus prisonnier de ses propres peurs et soucis.
B
ien qu'elle ait une réputation essentiellement négative, la peur, en tant que telle, n'est pas forcément une mauvaise chose. En tant que compagnon de route fondamental, elle met l'homme en garde contre les dangers depuis le début de son existence et sert, dans le meilleur des cas, de guide pour une (sur)vie sûre. En principe, on distingue deux notions dans ce domaine : la peur et l'anxiété. Alors que la peur est une réaction psychique et physique soudaine face à un danger immédiat, l'anxiété est un phénomène plus universel.
Elle n'est même pas nécessairement une émotion - elle est souvent le produit d'une émotion. La peur est fondamentalement basée sur des expériences dont l'homme tire les leçons pour ses actions futures - le meilleur exemple est sans doute le degré élevé de prudence avec lequel on agit sur une plaque de cuisson ouverte et chaude parce qu'on s'y est brûlé étant enfant, ou parce qu'on connaît quelqu'un à qui cela est arrivé. On agit avec prudence parce qu'on a peur de se brûler. Cette expérience a été mémorisée dans l'enfance et est rappelée au besoin par l'esprit - sous forme de peur - lorsque l'on se trouve dans une situation comparable.
En ce sens, la peur est donc quelque chose de très utile. Elle devient problématique lorsqu'elle est inappropriée et qu'elle se manifeste à une fréquence qui limite la personne concernée dans sa vie quotidienne. Ce type d'anxiété "maladive" est en totale contradiction avec la confiance en soi - seule l'une des deux peut être fortement développée. Si l'on souffre donc de quelques peurs prononcées mais inutiles, il faut d'abord les vaincre avant de pouvoir faire des tentatives sérieuses pour renforcer la confiance en soi. Pour pouvoir vaincre un certain type de peur, il est indispensable de comprendre d'où vient cette peur et pourquoi, sous une forme exagérée, elle est problématique. Ces deux aspects seront au cœur de notre réflexion avant d'aborder la conscience de soi en tant que telle.
Une fois que l'on a compris d'où vient une certaine peur, il est beaucoup plus facile de la combattre. On peut utiliser les connaissances nouvellement acquises pour s'attaquer aux points corrects et efficaces de la peur, et la faire disparaître. En outre, pour des raisons évidentes, il est utile de savoir si la peur que l'on souhaite combattre doit être combattue. Comme nous l'avons déjà mentionné, la peur n'a finalement pas que des inconvénients, mais aussi quelques avantages.
Ces peurs bénéfiques et utiles sont également appelées peurs primaires. Il s'agit de peurs que tout le monde partage, qui sont en quelque sorte innées et qui existent depuis que l'humanité existe. Les peurs primaires sont par exemple la peur de la douleur ou de la mort, des peurs très existentielles. C'est grâce à elles que l'on ne se jette pas d'un balcon ou sous une voiture par mauvaise humeur ou, pour prendre un exemple plus courant, que l'on fait particulièrement attention à ne pas se couper le doigt en coupant des légumes avec un couteau bien aiguisé. Combattre de telles peurs primaires serait une entreprise extrêmement vaine - non seulement parce qu'elles sont d'une grande utilité, mais aussi parce qu'elles sont si profondément enracinées dans la psyché humaine qu'il est presque impossible de les atteindre et de les éradiquer.
Et puis il y a bien sûr les peurs déjà évoquées, qui n'apportent aucun avantage. Il s'agit de peurs qui ne servent pas à protéger l'individu, mais dont le seul effet est de le déstabiliser complètement, voire, dans le pire des cas, de le faire paniquer sans raison. On parle ici de ce que l'on appelle les peurs fictives. Contrairement à ce que son nom laisse entendre, ce n'est pas la peur que l'on ressent qui est fictive, mais l'objet auquel elle se rapporte - ou plutôt le niveau de danger que représente cet objet et qui rend la peur appropriée ou déplacée.
Ce type de peur ne repose pas sur des questions et des soucis existentiels, n'est pas inné ou explicable par l'évolution, mais naît simplement dans l'esprit de chacun. L'arachnophobie par exemple - la peur panique des arachnides - ne repose pratiquement jamais sur des expériences physiques négatives que la personne concernée a faites avec des araignées. Elle est simplement présente, de manière inexplicable, et rend la vie difficile.
De manière générale, presque toutes les phobies - comme l'aviophobie ou la claustrophobie - font partie de ces peurs fictives. Mais la timidité générale ou la peur d'aller parmi les gens, de parler devant eux ou de commettre des erreurs en leur présence sont également de nature purement fictive. Ces situations ne constituent pas une véritable menace et tout sentiment de peur est donc inapproprié. Comment se fait-il alors que la peur soit si omniprésente dans ces situations ? Là encore, il faut faire preuve de bon sens.
En effet, c'est lui - ou plutôt les images et les scénarios qu'il évoque - qui perçoit le danger pour la vie et l'intégrité physique dans des situations en réalité anodines. Dans ces moments-là, on s'attend toujours au pire, le pire scénario que l'on puisse imaginer se déroule devant nos yeux. Chaque avion dans lequel on monte s'écrase automatiquement. Chaque conférence que l'on doit donner se déroule de manière bégayante et incohérente. Il n'y a en fait aucune preuve de cela - la raison indique souvent des résultats exactement contraires à ceux attendus - et pourtant, l'esprit semble s'efforcer de son mieux de rendre, dans sa propre imagination, ces situations aussi désagréables que possible. En règle générale, cela conduit à un moment donné à transposer ces représentations fictives dans la réalité et à s'attendre effectivement à ce que ces mauvaises choses se produisent.
Cette seule constatation ne peut pas faire de miracle. Bien entendu, les personnes concernées savent qu'il est extrêmement improbable - tant du point de vue statistique que physique - que l'avion s'écrase, mais cela pourrait arriver. Il y a de fortes chances pour que le discours répété depuis des semaines, et qui se déroule sans accroc à chaque répétition, se déroule sans erreur. Rien ne devrait aller de travers - mais cela pourrait arriver. Et les conséquences seraient évidemment catastrophiques - du moins selon son propre esprit, qui semble refuser catégoriquement de mettre un frein à cette peur.
Cependant, tout comme l'esprit peut tromper une personne, il est également possible de tromper l'esprit. La clé consiste à modifier les images qui évoquent ces scénarios effrayants de manière à ne plus en avoir peur. Et avec les bonnes instructions pas à pas, cela ne devrait pas poser de problème.
Cette première méthode est probablement la plus simple de toutes et peut déjà faire des miracles. Lorsque l'on se trouve dans une situation où l'on ressent de la peur, on se demande si cela est vraiment approprié, en se demandant quel est le danger réel de cette situation. Quelle est la pire chose qui puisse nous arriver dans l'immédiat ? On constatera que, si la peur n'a pas de causes profondes, un nombre étonnant de peurs sont démasquées de cette manière.
Si l'on souffre par exemple d'arachnophobie, il faut se demander dans quelle mesure l'araignée sur le mur peut réellement être dangereuse pour nous. Les veuves noires sont plutôt rares en Allemagne, aucune espèce d'araignée ne représente un danger (vital) dans notre pays. Il est vrai que les araignées de l'angle de la maison, qui cherchent à s'abriter dans les appartements et maisons chauds en automne, sont très grandes pour les standards allemands, mais elles sont absolument inoffensives et pas du tout agressives. Ces animaux ne représentent donc aucun danger. Pourquoi donc avoir peur ?
La peur de devoir parler librement devant d'autres personnes, déjà évoquée, est également un cas qui peut être résolu par le test du danger. Il est utile de savoir que la plupart des personnes concernées n'ont pas du tout peur de faire des promesses ou de commettre une autre erreur - la peur concerne la réaction des personnes présentes dans la pièce. Toutefois, si l'on se pose la question de savoir quel danger cette situation représente pour l'âme et le corps, on trouvera rapidement la réponse : aucun. En outre, il est généralement utile de se mettre à la place de la personne qui écoute. Serait-ce grave pour vous, si une autre personne se trompait en parlant ou trébuchait sur un mot particulier ? Pas du tout, à moins d'être un pédant absolu ou un génie de la rhétorique. Et ces derniers n'ont généralement pas peur de faire des erreurs en public.
Un autre exemple est la peur de s'engager dans de nouvelles voies, d'accepter et de provoquer activement des changements - elle aussi très répandue. Il est pourtant évident que seuls ceux qui acceptent le changement peuvent évoluer, au lieu de stagner au même endroit. Dans ces cas-là aussi, comme on le constatera rapidement en faisant le test du danger, on n'a aucune raison d'avoir peur. On n'a peur que de ce qui se passe dans sa propre tête. Si l'on accepte que la réalité sera très probablement différente, on est plus enclin à faire le changement - et l'on sera probablement heureux de l'avoir fait par la suite, car il est rare que les changements se passent aussi mal que ce que notre propre esprit voudrait nous faire croire.
Un dernier exemple encore, qui illustre le test du danger sur une peur également très répandue et tellement inoffensive : de nombreuses personnes ont les cheveux qui se dressent sur la nuque à cause de l'aversion qu'elles éprouvent lorsqu'elles pensent à aborder des personnes étrangères. La raison en est la peur d'être rejeté. Et le rejet est une chose qui peut tout à fait nous arriver, il ne peut en aucun cas être exclu. Mais faut-il vraiment en avoir peur ? Le rejet peut être quelque peu désagréable, mais il n'est pas douloureux, il ne signifie pas non plus l'ostracisme social ou quelque chose de ce genre. En général, la plupart des personnes concernées n'ont aucun point de comparaison quant à la probabilité d'être rejeté - en règle générale, on choisit plutôt de ne pas aborder des inconnus, et on ne fait donc pas l'expérience positive d'être accepté. Cela peut suffire à faire disparaître la peur d'être rejeté.
Toute personne ayant l'expérience des peurs fictives pourrait sans problème ajouter de nombreux autres points à cette liste. Mais peu importe de quelle peur il s'agit : Le test du danger est une bonne méthode pour mettre en évidence l'inutilité de certaines peurs et, par ce seul fait, faire baisser la force des peurs - si certaines peurs ne disparaissent pas de ce fait. Si ce n'est pas le cas, la méthode suivante s'impose pour surmonter les peurs.