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Dans
Réveillons-nous : tous ensemble nous le pouvons, Pierre E. Moukoko lève sa plume âpre et caractéristique pour nous appeler à prendre nos responsabilités et à faire foule.
Selon lui, il n’est plus possible que les femmes soient méprisées, comme c’est encore le cas de nos jours, dans une société qui se dit civilisée ; que le féminicide progresse et que les assassinats ciblant la gent féminine augmentent, notamment en France et partout ailleurs.
Aussi, il n’est plus acceptable que les noirs continuent à être tués à travers le monde comme des bêtes, à l’exemple de l’Afro-Américain George Floyd, décédé à Minneapolis le 25 mai 2020.
Il n’est plus tolérable que le racisme, l’antisémitisme, les incivilités, la violence policière, l’homophobie, le conflit israélo-palestinien, le réchauffement climatique et bien d’autres maux fassent masse et prennent souche sans que nous réagissions énergiquement.
Afin d'apporter sa pierre à l'édifice, l’auteur convoque plusieurs sagesses, particulièrement celle venant d’Afrique. Tous ensemble, nous pouvons changer les choses, si nous en avons la volonté.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Titulaire d'un Master 2 de contentieux en droit privé et public,
Pierre E. Moukoko est spécialiste en droit de la consommation. Officiant en tant que responsable d'un département juridique, assurance et contentieux, il s'inscrit dans la littérature engagée. Avec
Réveillons-nous : tous ensemble nous le pouvons, il signe son troisième livre.
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Seitenzahl: 149
Veröffentlichungsjahr: 2022
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Pierre E. Moukoko
Réveillons-nous :
tous ensemble nous le pouvons
Essai
© Lys Bleu Éditions – Pierre E. Moukoko
ISBN : 979-10-377-6262-7
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
À Stéphane Hessel
Préface
Le 14 octobre 2020, dans mon émission « Femme et pouvoir », j’ai interviewé Pierre E. Moukoko afin de présenter son précédent ouvrage Relations Afrique-France : les gâchis français : Plaidoyer pour un changement de paradigme dans la politique africaine de la France paru à Paris aux éditions l’Harmattan.
Juriste passionné, légaliste et fervent combattant de l’égalité entre les hommes et les femmes, j’ai aimé son approche constructive, pragmatique et solidaire, n’occultant surtout pas au passage les responsabilités des uns et des autres. J’ai tendance à croire que Pierre E. Moukoko est un idéaliste que je qualifierais de lanceur d’alerte pacifiste. Comme son maître à pensée Stéphane Hessel, au lieu de s’indigner par la violence, il utilise sa plume pour inviter chacun de nous à la prise de conscience, à la résistance et à l’action. C’est cela que m’inspire cet ouvrage dont j’ai l’honneur de rédiger la préface.
À moins d’être amnésique, aveugle ou de mauvaise foi, une conclusion s’impose à nous : Notre monde va mal, très mal. C’est ainsi que, dans son discours du 2septembre2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud lors de l’assemblée plénière du IVe Sommet de la Terre, le président Jacques Chirac, en éclaireur avisé, jugea bon de déclarer : Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. Ce cri d’alarme de l’ancien chef de l’État français concernait, il est vrai la situation environnementale mondiale et en particulier la question récurrente du réchauffement climatique. Mais en regardant de près nos vies, en analysant nos relations sociétales, en nous donnant la peine de pousser plus loin notre réflexion, nous constatons immédiatement que plusieurs autres maux méritent que l’on s’y attarde. Car nous vivotons. Nous pâtissons. Nous sommes de plus en plus le père de ce que nous faisons et le fils de ce que nous avons fait. Nous sommes incontestablement complices de nos propres malheurs. Nous régressons. Nous subissons sans dire mot ou tout au moins, sans agir énergiquement afin d’inverser cette tendance mortifère.
Comment pourrait-on laisser perdurer la violence faite aux femmes ? Les féminicides ? Les incivilités ? Le racisme ? L’antisémitisme ? L’homophobie ? Les violences policières ? Aggraver le réchauffement climatique ? Laisser les Palestiniens vivre dans une prison à ciel ouvert ? Il s’agit là de quelques maux révoltants.
En parler, informer et les combattre en y apportant des solutions, telle est la finalité de cet ouvrage. En effet, prenant appui sur une dizaine de maux sociétaux, Pierre E. Moukoko tente, avec ses mots, de les disséquer, de les dénoncer, de faciliter leur compréhension, le but étant de les neutraliser pour améliorer nos vies.
Existentialiste dans l’âme, Pierre E. Moukoko est profondément convaincu que nous sommes la résultante de nos actes, de tous nos actes. L’auteur est tout aussi persuadé que plus nous attendons, plus la situation sera irréversible.
Comme le relevait à juste titre William Camden1 : Celui qui a le temps, et attend le temps, est en train de perdre son temps. Le temps n’attend pas. Quand le temps n’arrange pas les choses, il attend qu’on s’y habitue. Le temps n’attend pas, la bonté est impuissante, la fortune inconstante et la méchanceté insatiable.
Il va donc sans dire que : qui a le temps et attend le temps perdra au final son temps. Ceci a amené Pierre E. Moukoko à considérer que, pour faciliter notre bien-être et surtout favoriser l’émergence de notre cohésion sociale, il faut s’attaquer tous ensemble, et sans attendre, aux raisons de nos maux.
Pour y parvenir, Pierre E. Moukoko s’est employé à invoquer plusieurs sagesses, telles que celle de la non-violence incarnée par Gandhi ou Martin Luther King. Dans la même veine, audacieusement, l’auteur invoque également la sagesse africaine, puisqu’à ses yeux, les Africains peuvent aider notre société à neutraliser certains maux qui nous polluent et nous empêchent souvent de vivre normalement.
Le temps, la volonté, l’union sacrée de tous, l’audace ainsi qu’une bienveillance mâtinée de justice et d’équité, semblent être les remèdes proposés dans cet ouvrage pour tordre le cou aux maux qui nous gâchent la vie au quotidien.
Il va sans dire qu’il ne s’agit nullement ici d’une parole d’évangile ni de méthodes imparables garantissant à cent pour cent une réussite absolue, loin de là.
Cet ouvrage est une invitation à l’action participative et collaborative pour la sauvegarde de l’espèce humaine. Chaque jour à travers le monde, une catastrophe naturelle, une pandémie comme celle que nous vivons actuellement, et des violences de tout ordre nous alertent sur la nécessité d’agir de façon urgente pour sauver notre planète.
Notre maison brûle et nous devons tout faire pour la sauver. En effet, une société dans laquelle les femmes continuent à être méprisées et assassinées est appelée à mourir. Un monde dans lequel les inégalités font masse et sont, dans les faits, devenues des règles, alors que, le bon sens, l’équité et la justice ne sont qu’exception, est préjudiciable pour l’humanité tout entière. Je vous invite à travers cet ouvrage à vous indigner, à oser et à agir.
Tous ensemble, nous le pouvons.
Carole Da Silva
Avant-propos
Souvent nos propres comportements, nos actes posés, consciemment ou inconsciemment, nos désinvoltures, nos lâchetés, peuvent engendrer nos propres ennuis. Indéniablement, nous sommes donc la résultante de nos actes. De ce postulat, nous pouvons, et nous devons, tirer toutes les conséquences qui s’imposent, le but étant d’améliorer nos vies.
En observant la société dans laquelle nous vivons, nous constatons effectivement que plusieurs maux sociétaux participent activement à notre mal-être social. Ce constat est régulièrement évoqué ici et là. Il fait désormais partie des données faisant masse. La question est de savoir ce que nous en faisons ou bien ce que nous entendons faire pour améliorer nos vies. Devons-nous nous contenter de nos lamentations inutiles ? Devons-nous, à titre de solutions, rabâcher les mêmes poncifs habituels à l’encontre de nos dirigeants, des autres, sans pour autant faire une autocritique pourtant nécessaire en pareil cas ? Devons-nous baisser les bras au lieu de nous battre pour remédier à la situation ? Mais comment y arriver ? Comment y parvenir ? Existe-t-il un espoir d’atteindre ce but ? Nous pensons que oui et le démontrer est notre objectif dans cet ouvrage. C’est exactement la mission que nous nous sommes assignée, avec pour finalité de participer modestement à l’inversion de cette tendance ô combien négative. Pour y pourvoir, nous versons aux débats plusieurs propositions susceptibles de combattre les maux que nous avons pris le soin d’indexer, de critiquer, d’évoquer et de relever dans cet ouvrage. Il ne s’agit nullement ici d’un livre donneur de leçon.
Il est plutôt question ici, d’un cri de révolte face à nos propres constatations. Il s’agit d’une invitation sincère et confraternelle, adressée à toutes les personnes de bonne foi qui, comme nous, croient encore aux capacités de l’être humain à tordre le cou à nos désinvoltures, à nos loupés quotidiens, à nos faiblesses coupables, à nos légèretés blâmables. Cette cause, parce qu’elle est noble, devrait nous préoccuper. Elle devrait emporter nos convictions et susciter en nous une révolte.
Et pourtant…
Notre désinvolture a atteint son acmé. Il est désormais temps qu’ensemble nous sortions de cette nuit noire dans laquelle nous nous sommes engouffrés. Il est temps que nous sortions de l’hiver culturel, économique et intellectuel dans lequel nous nous complaisons. Nous devons mettre en avant notre bon sens puisque nul autre n’a la charge de notre propre bonheur et de notre propre bien-être. Nous sommes le père de ce que nous faisons et le fils de ce que nous avons fait.
Nous devons donc mener un combat noble par tous les moyens. Un grand nettoyage psychologique s’impose. Une modification structurelle de nos façons de vivre est nécessaire. En effet, si nous sommes responsables de nos propres malheurs, nous en sommes également la solution.
Nous sommes donc capables de mettre un terme à nos habitudes et à nos comportements néfastes. Oui, tous ensemble et unis nous devons agir. Tous ensemble, regardant dans la même direction pour l’essentiel, les données ne pourront que s’améliorer.
Au final, nous trouverons sans aucun doute un nouveau chemin de Damas et, comme Saul de Tarse, en sortir en saint Paul.
C’est possible.
Tous ensemble, nous le pouvons.
Introduction
Le monde dans lequel nous vivons regorge d’injustices. La pauvreté progresse dans certaines zones et ce, alors même que la production alimentaire mondiale est excédentaire dans certaines régions. Cette situation devrait normalement éviter l’existence et l’ancrage du fléau de la famine au préjudice des démunis.
Le monde est de plus en plus fou. La mondialisation s’est installée partout avec ses pratiques impersonnelles, inhumaines, dégradantes, sans foi ni loi. Nous subissons au fil des jours cette façon de vivre, de concevoir les relations humaines et les échanges entre États. Est-ce à dire que nous n’avons pas d’autres choix ?
Nous assistons à une mise en place progressive du chacun pour soi. La solidarité universelle devient une utopie et l’individualisme une réalité. Mais que nous arrive-t-il ? Les humains oublient-ils que riches ou pauvres nous sommes tous des mortels ?
À quoi bon mépriser son voisin alors même que le comportement contraire serait plus approprié en ce qu’il serait bénéfique pour l’autre et surtout pour soi-même ? N’a-t-on pas souvent besoin d’un plus petit que soi2 ? Jean de La Fontaine ne nous a-t-il pas fait la démonstration dans sa fable Le lion et le rat qu’un lion peut être sauvé par un rat ?
Le monde dans lequel nous vivons, et que nous devons tous partager, devient de plus en plus dur à supporter en particulier pour les deux tiers de la population qui la compose. Certaines personnes, en raison de leur richesse matérielle excessive et surtout dérangeante, osent exclure les autres de l’humanité. Ils s’imaginent supérieurs. Ils pensent être des individus à part et n’entendent surtout pas se mélanger avec des personnes en deçà de leur classe sociale. Ces individus, en raison de leur lecture anachronique des relations humaines et du monde tel qu’il ne devrait pas être, posent des actes qui fragilisent notre cohésion sociale. Mais se rendent-ils compte du mal qu’ils font endurer à leurs semblables, faisant partie de la même espèce humaine ? Sont-ils conscients de la lourdeur des conséquences de leurs actes ? Nous avons des doutes.
Devons-nous nous laisser faire sans broncher ? Devons-nous nous laisser dicter des règles et des méthodes, incompatibles avec le bien-être universel, par des individus pour lesquels seul l’argent a de la valeur ? Devons-nous nous laisser faire et finalement participer, en raison de notre inaction coupable, à l’effondrement de l’indispensable cohésion sociale vitale à notre monde ?
Âgé aujourd’hui de plus d’une cinquantaine d’années, vivant en France depuis trente-six ans, nous avons été témoin de l’évolution de la société occidentale, en particulier la société française. Cette évolution tend de plus en plus vers l’absurde. Au quotidien une transformation des valeurs humaines s’est opérée et s’impose de plus en plus à nous. Cette mutation ne saurait être contestée. Elle a fait masse. Elle est là. Elle est palpable. Elle est visible. Les idées de l’extrême droite en Europe ont progressivement pris racine. L’égoïsme des uns au préjudice des autres entraîne des conflits et des guerres. L’insécurité gagne du terrain et ce dans plusieurs secteurs, alors même qu’après la Seconde Guerre mondiale nous nous attendions à une paix mondiale durable promise par les alliées.
Or, tel n’est pas le cas.
Mais que s’est-il donc passé ? Après l’effondrement de l’Allemagne nazie, les alliés n’avaient-ils pas décidé que plus jamais une guerre ne se ferait dans le monde moderne en construction ? Que tout serait fait pour éviter la survenance de conflits et de désordres institutionnels dans certaines parties du monde ? Les autorités européennes sous l’impulsion de certains de leurs leaders charismatiques comme Jean Monet, Konrad Adenauer, Robert Schumann et d’autres, n’avaient-ils pas cru bon de créer l’Europe pour garantir une paix durable ? Que dire des responsables politiques des autres parties du monde ?
Mais que sont devenues toutes ces bonnes résolutions ?
Le monde va de plus en plus mal et notre silence en est complice. Nous devons en notre sens agir, tous ensemble et non nous résigner. Nous ne pouvons pas ne pas nous indigner.
À travers cet ouvrage, nous entendons dénoncer plusieurs maux sociétaux qui, du fait de leur présence dans nos cités et de leur enracinement, gâchent nos vies alors même qu’ensemble nous avons la capacité d’y remédier si nous posons des actes dignes et courageux. Notre mieux-vivre appartient à chacun et à nul autre. Nous sommes et nous devons être la résultante de nos actes. Nous sommes la cause de nos propres joies et nos malheurs. Nous sommes nos problèmes et nos solutions. Alors agissons. Ne nous affaissons pas.
À travers cet ouvrage, il ne nous sera pas possible d’aborder l’intégralité des raisons du mal-être sociétal. Cependant nous en aborderons quelques-unes qui semblent à nos yeux les plus prégnantes.
De ce fait, nous tenterons de traiter ici la question de la mondialisation (I), système qui balaie tout sur son passage et qui détruit des vies. Alors même que nos sociétés doivent être organisées et réglementées pour préserver notre mieux-vivre, des incivilités prennent place. Depuis plusieurs années, une infraction s’est installée dans de nombreux pays et s’est hélas banalisée ; brûler les voitures d’autrui le 31 décembre de chaque année. En effet, à la Saint-Sylvestre les banlieues sont en feu. Ou pire encore, on « caillasse » les pompiers, les médecins ou les forces de l’ordre. Plusieurs endroits de la république sont devenus des zones de non-droit dans lesquelles la police nationale n’ose plus s’aventurer (II). De même, alors que la police a pour vocation première de faire respecter l’ordre, de garantir la sécurité et le bien-être pour tous et dans tout le territoire, certains membres de cette belle et indispensable institution font le contraire. Ils violentent les citoyens, souvent sans raison. Ils salissent l’image des forces de l’ordre. Ils « tabassent » abusivement des manifestants et causent des blessures pouvant entraîner la mort (III).
Notre société est sans aucun doute malade. Elle regorge d’anomalies toutes plus incompréhensibles les unes des autres. Au XXIe siècle certaines personnes se croient encore supérieures par rapport à autrui, soutenant mordicus faire partie de l’élite. Le rejet de la différence s’est installé. Le racisme (IV) met à mal la société. Comment comprendre qu’aujourd’hui, on continue à assassiner un être humain en raison de son appartenance à une communauté ? Depuis des années, plusieurs hommes, femmes et enfants perdent leur vie au simple motif qu’ils sont juifs. L’antisémitisme est toujours présent dans nos cités (V). Mais qu’ont-ils fait de mal les juifs pour mériter autant de haine ? De l’autre côté, nous assistons aux assassinats réguliers des Palestiniens sans que cela émeuve particulièrement le monde civilisé encore moins les instances internationales (VI). Mais pourquoi autant de violence alors même qu’une autre option est possible ?
Que dire des innombrables discriminations faites aux femmes bien qu’elles appartiennent à la même société que les hommes ? Pourquoi nombre de sociétés réservent toujours des strapontins aux femmes ? Sont-elles moins intelligentes que les hommes ? Pourquoi ce deux poids deux mesures ? (VII). Selon toute vraisemblance, notre société s’enfonce au quotidien dans une voie de plus en plus absurde. En effet de nombreuses femmes sont violentées par leurs époux. La violence conjugale est connue par nos juridictions. Elle a toujours existé. Cependant, elle est en train de prendre une dimension plus grande. De telle sorte que les réponses apportées ne sont plus adaptées à la gravité des faits. Aujourd’hui, nous connaissons un glissement gravissime. Dans un monde pourtant civilisé, certains hommes sont en train de perdre la raison. Le féminicide3, ou femicide en anglais, s’installe et commence à faire masse (VIII). Certains hommes s’autorisent à massacrer leurs compagnes. Ils les assassinent. De telle sorte que le nombre de femmes ayant succombé aux coups et blessures de leurs conjoints en 2018 a augmenté en 2019. Avec plus de 146 morts, ce fut l’année noiredes féminicides en France. Face à ces crimes odieux, des mesures ont certes été prises, mais pour les associations de protection des femmes, elles sont loin d’être suffisantes.
Aller plus loin s’avère donc nécessaire. Sur ce point doit s’opérer une obligation de résultat renforcée.
Depuis plusieurs années, les responsables écologistes, alertent, informent, préviennent et attirent l’attention des décideurs sur les dérives humaines au préjudice de notre planète.
Les conséquences sont de plus en plus palpables en raison d’un réchauffement climatique évident pour la terre entière. Le monde va mal. Les preuves sont apportées au quotidien par les scientifiques. Nous le constatons aussi par nous-mêmes (IX).