Assassins en herbe - Michel Vanvaerenbergh - E-Book

Assassins en herbe E-Book

Michel Vanvaerenbergh

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Beschreibung

Mission délicate pour deux apprentis pilotes d'avion...
Où deux jeunes élèves pilotes dont l'enthousiasme n'a d'égal que leur naïveté se retrouvent en pleine tempête de neige à traverser l'approche de Londres en panne totale de radio.
Michel Vanvaerenbergh nous invite à embarquer dans ce recueil de nouvelles autobiographiques, glissant quelques anecdotes personnelles de sa carrière de pilote.
A PROPOS DE L'AUTEUR  
En 1948, Michel Vanvaerenbergh poursuit des études d’ingénieur industriel avant d’intégrer l’école d’aviation civile à Bruxelles. Pendant près de trente ans, il pilotera des Boeing pour le compte de la Sabena, la compagnie aérienne nationale belge. Devenu instructeur en vol, il donnera cours de navigation aérienne et maritime dans diverses écoles et rédigera le cours de navigation de l’administration de l’aéronautique. Son livre, Souvenirs sans gloire, se décline sous forme de 14 nouvelles.
EXTRAIT 
Après mes débuts en planeur à Saint-Hubert à la fin des années soixante, sous la férule de Brocart – le vrai, le père – je suis rentré à l’École d’Aviation Civile. Je me permets de citer le nom de Brocart car il ne joue aucun rôle dans les histoires que je raconte. Le seul reproche que l’administration pourrait lui faire c’est de m’avoir donné l’envie de voler.L’École d’Aviation Civile, l’EAC était officiellement l’école de pilotage de l’Administration de l’Aéronautique, mais tout le monde savait que c’était l’école de la Sabena, la compagnie aérienne nationale.L’EAC prenait les élèves ab initio et les formait, les modelait, les transformait en pilotes professionnels qualifiés sur bimoteur et pour l’IFR, le vol aux instruments.

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Seitenzahl: 17

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Du même auteur

 

Souvenirs sans gloire, Récit, Ker éditions, 2012.

Assassins en herbe

Après mes débuts en planeur à Saint-Hubert à la fin des années soixante, sous la férule de Brocart – le vrai, le père – je suis rentré à l’École d’Aviation Civile. Je me permets de citer le nom de Brocart car il ne joue aucun rôle dans les histoires que je raconte. Le seul reproche que l’administration pourrait lui faire c’est de m’avoir donné l’envie de voler.

L’École d’Aviation Civile, l’EAC était officiellement l’école de pilotage de l’Administration de l’Aéronautique, mais tout le monde savait que c’était l’école de la Sabena, la compagnie aérienne nationale.

L’EAC prenait les élèves ab initio et les formait, les modelait, les transformait en pilotes professionnels qualifiés sur bimoteur et pour l’IFR, le vol aux instruments.

 

Pour l’entraînement au vol aux instruments, l’École d’Aviation Civile était équipée de Cessna 310 de type A et B. Des petits bimoteurs à cinq places équipés de moteurs à pistons. Deux de ces avions, les OO-SEA et OO-SEB étaient, paraît-il, les premiers modèles construits par Cessna, destinés à l’évaluation et à la certification du type. Alors que nous les utilisions encore quotidiennement, un des derniers livrés, le OO-SEL était exposé depuis déjà quelques années au Musée de l’Air de Bruxelles !

C’est dire que même en 1974, c’étaient déjà des avions d’un autre âge. Ils étaient sous-motorisés et leurs instruments provenaient en partie des vieux DC3 de la Sabena. Leur solidité était légendaire, et au cours des ans, certains élèves pilotes leur ont fait effectuer toutes les figures d’acrobatie élémentaire, mais leur équipement laissait à désirer.

Pour permettre à ceux qui volent et aux passionnés d’aviation de profiter pleinement de ce premier vol, je nous embarque dans une longue description du Cessna 310 et de son équipement. Le lecteur qui n’est pas familier des « choses de l’aviation » risque de la trouver fastidieuse et peu compréhensible. Je lui donne rendez-vous page 34.