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"L'amour vrai est un feu ardent, qui brûle en nous, ardent et ardent. Il nous fait frémir, il nous fait vibrer, il nous fait sentir vivant. C'est une caresse, une étreinte, une union des corps et des âmes. C'est un plaisir, une extase, un moment de bonheur sans égal. L'amour vrai est un don divin, qui nous transporte loin des tracas du lendemain. Il nous fait oublier le temps, et nous emmène loin pour un moment. C'est un rêve éveillé, une utopie, une symphonie de sens et de passions. C'est l'essence même de l'amour, une lueur qui brille pour toujours. L'amour vrai est l'expression la plus pure de notre désir et de notre amour, il est la source du bonheur qui dure. Cet amour vrai, je l'aimerai toujours." - Victor Duniach
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Veröffentlichungsjahr: 2023
Herbe fraîche recouverte de rosée,
Elle est le parterre de mon cœur ensoleillé.
Les belles fleurs y poussent en liberté
Embaumant notre amour de parfums variés.
Nymphe des bois, ma douce Héléna,
Au sein de mon cœur toujours tu resteras.
v.d
Héléna, laisse moi te voir encore un peu
Encore un sourire, une bénédiction.
La belle et douce lueur de tes yeux,
Elle qui toujours gagne la séduction,
N'a de cesse de remplir mon cœur joyeux.
Amour, oui, que je t'aime avec conviction.
v.d
Est-ce à la rougeur de l'aurore,
À la rose qui vient d'éclore,
Aux beaux champs de fleurs,
Que tu as volé ces couleurs ?
De quelle peinture est-elle teinte ?
De quel pinceau est-elle peinte ?
D'où te vient cette robe étrange
Qui toutes les fleurs mélange ?
Frêle comme l'aile de l'abeille,
Frais comme une brise d'été,
Son tissu aux reflets vermeilles
Danse autour de ta beauté.
Devant cette belle création,
Je suis tel l'amoureux Pygmalion.
Perdu dans le rose de Toulouse
Devant ta robe rouge.
v.d
Dîtes-moi, qui est-elle ?
Une ombre qui me paraît si lointaine,
Une lueur venue d'une flamme incertaine,
Une élégante figure sous le ciel.
Elle a tant inspiré ma légère plume,
Ma douce muse aux couleurs étrangères.
Elle lit mon coeur comme son livre ouvert,
Un livre de romance, je présume.
Dîtes-moi qui est-elle ?
Cette fille qui me paraît tant familière.
Cette fille qui répond à mes prières
Et atteint mes rêves d'un coup d'aile.
Curieuses, les dernières lumières du jour
Admirent la couverture de son livre
Et accompagnent l'histoire d'un amour ivre,
Me dévoilant seulement ses doux contours.
Accoudée au rebord de sa fenêtre,
Elle attend qu'un sourire familier
Vienne lui rendre, sans se soucier,
Son doux baiser, peut-être.
Dîtes-moi, qui est cette fille à la fenêtre ?
Ce rêve sans fin qui me paraît si lointain.
Cette belle fille, un petit livre à la main.
Cette fille que j'aime sans même connaître.
En attendant ce jour qui nous verra unis,
Je laisse ce poème voler jusqu'à toi,
Priant le destin de tendre son fil de soie
Me menant à ta douce symphonie.
Dîtes-moi, qui est-elle ?
v.d
Je ne peux m'empêcher d'en rêver.
Rêver d'une douce nuit d'été,
Où allongée dans une clairière,
Elle chantait près de la rivière.
Dans mon rêve, sa voix vole au vent
En transportant un rythme vivant.
Par dessus les saules et les roseaux,
Elle chantait au bord de l'eau.
Dans mon rêve, elle me voit et me sourit.
Elle reprend alors de vive voix sa mélodie.
Me laissant l'admirer avec émoi.
Cette fille là, enfin, chanta pour moi.
v.d
Un jour, que je prêtais d’une oreille distraite
Les bienveillantes symphonies de mon réveil poète.
Pour vous, madame, j’aurais pu m’en aller voler la lune,
Cependant, en cette nuit, je ne peux que saisir ma plume.
Je n’ai de cesse de vous murmurer mes plus grands vœux d’amour.
Ce feu là, qui nous éclaire, semble briller pour toujours.
J’ai si peur de perdre cette douce lueur en chemin,
Que je tente de déposer le destin sur un parchemin.
Trop longtemps, l’amour m’a semblé être un secret caché
Que jamais à la lumière il ne fallait dévoiler.
Mais l’amour est-il un secret comme les chagrins sans fin ?
L’amour doit-il rester caché au fond de nos jardins ?
Une nuit, que je prêtais ma vue d’un œil hagard
À la beauté d’une Vénus dans votre regard,
Le poète laissa place au peintre devant la toile
Dont Botticelli aurait rêvé de peindre l’étoile.
Maintenant j’en suis sûr, il n’est de plus bel instant
Que celui aux côtés de votre doux sourire charmant.
Si belles et sensuelles, vos lèvres sont tant exquises
Et continuellement sont à la source de mes convoitises.
J’envie ces doux baisers qui doucement les effleurent.
J’envie le vent qui caresse et porte vos milles senteurs.
J’envie les douceurs de la lune, qui veillent sur vos nuits.
Je rêve de ces belles nuits, de ces courts moment à deux.
Je rêve et je prie pour ces tendres baisers audacieux.
Toujours, je rêve de tous nos doux plaisirs amoureux.
Vous êtes mon rêve secret, je pense sans trêve à vous.
Je rêve sans cesse que vous rêviez que je rêve de vous et de nous.
Il n’est pas une seule heure, ni moindre
seconde, où de votre cœur je ne pense.
Votre sourire Joconde et mon âme vagabonde en une même romance.
C’était hier peut-être qu’une si belle fleur m’a ébloui,
Dans ce petit jardin de paradis qu’est la vie.
D’une robe velours, aux beaux pétales étalés.
Cette rose aux si bienveillants reflets m’a charmé
Et cette douce fleur avait un nom au parfum enivrant,
Une fleur qui porte votre prénom, ô combien charmant.
v.d
Princesse, je te vois avec amour, avec envie,
Je me consume en un désir inassouvi.
Chaque jour à tes côtés est la belle saison,
Celle qui voit mûrir le fruit de ma passion.
Un été à la douce brise sous le ciel étoilé,
Où la timide lune nous laisse encore l'admirer.
Et même si viendra l'hiver, tu n'auras jamais froid
Car j'aurai, pour te réchauffer, le creux de mes bras.
Ta silhouette aura, pour toujours, à mes yeux,
La beauté de ton sourire, comme le trésor le plus précieux.
v.d
Pourquoi t'avoir laissé voir mes rêves délicats ?
Pourquoi t'avoir dévoilé mes secrets cachés,
Mes poèmes intimes et espoirs inavoués ? Pourquoi ?
Pourquoi ne l'avoir jamais dit, pas même à toi ?
J'y ai réfléchi, et même rêver un peu.
De nombreuses lettres ont été jetées au feu,
Considérées enfantines et un peu puéril.
Mentir -à toi et moi- me semblait si facile.
Pourtant la vérité, toujours, j'avais promis.
Pourquoi alors m'être pour si longtemps menti ?
Par peur, peur de la vérité, si douce soit-elle.
Une vérité que Cupidon cachait sous son aile.
Mais le dieu de l'amour peut être trompé.
De son arc j'ai alors voler ce qui m'appartenait.
Quel homme, quel prince charmant cela me fait-il ?
Et bien, me voilà loin du courageux Achille.
Comment séduire la tant convoitée princesse,
Qui de Troie entier a recouvert de ses caresses ?
Comment devenir le beau prince qu'elle attend,
Alors que j'évite le combat en m'écartant ?
De nouveau, je réponds par plus de questions,
Je me cache derrière les métaphores de mon crayon.
J'ai peur de ces quelques mots que j'ai pourtant