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"Cristaux des dunes’" est une réflexion approfondie sur un microcosme où les observations et les études de l’écosystème se conjuguent à travers une grammaire symbolique, tout en restant comparative. Elle se concentre sur la sensibilité et la sensualité des sens, mais intègre également l’observation du poète à travers sa cognition sociale rapide qui fait émerger une qualité quantitative d’émerveillement dans la conscience. Ce processus donne naissance à de nouvelles émergences, notamment dans le domaine musical et visuel, qui transcendent le temps. Ce domaine ontologique peut être illustré par la citation de Jo Aitnanu : « Et tu offris à celui qui a attendu à plusieurs reprises, le laurier savoureux apollinien nietzschéen… »
À PROPOS DE L'AUTEUR
Par sa plume,
Jo Aitnanu met en exergue une fusion complexe de domaines tels que l’anthropologie cognitive, la futurologie transculturelle, l’érotisme poétique et la phénoménologie. Il explore également les liens entre les époques passées, actuelles et à venir, donnant vie à un univers symbolique et utopique, riche en interprétations et en rêveries, qui explore les horizons de la temporalité et de la signification linguistique.
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Seitenzahl: 110
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Jo Aitnanu
Cristaux des dunes’
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Jo Aitnanu
ISBN : 979-10-422-1858-4
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Jo Aitnanu 21 Ḉivis 4372
Dédié à Samantha, mon Américaine aux cheveux vénitiens ondulés,
quelque peu bouclés, et aux yeux verts…
nostalgique du film « La Dolce Vita » de Fellini
avec Marcello Mastroianni et Anita Ekberg…
Ouvre-toi aux langueurs infimes des inconsciences terriennes
des invisibilités mystiques ; des coupes d’argent
gravées de courbes florales, élevées vers les empyrées
comme une Architecture futurologique – plan-masse –
significative de l’An 4372.
Ouvre-toi au futur, aux limbes les Topiques idéals types du temps futur
– leur présence –
et au bonheur terrestre du futur,
un certain temps communautaire, – une envie forte de croire
en une intersubjectivité philosophique de plus futur,
partagée librement – .
Ouvre-toi à l’Amour de ton Peuple, comprends-le, de ta
fleur autochtone,
de ton noyau corporel, ta satiété – le plexus solaire – en ouverture
ultimement sacralisée aux énergies vitales.
Ouvre-toi
mon cœur
comme mon âme.
Ouvre-toi aux rainures du bois des heures oubliées de l’existence
et – médite dessus – sauvagement,
assurément, en toute simplicité – naturellement –.
Et aux palliums tombant en pâmoison dans les assurances
des Nations pacifistes,
d’avoir voulu aller me briser comme du verre
dans les essaims des vergers cristallins de la Renaissance anthropologique.
Ouvre-toi
mon cœur
comme mon âme au vent Transculturel.
Ouvre-toi mon cœur comme mon âme désireux,
ouvre-toi au bonheur permanent d’où un savoir exalterait
beaucoup plus de monde – d’Humains –
qu’il n’en ferait périr négligemment.
Va, ouvre-toi, à l’envie de Renaître dans et avec l’ininterrompu onirisme.
Ouvre-toi telle la fleur terrestre dans l’essaim des vestiges de l’Ãstre de Ḟeu
nourrissant Ğé !
à son zénith…
pourquoi ne prends-tu pas ce fruit, la genèse même de l’indulgence, qui pend
de l’Ặrbre Ḉéleste :
↔ ∫ Ф ∫ ±
∑ ∏/C.P (-0’’) x 2/(-0) x 0
=(-0’’) C.P
Par contre si, x/0 est égal àx/2 alors x/0 est √ x/2
– son Onanisme plénier (xx/xy) – …
Ouvre-toi telle la couleur de l Ặstre Solaris grâce à la manifestation’
de l’Art Total
à la géo-dérive situationniste structurant les molécules éthérées de celui-ci
– son Œuvre d’Art –
qui consiste – à cet effet – à promouvoir en la faisant Naître déjà
son immense robe première veloutée d’ourlets en velours spatiaux,
– son sein des nébuleuses – .
Autrui n’est que grain de poussière comme Toi,
et grain de poussière
n’en est pas moins cette lumière – nouvelle humanité –
qui brillera comme Déesse spatiale de la « natura » respectée, adorée, adulée,
et maintes fois vénérée
par son peuple d’amour – sera – le fruit
de la nouveauté,
sans les transitions diverses tant accaparées par l’Ancien
Homme d’État des temps Modernes : il a fallu attendre les philosophes
postmodernes dont la Révolution consistait à ne plus croire aux métarécits
bien fondés dans nos « consciences collectives », mais au contraire,
bien mettre en évidence l’Histoire des Idées et les Études de Genre
contrairement
à
l’historicisme des mentalités !
MAIS :
COMPRENDRE l’Histoire des Mentalités c’est COMPRENDRE l’Historicisme
sociobiologique des classes sociales !
Ouvre-toi et laisse-toi couvrir par le vestige solaire
et surtout par ses baumes auburn flambant neuf de l’origine sacrée,
ouvre-toi, mon cœur comme mon âme désireux
aux vertiges
enflammés de l’Antique passion’, et à ses sofas confortables
qui ont la douceur et le confort d’une peau hâlée – idem –
à la fragilité sensuelle
comme celle du dos
et de la nuque chevelue androgynique xx/xy…
terriblement saccadée par les ventilations cristallisées
venant tout droit des Ḉieux atemporels…
promouvant ainsi par son Inspiration de la Poêsis
le constructivisme Imaginaire appliqué à la grammaire descriptive
donnant l’accès à la nouveauté syntaxique, morphologique
et phonologique inhérents aux prémisses puissantes majeures, mineures
et de leur conclusion
au sein d’un syllogisme aristotélicien mis en rapport direct
avec la Vie constitutive Vie analogique
au CHOIX qui est donné, – vivre dansl’oisiveté,
la fainéantise catégoriques –
pour l’Ḝtre auquel l’ṎntӪlӪgie est essentialiste,
– dansant, criant, riant, aimant – sur des terres lointaines
issues
des Limbes de la Conscience Phénoménale(-0’’) aux attributs
– stylistiquement’
oniriques – dont les faces planes
du Ṧavoir Ḝthnique et Cybernétiques…
sont des ouvertures éparses à la convention
planétaire du Droit au Ṽitalisme (∏’’/Φ)… préexistant au sein
du TOPOS’ en TOPIQUESactions artistiques’
léguant à l’Artiste et à l’Artiste-poète
la Liberté d’agir et de penser, de se mouvoir
dans l’anticonformisme pour cet Être-là ek-zistant
– si précieusement –
à travers le MAGNIFICAT lié à la Croyance séculaire
en MAGNA MATER
par
l’embryogenèse de la Pensée
caractérisant la
– Matrice de métamorphose’ –,
Animiste… ainsi,
protégeant ladite Croyance
anthropologique
en
Croyance empirique
de l’ek-zistence Ḝntitale
– identitaire –
à
la Ṽénus Ṩpatiale !
Ô Poêtique anthropologique !
Ô Poétique comparée de la conscience phénoménale anthropologique !
Ô… Trace !
Ô Tr(A) anthropologique phénoménale !
L’anthropologie phénoménale associe le Discours
de la Grammatologie poétique
à
la sémantique poétique analysant les Discours comparatifs
liés aux techniques archaïques de l’ex-stase du Chamanisme
et de l’Animisme séculaire en état de survivance
complémentaire relatif à la Pensée Primitive –
à la Pensée Sauvage –
puis, à
la
Pensée Sorcière –
en
– passant – par
Le
« FLOU DE LA CONSCIENCE »… :
ce qui résulte à un « flou artistique ! » – quant à l’approche des visioniques
et comportementalistes analyses s’observant au sein des ethnométhodes…
cognitives
futurologiques…
L’ek-zistence parvint à dire que celle-ci est une beauté
à respecter pareillement à
l’illusion neutre d’un poète sous les mécaniques huileuses
de notre temps.
Combien d’heures l’illusion régressive ménagea-t-elle
le regret en métal massique ? Et desa fabrication inachevée encore ?
Puis, de son amour éphémère comme les Amours éphémères ?
Ainsi, se recherche sempiternellement la ligne de conduite
hyperbolique à suivre dans son cheminement de vie Parménidien ;
et cette ligne de conduite est mise au contact des paramètres sentimentaux
se confrontant
psychologiquement et philosophiquement
entre eux, –
au même titre qu’ils demeurent indécis dans leur cognition sociale, –
sont-ce l’esquisse à la brillance
informelle représentant – tout de même ! – une image « sage »
comme un bon point gagné !
… Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…
Mais si et tellement si,laborieusement difficile à décrire – ah… femme… –
face à ce que tu souhaites tu deviens la putain d’un Poête « vulgaris »…
Et puis, ta sensibilité qui sommeille en ton sein, cette sensibilité
est tellement étrangère à mes sens,
cette sensibilité qui est Tienne
et
qui
est
Autre.
Femme. Mon bonheur, ma forme promptement Vôtre,
ma souffrance, ce cœur de corps dénudé courbé vers la lumière vitale
pigmentée de formes figuratives corporellement et chaireusement souples
– ô plantes thérapeutiques –
parce que,
– plantes aphrodisiaques –
évanouissant ma conscience pour renaître en « conscience phénoménale »
qui est l’égale du quale révélé ainsi adroitement
mais aussi si abstraitement entr’aperçu…
tu es belle femme, –
à en crever cet abcès le tracé de mon regard qui peut se satisfaire
en la réception séduisante ou indifférente unique
de tes yeux humblement posés sur les miens mais aussi
terriblement vicieux ;
ma somptueuse contradiction de pensée et d’agir et de comportement sadomaso…
Mon amphore dont le contenu érectile
est pareil au goût amère du songe pornographiquement
ininterrompu… et jouissivement à tout va le vent le veut…
rempli de sagesses épanouies entre les vrais repas amicaux hédonistes,
éblouis par le calme, la paix,mais aussi par les orgies,
par contre,
pas
la philosophie
Épicurienne…
– « Puisque,Épicure prônait la modération des plaisirs…
Ah ! Ce foutu bonheur ! Ce foutre bonheur ! – euhh ! – non ! – pardon !
Cet inégalable bonheur Épicurien ! – N’est-ce pas ? »
Me diriez-vous :
– « Mais… Monsieur Jo Aitnanu, desquels de plaisirs s’agit-il ? Au juste ? »
– « Ne soyons pas hypocrites Maître Épicure ! » dirai-je.
Puis, argumenterai-je encor’, par :
– « N’avez-vous pas été influencé par l’École des Cyrénaïques
dans votre jeunesse par causalité hasardeuse ? Hein ? Maître Épicure ? Que sais-je encor’… ? »
Ainsi, la femme est dotée de charmes pas plus secrets que ceux
de son congénère…
Elle fait semblant de ne pas vouloir les partager avec l’autre…
… voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…
Parmi les vols bleutés de colibris,
– et des senteurs très discrètement insoupçonnées comme celles d’une femme mouillante –
sont-ce des souches vieilles de Pins d’Alep du Liban qui exhalent
autrement leurs intégrités parfumées en volutes dans les temps passés…
Ô femme. Proto-Femme-fleur.
Je t’envoie normalement ce souffle
de foi, et j’envie ton Corps
normalement aussi’
et sans autres manières’
qui trahiraient
ton comportement
contradictoire – ;
car, me confie-t-il, ce souffle de foi,
son secret existant depuis des ères qui est la simplicité
mais aussi qui est – a contrario – la simplicité non simple, –
la toute – simplicité symétrique – recherchée par certains Hellènes
d’un côté se conformant
aux règles de conduite contradictoires féminines,
et, la non-simplicité asymétrique intemporelle, d’un autre côté…
Regardnoir contourné de Khôl’ tracé en pointe…
et ce flou de la conscience accompagnant le geste en paix
qui s’harmonisa avec la chaleur de l’Ãstre Circulaire : Ô Sappho…
… Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…
Aimant recevoir la technique du corps des massages érotiques
d’avec l’utilisation substantiellement cosmétique à Vous ! de vos huiles essentielles,
je ne pourrai résister donc longtemps
assez – encore’ –
à la tentation « coïtale » buccale
que la catin accueille entre ses lèvres serrées en forme de ventouse
caverneuse son Allégorie fantasmatique…
Alors, mon choix est celui-ci – malgré tout et malgré moi –
pour ainsi faire plaisir
… à
cette
anima
mauvaisement pieuse…
C’est ici même, que m’ordonne d’exécuter sur le champ ainsi aussi,
la prononciation
phonétiquement
linguale
de
mon silence
devant
la dulcinée :
elle confond l’amour sincère
avec
les amours collectives Dionysiaques !
Ô que votre comportement autre peuple sa force en Čité d’Ḝsprit !
Alors qu’une part de charme est à divulguer bien haut sur quelques
axes d’errances
qui nourrissent autrui jusqu’au paroxysme de la donation de son corps !
Ou bien
de son prêt du corps !
sans argent demandé en retour, ou bien encore’, formuler
le désir de louer son Corps !
Cedit « Corps » : ce soi-disant « Corps mystérieux », « Corps impénétrable »,
« Corps inviolable », « Corps non prêté », « Corps “réservé” »… et cetera.
Cet artefact’ de Corps possède la permission même de ne pas aimer
mais de jouir pleinement et sans contraintes aucunes
par ce que ce que les autres aiment de Toi !
… Tu choisis délibérément de faire l’offrande de ton Corps…
c’est cette joliesse à la gratuité qui est démesurément libertine
et sacrificiellement salope’ !
Ne serait-ce qu’une transformation érotiquement Vôtre…
implacablement Tienne…
– Car la suite
inespérée –
consistant à croire qu’il y a une illusion des sens qui pourrait tromper
l’appréciation de Vostre décision,
est une grande parade afin d’évaluer les sentiments amoureux
qui ne te sont incommensurablement pas Tiens !
… Voile au vent tiède et lèvres contre lèvres…
– Ta « nymphomanie » somme toute normative sera progressivement
maniérée’ avec l’âge –
car, tu joues à l’innocente…
Et, cela me montre à quel point la grande caisse en peau
qu’est ton Ventre fertile
conservera à jamais ses pouvoirs magnétiques absorbant les limages coïtaux
exercés à l’encontre
de cet « orifice de grotte “humide” » qui est Vôtre…
idem
à la grotte Platonicienne, qui est exemplairement autre !
Mais ma douce, telle celle qui me suivit – sans crainte ? – dans des couloirs
sinueux de l’urbanisme actuel, – son Métro souterrain – Underground’s –,
– peut-être eut-elle une bonne raison ? –
je t’admire, tout de même, comme Déesse dénudée à la sensualité
cultuellement prompte à l’ek-xtase’– fontaine humainement Tienne !
humainement mienne !
Animalement Nôtre !
Et puis, encor’ la suavité profonde que la prolongation de ta main
dans l’espace donne
apposée sur ce Phallus dépassant d’un « trou de la gloire »,
comme bâtissant virilement
à ta conscience phénoménale –
l’impression’ de catharsis – à l’emploi du maniement de celui-ci,
tant par les mains que par la bouche et autre orifice génial, ô femme !
Géniale génitale
aux regrets d’où le regard
de feu jaillit comme une éjaculation’