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"Des mots et des rêves, mes maux, pas de trêve" explore le tumulte des émotions. Chaque poème trace un itinéraire intime, oscillant entre le réel et l’imaginaire, offrant au lecteur une parenthèse de réflexion, de sensations et d’évasion. Porté par une écriture à la fois délicate et puissante, ce recueil invite à un voyage intérieur où les mots résonnent comme des échos de l’âme. Une ode à la liberté de sentir, de penser et de rêver sans entrave.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nelson Da Costa écrit selon sa propre voie, alliant émotions intenses et vécu personnel. Pour lui, la littérature représente une source inépuisable de connaissance, d’évasion et de réflexion. Son premier recueil, "Des mots et des rêves, mes maux, pas de trêve", incarne parfaitement cette fusion entre sensibilité et expérience.
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Seitenzahl: 50
Veröffentlichungsjahr: 2025
Nelson Da Costa
Des mots et des rêves,
mes maux, pas de trêve
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Nelson Da Costa
ISBN : 979-10-422-6521-2
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Note de l’auteur
Dans mon petit livre,
Tu y trouveras certains de mes textes,
Ma tentative d’écrire de la poésie.
Quelques rimes, des mots qui sortent de ma tête.
Dans les profondeurs de mon esprit, je laisse libre cours à mon imagination.
Pour remplir au mieux les pages blanches, je cherche souvent une émotion.
Mes poèmes sont le reflet de mes états d’âme.
Certains vers naissent en cinq minutes, une strophe me prend des heures, un poème, parfois, des mois…
Je ne me limite pas aux règles des poètes.
Je ne me conforme pas aux normes, j’écris sans suivre les consignes.
J’invente ma propre vision poétique.
J’ai tenté de lister tous les genres de poésie, mais je n’ai pas réussi.
Ils sont trop nombreux et évoluent constamment.
J’ai, pour ma part, fait un mélange de tout cela, même si je triche énormément avec le règlement.
Si tu me lis jusqu’à la fin, un grand merci.
Bienvenue dans mon univers.
PS
Ne sois pas trop critique, c’est mon premier essai.
Il y aura sûrement beaucoup de mots qui apparaîtront plusieurs fois.
Désolé, je manque de vocabulaire.
Je me dois de lire davantage pour écrire avec plus de maîtrise.
Pour conclure
La poésie est un art.
Les poèmes utilisent souvent des métaphores pour exprimer des émotions, des idées ou des sensations.
Les outils de l’écriture (plume, stylo, écran…) peuvent déformer la réalité pour créer un effet plus puissant ou plus émotionnel.
La poésie ne vise pas à reproduire fidèlement le monde réel.
Elle peut nous faire réfléchir, nous émouvoir, ou nous transporter dans des univers imaginaires, comme dans un rêve.
Bref, un grand mélange de réel et d’invention.
Juste des rimes et de l’écriture.
Ma rime
2024, j’ai décidé de créer un texte par semaine.
Que des mauvaises rimes, en écriture j’ai la flemme.
La rime paresseuse, c’est un style à part,
Elle vient quand elle veut, sans trop d’égards.
Elle se moque des règles, de la poésie bien carrée,
Elle se glisse où elle veut, un peu décalée.
Désobéissante, et en liberté, elle cherche son chemin,
Car même si elle est fainéante, elle trouve quand même son refrain.
Écrire sans pression, j’ai trouvé le bon rythme,
Même s’il est vrai que mes vers tombent souvent comme un mythe.
L’inspiration me joue trop fréquemment des tours,
Mais à force d’insister, les mots viendront sûrement un jour.
Alors je continue, à la recherche d’un lecteur.
Chacune de mes lignes maladroites renforce mon labeur.
Une strophe après l’autre, sans viser aucune gloire,
Car c’est dans l’effort qu’on écrit des histoires.
Mes vers
Je sais très bien que mes vers ne sont pas extraordinaires,
Peut-être qu’un jour quelqu’un dira qu’ils sortent de l’ordinaire.
Même si une ligne sur cent peut prétendre être de l’art,
Si seulement j’avais un pour cent du talent de Pierre de Ronsard.
J’essaie parfois d’écrire selon les règles,
Mais, la plupart du temps, mes mots se dérèglent.
Je n’ai pas la technique, encore moins de tactique,
Et souvent, il n’y a aucune logique.
Toujours la feuille vierge, jamais d’inspiration,
Illusion de savoir-faire, mais je suis en suspension.
Malgré tout, j’en ai besoin, c’est magnétique,
Amoureux des rimes, c’est presque chimique.
J’aime le lyrique, je trouve cela mélancolique,
À chaque phrase, je ressens une harmonie poétique.
Dans ma tête
Dans mes textes, pas de talent, je n’ai pas les mots.
Dans ma tête, il y a Satan, j’ai trop de maux.
Enfermé dans le silence, prisonnier de mes pensées,
Mes démons crient « Tentation », veulent me voir céder.
Dans la vie, je fais semblant, je m’ennuie tellement,
Semblant devant les gens, semblant d’être vivant.
Pourtant, dans mon cœur, j’entends des battements,
Pour autant, je n’éprouve plus de sentiment.
De toute façon, personne ne s’en rend compte,
Ceux qui m’aiment, sur une main je les compte.
Je me sens tellement seul au monde,
Même quand je me retrouve avec plein de monde.
Puis il y a l’être humain, je ne comprends rien,
Je suis le mouvement, je fais comme les miens,
Les miens, eux, font comme les leurs.
Est-ce que tout cela n’est qu’un leurre ?
La vie
Douleur sans crier, ça s’appelle souffrir,
Bonheur, ça en vaut la peine, sourire.
Vivre sans aimer, autant vite mourir,
Trouve l’amour, il te fera revivre.
Vaut-il mieux vivre peu mais heureux,
Ou alors vieux mais malheureux ?
Il y en a qui meurent jeunes en ayant vécu,
D’autres longtemps mais qui n’ont rien vécu.
Il y a aussi ceux qui n’ont que bonheur,
Mais qu’ont-ils fait dans leur vie antérieure ?
Pourquoi d’autres n’ont que malheur ?
Le karma mystérieux ajuste ses erreurs.