Désirs & Pulsions - Mila Leduc - E-Book

Désirs & Pulsions E-Book

Mila Leduc

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  • Herausgeber: Mila Leduc
  • Kategorie: Erotik
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2018
Beschreibung

Arnold McFinn est un beau et richissime entrepreneur qui souhaite s’acheter une belle villa à Miami. Les villas et les hôtels de luxe, il connait bien, il souhaite cette fois-ci avoir quelque chose d’atypique ! C’est la charmante Emily, agent immobilier, qui lui fait visiter plusieurs villas somptueuses, mais après quelques visites, Emily se rend compte qu’Arnold est plus intéressé par elle que par les belles maisons. Emily sent bien qu’Arnold veut ce qu’il ne peut pas avoir, c’est à dire elle, se laissera-t-elle charmer ? Que se passera-t-il lors d’une ultime visite ? Arnold ira-t-il jusqu'au bout de ses pulsions... et Emily écoutera-t-elle ses désirs enfouis ? Extrait : Une de mes mains bloque les siennes dans son dos. Ma deuxième main n’a même pas besoin de forcer cette salope à se cambrer, elle le fait seule, comme si c’était un réflexe. Elle est magnifique comme ça, mais le sera encore plus la croupe offerte. 

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Envoûtante, c’est le meilleur mot. Il décrit parfaitement la charmante créature que je dois retrouver d’ici quelques minutes. Je suis tombé sous le charme dès notre première rencontre.

La villa était superbe, vraiment. Nous surplombions la baie de Biscayne, la vue imprenable me saisit aussitôt du sentiment de toute puissance dont j’aime me délecter. La sobriété donnait un côté futuriste à l’intérieur alors que l’extérieur favorisait le naturel. C’est sur ce contraste qu’Emily, mon agent immobilier espérait me faire acheter. A la première visite ? C’était mal me connaître. J’aurais laissé passer la lune pour que cette femme m’accorde un peu plus de son temps. Notre premier « rendez-vous » n’a été pour moi que de l’observation. Cela m’a nécessairement distrait de l’objet de la rencontre : la villa. Je n’ai pu retenir un léger sourire quand son ton et son attitude ont montré des signes d’agacement presqu’imperceptibles. Mais qu’y pouvais-je si ses hanches m’hypnotisaient dès que l’on changeait de pièce ? Comment pouvait-elle être aussi sexy dans des vêtements aussi classiques ? Je savourais ce moment, je savourais chaque courbe de son corps, enveloppé de bien trop de tissu. Je savourais aussi son sourire, ses lèvres pulpeuses et humides qui m’appelaient au baiser. Soudain, la visite était terminée, et il fallait à mon tour que je fasse quelques commentaires, tel un élève qui a bien écouté sa maîtresse. J’aurais pu m’embarrasser de quelques banalités, mais j’ai préféré la désemparer :

« J’ai demandé de l’atypique, cette villa est d’un banal ! Tenez, ma carte. Rappelez-moi quand vous aurez quelque chose de présentable ».

Et j’ai tourné les talons en lui adressant mon plus beau sourire, c’était le premier signe. Et elle avait mon numéro personnel. Je n’espérais pas qu’elle me rappelât, pas encore. Mais elle l’avait. Je me sentais tel un requin entré en chasse, elle était ma proie.

En effet, pour la seconde visite, elle ne me rappela pas sur mon téléphone personnel, mais officiel. Une proie facile aurait été décevante. Elle n’allait pas me décevoir. Et apparemment, elle ne voulait pas me décevoir. La villa était deux fois plus somptueuse que la première. Gigantesque, et tout en bois. Elle avait décidé de miser sur ma bonne conscience écologique. Et ça aurait marché si ç’avait été un laideron, et si elle n’avait pas mis ce rouge à lèvre. Les femmes savent à quel point ce genre de coquetterie nous fait perdre la tête. Elle devait le savoir. Elle devait avoir choisi ce pourpre profond en se préparant ce matin, sachant très bien quelles idées trotteraient dans la tête de ses clients. Cela avait même pu être un argument de vente implicite. Pas avec moi. Moi j’en voulais plus. Cette deuxième visite, je décidai de lui glisser quelques compliments, sur la villa et sur elle. Je ne voulais pas qu’elle pense que je n’étais qu’un goujat sans goût qui ne compte pas encenser ses capacités commerçantes. Mais je voulais qu’elle commence à comprendre que je voulais encenser bien d’autres choses de son être. C’est avec adresse qu’elle évita ma remarque sur ses délicieuses fossettes qu’un sourire avait fait naître. Mais c’est avec adresse que je me rapprochai peu à peu d’elle alors qu’elle m’expliquait comment la baie vitrée s’ouvrait pour accéder à la terrasse. Je humais alors les savoureuses effluves qui se dégageaient de sa chevelure, avant qu’elle ne s’échappe pour m’expliquer l’exotisme des plantes sur la terrasse, rougissante.