Flâneries bucoliques - Victor Monnot - E-Book

Flâneries bucoliques E-Book

Victor Monnot

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Beschreibung

L'auteur autodidacte s'émerveille chaque jour, par un sens aiguisé, de la magie que lui offre la nature. Il transcrit ses sensations et ses émotions dans un langage poétique d'une grande tendresse afin de nous faire partager ses états d'âme face à ce spectacle envoûtant de son cadre de vie.

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Seitenzahl: 77

Veröffentlichungsjahr: 2021

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Sommaire

La poésie

Viens regarder par le petit trou

Qu’il soit dit en passant

L’un contre l’autre

Très observateur

Dans la verte campagne

Pour moi

Un joli collier

L’escargot et le papillon

En promenade

Elle est splendide

Marie la rêveuse

Garni de tendresse

Sur un éperon rocheux

La vie est charmante

C’est calme et reposant

Dans un endroit ensoleillé

C’est merveilleux

Dans la vie

Dans le temps

Elle avait un doux regard

Loin d’être déplaisant

Je ne connais rien de lui

Je vous dis,

Mais qui êtes-vous ?

Dans mon petit pays

A toutes les fleurs

J’ai envie de vous faire rêver

Autour du château

Tout dort puis tout s’éveille

L’imagination

Cela se passe en hiver

En toute quiétude

La transition des saisons

Un jour tu as eu vingt ans

Viens doucement

Voudrais-tu me prêter ton ombre

Il est heureux entouré de coquelicots

Le coeur et la fleur

J’en ai pleuré

Dans son doux regard

Rien que pour toi

Aimer c’est remplir son coeur de tendresse

Dis-moi,

La balade de l’Engoulevent

Le sais-tu

C’est beau l’enfance

Pour me détendre

Sans presser le pas

L’hiver est revenu

Avec regrets

Souvenirs des temps anciens

Les chevaux Comtois

Assis près de la cheminée

Je vous adore

Avec un grand plaisir

C’est fabuleux

Cela me surprend quand

On dit : mes tendres années

C’est du plaisir

Le bonheur s’emparait de moi

Dans le verger

Les yeux remplis de charme

Là-haut sur la colline

C’est à deux pas de chez nous

Quand je pense à vous

Dans ce temps-là

Le soleil, la pluie la chenille et l’escargot

Jean qui rit, Jean qui pleure

Dès le mois de mars

Un superbe coucher de soleil

Au milieu de la forêt

Un matin

Très douce

Tout près de chez moi

Au fil des saisons

La vie c’est de l’or

Á toi mon fidèle compagnon

Mais viens

Ma maman

Sur une branche perché

Non loin de là

Les hirondelles

Le renard épris de liberté

Le chat et la maman souris

La rivière

Il ne faisait pas très beau

Des merveilles dans le ciel

Je vous propose un retour en arrière

Dans mon enfance

Le cantonnier et les fleurs de la vallée

La vieille fée

Tout là-haut dans le ciel

Petit caneton

C’est le printemps

De-ci de-là

La-bas

Dans la forêt

Comme ils sont beaux

Au printemps

Quel bazar

Regardez le ciel et rêvez

Il chante à merveille

Il s’affole

Bien au chaud

La pluie s’en mêlait

Les papillons

Rêves d’enfant

Dans la vallée aux fleurs

Je te donnerais

Laissez-moi

Un peu de rêve

Tu vis hors de ton temps

Tout doucement

Tu es toujours sur les quatre chemins

Dans mon vallon se trouve un château

Le temps passe et court

Dans ce monde sans pitié

À propos du livre

La poésie

C’est un besoin une envie

La poésie agrémente la vie

Quand la douceur

Prend la forme d’une fleur

Quand on voit l’enfant

Qui embrasse tendrement sa maman

On ne peut que s’attendrir

Le contraire serait mentir

La poésie c’est adoucir son cœur

C’est vivre intensément parmi les fleurs

C’est donner un peu de son être

C’est aussi partager un certain bien être

Offrir un bouquet de fleurs

Ouvrir grand son cœur

Chasser le doute

Et être à l’écoute

Voici la tendre poésie

Celle qui embellit la vie

Qui permet d’être plus joyeux

D’être encore plus heureux

En vivant dans la tendresse

Une joie réelle se manifeste

Et un bonheur certain

Agrémentera nos matins

Viens regarder par le petit trou

Viens donc te cacher

Sous les grands marronniers

Dans la petite cabane

Viens avec ta sarbacane

Elle t’attend la nature,

Couverte d’une splendide verdure

Pour voir ses atouts

Regarde par le petit trou

En forme de cœur,

Tu apercevras le bonheur

Au creux de la vallée,

Tes yeux seront émerveillés

Ta pensée guidera ton regard

Non ce n’est pas le hasard

De là, la vue est magnifique

Et l’on entend une petite musique

Pour l’entendre, il faut être un enfant

On ne l’entend plus quand on est grand

Alors reste encore un peu

Profite, il n’y a pas le feu

Garde en toi la petite musique

De cette chevauchée fantastique,

Reste le petit enfant empli de bonheur

Qui regardait par le petit trou en forme de cœur

Qu’il soit dit en passant

Vive le vent

Vive le printemps

Cette saison est charmante,

Les filles sont plus souriantes

Vive la pluie

Ouvrons nos parapluies

Sur le chemin des amoureux

On est bien tous les deux

Vive la vie

Ne jouons plus la comédie

Puisque l’on s’aime

Oublions tous nos problèmes

Vive le bonheur

C’est un grand jardin de fleurs,

Ton cœur tout contre mon cœur

Viens goûter à la douceur

Vive la vie de bohème

On récolte ce que l’on sème,

L’amour un beau jour

Se trouvera sur le chemin du retour

Vive l’amitié

Sans dépit, sans pitié

Votre destin va se dessiner

Au crayon de papier

L’un contre l’autre

Dans le calme du soir

Deux amoureux sont remplis d’espoir

Dans leur tête

Trotte un petit air de fête

L’un contre l’autre

La vie devient toute autre

Elle n’est plus un supplice

Quand on en récolte le bénéfice

C’est qu’enfin on a trouvé son bonheur

En approchant un joli cœur

Que l’on s’en est épris pour la vie,

On ne joue plus la comédie

L’amour est passé par là

Ils s’embrassent

Ils s’enlacent

Le rêve commence comme cela

Dans ce monde amoureux

Où tout est merveilleux

On chante on danse

Par intermittence

Le temps passe et court

Le temps nous apparaît trop court

Quand on aime d’amour

De la nuit au petit jour

Très observateur

Il s’en allait allègrement

Sur un chemin du département

En regardant par-ci par-là

Belles maisons, belles villas

Il était entouré d’oiseaux

Quand il passa le petit pont du ruisseau

Il vit la truite printanière

Qui alla se cacher sous la berge de la rivière

Tout autour de lui

La campagne était remplie de vie

Les vaches ruminaient

En écoutant la gent ailée qui bavardait

Un certain charme embaumait le vallon

On voyait onduler la moisson

Le vieux mur se chargeait de mousse

Et la brise se faisait de plus en plus douce

Lui, il s’en allait allègrement

Sur un chemin du département

Il savourait le bonheur,

Le silence, en passant au milieu des fleurs

Son ravissement était total

Sa joie sans égal,

Les yeux si étonnés

Que l’on aurait pu croire qu’une fée venait de l’envoûter

Dans la verte campagne

De mon vallon

Se chante une douce chanson

Sous les arbres tout au matin

On entend un joyeux refrain

Les oiseaux chantent

Dans un paysage qui enchante

Et l’on oublie les faits divers

Quand on entend le kiak sonore du pivert

Quand revient le coucou

Le vent est doux

La neige a disparu,

Le beau temps est revenu

Par les petits chemins

Coule l’eau et le trop plein

S’en va enrichir la rivière

Tout en désaltérant les fougères

Dans mon vallon

Se chante une agréable chanson,

Un doux murmure

Vous présage de merveilleuses aventures

Laissez-vous tenter

Venez écouter, venez rêver,

Votre cœur va s’enflammer des charmes de la douce brise

Venez rêvasser dans ce vallon rempli de surprises

Pour moi

C’est une chanson

Un vrai bonheur

Des mots s’envoleront

Pour finir au milieu des fleurs

Ou juste à côté

Pour mieux vous étonner,

Vous rendre tout joyeux

Le cœur léger vous ne serez plus malheureux

Les mots du bonheur

Font chavirer les cœurs

Et glisser dans l’oubli

Le plus petit de vos soucis,

Les mots parfois sèchent les pleurs

Et font oublier les rancœurs

Il y en a des doux

Et d’autres qui rendent jaloux

Comme une chanson

Se fredonne à l’unisson

Les mots s’inventent

Parfois je plaisante

Mais, la poésie c’est ma passion

Elle m’empêche de tourner en rond

Si j’écris des poèmes c’est pour vous,

Tous ces mots doux prenez-les, ils sont à vous

Un joli collier

Dans le petit sentier

Qui monte vers la colline,

Un jour j’ai trouvé

Au bord du chemin

Un joli collier

La chaîne était cassée

C’est pour cela que le collier est tombé

Et moi en passant, je l’ai ramassé

Ce n’était pas de l’or

Mais des perles brillaient au soleil

Avec des reflets sans pareil,

Il était d’une beauté exceptionnelle

C’était un très beau collier que je venais de ramasser

À mon premier regard

Des perles rares

Montées par un joaillier,

L’ensemble était parfumé

D’un parfum qui venait d’orient,

Celle qui le portait devait avoir voyagé