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Laissez-vous entraîner, attentifs aux rencontres, à l’écoute du vivant, qu’il soit humain, animal ou végétal, parfois même minéral. Car tout est source de sagesse et d’énergie pour qui prend soin de regarder.
Conte ou témoignage ? Récit ou rêve ? Qu’importe puisque nous sommes tous, comme l’auteur, à la recherche de la lumière.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Richard AMALRIC est né en 1950 à Toulouse. Il a été moniteur d’équitation puis aide-soignant, il dit avoir vécu des expériences humaines gigantesques, qu’il vous propose de découvrir avec poésie, humour, sincérité, et plaisir …
Sa devise ? Donner, partager, aimer, recevoir, jouer, gagner, …
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Seitenzahl: 120
Veröffentlichungsjahr: 2021
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Richard AMALRIC
Il est amusant de choisir comme chiffres les 2032020, cela pourrait être le numéro de ce héros ?
En homme de lumière avec sa grande cape, ce chapeau si impressionnant laisse deviner cette force fusionnante de son esprit, de sa capacité à lire dans tout ce vivant, aussi bien êtres humains, animaux et végétation.
Mais qui est-il ?
Depuis la nuit des temps, de réincarnation en réincarnation, 2032020 a toujours été présent pour soigner, aider, donner, écouter, partager, tous les maux quels qu’ils soient dans le monde entier, et sa présence, son regard, sa manière si simple avec juste un regard, certes profond, permettent de dévoiler tous les mystères enfouis dans les méandres de notre cerveau, permettent de libérer, dévoiler la noirceur du négatif omniprésent et « J’en ai plein le dos ! »
Cette mise en bouche sera un bon apéro pour toute la suite des événements…
La ronde des chiffres tourne au maximum telle une centrifugeuse, pour faire sortir la pièce déterminante donnant la solution. Le cerveau a sorti, dans ses moindres recoins, toutes les possibilités rédemptrices. Cela fait penser, étant au XXIe siècle, aux labyrinthes toujours pas découverts et encore moins utilisés qui font balancer leurs possibilités dans le néant !
Même en prenant le temps de faire rebondir notre subconscient juste sous la ligne de la conscience, ce serait un atout gagnant pour faire fructifier notre Nous intérieur. Et là, nous nous rapprochons de « Je suis le Maître de mon Corps ! » L’horizon sera ébloui par une lumière venant de notre for intérieur…
2032020 est heureux de donner ! Il va parcourir à pied avec son grand bâton magique les chemins, les montagnes ; il va se fondre dans tous ces espaces qui respirent la Vie, l’harmonie entre la flore et la faune, sentir les odeurs si profondes pouvant révéler le passage de tel ou tel animal, en gros la symbiose ! Il pense…
Au détour du chemin, en pleine campagne, une clairière inondée de lumière faisant ressortir une herbe toute de vert clair vêtue, un cheval seul, presque heureux de voir une personne ; il se met en arrêt, les oreilles toutes droites en signe d’interrogation. Il attend, ne bouge pas, ses yeux grands ouverts, il commence sa lecture…
— D’où tu viens ? Je ne te connais pas ? Pourquoi tu es là ?
Pas de réponse. 2032020 s’approche, il est juste sur la clôture, fait son franchissement, regarde, perçoit, identifie, commence son soin ; ce cheval est malade, il souffre en silence et il n’a personne pour l’écouter, le caresser, et encore moins pour le soigner…
— N’aie pas peur, je suis juste là pour t’aider, et je le flatte.
Ses grands doigts tout fins commencent à toucher des points sur la tête du cheval et découvrent la salive gluante, elle n’est pas normale, il se rapproche de cette dernière et il a un moment de recul devant une odeur purulente ! La magie de ses doigts va travailler, nettoyer, reformuler ; la symbiose entre ces deux êtres est parfaite, pas d’opposition, la liberté rentre par la bonne porte.
Le temps est notre allié. 2032020 s’installe à proximité, prépare un feu de bois, sort comme par magie tous les ustensiles nécessaires. Une fois que tout est prêt, il se pose, attend en regardant son nouvel ami. Ce dernier a compris, il est rassuré de voir une personne venue à son secours : Gratitude, et tous les jours, les soins présents soulagent, réconfortent, l’odeur de sa bouche est nettement meilleure, voire agréable, tout rentre dans l’ordre. 2032020 quantifie l’état de ce cheval et lui donne un nom : Volcan, tellement les tourments endurés en amont sortent comme le volcan qui crache sa lave, sa salive, elle devient toute douce, son touché est agréable, Volcan est sauvé…
Avec sa main gauche, il prend une poignée de sa longue crinière (le coiffeur a longtemps déserté son peigne…) Et jambe droite par-dessus la croupe, un grand galop libère la crinière au vent, les sabots effleurent à peine le sol, la clôture est sous le ventre, les quatre membres bien repliés, le saut est magnifique.
Les kilomètres défilent, le souffle bruyant, l’écume de sa peau blanche ; il demande un ralentissement et Ho Ho, retour au trot, au pas, repos.
La récompense est énorme. Volcan pose sa tête sur l’épaule de son ami et, comme dans un dialogue de sourds, raconte :
— Si tu savais depuis combien de temps j’attendais ta venue, mon maître me laisse là depuis des mois, pas une visite, pas un regard, il ne m’aime pas… Je suis ton serviteur, ton ami et je ferai tout mon possible pour t’aider, t’aimer, ce ne sera que la mort qui nous séparera…
— Je suis là, notre union est magnifique et tu fais de moi l’homme le plus heureux, et ça, je ne l’oublierai jamais !!!
Deux êtres vivants ont conclu un pacte et ce n’est pas du tout anodin ; deux, ce chiffre placé sous l’influence de la lune, de l’ombre, de sa force produit un véritable mariage une passion, une vie… Notre héros puise un degré inébranlable sur son chemin de vie, ceci ne s’arrête pas. Il continue son rôle de messager, de donneur de liberté, de bien-être, il donne la pureté des âmes, en retirant le négatif en trop dans ces corps malades souffrant de tous les maux de notre vie ; il est là pour ça !
Unicité, profondeur, et encore et toujours la Lumière vient réchauffer notre esprit, les vies à l’intérieur de tout ce qui est vivant. Tout est ici pour nous, invitation mondiale, regardez, voyez, prenez, ouvrez votre vie sur tout ! Et là, vous ressentirez une chaleur à l’intérieur de vos tripes, de vos organes, tous ces derniers seront avec vous pour vous ouvrir à autre chose que vous ne savez pas, vous serez libre de pouvoir partir en délire, et toutes les portes vont s’ouvrir avec le plaisir de respirer, de crier votre bonheur, de vous saouler d’oxygène, de courir à perdre haleine…
Regardez Volcan et 2032020, comme ils sont heureux et Libres. Je vous souhaite au moins une fois sur votre chemin de croiser cet instant de pur Bonheur ; ce jour-là, vous aurez une pensée pour moi !
Le monde animal est pur, il vit ; la vie lui fait jouer de tous ses atouts, je ne vais pas m’amuser à un état comparatif, ce serait un vrai désastre.
L’homme est considéré comme intelligent, puissant, il Sait ?? Erreur, il est complètement enfermé dans sa bulle, il en oublie de se servir de ses sens, et pourtant, Il les a reçus avec un grand plaisir et surtout avec le plaisir d’appuyer ses connaissances, là, c’est la chute, il ne va pas chercher le plus, l’ouverture de son Soi, il se sclérose, et devient tout petit !
Les sens tombent dans l’oubli, ils voudraient tellement être vus, utilisés, mais que nenni, ils vont mourir avant d’avoir vécu, vous ne pensez pas au déséquilibre, le manque à gagner, et pendant ce temps nos animaux eux se régalent, ils croquent la vie à pleine dent, tous leurs sens sont en action, ils Vivent, et nous voulons les tuer alors que l’harmonie entre leur vie et la nôtre creuse un ravin immense, un gouffre et… Cherchez l’erreur !
Mes origines amérindiennes sont extraordinaires de sagesse et de culture, toujours enregistrées, gardées dans la bonne case appelée mémoire. Elles ont tout simplement élaboré, construit le qui je suis aujourd’hui !
Un jour, des grands amis nous proposent de venir dans une soirée Tambour. Et pourquoi pas ? Ce ne sera pas les tambours du Quatorze Juillet, mais une soirée spirituelle organisée par ma Magicienne, nous sommes une bonne vingtaine et la gardienne du Feu nous purifie avec cette plante magique, et encore une autre et, les tambours bien rangés, invitation, prise de choix de notre instrument pour La Soirée, et c’est parti !
Gandalf le Blanc est parti en transe… Il évolue, il est en contact avec toutes les personnes, il Vole.
Retour à notre vie sur terre et respiration ventilatoire apaisante, vision extrêmement limpide, et les dialogues fusent de toute part.
Ma Magicienne (c’est comme cela que je l’appelle !) vient vers moi et demande :
— Mais qui es-tu ?
— Je suis à la découverte de mon ancienne vie !
— Amérindienne ?
— Oui.
Quelques mois après cette soirée inoubliable, je reçois l’invitation pour construire Mon Tambour thérapeutique.
Faire le choix de la Peau, de l’animal qui a donné Sa VIE pour le TAMBOUR, le bois, le cœur de ce bois qui lui s’est Donné, et la réalisation de celui qui est aujourd’hui Mon Tambour, il est le « SOLEIL ».
Il est plus que mon compagnon, Il est présent dans ma vie, et le partage suit tous mes soins collectifs avec un unisson extraordinaire.
Au fur et à mesure de mes voyages, je glane les plumes offertes par tous les oiseaux qui peuplent ma route, mon chemin, et ces dernières viennent en incantations remercier les attributs de Mon Mien !
Voilà encore un atout pour m’aider dans et pour mon chemin de Vie.
Tout se complète, et le simple regard met mes sens en hyper action ; quel plaisir de m’en servir un jour, comme si mes pas me dirigeaient vers une forêt, et je marche encore et encore, un arbre… Celui-là, je veux en prendre sa puissance, sa grandeur, sa force, je me sens tout petit et je le prends avec mes bras pour m’enrichir de son savoir, ce temps plein de richesse me comble, je reste encore avec lui, j’ai trouvé mon Maître !
Il me dit :
— Petit, regarde par terre.
— Pourquoi ?
— Tu ne te souviens de rien ? Et pourtant tu en as reçu des messages, mais sers-t’en !
— Mais vous ne me connaissez pas !
— Ignorant, fais-moi le plaisir de Vie à fond !
Je me baisse, respire fortement, mes yeux s’ouvrent, ils sont attirés par quelque chose, mes mains bougent, cherchent, et enfin prennent une matière, elle est douce, souple, toute de vert vêtue ; je la porte à mon nez et je sens une odeur suave, légèrement poivrée, et je regarde de plus près cette feuille, elle me parle et je la prends avec douceur, elle est dans le creux de ma main et je la remercie de son cadeau… !
— Enfin, je suis fier de toi, et maintenant écoute-moi bien, ce que tu tiens dans ta main gauche est très important, elle va te servir pour Soigner une personne, je vois déjà dans tes yeux cette personne qui t’attend, fais vite, dépêche-toi, il en va de sa vie !
Je le regarde d’un autre œil, c’est bien un arbre qui me parle, et moi j’ai tout compris de son message ; comment ? Je vais vite l’apprendre !
— Merci !
Et mes jambes me font courir, j’en perds le souffle, il m’en reste encore, il m’en reste toujours, mes jambes volent et je m’arrête devant le tipi de l’homme-médecine, je lui montre mon trésor, ses yeux me fixent et il me donne un sourire de satisfaction, ne me dit rien, me prend par la main et nous sortons, nous marchons vite, je ressens l’importance de cette mission !
Il prend la Feuille, prend un pilon et commence à broyer, prend un liquide encore invisible et regarde la vieille dame, lui donne de ce mélange, attend, regarde son visage se métamorphoser, une deuxième vie est rentrée en elle, nos Nous sont en ébullition, lui l’homme-médecine me regarde et me dit :
— Écoute-moi bien, tu viens de sauver cette personne, tu as trouvé cette feuille unique, tu as dû marcher longtemps et loin, maintenant tu sais, tu fais, ton cerveau est énorme, et tu peux partir pour une longue et riche vie de savoir, je suis fier de toi… Allez, va.
Mon premier départ, ma route est ouverte, ma Vie va me porter, m’enseigner et faire ce que je vais devenir…
Alerte ! La terre tremble, elle a peur, les humains déconnent, leur jeu n’est pas correct, ils s’entretuent avec LE VIRUS…
Les coupables, ils sont presque huit milliards, et la course sur tous les plus devient infernale, plus de possibilité de revenir en arrière, la machine est bloquée dans la marche en avant, le système économique est comme un cheval fou, il est incontrôlable, le système social frise la démence, l’humanité est intoxiquée et ne peut pas se passer de cette drogue, trop dangereuse maintenant : est-ce la mort de nos vies qui profile le bout de son nez ?
Coronavirus est fort, il fait comme la gangrène, il s’insinue dans les moindres recoins, le moindre millimètre, il est un puits que la médecine ne peut toucher, comme les quarante-six kilomètres nous séparant entre le noyau et la croute terrestre, INACCESSIBLE…
Les bons Laboratoires essayent, celui qui décochera le Bon VACCIN aura gagné, mais en attendant, les morts poursuivent celui qui va gagner !
Les pouvoirs combattent, comme une joute entre les hommes, ils s’entretuent, est-ce la bonne règle du jeu ? NON…
Nous sommes tous égaux devant la mort, 2032020 reste pantois, comment faire pour les ramener à la raison ?
Il faut vite trouver une solution ! Télépathie avec tous nos guides supérieurs, des milliards d’Âmes s’unissent pour travailler, chercher, ouvrir la porte de la rédemption, pas encore de solution, je le sens, il n’y en a pas pour longtemps, les cerveaux bouillonnent, vite une solution, elle est certainement très simple, mais il faut la faire sortir… !
L’eau… 95 % de notre corps est EAU.
La surface de notre terre est composée de 75 % d’EAU.
La vie intra-utérine pendant la gestation (humanoïde neuf mois) dans l’EAU…
Quand nous sommes sales, que faisons-nous ? On se lave !
C’est peut-être la bonne solution, dans mes prédictions en 2025 un bon tsunami pourrait faire l’affaire, oui, mais maintenant il faut absolument maintenir l’Isolement, le moins de contact est une sagesse ; comme cette prise de conscience n’est pas intégrée dans le cerveau, elle favorise le développement dans la mesure où la transmission n’est pas interrompue, le virus se régale, il a la porte grande ouverte !
Le cas contraire est simple : si le Virus n’a plus personne à toucher, eh bien il meurt…
Cette solution me plaît beaucoup !