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un livre d'Histoires Paysannes et où de nombreux détails, viennent de mes distributions hebdomadaires, dans des villages perdus et campagnard. Les histoires de ce livre sont souvent choquantes et voir même, obscène pour certaines, mais ils viennent, pour la plupart, des anecdotes et lors de mes distributions hebdomadaires et ne sont, et comme leurs noms l'indiquent, que des histoires et pas plus que cela.
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Seitenzahl: 108
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HISTOIRES PAYSANNES de Bernard Jean Pierre Bernadin ou BBJp
* Les histoires de ce livre sont souvent choquantes. Elles sont aux odeurs varier de la campagne, parfois agréables et mignonnettes, et parfois nauséabondes et obscènes, mais elles viennent, pour la plupart, des anecdotes et lors de mes distributions hebdomadaires, et ne sont, et comme leurs noms l’indiquent, que des histoires et pas plus que cela.
L’auteur.
Site : http://jp-bernadin.simplesite.com/ *
1. LES FEUX DE L’AMOUR Cela se passe en plein été, il fait très chaud, Gaspar et Léon, chapeau de paille sur la tête, sont dans un champ de blé et discute ensemble. Gaspar dit à Léon « Alors Léon…! Ta Jeannette…! On ne la voit plus beaucoup, en ce moment…? » Léon lui répond, « Bin non…! Elle regarde tout le temps, les feux de l’amour…! » Puis, c’est au tour d’Hyppolite d’arriver et dit à Léon la même chose, « Alors Léon…! Ta Jeannette…! On ne la voit plus beaucoup, en ce moment…? » Léon lui répond, « Bin non…! Elle regarde tout le temps, les feux de l’amour…! » Puis enfin, le Maire du village arrive. Léon et persuader que le Maire, va lui poser exactement la même question, et lui dit tout de suite et avant même que le Maire, n’ait eu le temps d’ouvrir la bouche, « Je sais…! Jeannette…? Elle regarde tout le temps, les feux de l’amour, Monsieur le Maire…! » Puis le Maire, un peu surpris de Léon, lui répondit et en montrant du doigt l’extrémité du champ et qui brûlait, « Bin…! Pour l’instant…! C’est plutôt les feux de labour…! Non…? » Léon paniqué, s‘exclama, « Ni Diou…! ( non de Dieu ) Vite…! Les pompiers…! » Le Maire prend immédiatement son portable et appel les pompiers. La standardiste lui répond, et lui dit, « Les pompiers ne peuvent pas venir tout de suite, Monsieur le Maire….! Ils sont en train de regarder, les feux de l’amour…! » *
2. LA PREMIERE TELEVISION Hector a acheté ce matin, son premier poste de télévision. Il branche le poste et au même moment, les informations du midi commencent. Dans la cour de l’Élisée, le journaliste interviewe le ministre du travail, sur le départ en retraite à 62 ans. Le ministre répond et en remuant fortement les épaules, « Ho…! À soixante deux ans…? On est encore en pleine forme…! » Devant son poste de télévision, Hector et en entendent cela, dit à sa femme, Fernande, « Tu vois…! La Fernande…! Même dans les grandes villes…? C’est comme chez nous…! À soixante deux ans, ils sont encore en pleine forme…! » La Fernande, répond à son mari, « En tout cas…! Quand je suis aller avec Germaine à Paris, visiter le cimetière du Père-Lachaise…! La moitié…! Était déjà mort avant soixante ans…! » Hector, dit à sa femme d’un air décontenancer et en fronçant les sourcils, « Ne soit pas pessimiste…! Fernande…! Ils sont justes, un peu moins en forme…! C’est tout…! Tu vas pas nous gâcher, notre premier programme de télévision, quand même, non…? » Fernande, ne voulait surtout pas contrarier son mari, et répondit mielleusement, « Tu as peut-être raison…? Hector…! Le Ministre a sûrement voulu dire..? Qu’il passe leur retraite au cimetière…? Sûrement…! Mais c’est un repos, bien mériter, non…! » Hector répondit à sa femme, « C’est bin vrai…! La Fernande…! Mais ici, on dépasse tous, les cent ans…? » La Fernande, lui répondit, « Bin…! On profite bien de notre retraite, c’est tout…! » Hector, lui répondit à son tour, « Bin…! Alors…! Tant pis pour eux et tant mieux pour nous…! » Fernande, rétorqua à son mari, et en voyant une page de publicité, s’affichait à l’écran, « Chut… Hector…! Il parle de la nouvelle machine à laver….! Ça me plairait bin…! Hector, d’en avoir une…? De machine à laver…! » Hector se tapota le front, et se dit à lui-même, « Quelle idée, j’ai eu…! D’avoir acheté une télévision…! Voilà qu’il faut, que je lui achète une machine à laver le linge, maintenant…! » Il se retourna vers Fernande, et lui dit, « Il y a le vieux lavoir, en bas…! Pour le peu, que l’on se salit…? C’est bin suffisant…! » La Fernande, lui répondit, « Avec notre télévision…! Maintenant…! On est moderne et en plus…! Le ministre l’a dit…? Je suis encore jeune, même avec mes 85 ans…! Alors…! Je tiens à profiter, encore plus longtemps de ma retraite…! Demain…! On ira acheter, ma machine à laver….! » Hector, dépité, alla se coucher, tout en se tapotant le front et se disait en même temps, « Quelle idée j‘ai eu…! D’avoir acheté cette télévision…? Et même, que j’aurais fait mieux de me casser une patte…! Même les deux et le jour de mon mariage, il y a 60 ans…! Une patte…! À cause du Curé…! Et l’autre, à cause du Maire…! » *
3. PAUPAUL LE MAL POLI Cela se passe dans une entreprise de camionneurs, dans le Nord de la France. Paupaul, Un syndicaliste mal poli, rentre dans le bureau du patron et dit, « Patron…! Il nous faudrait une prime d’intempérie….! Une prime de risque…! Une prime de rendement…! Une prime de salissure…! Et une prime de fin d’année…! » Le patron répond, « Pas de prime d’intempérie, car vous êtes à l’abri dans votre camion, non…? » Mal poliment, Paulpaul rétorque, 8 « Ha…! Fait chier…! » Le patron reprend et dit, « Pas de prime de risque, car vous êtes en sécurité dans votre camion, non…? » Paupaul rétorque, « Ha…! fait chier…! » Le patron reprend, « Pas de prime de rendement, car vous faites déjà beaucoup de pose sur la route, non…? » Paupaul rétorque, « Ha…! fait chier…! » Le patron reprend, « Pas de prime de salissure, car vous restez toujours propre dans votre camion, non…? » Paupaul rétorque, « Ha…! fait chier…! » Le patron reprend, « Pas de prime de fin d’année non plus, vous êtes déjà assez payé comme çà, non…? » Paupaul rétorque, « Ha…! fait chier…! Pas de prime…? Fait chier…! » Le patron, en a un peu mare d’entendre toujours la même réponse très désobligeante de Paupaul, et dit au syndicaliste, « Écoute….! Si t’a envie de chier, Paupaul…? Va chier à Calais, tu verras la mer….! Et en prime…? Tu verras les migrants, non…? » Et Paupaul, répondit bêtement, « Ha…! Fait chier…! » *
4. LA MANIF DES PAYSANS Tous les paysans se réunissent à Paris, pour une grande manifestation d’agriculteurs. Ils arrivent et se présentent tous, les uns aux autres. « Bonjour, je m’appelle Michel, le roi des chèvres…! » « Bonjour, je m’appelle Martial, le roi de la paille…! » « Bonjour, je m’appelle Panisse, le roi du maïs…! » « Bonjour, je m’appelle Eustache, le roi des vaches…! » « Bonjour, je m’appelle Gaston, le roi des moutons…! » « Bonjour, je m’appelle Bernard, le roi des canards…! » « Bonjour, je m’appelle Léon, le roi des cochons…! » Et puis enfin, un paysan arrive dans un tracteur tout rose ! Il est habillé d’une façon bizarre et porte aux pieds des sabots, avec des pompons roses et dit, « Bonjour, je m’appelle Dédé, le roi des pédés…! » *
5. LES ELECTIONS AU VILLAGE Au village, c’est les élections et tout le monde ne parle plus que de ça ! Philibert et Hector, les deux fermiers du village, se parlent et Philibert dit à Hector, « Alors, Hector…! Tu vas voter pour qui, dont…? » Hector répond, « Bin…! J’en sais trop rien…! Car l’autre jour, je suis aller à la grande ville faire un tour sur le marché, et là-bas, il y avait des politiciens et qui distribuaient des tracts…! » Philibert curieux et presser de savoir la suite, l’interrompit et lui disait, « Bin alors…! Qu’est-ce qui s’est dont passé, là-bas…? » Hector rétorquait, « Bin, soudainement…! Je voulais savoir pour rentré, quel heure il était…? J’ai donc demandé l’heure aux politiciens et qui ce trouver sur la place du marché…! Et voilà ce qu’ils mon répondu…! » « Les Anarchistes disaient…! Fait comme moi, fait sans ta montre…? » « Les Capitalistes disaient….! Vends-moi ce que tu as, et je te vendrais une montre…? » « Les Communistes disaient…! Donne moi ta montre, et je te dirais quelle heure il est…? » « Les Socialistes disaient…! Ne t’inquiète pas pour ta montre, je te dirais comment tant passé…? » « Les Frontistes disaient…! Tu n’as pas besoin de montre, c’est un ordre…? » « Et les Chrétiens disaient…! Fait sans ta montre, il y a la pendule au clocher de l’église pour cela…? » « Il y avait même des insoumis et qui disaient...! Qu’il ne fallait pas se sous mettre à l’heure et qu’il était, et faire comme bon nous semble…! » Philibert surprit, répondit, « Bin ça alors…! Mais…! Comment t’a fait dont, pour savoir l‘heure…? » Hector reprenait, « Bin…! J’ai été plus malin, qu’eux tous réunis…! J’ai regardé la hauteur du soleil et j’ai deviné à peu près, quel heure il était…? Et puis, je suis repartis du marché, tranquillement…! » Philibert reprenait, « Bien jouer, Hector…! C’est ça, les gars de la ville…? Ça se croit plus intelligent que nous autres, les gars de la campagne, mais en vérité…! Ils sont aussi bêtes que leurs pieds…! » Hector rétorqua à son tour, « Et que leurs mains aussi…! Ils ne savent même pas, quoi en faire…? » Puis, les deux compères se mirent à rigoler comme deux tordues, un très long moment… Puis, Philibert reprit, « Bin alors, Hector…! C’est bien beau, tout ça…! Mais tu vas voter pour qui, dont…? » Hector répondit, « Je n’en sais trop rien…! Mais il y a une petite blonde, chez les Frontiste, Manon…? Elle me plaît bien…! Elle est vraiment mignonne, cette petite, non….? » Hector acquiescé de la tête, puis reprit, « Ho moi…! Si je vote…? C’est pour l’ex Ministre…! La Socialiste, la Belle Casette, ou quelque chose comme cela…? Elle porte bien son nom et elle est plutôt belle…! Et en plus…! Cela me changerait radicalement de la mienne…! C‘est sûr et y a pas photo…? » Au même moment et juste derrière lui, la femme d’Hector était arrivé. Les mains sur les hanches, elle lui disait, « Dit donc…! Qui sait…? Qui est belle et que tu vas prendre en photo…? » Hector un peu penaud, lui répondit, « Ho chérie…! Justement…! Je disais à Philibert, que je n’avais pas besoin d’aller voter et que si tu te présenterais, j’irais voter tout de suite pour toi…! Tellement tu es belle, chérie…! Même en photo…? » Sa femme lui souriait, puis répondit, « Le jour que je me présenterais…! Les poules auront des dents…? Mais en attendant…! Que cela ne t’empêche pas, d’aller rentrer les meules de foin tout de suite…! » Hector répondit et en pressant le pas, « Ne t’inquiète pas, chérie…! j’y vais tout de suite…! Chérie….! » Il regardait son ami Philibert en disant cela, lui fit un clin d‘œil, puis, fila renter les meules de foin et comme lui avait demandé sa femme. *
6. LE MINISTRE ET LE PAYSAN Un ministre prend sa retraite et par habitait, dans un tout petit village perdu et campagnard.