2,99 €
Niedrigster Preis in 30 Tagen: 2,99 €
Un livre qui crie beaucoup pour un auteur presque sourd. Plongez dans un livre qui évolue avec son auteur. Vivez sa construction, ses premiers amours, ses maux.
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Seitenzahl: 41
Veröffentlichungsjahr: 2022
« On naît complet, mais avec le temps, Nous cherchons plutôt à survivre Que de profiter de la vie et de ses artifices »
Je repense autrefois à cette âme emprisonnée par l’amour, l’attirance, vivant avec souffrance et désespoir.
Cette âme qui cherchait en vain à appartenir à quelqu’un, à avoir une épaule sur laquelle se reposer, mais qui souffrait de n’être que temporaire, de n’être que souffre-douleur.
Aujourd’hui, cette âme est libre, libre de son corps, de ses choix, de ses pensées.
Elle est libre de regarder toutes les directions qu’elle peut prendre afin d’obtenir le bonheur.
Aujourd’hui, elle n’appartient qu’à elle-même.
Aujourd’hui, elle a décidé de vivre.
Cette âme a compris qu’elle pouvait être seule, qu’elle était heureuse seule, qu’elle était capable de faire toutes les plus belles choses possibles seule, qu’elle n’avait besoin de personne.
Cette âme auparavant désespérée, perdue, maintenant épanouie face à toutes ses folies. Elle possède des étoiles dans les yeux.
La liberté de l’âme amène la paix avec soi-même.
Le sommeil porte conseil
La musique fait ressentir
Les sorties aident à se recentrer
L’amour est à court d’idées
Ces choses qui m’adoucissent
Qui me sont indispensables
Ces choses auxquelles je dois la vie
Qui n’ont pas toujours été rentables
Le sommeil est difficile à trouver
Mais essentiel pour pouvoir penser
Le sommeil est la clé
D’une tête ordonnée.
La musique tant elle est vaste
Avec ses notes si fastes
Elle qui ne fait que m’adoucir
Elle qui est émotionnellement riche.
Les chiens de ces gens
Tous deux un peu trop charmants
Beaucoup d’amour et de tendresse
Dans ce monde en reste
Qui l’eut cru : moi, parler aux inconnus dans la rue
Quand ma sociabilité n’y est plus
La beauté de ce monde m’a plu
Me faisant aimer ces rues
Au bout de mes mains cet être
Rassurance qu’il fait naître
Notre lien inséparable
Te prenant dans mes bras.
La douceur des animaux.
Un « je t’aime » abandonné
Une âme délaissée
Une rose fanée
Un cœur perdant ses éclats
Mon cœur pleure
Il pleure ses mœurs
Telle une fleur
Perdant ses pétales
Déchire cette vie
Cette douleur, tu la cries
Cette souffrance, tu t’en es servie
Pour créer ton propre idéal.
Ton cœur bat
Ton esprit est sombre
Ton âme s’effondre
Ton heure est là
Tu l’attends
Tu prétends
Savoir sa vie
Tu t’es endormi
Sans elle,
Avec peine
Sans retour
Avec amour.
Des larmes noires
Deux âmes tristes
Sans grand espoir
Sous pluie infernale
Se rencontrèrent
Échangèrent un sourire
Et tant de désir
Pour que la tristesse disparaisse
En ce jour d’hiver
Période de Noël
Un amour apparu
Sur cette avenue
Nous vécûmes heureux
Comme de vrais amoureux
Une grande folie
Bel instant de vie.
Être maladroit dans mes relations
Ne pas savoir les mélanger
En arriver à devoir en sacrifier
Pour un monde plus juste à ma façon
Des actes inconscients de ma part
Un rejet malheureusement insinué
L’impression d’avoir profité
On demande mon départ
Une ignorance qu’on m’impose
Comme quoi le monde n’est pas rose
Moi qui crois trouver ma place
Finis toujours par broyer un peu de noir.
Sous le froid glacial
Et le porche du parc
Je danse médiéval
Accompagné de ses bras
Une soirée dansante
Une danse inconnue
Des inconnus souriants
Un sourire obtenu
S’évader dans ses bras
Se focaliser sur nos pas
Rythmés par l’accordéon
Compté de chiffres à répétition
Tout oublier pendant cette danse
Ne voir qu’un sourire dans ses pas
Des inconnus que je tiens dans mes bras
Et cet ami qui m’enchante.
Le souffle m’étouffe
La chaleur monte
Ma gorge, mon estomac veut sortir
La folie prend possession
Que se passe-t-il
Au sein de mon propre corps ?
Je ne contrôle rien
L’impression que je vais exploser
Que je suis manipulé
Par un moi malintentionné
J’ai peur
Le sommeil ne vient pas
Les cauchemars ne me quittent pas
Les idées noires sont toujours là
La peur est omniprésente
Dans cette phase d’inconscience
Ce n’est pas moi ça
Je me sens incapable
Tout veut sortir
Mais cet autre m’en empêche.
La solitude, je m’en plains tout comme je m’y conforte.