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Dans cette collection de récits érotiques, Eva Rossi esquisse les contours d’une sensualité moderne, subtile et résolument féminine. Des histoires où le désir prend racine dans les gestes du quotidien, où les corps se cherchent et se frôlent dans une France contemporaine et intime, entre appartements feutrés, ruelles nocturnes et plages désertées. Chaque nouvelle révèle un instant suspendu, une rencontre, une tentation, une confession charnelle. Au cœur du recueil, "La vie sexuelle d’Inès" dresse le portrait d’une jeune femme à la beauté troublante, à la liberté déconcertante. Inès a 22 ans, un corps de rêve sculpté par le sport et une assurance qui défie les regards. Mais derrière son audace flamboyante se cache une complexité inattendue, faite de failles, de tendresse et de feu contenu. "Elle se regarda longuement dans le miroir, traquant les traces d’une nuit agitée. Son regard était encore voilé, ses lèvres à peine entrouvertes… et pourtant, une promesse flottait dans l’air, une fièvre douce qui s’insinuait déjà dans sa peau." Tour à tour sensuelle, provocante, émouvante, Inès nous entraîne dans les méandres de ses plaisirs et de ses contradictions. Un livre comme une caresse, un frisson qui s’attarde — et vous laisse avec le goût délicieux d’un secret partagé.
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Seitenzahl: 94
Veröffentlichungsjahr: 2025
La vie sexuelle d'Inès
Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes
______________________
Eva Rossi
Sommaire
Imprint
Introduction
Avant de commencer...
LE CADEAU D'ANNIVERSAIRE DE KAMILA
LE BAR
LE BAL DES COCOS
LA VOILÀ
LA VISITE...
LA VIE SEXUELLE D'INÈS
Chapitre 1 : Rencontre en discothèque
Chapitre 2 : L'hésitation
LA PLAGE
Avant de partir...
© 2025 Eva Rossi
Photo de couverture : Canva
Impression et distribution pour le compte de l'auteur :
tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne
L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.
Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [email protected]
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Un bisou et une bonne lecture, Eva!
Pour mon anniversaire, Kamila m'avait promis une surprise... et quand elle est rentrée à la maison avec une jeune femme blonde, je suis resté sans voix. Non seulement parce que cette femme était magnifique, mais surtout parce que je n'arrivais pas à croire ce que Kamila avait préparé.
Nous avons bu des caipirinhas tout en discutant de notre journée. Il y avait du désir dans l'air, l'ambiance était très, très chaude...
« Tu me permets, Alain ? », m'a-t-elle demandé en caressant mon entrejambe d'un air déterminé.
« Bien sûr, Mathilde ! C'est mon anniversaire... »
D'un geste assuré, Mathilde a ouvert ma braguette, a sorti mon membre qui n'attendait que ça et a commencé à sucer le bout. Sa langue tournait autour de mon gland et m'engloutissait lentement. Elle a complètement baissé mon pantalon et a pesé mes testicules bien remplis : « Oh oh Alain, c'est très lourd ! » Et ma bite a de nouveau disparu dans sa bouche...
Kamila était en train de nous préparer une autre caipirinha.
« Je dois vous laisser bien durs pour vos femmes. Je suis là pour fêter votre anniversaire d'une manière ou d'une autre. Waouh, je sens que vous êtes pleins d'énergie. C'est très excitant. Ça arrive, c'est plus que prometteur. Je peux lécher vos couilles, les mettre dans ma bouche pour mieux sentir votre sperme bouillir dans vos couilles ? ».
« Oui, Mathilde, tu es vraiment douée... goûte mes couilles ».
Mathilde a lentement sucé mes couilles, l'une après l'autre, tout en frottant et caressant mon gland avec sa main. Elle savait vraiment comment s'y prendre, et j'ai commencé à comparer sa technique avec celle de Kamila. Laquelle était la meilleure ? Kamila savait être tendre, tout en maîtrisant l'art de rendre un homme dur. Mathilde, à ce moment précis, semblait déterminée à m'avaler jusqu'à la dernière goutte si je cédais à cette fellation intense. C'était peut-être cela qui rendait ses caresses si délicieuses...
« Kamila, la bite de ton mari est prête ! Elle est bien dure... Et j'ai vérifié que ses couilles sont pleines de sperme frais. Il est temps de venir mettre ta petite chatte sur cette bite en béton... »
« Merci, Mathilde, tu as bien travaillé... Je vais finir nos cocktails... Continue avec mon mari dans la bouche et, surtout, ne le fais pas exploser !
« Ne t'inquiète pas, Kamila... Il me regarde à peine. J'ai l'impression qu'il regarde surtout ton beau cul ! Fais attention à tes fesses, ma chérie ! Cette bite en béton pourrait te déchirer les membranes intimes. »
« Mon cher mari adore me baiser dans le cul et le fait toujours avec délicatesse... mais il sait aussi que je lui offre mon cul quand j'en ai envie et uniquement dans ce cas... Et ce soir, j'ai très envie de recevoir ton sperme dans ma chatte, qui commence à bouillir ! »
Mathilde, excitée, tenait ma bite fermement dans sa main et la léchait lentement, me regardant langoureusement, puis elle murmura : « Je veux aussi ton sperme ! Tu m'en donneras quelques gouttes ? Ou plutôt tout le contenu de tes couilles ? ».
Je ne dis rien, mais elle sentit ma bite durcir. Cela l'excita et lui donna confiance dans le déroulement des événements. Maintenant, elle ne lâchait plus ma bite et essayait clairement de me faire jouir dans sa bouche. Je sentais que le plaisir était proche, le rythme de ses mains et de ses lèvres était puissant, puis elle est devenue douce, très sensuelle, léchant ma bite très lentement. J'étais au septième ciel, avec cette bouche généreuse qui s'amusait à me rendre dur...
Kamila est revenue dans le salon à ce moment-là, apportant un plateau avec nos cocktails. Elle était nue, ne portant que des talons hauts et un string autour de la taille. Sublime ! Elle a été surprise de voir Mathilde enragée sur ma bite et maintenant en train de la manger goulûment.
« Qu'est-ce que vous faites, Mathilde ? »
Mathilde, prise par le jeu, ne l'a pas entendue.
« Mathilde, s'il te plaît, contrôle-toi ! »
« Oh, pardon, Kamila, je me suis laissée emporter par le jeu ! »
« Oui, je vois... Quoi qu'il en soit, Alain, tu aimes ça, ta bite est dure et dressée !!!! »
Je le confirmai en retirant opportunément ma bite de la bouche de Mathilde pour lui montrer fièrement l'objet, bien raide, voire vertical, le gland rouge et dégoulinant, prêt à la pénétrer. J'étais là, le pantalon baissé sur les chaussures, la bite à l'air devant deux belles femmes, et je ne me sentais pas ridicule, car mon envie de baiser était désormais très forte.
Kamila s'approcha de moi, s'accroupit, écarta les cuisses et, d'un simple geste, avala ma bite gonflée de jus, la suçant pendant de longues minutes. Mathilde semblait un peu perdue et, apparemment, un peu triste. Kamila était plus qu'excitée d'avoir préparé mon anniversaire de cette manière. D'en haut, je voyais sa chatte ouverte, dans laquelle elle enfonçait un ou deux doigts avant de se masturber. Elle me suçait avec un désir incroyable et ma bite restait dure comme dans la bouche de Mathilde, pour dire la vérité.
Puis Kamila s'est allongée sur le canapé, a levé les genoux et a écarté les cuisses, m'offrant sa chatte humide et bien ouverte. « Je suis à toi, mon amour ! ». Elle ordonna à Mathilde de lécher mon gland, de me sucer à nouveau, puis d'introduire ma bite dans sa chatte. Mathilde, heureuse de me retrouver, se mit immédiatement au travail et je redécouvris sa technique merveilleuse (ou était-ce la nouveauté, la passion pour l'inconnu ?).
Elle me murmura à nouveau à l'oreille : « Je veux ta bite, Alain. Je l'ai trop baisée et sucée... Je le veux dans ma chatte... S'il te plaît... ou au moins jouis dans ma bouche, j'avalerai ton jus sacré jusqu'à la fin de ton plaisir ». Puis elle me caressa sensuellement, sa langue était très douce et ma bite chaude dans sa bouche charnue avait vraiment envie d'exploser.
« Mathilde, tiens ma main, ma chérie, et aie la gentillesse de me présenter à mon mari... »
Obéissante, elle saisit mon membre d'une main complice et me poussa dans la chatte de Kamila, qui gémit de plaisir. Mathilde me lança un regard désapprobateur, mais la lueur dans ses yeux était émouvante. Elle rêvait encore de ma bite en elle.
Je pilonnais maintenant ma femme qui jouissait abondamment. Ma bite était recouverte de sperme épais et blanc, Kamila était prise de plaisir, haletait, gémissait, murmurait « hum... ». Et « oh oui, baise-moi, mon chéri », sa crème coulait, me rendait fou et je la pilonnais encore plus fort. Mathilde, qui s'était discrètement déshabillée, décida de goûter un peu de cette crème généreuse. Elle saisit le membre turgidé par les couilles, d'un geste très délicat, et le retira de la chatte de Kamila avec un réel plaisir. Elle me sourit. Après l'avoir reniflé, elle le lécha longuement pour avaler le jus de Kamila qui recouvrait ma bite. Kamila se mit à gémir lorsqu'elle vit Mathilde commencer à me sucer passionnément : « Enfin, Mathilde, remets mon mari en moi ! Et arrête de nettoyer sa bite, mon mari aime être recouvert de mon jus de plaisir... » « Oh, Kamila, j'aimerais goûter ton jus de plaisir ! C'est tellement bon dans la bouche, et maintenant je veux aussi participer à la fête et avoir une part du gâteau d'anniversaire ! ».
Mathilde, une fois de plus obéissante, accepta d'enfoncer ma bite dans le ventre de Kamila, qui se remit à gémir, se tordant de plaisir... Mathilde s'allongea à son tour sur le canapé, leva les genoux comme Kamila et écarta également les cuisses. Elle me présentait maintenant un vagin ouvert, d'une beauté incroyable, avec un intérieur d'un rose intense. Elle bougeait lentement les lèvres de sa bouche et je pouvais lire « prends-moi !!! ». Elle me souriait et son sourire était émouvant. Je voyais un liquide presque transparent couler de son vagin. Tout en continuant à marteler Kamila, je ne cessais d'admirer cet autre vagin qui m'attendait. Je n'en croyais pas mes yeux en voyant Mathilde, collée à Kamila, s'ouvrir comme une fleur, s'offrant sans apparente inhibition à mon désir. Alors que Kamila gardait les yeux fermés, peut-être pour me faire sentir plus libre, Mathilde les gardait grands ouverts et me regardait à chaque coup que je donnais dans la chatte de sa voisine et désormais rivale, murmurant très doucement « donne-moi ta bite ! » ou « viens me baiser ». Elle souriait en me voyant essayer de comprendre le mouvement de ses lèvres pendant que je baisais ma femme. Sa chatte giclait abondamment. Je la désirais... je la désirais tellement...
Mathilde avait maintenant une main sur le sein de Kamila, qui ouvrait légèrement les yeux. Mathilde l'embrassait sur la bouche tout en caressant son ventre. Mathilde était à côté de moi et m'offrait un cul somptueux avec sa chatte aux lèvres sombres et son petit cul frais et vivant. Je commençai à masturber le clitoris de ma tendre épouse, mais n'était-ce pas plutôt pour mieux saisir ma bite lorsqu'elle sortirait de la chatte de Kamila ?