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"Le livre perdu" est un recueil de poèmes profonds, tranchants et originaux, qui invitent à voyager dans un univers de lettres et de joutes contemporaines. L’intemporel se mêle au présent pour créer une nouvelle façon de raconter notre époque avec des mots qui marquent. Cet ouvrage, témoignage puissant du lyrisme, donnera vie aux images que vous vous faites du monde à travers les mots.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Les écrits d’
Amelia Océane révèlent une âme profonde et sincère. Son vécu l’a inspirée à créer des poèmes qui reflètent son essence, et à explorer différents styles d’écriture. Avec le temps, sa plume a mûri, mais elle reste toujours ancrée dans le présent, immortalisant chaque instant de sa vie.
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Seitenzahl: 36
Veröffentlichungsjahr: 2025
Amelia Océane
Le livre perdu
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Amelia Océane
ISBN : 979-10-422-5411-7
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
À toi,
Le reconnu
De ses mots
De ses émois
De ce déchu
Par un lot
De vengeance
S’agenouille
Et s’élance
En implorant
La gargouille
D’une larme lente
D’une arme
Visante
Avisé
Et taillé
Sur ton visage
D’image
À nouveau
Bafoué
D’un sot
Considéré
D’une parole
Violente
Jusqu’à la fin
Te hante
D’une nuée
Ardente
Du défunt.
Mais lors d’aveux,
Du mauvais
Déjà fait,
L’heureux
De faire du mal
S’en prends
Sans faille
À écrire
Sa joie
Malfaisante
Et compromettante,
De l’innocente,
Sa punition,
N’a d’égale,
À sa perdition,
De la nausée
Pâle
Sans pitié
Et restitué
Par un ignoré
Épié,
D’une folie
D’une vie,
Tranché,
Alors d’une épée.
Le carnet
Armé
Était dans les mains,
Du mauvais.
Les dés
Ont été tiré
Dans l’utilité
D’une maison
A écroulé.
Je n’aperçois
Depuis ce temps,
Le poids
Du néant,
Considéré
Aujourd’hui
Chantiers
Aux cendres
Fraîche,
D’une braise
Aux mèches,
Venant de loin
D’une fournaise
Aux soins
De ranger,
L’impunité
De l’organisation
Bordellisé,
Par des pions
Aux terribles,
Abstraction
Faite de l’autre.
Ce jour,
Est arrivé,
Et laisse
Place,
À un pilier
Tant redouté
L’indispensable,
À notre étable.
J’inculque,
La divination
Qui évoque
La destination,
D’une droiture,
D’antan,
Où l’on rature
La culture
D’avant.
J’immisce
La raison,
Aux préjudices
De l’absence
De guérison
Et je cède
À l’union
À ce qui aide,
À la communion
Des damnés,
Tenant les dés,
Des enjoués
Aux dictats
Sans foie
Ni lois,
Tant respectés
Tant éprouvés,
Bonté,
Reçu,
Mauvais,
Perdu,
Jamais
Déchu,
Grand cœur,
Trouvé
Tristesse
À la lueur
D’une peste
Égaré.
Elle avance,
Jeune fleur,
Ruisselante
Pétillante
C’est l’heure
De la croissance
Belle mélodie
Elle crée
Lorsque pousse
Couleur
Du cœur
Couleuvre
Qui se meurt,
Un jour,
Un beau matin,
Elle se fane
Jusqu’au lendemain,
Elle suit,
Elle subit
Et profane
Le cycle
Naturelle
Cyclique
Qui ensorcelle
Qui la poursuit,
Ribambelle
De roseaux
Elle sait mettre
Sur l’être
Ses mots
Valsé
Que reflète
L’ego.
Effacé
Du gentil
Éloigné
Aux mœurs
Futile
Du cœur
D’un inconsidéré.
D’une épine,
Ancrée
Qui s’élance
Dans mon pied,
À la lueur
N’est qu’éternel.
Celle d’une douleur,
Tant soignée
Où un jour qui se meurt
Qui court
Aux reflets
De l’étoile
Ma prunelle
Ma simple ribambelle
De peur enfouie,
D’une vie
Inébranlable
Cette douleur,
Mise à table
Discipline
D’une culture
D’une rature
Qui maudit,
La sculpture
D’un art
Ébahi,
D’un art
Achevé.
Lorsque la vie
Se détourne
De ses sentiers,
Maudits,
Elle se tourne
En ronde
Farandole
J’en deviens
Presque folle.
Des ébats,
N’en font qu’un
Tant de brouhaha,
On milite,
À ne pas se gâcher,
Trop vite
Quelques méfaits,
Pas le choix,
Elle doit lutter,
Au plus bas,
Elle vise,
J’égalise.
La vérité
Qui médise,
Ô médisante,
Revolver sur tempes,
À en arriver
Jusqu’à là
Nous faits douter,
Du bonheur,
Auparavant
Exprimé
Alors je grimpe
Au soleil levant,
Au sommet
D’Olympe
Tu m’as trouvé,
Gâchette,
Tu m’as humilié
Enfin je jette