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La valiha est un instrument de variété tubulaire en bambou de la famille cythare que l'on peut retrouver en Madagascar. Le souffle est la direction qui me conduit sur le chemin de compostelle Ce livre est mon compagnon de route, il est rempli d'histoires, de contes, de prières, et de la découverte de mes différentes traversées
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Seitenzahl: 55
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Dieu Tout-Puissant ! Nous T’acclamons dans l’allégresse ; nous dansons et chantons. Tu es vraiment notre Rédempteur, le grand Roi de l’univers ! Tu as formé un groupe de vainqueurs et réalisé le plan de gestion de Dieu. Tous les peuples afflueront vers cette montagne. Tous les peuples s’agenouilleront devant le trône ! Tu es le seul et unique vrai Dieu et Tu mérites la gloire et l’honneur.
« Dans Ta lumière éclatante, nous trouvons la vérité et la grâce. Ton amour incommensurable nous entoure, et Ta miséricorde nous soutient en tout temps. Nous nous réjouissons de suivre Ta voie, ô Rédempteur, car en Toi nous trouvons le salut éternel. Que Ton règne s’étende sur toute la terre et que toute l’humanité puisse connaître Ta bonté infinie. Nous te louons et t’adorons de tout notre cœur, car Tu es digne de toute gloire et honneur. Amen. »
« C’est dans Tes PAS qui trace le sillon que j’emprunte Ta Voie, Ta LOI. C’est dans Tes PAROLES qui évoque le Tonnerre que je ressens la compréhension du réel, la GRÂCE. C’est dans Ton DON, l’esprit de la sérénité que j’entends et comprends l’énergie du colibri, le REGNE.
Ah, Dieu Tout-Puissant ! Le Chef de l’univers, Christ des derniers jours, il est le soleil rayonnant qui s’est levé sur le mont Sion, dominant tout l’univers avec majesté et grandeur.
Extrait de « Déclarations de Christ des derniers jours. »
Du confins de la nuit interstellaire
Sans bruit avec éclats de lumière
Nous avons posé les pieds, Père
Sur toi, notre maman la Terre
Dans tes bras fertiles et vastes
La vie s’est épanouie, contrastes
Forêts profondes et océans profonds
Un monde à découvrir à chaque frisson
Les saisons dansent, un ballet de couleurs,
Chaque créature trouve sa place avec ferveur
Montagne altière, plaines infinies
Un écosystème vivant, en harmonie
Toutefois, l’ombre menace parfois le tableau
Des choix humains qui font chanceler l’équilibre beau
Protégeons ta splendeur, chère Terre Mère
Pour que tes dons se perpétuent, loin dans l’univers
1.
Ailes de l’amour
Je vous aime, Ahibukum
Esprit tout puissant
Des règles, une naissance
Soupir
Prière pour la paix
SOL ALTITUDE
Les sabots en rythme de mon cœur
Le carrosse, la pantoufle et la citrouille
La pie chipie et le canasson bavard
Parfum vanille et rivière chocolat
L’addition problématique et insoluble
La chèvre et le marabout
La poussée d’Archimède
Des roses et des poiriers
Le parent et la grenouille
Prières et louanges
Prière au Christ, le Rédempteur, le Roi des rois
Le roi lion
A ma France
Un matin enchanté
Mon cantique des cantiques
Un roi béni est au rendez-vous
Le corps humain
2024
Mystères et boule de gomme
RA’AH ISIS
Je te suis, « éphémère »
Douce lumière
- De nos origines à un avenir prometteur
La terre est généreuse pour qui la laboure
La scène est merveilleuse pour qui se donne en entier
L’échange est fructueux quand il se fait à deux
La révélation, un pas sans possible retour
La vache s’est libérée des fers adorés, pitié
L’énergie déployée a mis à terre tous les yeux
Manifestants que cherchez-vous ?
Le repos, le travail ou le redoux ?
Allah, le Maître est dans ce Monde
Il a dit « JE SUIS », Yeshoua Est, l’Eternel votre Dieu
Riche maillon danse et rentre dans la ronde
Je suis comme toi à son image, mille lieux
Voilà ma pensée, je vous la livre
Le bois sec cogne, combien de contes ivres
Tu es le miroir de mon existence
Quoi de plus, voilée, vivre ton expérience
Et moi, étendue, j’ouvrirai encore la mer rouge
Pour te combler d’Amour, j’apprête ma vouge
Quarante ans de recherche, j’irais droit au but
Il n’est de gardien qui puisse me stopper, je mute
Je suis parti à dos d’âne
Les dromadaires montrent le pâturage, manne
Comme eux, je me mets à genoux
Lourdes, soit ma charge, Caillou
Combien de miracles seront nécessaires
Pour encore vous séduire, vous plaire
Père, le monde pars en cacahuète
Ishtar dans les lieux, rien ne les arrête
Je rêve pour te rendre grâce
D’une femme qui à mes côtés prendra place
Jugez-moi bien, mes révoltes, mes câlins
Et ce soir, ma prière s’élèvera, bref chagrin
Isis veille, aux alentours du Nil, est verte la gazelle
Elle transporte le siège de la haute et basse Egypte
Je te rendrais ta beauté, ton visage
A ma prochaine visite à Assouan, Nubien votre village
Sauriez-vous me définir
Entre le maire et le taire
Respirer, savoir, et courir
Maigre ou dense est le salaire
Garde mon eau, optimiste
Pour tous et toutes, les pistes
De toutes les couleurs, parvis
Ma grue ne fait que travailler
Des plaques tournantes pour les ouvriers
Entre terre et mer, mes unions
Un monde s’est créé, mes oignons
Je partage mes vues sur ton book
Tant que cela reste entre nous
Le secret de ce tirage, capitaine Cook
Nous évoquons l’exploration, boue
Tel un géant qui se veut Fourmi
Je te découvre et te remplace
Un bump vaillant au palace
Toi et moi, un OM, chérie
Le sel de la vie
Après tant d’écume
Se dépose sans amertume
Sur le coin du parapluie
Un pas, deux, un obstacle, oracle, et puis toit, une offrande, un calice, une oraison, après quoi ? Soit…
Le bruit de la vague me rappelle, un amour, un décret, une introduction, une analyse, une définition.
C’est sans apparat que tu apparusses au milieu d’un secteur qui t’informe, le cœur en technologie, l’esprit dans la matière
C’est dans l’offrande minutes qui souffre dans chaque émoi, que tu présentes à l’humanité aux abois. Qui te reconnaîtra ? Cuit, crier à outrance face à ton jugement, secteur au Tout Puissant, face à la crise, un être aimant.
C’est dans ta confiance que nous chantons tes louanges, à genoux nous implorons ta clémence, à chaude larmes de joie, nous accueillons ton premier souffle, ta parole.
Notre enfant, notre prémices, notre présent, notre toujours, tu nous délivre de nos angoisses et de nos doutes, tout simplement merci pour avoir répondu à nos appels.
Peine à mon cœur
Soupir sans saveur
Je crie mon désespoir, ma douleur
Pilote à cent à l’heure
Tu m’as surpris, nul doute un défi
Dans la pénombre de la nuit
Entre les lignes, une grappe, un arrondi
Le tic répond au tac, son aigri
Et cette fuite, cet entrechat