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L’amour se déploie dans Les trois mots de mes temps, comme un voyage à travers trois royaumes distincts, chacun porteur d’une vérité intime. La première cité, celle des roses, est un lieu où l’amour rayonne dans sa pureté et son romantisme, un paradis suspendu dans le temps. Puis, la sombre cité des tourments surgit, marquée par les souffrances, les déceptions et les trahisons qui déchirent l’âme. Enfin, la cité des consolations offre un renouveau, où, apaisé, vous retrouvez la douceur de l’amour et la paix du cœur. Des poèmes qui vous guident avec tendresse à travers les éclats et les ombres de l’amour.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Idris Roméo se plaît à explorer les profondeurs de l’âme humaine. Par ses poèmes, il vous invite à un voyage intime, où les émotions, les amours et les tourments se mêlent dans une quête constante de beauté et de vérité.
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Seitenzahl: 23
Veröffentlichungsjahr: 2025
Idris Roméo
Les trois mots de mes temps
Recueil
© Lys Bleu Éditions – Idris Roméo
ISBN : 979-10-422-6639-4
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Je ne savais pas que la lune
Est jalouse de tes yeux.
Que la paix et la fortune
Sont en toi tout comme dans les cieux.
Je ne savais pas que le soleil
Brille moins que toi.
Que pour voir l’arc-en-ciel,
Il suffit que je te voie !
Je ne savais pas que ton silence
Pouvait me causer un arrêt de cœur.
Qu’une minute en ta présence
Vaut mieux que mille ailleurs !
Je ne savais pas que ton odeur
Pouvait parfumer ma vie,
Et que dans ton cœur
Se trouve le paradis !
Je ne savais pas que toutes les fleurs
Veulent avoir la couleur de ta peau.
Je ne savais pas que la terre
Tremble au son de tes mots.
Je ne savais pas que ma silhouette
Danse lorsqu’elle te voit.
Que des manchots et des chouettes
Veulent suivre la trace de tes pas.
Je ne savais pas que tu deviendrais ma muse idéale,
Et au-delà de tout, je veux être ton féal.
« Je te planterai des roses dans mon jardin,
Puis t’endormir sur des draps de satin. »
À la femme Taureau
Ta voix, où mélodie et symphonie se mélangent
Est d’une ivresse unique et éternelle.
Tu ne cesses de t’infiltrer dans mes songes,
Et la journée, ton regard s’installe dans ma prunelle.
Tu es toujours là près de moi-même si je ne te vois pas.
Le soleil, je peux m’en passer puisque tu m’éclaires déjà.
Je n’ai pas un cœur d’artichaut ni un cœur de baroudeur,
Juste pour te rassurer que fidèle serai-je à ton odeur.
On ira au bout du monde, enfin, si ça existe.
Je me brûlerai au cas où tu t’exiles.
Tes yeux sont un miroir où je vois mon avenir.
Je ne suis pas de ceux qui t’aiment pour partir.
Te comparer aux autres femmes est d’une idiotie sans nom,