Passage des acacias - Raymonde Verney - E-Book

Passage des acacias E-Book

Raymonde Verney

0,0
3,99 €

-100%
Sammeln Sie Punkte in unserem Gutscheinprogramm und kaufen Sie E-Books und Hörbücher mit bis zu 100% Rabatt.

Mehr erfahren.
Beschreibung

Poésies en vers liberes Sur différents thèmes Tels l'amour les fees la nature

Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:

Android
iOS
von Legimi
zertifizierten E-Readern

Seitenzahl: 32

Veröffentlichungsjahr: 2016

Bewertungen
0,0
0
0
0
0
0
Mehr Informationen
Mehr Informationen
Legimi prüft nicht, ob Rezensionen von Nutzern stammen, die den betreffenden Titel tatsächlich gekauft oder gelesen/gehört haben. Wir entfernen aber gefälschte Rezensionen.



Du même auteur

Demeter ou les pleurs de l’enfer, Recueil de poésies, Edition du Panthéon, 2000

Gaïa, Recueil de poésies, Edition Publibook, 2002

Contes à rebours, Contes pour enfants, Editions publibook, 2003

Les contes de Rémy LULU 2008

Les contes express de Rémy BOD 2010

RAYMONDE VERNEY

Fait partie de la SEALB

LA SOCIETE DES ECRIVAINS

Alsace lorraine Belfort

Table des matières

Beauté Epinglée

Couleur d’Automne

Cyrilla

D’automne

Et, les arbres dansent

Fée

Fée des songes

Fleurette

Bruissement

Danse des Macchabées

Démesure Passion

Feu Follet

Grand Maman

La Bibliothèque

La Boite à Musique

Le Banc

Le Fantôme de la Fontaine

L’ombre du Soleil

Neige

Plaine Hivernale

The Disert

Une Rose

Vieillesse

La belle Cordière

La Dame du Lac bleu

La Danseur

Le Grimoire

L’Etoile

Parfum d’une Rose

Paysages Alsaciens

Une fée au manteau rouge

Vieilles dentelles

Alfred de Musset

Les Fleurs

Le Bal des Ombres

Le Carnaval des Ombres

Le Gui

Le Muguet

Pour Toi

Promenade

Le Crépuscule

Si

Un Bouquet

Un Petit Amour

St-Valentin

Une Fée Aglaé

Mes Pensées

Nathalie

BEAUTE EPINGLEE

Dans son sillage, des murmures, elle perçoit

Soupir d’indifférence, lassitude calculée

Elle glisse épinglée par des regards froids

Diva ingénue aux désirs extrapolés

Timidité sous jacente ses pas furtifs

Déhanchent l’assemblée ressuscitée

Les messieurs par l’ennui exaspérés

De la muse, s’inquiètent évasifs

Des épouses ils ceindraient le courroux

S’ils peignaient ses atours sur une toile

Orgie de nuances, vêtements infâmes

Certes ma chère, votre tailleur désarme

Monsieur explore la diva « à son insu »

Le bar d’un verre caresse le monopole

Ma chère, la soif, pitié ma gorge s’étiole

Madame puis-je ? Votre sourire est sans issue.

COULEURS D’AUTOMNE

Pastel d’ombres qui se leurrent sur le pavé gisant

Heure automnale où les couleurs épousent les fragrances

Récidive d’une lumière teinte d’orange pourpre

Instant tardif où l’horloge effeuille les notes d’antan

Les feuilles timides, chutent dans une flaque moirée

Les arbres intransigeants dépouillent leur mystère

Dans un langage sibyllin ils parlent aux feuilles délaissées

Mettez à l’abri votre misère, l’hiver s’avance prude

Le soir tombe dans un pugilat de couleurs ivres

Bouquet pastoral cueilli sur une palette empourprée

Dans les recoins des jardins stagne un voile translucide

Patiné par la pénombre qui se glisse intriguée

Ces moments délicats où les senteurs sont filles de joie !

Faciès automnal où l’ambre le vert, le jaune intriguent

Et peignent l’indécence dans une nature qui fuit

Songes filés par l’invisible, regards d’or lutinés.

CYRILLA

D’une ombre bleutée le vent s’était voilé

Au passage d’une nymphe nommée CYRILLA

Dans une ère d’oubli les siècles se sont cabrés

Usés en leur clémence par des âges lassés

La nymphe CYRILLA paraissait, vêtue d’une aube mousseuse

Une ondée lumineuse gravait ses pas dans le sentier dissident

Sa chevelure d’or pâli ceignait sa taille déliée

Et sa beauté effleurait les bois, en elfes déguisés

La nymphe sise près d’une roche escarpée aperçut la source

RHEA

RHEA prenait l’apparence d’une fée à certaines heures du jour

Si elle transgressait les ordres du dieu NEBOR, maître de la forêt

Sa source se tarirait et elle se verrait condamnée à errer sur la

Roche glaciaire

CYRILLA s’installa auprès de la fée, le ciel leur présenta le livre des fuites

La page grise fit comprendre les maux qui défieraient cette contrée

Mythique,

Des pans de glace se détacheraient de la montagne givrée

Et des hommes arbres envahiraient la forêt effarée <<vite partons>>

Epilogue :

RHEA et CYRILLA traversèrent les océans on perdit leur trace .