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Poésies en vers liberes Sur différents thèmes Tels l'amour les fees la nature
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Seitenzahl: 32
Veröffentlichungsjahr: 2016
Demeter ou les pleurs de l’enfer, Recueil de poésies, Edition du Panthéon, 2000
Gaïa, Recueil de poésies, Edition Publibook, 2002
Contes à rebours, Contes pour enfants, Editions publibook, 2003
Les contes de Rémy LULU 2008
Les contes express de Rémy BOD 2010
RAYMONDE VERNEY
Fait partie de la SEALB
LA SOCIETE DES ECRIVAINS
Alsace lorraine Belfort
Beauté Epinglée
Couleur d’Automne
Cyrilla
D’automne
Et, les arbres dansent
Fée
Fée des songes
Fleurette
Bruissement
Danse des Macchabées
Démesure Passion
Feu Follet
Grand Maman
La Bibliothèque
La Boite à Musique
Le Banc
Le Fantôme de la Fontaine
L’ombre du Soleil
Neige
Plaine Hivernale
The Disert
Une Rose
Vieillesse
La belle Cordière
La Dame du Lac bleu
La Danseur
Le Grimoire
L’Etoile
Parfum d’une Rose
Paysages Alsaciens
Une fée au manteau rouge
Vieilles dentelles
Alfred de Musset
Les Fleurs
Le Bal des Ombres
Le Carnaval des Ombres
Le Gui
Le Muguet
Pour Toi
Promenade
Le Crépuscule
Si
Un Bouquet
Un Petit Amour
St-Valentin
Une Fée Aglaé
Mes Pensées
Nathalie
Dans son sillage, des murmures, elle perçoit
Soupir d’indifférence, lassitude calculée
Elle glisse épinglée par des regards froids
Diva ingénue aux désirs extrapolés
Timidité sous jacente ses pas furtifs
Déhanchent l’assemblée ressuscitée
Les messieurs par l’ennui exaspérés
De la muse, s’inquiètent évasifs
Des épouses ils ceindraient le courroux
S’ils peignaient ses atours sur une toile
Orgie de nuances, vêtements infâmes
Certes ma chère, votre tailleur désarme
Monsieur explore la diva « à son insu »
Le bar d’un verre caresse le monopole
Ma chère, la soif, pitié ma gorge s’étiole
Madame puis-je ? Votre sourire est sans issue.
Pastel d’ombres qui se leurrent sur le pavé gisant
Heure automnale où les couleurs épousent les fragrances
Récidive d’une lumière teinte d’orange pourpre
Instant tardif où l’horloge effeuille les notes d’antan
Les feuilles timides, chutent dans une flaque moirée
Les arbres intransigeants dépouillent leur mystère
Dans un langage sibyllin ils parlent aux feuilles délaissées
Mettez à l’abri votre misère, l’hiver s’avance prude
Le soir tombe dans un pugilat de couleurs ivres
Bouquet pastoral cueilli sur une palette empourprée
Dans les recoins des jardins stagne un voile translucide
Patiné par la pénombre qui se glisse intriguée
Ces moments délicats où les senteurs sont filles de joie !
Faciès automnal où l’ambre le vert, le jaune intriguent
Et peignent l’indécence dans une nature qui fuit
Songes filés par l’invisible, regards d’or lutinés.
D’une ombre bleutée le vent s’était voilé
Au passage d’une nymphe nommée CYRILLA
Dans une ère d’oubli les siècles se sont cabrés
Usés en leur clémence par des âges lassés
La nymphe CYRILLA paraissait, vêtue d’une aube mousseuse
Une ondée lumineuse gravait ses pas dans le sentier dissident
Sa chevelure d’or pâli ceignait sa taille déliée
Et sa beauté effleurait les bois, en elfes déguisés
La nymphe sise près d’une roche escarpée aperçut la source
RHEA
RHEA prenait l’apparence d’une fée à certaines heures du jour
Si elle transgressait les ordres du dieu NEBOR, maître de la forêt
Sa source se tarirait et elle se verrait condamnée à errer sur la
Roche glaciaire
CYRILLA s’installa auprès de la fée, le ciel leur présenta le livre des fuites
La page grise fit comprendre les maux qui défieraient cette contrée
Mythique,
Des pans de glace se détacheraient de la montagne givrée
Et des hommes arbres envahiraient la forêt effarée <<vite partons>>
Epilogue :
RHEA et CYRILLA traversèrent les océans on perdit leur trace .