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S. Witson nous livre un récit intimiste sous forme de poèmes, dans lequel elle y parle d'amour, de déception et de renouveau. « En réalité, les gens écrivent tout ce qu'ils n'ont pas le courage de dire. Parce que c'est tellement plus simple d'écrire que de dire les choses à voix haute, de les rendre réelles. »
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Seitenzahl: 28
Veröffentlichungsjahr: 2022
A la personne que j'ai le plus aimée,
A la personne qui m'a le plus blessée,
A la personne que je n'oublierai jamais.
Si tu cours, tu iras plus vite
Mais si tu marches, tu iras plus loin
Si tu cries, tu seras entendu
Mais si tu parles, tu seras écouté
La sagesse te portera loin
Tandis que la précipitation ne te mènera à rien
- Alain Ayache
Le jeu du pendu est réfléchi,
Il nous prouve qu’en disant les mauvaises choses
On peut mettre fin à la vie de quelqu’un
PROLOGUE
AMOUR
ABANDON
BLESSURE
SUICIDE
ENTRAVE
VIE
TEMPS
RENAISSANCE
EPILOGUE
Remerciements
L'amour et la haine
Ils s'entremêlent,
Avec eux
Tout prend feu,
Il leur faut du temps,
Pour s'apprivoiser
Pour apprendre à s'aimer,
Et pourtant,
La mort n'est jamais loin,
La vie est déjà loin,
Derrière chacun de leurs pas,
Derrière chacun de leurs gestes
Il y a une âme qui combat
Tandis que les vivants restent,
Ils attendent que sonnent les cloches,
Ils espèrent ne pas louper la coche…
Quand je t'ai vue
Ça m'a abattue,
Tu étais un zombie
A cause de ces conneries,
Tu pleurais,
Tu criais,
Tu hurlais
Que tu l'aimais,
Tu avais gardé espoir
De la revoir,
Qu'un jour elle aille mieux
Dans ce pays merveilleux,
Qu'elle se réveillerait,
Qu'elle se rappellerait
De la puissance
Même avec la distance
De votre amourette
Qui a envahi votre jeunesse.
Les médecins t'ont annoncé
Qu'elle était décédée,
Ça t'a effondrée,
Toutes tes barrières sont tombées,
A cause de cette fichue maladie,
Elle est partie,
Tu t'es battue
Pour votre amour perdu…
J'ai pensé qu'un jour j'attraperai ce « bonheur »,
Que je ne serai plus dans ces « malheurs »,
Qu'une personne me rendrait heureuse
Jusqu'à en tomber amoureuse,
Qu'on marcherait main dans la main
Tout le long du chemin,
C'était une illusion,
On n'allait pas dans la même direction,
J'étais mutilée,
Tu m'as aidée,
Mais tu es partie
Sans que je te dise merci,
Tu as pris mon cœur
Comme un voleur…
Je t'aime,
Tu es mon poème,
L'amour n'est qu'illusoire,
Tu es mon échappatoire,
Tu m'as aidée,
Tu m'as sauvée,
A moi de te le donner,
Cet amour que j'ai gardé
Profondément enfoui
Pour ne pas avoir de souci,
Oui,
Je le crie,
Tu mérites de savoir
Que dans la nuit noire,
Tu m'apportes la lumière
De tout le système solaire…
Je t'ai vu le coeur rempli d'amour et de haine,
Dans tes yeux je voyais le monde avec peine,
La peine se lisait et se sentait en toi,
Tu avais fini ton règne en tant que roi,
Je voyais la lumière briller dans tes yeux,
Ils étaient bleus comme un océan lumineux,
On se perdait en eux tels des cimetières,
Ce bleu reflétait la fin de ton univers,
Ton souhait était qu'ils se ferment à jamais,
Un soir d'hiver tu le touchas du bout des doigts,
La mort t'appelait mais je me battais pour toi,
Une fois réveillée, je te dis que je t'aimais,
Un monde sans toi ne s'imaginait pas,
Tu ensoleillais mes journées en étant là…
Ici, je rêve que tu m'enlaces
Que tu m'embrasses
Mais je me lasse,
Tu n'es pas mon diamant,
Aucun mot bienveillant,
J'ai tellement rêvé,
J'ai voulu t'oublier,