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Qui suis-je ? Voilà le thème principal du niveau 3 du Reiki Usui. Vaste sujet... Vous allez aussi découvrir de nouveaux outils : antahkarana, grille de cristaux et de nouvelles techniques japonaises de Reiki. "Nous sommes l'Univers et l'Univers est nous-mêmes. L'Univers entier existe en nous-mêmes et nous sommes dans l'Univers. La lumière se trouve en nous-mêmes et nous sommes dans la lumière." Mikao Usui Senseï "Si le Reiki pouvait s'étendre à travers le monde, il toucherait le coeur humain et les mentalités de la société. Il serait une aide précieuse pour beaucoup d'entre nous, guérissant non seulement les maladies, mais aussi la Terre en tant que tout." Maxime gravée sur la tombe du Dr Usui
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Seitenzahl: 74
Veröffentlichungsjahr: 2022
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« Si le Reiki pouvait s’étendre à travers le monde, il toucherait le coeur humain et les mentalités de la société. Il serait une aide précieuse pour beaucoup d’entre nous, guérissant non seulement les maladies, mais aussi la Terre en tant que tout. »
Maxime gravée sur la tombe du Dr USUI
Juste pour aujourd'hui
Je me libère de toute préoccupation
Juste pour aujourd'hui
Je me libère de toute colère
Juste pour aujourd'hui
Je rends grâce pour mes nombreuses bénédictions
J'honore mes parents, mes professeurs, mes aïeux
Juste pour aujourd'hui
Je vis ma vie avec honnêteté
Juste pour aujourd'hui
Je respecte la vie autour de moi sous toute forme
DKM
Antahkarana
La grille de cristaux
Intervention psycho-énergétique
Le Shiatsu fluidique dans la pratique du Reiki
Les techniques japonaises de Reiki
Ma lignée
La prière du guérisseur
Annexe : qui suis-je?
« Pour se placer sur l’axe du temps, créer son avenir et bien vivre le présent, tout en honorant ses origines, il faut savoir se libérer du temps, et notamment du passé.
Nous agissons dans le présent en fonction de notre passé, conditionnés par les croyances, les émotions, les expériences qui ont précédés le moment présent.
Notre perception initiale, issue de notre expérience sensorielle, structure les perceptions qui viendront par la suite. Nous ne pouvons voir nos limites, car nous ne disposons pas du regard extérieur qui nous verrait prisonniers. Deepak Chopra raconte à ce sujet une histoire significative. En Inde, lorsque le jeune éléphant atteint six mois, on l’attache par l’une de ses pattes arrière avec une corde de couleur à un arbre. Son poids et sa force encore modestes ne lui permettent pas de rompre la corde, et il apprend en quelques semaines à limiter son espace au rayon d’action qui lui offre cette corde. Puis on le libère et il continue à grandir. Plus tard, lorsqu’il devient adulte, il n’est pas nécessaire de choisir une chaîne à la mesure de la force, ni de l’attacher à un baobab qui puisse lui résister : il suffit de lui remettre la corde de couleur qui l’entravait dans son enfance, pour qu’il reste près de l’arbre qu’il pourrait pourtant facilement arracher (…)
Comme le dit Steve Wolinsky, à force de côtoyer cette identité créée pour répondre à des traumatismes survenus dans le passé, on finit par croire que l’on est cette identité, qu’elle soit celle de la victime, celle du superman ou celle de celui qui connait tout. Notre ego s’identifie toujours à ces identités. » Maud Séjournant – Le cercle de vie
« Rappelons que l’homme est constitué de deux parties : essence et personnalité. L’essence dans l’homme est ce qui est à lui. La personnalité dans l’homme est « ce qui n’est pas à lui ». « Ce qui n’est pas à lui » signifie : ce qui lui est venu du dehors, ce qu’il a appris, ou ce qu’il reflète ; toutes les traces d’impressions extérieures laissées dans la mémoire et dans les sensations, tous les mots et tous les mouvements qui ont été enseignés, tous les sentiments créés par imitation, tout cela est « ce qui n’est pas à lui », tout cela est la personnalité.
Du point de vue de la psychologie ordinaire, la division de l’homme en personnalité et essence est difficilement compréhensible. Il serait plus exact de dire que la psychologie ignore tout de cette division.
Un petit enfant n’a pas encore de personnalité. Il est ce qu’il est réellement. Il est essence. Ses désirs, ses goûts, ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas, expriment son être tel qu’il est.
Mais aussitôt qu’intervient ce que l’on nomme « éducation », la personnalité commence à croître. La personnalité se forme en partie sous l’action d’influences intentionnelles, c’est -à-dire l’éducation, et, en partie, du fait de l’imitation involontaire des adultes par l’enfant lui-même. Dans la formation de la personnalité, un grand rôle est également joué par la « résistance » de l’enfant à son entourage et par ses efforts pour leur dissimuler ce qui est « à lui », ce qui est « réel ».
L’essence est la vérité dans l’homme ; la personnalité est le mensonge. Mais à mesure que grandit la personnalité, l’essence se manifeste de plus en plus rarement, de plus en plus faiblement ; souvent même l’essence s’arrête dans sa croissance à un âge très tendre et ne peut plus grandir. Il arrive très souvent que le développement de l’essence d’un homme adulte, même d’un homme très intellectuel ou, dans le sens courant du mot, très cultivé, se soit arrêté au niveau de développement d’un enfant de cinq ou six ans. Cela signifie que rien de ce que nous voyons dans cet homme n’est à lui en réalité. Ce qui est à lui, ce qui lui est propre, c’est-à-dire son essence, ne se manifeste habituellement que dans ses instincts et dans ses émotions les plus simples. En certains cas, cependant, l’essence peut croître parallèlement à la personnalité ; de tels cas représentent des exceptions très rares, spécialement dans les conditions de vie des hommes « cultivés ». L’essence a plus de chance de se développer chez les hommes qui vivent en contact étroit avec la nature, dans des conditions difficiles, où il faut constamment combattre et surmonter des dangers.
Mais en règle générale la personnalité de tels hommes est très peu développée. Ils ont plus de « ce qui est bien à eux », mais de « ce qui n’est pas à eux » ils sont à peu près dépourvus ; en d’autres termes, ils manquent d’éducation et d’instruction, ils manquent de culture. La culture crée la personnalité ; en même temps, elle en est aussi le produit et le résultat. Nous ne nous rendons pas compte de ce que toute notre vie, tout ce que nous appelons « la civilisation, la science, la philosophie, l’art, la politique, sont des créations de la personnalité, c’est-à-dire de tout ce qui dans l’homme « n’est pas à lui ».
L’élément qui, dans l’homme, « n’est pas à lui », diffère beaucoup de ce qui lui appartient « en propre » par ce fait qu’il peut être perdu, altéré ou enlevé par des moyens artificiels ».
(…)
« Mais pour permettre à l’essence de grandir, il est avant tout indispensable d’atténuer la pression constante que la personnalité exerce sur elle, parce que les obstacles à la croissance de l’essence sont contenus dans la personnalité. »
(…)
« Comment se libérer de la personnalité? La personnalité trouve sa pâture dans l’imagination et le mensonge. Lorsque le mensonge dans lequel vit l’homme aura diminué, et que l’imagination se sera affaiblie, la personnalité elle-même ne tardera pas à décliner et l’homme pourra passer alors sous le contrôle, soit de son destin, soit d’une ligne de travail dirigée à son tour par la volonté d’un autre homme ; de cette façon, l’homme peut être mené jusqu’à ce point où une volonté aura pu se constituer en lui, une volonté capable de faire face à la fois à l’accident (l’auteur écrit que tout ce qui nous arrive est un accident, ndlr) et s’il le faut, au destin. » Oupensky - Fragments d’un enseignement inconnu
« J’entends souvent les gens en processus de changement profond exprimer leur embarras ou difficulté par rapport à l’entourage qui veut les maintenir dans cette identité antérieure, qui leur servait de référence. Leurs proches ne sont pas capables de les voir tels qu’ils sont devenus, eux-mêmes conditionnés par leur perception antérieure. Ils ne peuvent littéralement pas voir autre chose que ce à quoi ils se sont toujours attendus de la part de cette personne. Si nous ne faisons pas nous-mêmes la mise à jour de notre propre changement, personne ne le fera à notre place. C’est pourquoi beaucoup de ceux qui veulent radicalement changer divorcent, déménagent, changent de milieu, de travail. Un nouveau contexte favorise l’intégration d’un nouveau moi (…) » Maud Séjournant – Le cercle de vie
Chaque jour, nous prenons des décisions. Ces décisions engendrent des effets qui eux - mêmes nous font prendre d’autres décisions et ainsi de suite.
Nous rendons-nous compte que chaque décision nous éloigne de notre chemin de vie?
De notre chemin. Le meilleur pour nous. Ce pour quoi nous nous sommes incarnés dans cette vie. LE CHOIX PRIMORDIAL. ESSENCE (naissance) PRIMORDIALE.
Le troisième degré nous conduit chaque jour un peu plus sur notre chemin.
Le troisième degré est en accord parfait à « juste pour aujourd’hui, je vis ma vie avec honnêteté ». Honnêteté avec les autres, honnêteté avec soi.
N’acceptez plus rien qui mette votre bonheur en danger.
N’écoutez plus les pensées qui veulent vous faire obéir à leurs désirs d’inquiétude, de revanche ou de peur.
Est-ce bien ceci ou cela que je veux? Je pense/je ressens/j’agis.
Penser une chose et en ressentir une autre, voilà en quoi consiste la souffrance.