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Jeune étudiante, avec peu d'expérience, Sandra va vite comprendre que ses atouts pourraient lui rapporter de l'argent. Mais rapidement, son jeu de séduction va se transformer en jeu de soumission, où elle va se découvrir de nouveaux talents.
À PROPOS DE L'AUTEURE
Sandra Smith est une étudiante ordinaire. A 18 ans elle rentre à l'université, où elle a du mal à s'intégrer aux groupes de sa classe. Solitaire mais curieuse, elle écoute les conversations de ses collègues, où se mêlent fêtes, sexe et argent. Mais comment ses jeunes étudiantes obtenaient tout cet argent. Sandra va rapidement comprendre et nous le transcrire dans ce premier roman
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Seitenzahl: 51
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Ähnliche
Suggar Baby et Soumise
L’apprentissage d’une jeune coquine
Sandra Smith
Je m’appelle Sandra , j’ai tout juste 18 ans. Étudiante, j’ai appris naïvement que beaucoup de mes copines étaient sur des sites d’Escort , pour se payer des week-ends ou des soirées , pour profiter sans difficulté financière.
Je n’ai pas tardé à rejoindre cette communauté d’étudiantes escorts. Nous sommes de plus en plus nombreuses, mais toutes autant motivées, soit par l’argent, soit par le sexe, soit par les deux
Je dois reconnaitre que j’ai toujours été attirée par des hommes plus âgés. Mes premières masturbations étaient , je me souviens, pour le meilleur ami de mon père, avec qui nous nous avions établi un jeu de séduction réciproque.
Je mettais souvent des tenus un peu sexy, mais restant très correctes vu mon jeune age, mais je voyais souvent dans ses yeux des désirs révélateurs.
Mes petits décolletés ou mes jupes entrouvertes ne le laissaient jamais indifferent
C’est donc vers un site de Suggar daddy, que je m’oriente rapidement.Ma recherche sur google fut rapide et excitante.
Une fois sur le site , je découvre les autres profils féminins, et je m’aperçois rapidement que mes formes et mon corps peuvent avoir leurs places dans ce catalogue du sexe.
Je choisis les photos les plus sexy, et je me lance dans l’aventure.
22 octobre 2020
Le 22 octobre, un homme commence à me parler en début d'après-midi, j'étais rentrée chez moi après les cours. On échange peu de messages. A dix-sept heures trente, il me dit qu'il sera en ville, et m'invite à boire un verre de vin. Je n'aime pas le vin. Je lui dis que nous n'avons pas assez fait connaissance. Il me propose une bière ; j'accepte. Je file prendre une douche, enfile la même robe noire que je portais pour aller chez mon coup d'un soir, et prends même le temps de me remaquiller. Je le préviens que je serais en retard. Je suis dans les transports, et l'angoisse monte. Je lui dis que je m'appelle Marion, que j'ai un trench noir et un sac à main rouge. Il me dit de le rejoindre dans un bar, puis change l'adresse, puisque, apparemment, il n'était pas assez bien. Je descends deux arrêts trop tôt, je n'ai aucun sens de l'orientation. Il m'explique où il se situe sur la place principale. J'arrive devant le bar, je ne sais pas s'il est dehors ou dedans. L'air est frais. Je ne sais pas à quoi il ressemble, on ne voyait quasiment rien sur les photos de son profil. "Je t'ai vue passée" m'envoie-t-il sur Whattsapp. Je me retourne.
Là, je vois un homme sur la terrasse, s'approchant de moi, son verre levé pour me signaler sa présence. Je me dirige vers lui. Il me fait la bise. Il est élégant, a beaucoup de charme, et sent bon. Je m'assois en face de lui et commande la même chose, une bière. Je pose mon sac sur la chaise à côté, il me dit de le rapprocher pour ne pas qu'on me le vole. Je suis à jeun, très stressée, et je me force à ne pas avaler cul-sec mon verre que je serre entre mes mains. Il fait nuit. Je lève la tête vers le ciel, sentant quelques gouttes de pluie. Il s'en rend immédiatement compte et déplace la table pour que je sois à l'abris. Est-ce que les gens autour savent qu'il s'agit d'un date d'une fille de dix-huit ans avec un homme qui en a cinquante ? Est-ce qu'ils pensent que je suis sa fille, sa nièce ? Il me parle de lui. Il est marié et a un fils. En sachant ça, beaucoup me demande si cela me dérange. C'est comme ça, je réponds. Il est détendu, sourit régulièrement, et me cherche du regard. J'essaye rapidement de savoir s'il s'agit réellement d'un homme aisé ou d'un menteur. Facile d'y répondre, il est en costard puisque sortant d'un séminaire, et je remarque sa montre. Pas d'alliance, il a dû l'enlever. Ses yeux pétillent. Il me parle de lui, de son travail, et je parle de moi, mes études et mes relations. Il est intelligent.
Puis, la conversation a pris une tournure que je n'attendais pas. Je ne savais pas à quoi m'attendre en rencontrant un homme de ce site. "Tu sais, j'aime des choses que tu ne peux même pas imaginer" m'a-t-il dit en évoquant implicitement des pratiques sexuelles. Je l'ai regardé d'un air insolent et j'ai répondu "Je ne pense pas, non". Il m'a demandé d'approfondir, et j'ai tout naturellement dit que j'étais attirée par le BDSM. Là, il a commencé à me parler de ses précédentes relations, de ses soumises, de ce qu'il sait et aime faire. Vers vingt heures, il propose de me ramener en voiture. Ma raison me dit qu'il pourrait m'assassiner dans une forêt, mais tout mon corps me dit d'y aller. Il sort un billet, je fais mine de sortir mon porte-monnaie, et il rit en me disant que je ne vais quand même pas payer ma bière.
Là, il se lève, et je le suis. On traverse la place, je reste proche de lui. On marche rapidement. Il me dit qu'il y a deux sans domicile fixe devant l'entrée du parking, je lui réponds que je vais survivre. Il les salue poliment, ouvre la porte du parking et me fait passer devant lui en posant sa main sur le creux de mon dos. Je le suis à travers les allées : je vais enfin savoir s'il est sincère sur sa situation en fonction de la voiture qu'il possède. Il se dirige vers une Porsche. Il n'a pas menti. Je ne suis jamais montée dans une Porsche. Je suis habituée à la vieille 206 de ma mère. Je fais comme si cela était normal pour moi de monter dans cette voiture. Je pose mon sac entre mes jambes, met ma ceinture, et regarde fixement devant moi. J'attends qu'il démarre. Il ne démarre pas.
