6,99 €
Tout va bien se passer, c'est ce que je dirais à la petite fille que j'ai été. Ce recueil est en quelque sorte une thérapie. Ma façon à moi de mettre des mots sur des émotions. Ils ont un pouvoir, celui de guérir les âmes. Il y a des jours plus sombres que d'autres ou le rapport à soi peut être difficile, mais quoiqu'il arrive les nuages disparaissent pour laisser entre la lumière. "Ferme les yeux, juste une seconde. La pluie a inondé ton coeur. Mais Le soleil finit toujours pas revenir."
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Seitenzahl: 17
Veröffentlichungsjahr: 2024
Tout va bien se passer, c’est ce que je dirais à la petite fille que j’ai été.
Ce recueil est en quelque sorte une thérapie.
Ma façon à moi de mettre des mots sur des émotions.
Ils ont un pouvoir, celui de guérir les âmes.
Il y a des jours plus sombres que d’autres ou le rapport à soi peut être difficile, mais quoiqu’il arrive les nuages disparaissent pour laisser entrer la lumière.
« Ferme les yeux,
juste une seconde.
La pluie a inondé ton coeur.
Mais,
Le soleil finit toujours par revenir. »
À mes lectrices,
à mes lecteurs avec toute
ma tendresse.
La douleur
L’amour
La résilience
Et puis un jour, j’ai compris, Que nos maux,
peuvent trouver refuge sur du papier.
Alors j’ai écrit.
J’ai déjà eu mal,
celui-ci est différent.
Il est si puissant, si intense, si destructeur.
Invisible pour certains.
Présent pour d’autres.
Je peux le cacher,
sous mon âme torturée.
Pourquoi moi ?
J’étais si petite, si innocente.
Il m’a fallu du temps pour comprendre
que ce qui s’est passé n’est pas légitime.
Les mots m’aident à accepter sans me méprendre.
J’ai pleuré,
si fort
si intensément.
seule,
Dans ma chambre
en observant.
Il paraît que les hommes qui t’entourent sont comme des piliers sur lesquels tu peux t’appuyer. Je n’ai pas dû comprendre cette phrase.
mon innocence s’est envolée
C’était une fleur,
Comme l’on en trouve peu.
Rare.
Belle.
Singulière.
Avec une puissance,
qui vous transperce.
Une force,
qui vous impressionne,
Une fraîcheur.
Une sagesse,
si délicate.
La douleur,
s’apparente à une noirceur
qui te saisit
Violemment.
Sans demander ton avis
Elle te percute.
C’est,
une sorte de monstre
dépourvu de visage.
Capable de te voler ton coeur
sans crier gare.
Elle se fiche de ce que tu ressens,
elle se nourrit de toi,
plus tu souffres,
plus elle s’alimente.
Alors tu pleures,
pour déverser ce que tu peux.
En essayant de sauver ce qu’il te reste
d’humanité.
Moi, j’aimerais être invisible.
J’ai 8 ans.