Après-midi avec ma belle-fille E-Book

Eva Rossi

• Herausgeber: tredition
• Kategorie: Erotik
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 106

Veröffentlichungsjahr: 2025

Beschreibung

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez? Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre? Continuez à lire! Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu! Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir. Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie. Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire. Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions. Pas de censure, 100 pour 100 de plaisir. Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir. À votre orgasme!

Leseprobe

Après-midi avec ma belle-fille

Histoires Érotiques Interdites de Sexe Tabou pour Adultes

______________________

Eva Rossi

Sommaire

Sommaire

Imprint

Introduction

Avant de commencer...

1. Après-midi avec ma belle-fille

2. Rupture du tendon d'Achille !

3. L'anniversaire de Flavie

Avant de partir...

Imprint

© 2025 Eva Rossi

Photo de couverture : Canva

Impression et distribution pour le compte de l'auteur :

tredition GmbH, Heinz-Beusen-Stieg 5, 22926 Ahrensburg, Allemagne

L'ouvrage, y compris ses parties, est protégé par le droit d'auteur. L'auteur est responsable de son contenu. Toute utilisation est interdite sans son accord. La publication et la diffusion sont effectuées sur ordre de l'auteur, à contacter à l'adresse suivante : Eva Rossi, Friedrichstraße 155, 10117 Berlin, Allemagne.

Adresse de contact selon le règlement européen sur la sécurité des produits : [e-mail]

Introduction

Voulez-vous exciter et donner tout le plaisir que vous méritez?

Envie d'un vrai moment de détente intime et de bienêtre?

Continuez à lire!

Avec ce livre vous aurez l'occasion d’avoir tout ce que vous avez toujours voulu mais que personne ne vous a jamais donné: beaucoup, vraiment beaucoup d'histoires explicites en français, comme vous l'avez toujours voulu!

Vous avez devant vous une collection d'histoires explicites dédiées au bon sexe qu'il est possible d'avoir entre des hommes et des femmes qui aiment se faire plaisir.

Beaucoup des contes passionnantes à vivre seul ou en compagnie.

Vous trouverez de nombreux dialogues entre les protagonistes des histoires, afin que vous puissiez aussi vous imaginer au centre de la scène, comme si vous étiez vous-même un personnage de l'histoire.

Qu'est-ce que tu attends alors? Laissez-vous aller à la passion, à la provocation, aux fantasmes interdits que vous avez toujours eus, laissez tomber vos inhibitions et commencez à voyager avec des émotions.

Pas de censure, 100% plaisir.

Détendez-vous, installez-vous confortablement et embarquez pour un beau voyage plaisir.

À votre orgasme!

Qu'est-ce que tu attends? ACHETEZ LE LIVRE MAINTENANT!!!

Le livre contient un contenu sexuel explicite et ne convient pas aux personnes de moins de 18 ans. Les histoires sont de pure fantaisie: les personnages sont tous d'âge et, comme le contenu, ils sont fictifs.

Avant de commencer...

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Un bisou et une bonne lecture, Eva!

1. Après-midi avec ma belle-fille

Bonjour à tous, je me présente brièvement : Gabriel, 37 ans, je vis en famille recomposée depuis 16 ans avec ma compagne Christine, 45 ans, et leurs enfants (Jérôme et Julie, 18 ans, et l'aîné Florent, 21 ans). Nous sommes une famille tranquille.

Tout a commencé il y a un an.

Ce jour-là, ma femme, qui devait passer des examens médicaux, n'a pas jugé utile que je l'accompagne. Elle a compris mon inquiétude, mais je l'ai laissée partir seule. Les garçons étaient partis passer le week-end chez leur copine, je suis resté seul avec Julie, ma belle-fille.

J'embrasse ma femme avec enthousiasme, avec cette habitude de la prendre dans mes bras et de toucher son beau cul que j'admire ; c'est une très belle femme, blonde, aux seins délicats et fascinants, un corps qui, j'en suis sûr, fait rêver beaucoup d'hommes, et notre complicité supporte toutes les épreuves de la vie : le couple parfait pour beaucoup de nos amis.

Il fait chaud, comme il se doit en plein mois de juillet. Julie vient de recevoir les résultats de son examen pour devenir fleuriste. Elle a enfin trouvé un métier qui lui plaît et veut aller au-delà de son bac pro ; en effet, la semaine suivante, elle fêtera ses 18 ans et ceux de son frère jumeau.

Ma belle-fille m'a demandé si j'avais envie de faire un plongeon dans la piscine, je n'ai rien trouvé d'autre, j'ai accepté. Nous sommes allées nous changer.

J'ai enfilé une paire de maillots de bain et je suis sortie de la chambre de mon mari ; quelques secondes plus tard, Julie est sortie de sa chambre. Je l'avoue : cette petite fille devenue jeune femme, que j'ai vu grandir au fil des années, en la voyant devant moi dans un beau bikini bleu à fleurs blanches, ses belles fesses rebondies, ses seins qui se dessinent vraiment, je me surprends à être attirée par son apparence, à la vouloir : belle comme sa mère, une copie conforme, séduisante et sexy.

Cette pensée ne dure que quelques secondes, mais je ressens l'envie que ma femme revienne pour la satisfaire, et je suis partagé entre la frustration et l'excitation (la veille, nous n'avons pas pu faire l'amour à cause de son rendez-vous chez le médecin, mais j'ai eu droit à une fellation comme je les aime).

Julie me dépasse dans ce couloir étroit et, bien que je me presse contre le mur pour la laisser passer, je sens son parfum, le même que celui de sa mère, et le frottement de ses fesses contre moi, sur mon sexe, ne calme pas mon excitation. Oui, sa mère devait revenir bientôt. Je n'avais jamais eu de pensées sexuelles pour la fille de ma concubine, mais entre l'odeur et la vue de cette copie de ma femme, ma température était tout simplement montée, et ce n'était pas la seule chose qui montait...

J'ai suivi Julie dans la piscine, en essayant de calmer mon érection grandissante à l'intérieur de mon caleçon, qui devenait trop serré à la vue du dos et des fesses de ma belle-fille, de la lumière du soleil sur ses cheveux auburn et du mouvement de ses jambes. Je la regarde : elle est athlétique et a des jambes magnifiques qui se terminent par un cul un peu large - taille 40 - mais dur. Mon érection s'accentue un peu, mais je n'ai aucune envie de me masturber : je veux garder mon excitation pour Christine quand elle reviendra. Je m'imagine en train de lui faire l'amour : grosse erreur, et mon sexe me met en garde, impossible d'arrêter l'érection.

Julie passe ses mains sur le bas de son maillot, sur ses fesses, pour le remettre en place. Je vois une partie de sa chair qui gigote et une partie de sa culotte ; même si je n'ai jamais pensé à baiser ma belle-fille, je la trouve belle et attirante. Nous arrivons à la piscine.

Julie et moi jouons et nageons. Nous nous éclaboussons, nous nous enfonçons l'un dans l'autre, bref, exactement comme nous le faisons depuis que je lui ai appris à nager. Mon excitation s'est dissipée et, par jeu, je passe derrière elle pour la prendre et la jeter dans l'eau : elle a toujours aimé ça depuis qu'elle est toute petite.

Aujourd'hui, la sentir contre moi, son dos contre ma poitrine, un bras sous ses seins, l'autre sous ses fesses aussi douces que celles de sa mère, me fait à nouveau frissonner ; je me rejette en arrière et la mets sur moi. La prochaine fois, je pense à la mettre sur mes épaules pour sentir son entrejambe sur ma nuque, juste pour le plaisir, juste parce que je suis excité.

Il n'est pas temps : quand elle remonte, le haut de son maillot de bain a disparu. Elle rit, heureuse, sans se rendre compte de ce qui s'est passé, avec de l'eau dans les yeux. Je ne peux détacher mon regard de ses seins, de ses beaux seins, plus gros que ceux de sa mère, et je vois ses tétons épais. Je vois ses tétons épais et durs, je vois ma femme en elle, je n'en peux plus. Julie s'aperçoit qu'il n'est plus là et lâche un 'fuck', même sa voix me fait de l'effet. Par réflexe, je me retourne, gêné, et j'essaie de repousser l'excitation que je sens monter dans ma culotte et l'envie folle de me masturber dans la chambre.

- Tu l'as perdu dans l'eau, tu n'es pas loin.

- D'accord, je le vois, il est juste à côté de toi. Tu peux me le passer ?

- Pas de problème.

Je me laisse guider par Julie, toujours dos à elle, de peur de dévoiler mon érection et qu'elle s'en aperçoive. J'avance à reculons, toujours guidé par ma belle-fille, qui me fait aller où elle veut dans la piscine, une course-poursuite aveugle mais amusante.

Sentant ce morceau de tissu dans ma main, la forme des bonnets, la douceur, j'imagine ses seins à l'intérieur, je les caresse ; cela rend mon érection encore plus intense, je lui tend le haut de maillot, qu'elle ne prend pas tout de suite.

- Tu as l'air gênée, ma Gabinou.

- Pourquoi, ma petite princesse ?

(Vieilles blagues entre elle et moi, ces surnoms)

- Quand maman et moi sommes devant toi pour discuter de nos vêtements, de notre style ou autre, tu nous réponds toujours qu'on se ressemble comme des sœurs ou des jumelles, alors me voir les seins nus ne devrait pas te gêner s'ils sont semblables à ceux de maman. Alors pourquoi me tourner le dos ? Alors pourquoi me tourner le dos ?

Dos à ma belle-fille et à ses beaux seins, je ne trouve rien à dire. Je la sens enlever son haut de bikini, à mon grand regret ; c'était doux et excitant de le sentir dans ma main.

- Je ne sais pas quoi te dire, ma petite princesse. Je t'ai vue enfant, je t'ai vue grandir, nous avons souvent joué ensemble et je sais que je suis comme un père pour toi. Il ne serait pas juste que je te regarde en te rendant ta blouse : ce serait te regarder comme un homme cruel ».

Elle remettait son chemisier. Je l'ai entendue marmonner en essayant de le raccrocher ; j'espère qu'elle me demandera de l'aide. C'est génial qu'elle me le demande, comme mon sexe : j'ai l'impression que ma culotte a rétréci, c'est beau et douloureux à la fois.

- Et c'est ainsi.

Merde, tant pis pour le fantasme de toucher sa peau en l'aidant à enfiler sa chemise. Je me suis à peine retourné pour lui faire face et il me semblait que mon érection n'existait pas, légèrement cachée par l'eau.

Mais je découvre avec plaisir que la fameuse fermeture éclair est sur le devant, alors qu'elle l'enlève à nouveau, me donnant le plaisir de revoir ces beaux seins, un peu cachés par les bonnets ouverts ; et, à ma grande surprise, Julie l'enlève complètement.

- De la merde et encore de la merde ! Enfin, passons. A propos de jeux, ça te dirait d'aller en faire un ?

Ne pouvant détacher mon regard de ma belle-fille aux seins nus, aussi séduisante que sa mère, je me force à la regarder dans les yeux : de beaux yeux marron clair qui contrastent avec les yeux verts de ma femme ; j'accepte.

Elle me regarde, je sens une tension palpable. Elle me dit qu'elle ne fera pas les trois mètres pour rentrer ; je deviens fou, mon cerveau s'emballe, mais je n'en ai pas le droit : j'ai toujours respecté les enfants de ma femme ; je ne veux pas trahir une promesse faite il y a quinze ans après une vieille affaire de famille dont Christine connaît les tenants et les aboutissants.

- On sort ?

Elle sort la première de la piscine, seins nus ; je ne peux m'empêcher de la regarder. Je suis dur comme un roc dans mon caleçon, mais je veux me sortir cette idée de la tête avant de sortir à mon tour. Julie me tire de mes fantasmes en se retournant et en disant :

- Tu viens ?

- J'ai oublié d'apporter une serviette, tu peux m'en apporter une, s'il te plaît ?

- Heureusement, j'ai la mienne.

Elle me l'apporte. Je peux voir ses seins, son ventre ; les lèvres de son sexe se laissent entrevoir à travers son bas de bikini. Elle attend au bord de la piscine ; je n'en peux plus, mon érection me tue, je suis sur le point de révéler mon érection. Je rassemble tout mon courage et je cours lui prendre la serviette des mains.

Je n'ai pas été assez rapide : je vois ses yeux se baisser sur mon pantalon. Je fais de même et réalise que mon gland est exposé ; mon sexe est raide et je suis submergé par la gêne. Je suis gêné, ça devient gênant avec sa fille, très gênant, mais en même temps extrêmement excitant. C'est une drôle de situation...

- Attends, je vais t'essuyer le dos, tourne-toi !

Je fuis son regard, qui est aussi gêné que le mien, mais le sien est curieux. Je me retourne et je remets mon sexe dans ma culotte. L'envie est forte, mais je ne peux pas penser à me masturber pendant que Julie m'essuie le dos. Je sens la serviette couler le long de mon dos, guidée par ses mains, et je frissonne. Parfois, je sens ses mains effleurer ma peau, encourageant mon sexe à rechercher à nouveau l'air libre.