Hanna - Aniel - E-Book

Hanna E-Book

Aniel

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Beschreibung

Une rencontre peut chambouler toutes vos certitudes... 


Déçue au cours de l’adolescence par mon premier amour, je mis temporairement fin à toute activité sentimentale. Je n’arrivais plus à accorder ma confiance aux hommes.
Encore vierge à 20 ans, je pris sur moi et me fixai un soir de fête comme objectif de perdre mon pucelage quoi qu’il arrive. Métissée Eurasienne, ma plastique attirait le regard de la gente masculine sans difficulté. Je voyais bien que je n’en laissais aucun indifférent lorsque je me trouvais en tête à tête avec l’un d’eux.
Alors que je pensais passer la soirée dans les bras d’un parfait inconnu, elle est apparue. Dès cet instant je n’ai pu détacher mon regard d’elle. Je ne pensais qu’à elle. Elle m’invita à la suivre sur la piste de danse. C’était un soir de 13 juillet : une nuit qui marqua à jamais le reste de ma vie.


Une romance torride à mettre entre toutes les mains des adeptes du genre !


À PROPOS DE L'AUTEURE


Timide durant son adolescence, Aniel a découvert les nombreuses possibilités qu'offre le sexe grâce à des rencontres marquantes en France, en Espagne et dans d'autres pays.
Passé par l'échangisme, le mélangisme, le sexe auprès de professionnelles et tout ce qu'offre les rencontres avec l'inconnu, il se livre au travers de ses récits érotiques et ses diverses expériences.

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Seitenzahl: 24

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ANIEL

HANNAH

DÉESSE DE L’AMOUR

PROLOGUE

La véritable origine du prénom Hannah vient de l’hébreux « HANNA », qui signifie  Grâce ou Gracieuse. Nous sommes, nous les femmes avantageusement servies par la nature avec cette peinture, à juste titre intitulée par le peintre Gustave Courbet « La Naissance du Monde ». Cet endroit magique, recouvert de poils de la même couleur que nos cheveux et nos cils, généralement légèrement frisés, parfois crépu, apprécié par certains hommes qui lui trouvent un attrait érotique est nommé scientifiquement pubis, ou Mont de Vénus. D’autre le désigne par tablier du sapeur. Poétiquement, il est surnommé la déesse de l’amour.

Hannah était de ces femmes privilégiée lors de sa création. Elle se déplaçait avec grâce et cachait sous ses vêtements un corps de déesse. Dès la première seconde, je suis tombée sous le charme de son visage d’ange au regard voilé par une mèche de cheveux, lui donnant une allure glamour. Je fus fascinée par son sourire au côté espiègle, celui qu’elle m’offrit lorsque nos yeux se sont croisés ce jour-là.

CHAPITRE PREMIER

C’était un soir de juillet. Le treize plus précisément.

Je venais de fêter mes vingt ans au cours d’un repas familial. Pour clore cette journée mémorable mes parents avaient choisi de nous amener contempler un feu d’artifice projeté au-dessus d’un lac. Sans emplois, mes finances me contraignaient à résider chez mes parents, le temps de trouver une situation stable.

Encore vierge malgré cet âge avancé, j’avais décidé de prendre sur moi et de remédier rapidement à ce « léger » problème en choisissant au cours du bal champêtre un homme gâté par la nature. Comme dit l’adage « on n’a pas tous les jours vingt ans » et cela se fête assurément. Métissée Eurasienne, ma plastique attirait la gente masculine sans difficulté. Je voyais bien que je n’en laissais aucun indifférent lorsque je me trouvais en tête à tête avec l’un d’eux. Etonnamment je n’arrivais pas à donner ma confiance à aucun d’entre eux, pas assez pour céder à leurs désirs de posséder ce qui m’était le plus cher. Les hommes étant ce qu’ils sont, mon refus de leur accorder ce qu’ils prétendaient être en droit d’obtenir, les dirigea auprès de filles plus « compréhensives ».

À 19 ans j’avais fait l’effort de me mettre nue pour Marc, un ami d’enfance que j’avais retrouvé dans une discothèque. Il avait été mon premier flirt, celui qui vous offre les premiers baisers inoubliables. Il était mon premier amour depuis la rentrée. Beau comme un dieu, toutes les filles lui tournaient autour. Il m’avait choisie et j’en étais fière. Je ne me faisais aucune illusion sur sa prétendue fidélité. Peu importe, je l’aimais et il me laissait croire qu’il éprouvait le même sentiment. J’avais à peine seize ans lorsque, cachés par des arbres situés derrière le lycée, il me montra fièremen