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Ce récit autobiographique rapporte les expériences voluptueuses du narrateur Cupidonnet.
POUR UN PUBLIC AVERTI. En opposition au Marquis de Sade, l'érotisme chez Restif n'est jamais lié à la souffrance, d'où le titre d'
Anti-Justine. Cet ouvrage est présenté comme « un livre plus savoureux que les siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies ; un livre où les sens parleront au cœur ; où le libertinage n’ait rien de cruel pour le sexe des grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort ». Le roman entraîne l'imagination et la corrompt, non pas par l'horreur, le dialogue salace ou une habile tentation, mais par le déluge d'une volupté innocente.
Cet ouvrage très rare, dont seulement quatre exemplaires sont conservés à la Bibliothèque nationale, reste le texte le plus célèbre de cet auteur prolixe.
EXTRAIT
Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Sade me tomba sous la main. Elle me mit en feu ; je voulus jouir, et ce fut avec fureur : je mordis les seins de ma monture ; je lui tordis la chair des bras... Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis à moi-même un Erotikon savoureux, mais non cruel, qui m’excita au point de me faire enfiler une bossue bancroche, haute de deux pieds.
Prenez, lisez, et vous en ferez autant. Personne n’a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l’infâme de Sade ; c’est-à-dire de
Justine,
Aline,
Le Boudoir,
La théorie du libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat ne présente les délices de l’amour, pour les hommes, qu’accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes.
Mon but est de faire un livre plus savoureux que les siens, et que les épouses pourront faire lire à leurs maris, pour en être mieux servies ; un livre où les sens parleront au cœur ; où le libertinage n’ait rien de cruel pour le sexe des grâces, et lui rende plutôt la vie, que de lui causer la mort ; où l’amour ramené à la nature, exempt de scrupules et de préjugés, ne présente que des images riantes et voluptueuses. On adorera les femmes en le lisant ; on les chérira en les enconnant : mais l’on en abhorrera davantage le vivo disséqueur, le même qui fut tiré de la Bastille avec une longue barbe blanche, le 14 juillet 1789. Puisse l’ouvrage enchanteur que je publie faire tomber les siens !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Nicolas Edme Restif, dit
Restif de La Bretonne, était destiné à l'Église. Mais, coureur de jupons, il renonça à la prêtrise et devint apprenti typographe puis compagnon-imprimeur. Grâce à ce métier, il rencontra des auteurs tels que Beaumarchais ou Cazotte et se mit lui-même à écrire en 1761. Sa vie personnelle fut compliquée. Bien que fils de riches paysans, il manqua sans cesse d'argent et sembla arrondir ses fins de mois comme indicateur de police. Écrivain prolixe s'essayant à plusieurs genres, il mourut cependant dans la misère. Il détestait Sade, qui le lui rendait bien, et se définissait comme l'anti-Sade.
À PROPOS DE LA COLLECTION
Retrouvez les plus grands noms de la littérature érotique dans notre collection
Grands classiques érotiques.
Autrefois poussés à la clandestinité et relégués dans « l'Enfer des bibliothèques », les auteurs de ces œuvres incontournables du genre sont aujourd'hui reconnus mondialement.
Du Marquis de Sade à Alphonse Momas et ses multiples pseudonymes, en passant par le lyrique Alfred de Musset ou la féministe Renée Dunan, les
Grands classiques érotiques proposent un catalogue complet et varié qui contentera tant les novices que les connaisseurs.
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Seitenzahl: 269
Veröffentlichungsjahr: 2018
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Quelle excuse peut se donner à lui-même l’homme qui publie un ouvrage tel que celui qu’on va lire ? J’en ai cent pour une.
Unauteurdoitavoirpourbutlebonheurdeseslecteurs. Iln’estrienquicontribueautantaubonheurqu’unelectureagréable. Fontenelledisait : « Iln’estpointdechagrinquitiennecontreuneheuredelecture. » Or, detoutesleslectures, laplusentraînanteestcelledesouvragesérotiques, surtoutlorsqu’ilssontaccompagnésdefiguresexpressives.
Blasé sur les femmes depuis longtemps, la Justine de Sade me tomba sous la main. Elle me mit en feu ; je voulus jouir, et ce fut avec fureur : je mordis les seins de ma monture ; je lui tordis la chair des bras… Honteux de ces excès, effets de ma lecture, je me fis à moi-même un Erotikon savoureux, mais non cruel, qui m’excita au point de me faire enfiler une bossue bancroche, haute de deux pieds.
Prenez, lisez, etvousenferezautant.
Personne n’a été plus indigné que moi des sales ouvrages de l’infâme de Sade ; c’est-à-dire de Justine, Aline, le Boudoir, la Théorie du libertinage, que je lis dans ma prison. Ce scélérat ne présente les délices de l’amour, pour les hommes, qu’accompagnées de tourments, de la mort même, pour les femmes.
Monbutestdefaireunlivreplussavoureuxquelessiens, etquelesépousespourrontfairelireàleursmaris, pourenêtremieuxservies ; unlivreoùlessensparlerontaucœur ; oùlelibertinagen’aitriendecruelpourlesexedesgrâces, etluirendeplutôtlavie, quedeluicauserlamort ; oùl’amourramenéàlanature, exemptdescrupulesetdepréjugés, neprésentequedesimagesriantesetvoluptueuses. Onadoreralesfemmesenlelisant ; onleschériraenlesenconnant : maisl’onenabhorreradavantagelevivodisséqueur, lemêmequifuttirédelaBastilleavecunelonguebarbeblanche, le14juillet1789. Puissel’ouvrageenchanteurquejepubliefairetomberlessiens !
Mauvaislivrefaitdansdebonnesvues.
Moi, Jean-Pierre Linguet, maintenant détenu à la Conciergerie, déclare que je n’ai composé cet ouvrage, tout savoureux qu’il est, que dans des vues utiles ; l’inceste, par exemple, ne s’y trouve que pour équivaloir, au goût corrompu des libertins, les affreuses cruautés, par lesquelles de Sade les stimule.
Floréal an II.
Je suis né dans un village près de Reims et je me nomme Cupidonnet. Dès mon enfance, j’aimais les jolies filles ; j’avais surtout un faible pour les jolis pieds et les jolies chaussures, en quoi je ressemblais au Grand Dauphin, fils de Louis XIV, et à Thévenard, acteur de l’Opéra.
La première fille qui me fit bander fut une jolie paysanne qui me portait à vêpres, la main posée à nu sur mes fesses ; elle me chatouillait les couillettes, et me sentant bander, elle me baisait sur la bouche avec un emportement virginal, car elle était chaude parce qu’elle était sage.
La première fille à laquelle je fis des attouchements, en conséquence de mon goût pour une jolie chaussure, fut ma première puînée, qui s’appelait Jenovefette. J’avais huit sœurs, cinq aînées d’un premier lit, et trois puînées. La seconde de celles-là était jolie au possible ; il en sera question ; la quatrième avait le poil du bijou tellement soyeux que c’était une volupté seulement de le toucher. Les autres étaient laides. Mes puînées étaient toutes trois provocantes.
Or, ma mère préférait Jenovefette, la plus voluptueusement jolie, et dans un voyage qu’elle fit à Paris, elle lui apporta des souliers délicats. Je les lui vis essayer, et j’eus une violente érection. Le lendemain, dimanche, Jenovefette mit des bas fins blancs et neufs de coton, un corset qui lui pinçait la taille, et avec son lubrique tour de cul elle faisait bander, quoique si jeune, mon père lui-même, car il dit à ma mère de la renvoyer. (J’étais caché sous le lit pour mieux voir le soulier et le bas de la jambe de ma jolie cadette). Dès que ma sœur fut sortie, mon père renversa ma mère et la carillonna sur le pied du lit sous lequel j’étais, en lui disant :
« Oh ! prenez garde à votre fille chérie ! Elle aura un furieux tempérament, je vous en avertis… Mais elle a de qui tenir, car je baise bien, et voilà que vous m’en donnez, du jus de con, comme une princesse… »
Je m’aperçus que Jenovefette écoutait et voyait… Mon père avait raison ; ma jolie cadette fut depuis dépucelée par son confesseur, ensuite foutue par tout le monde, mais elle n’en est que plus sage à présent.
Dans l’après-dînée, Jenovefette vint au jardin, où j’étais seul. Je l’admirai, je bandai. L’ayant abordée, je lui pressai la taille sans parler ; je lui touchai le pied, les cuisses, un conin imberbe et joli s’il en fut jamais ! Jenovefette ne disait mot ; alors, je la fis mettre à quatre, c’est-à-dire sur les mains et sur les genoux, et à l’imitation des chiens, je la voulais enfiler ainsi en hennequinant et saccadant de toutes mes forces, comme fait le chien, et lui comprimant fortement les aines de mes deux mains ; je lui faisais cambrer les reins, de sorte que son conin était aussi à ma portée que le trou de son cul ; je l’atteignis donc et je mis le bout entre les lèvres, en disant :
« Hausse, hausse le cul, que j’entre !… »
Mais on sent aussi qu’un conichon aussi jeune ne pouvait admettre un vit qui ne décalottait pas encore. (Il me fallait une conasse, comme je l’aurai bientôt). Je ne pus qu’entr’ouvrir un peu les lèvres de la fente. Je ne déchargeai point, je n’étais pas assez formé… Ne pouvant enfiler, je me mis, aussi à l’imitation de mes modèles, à lécher le jeune conin… Jenovefette sentit un chatouillement agréable sans doute, car elle ne s’ennuyait pas du jeu, et elle me donna cent baisers sur la bouche, lorsque je fus debout. On l’appela et elle courut.
Comme elle n’avait pas encore de gorge, dès le lendemain elle se mit des tétons postiches, sans doute parce qu’elle avait ouï vanter ceux de sa mère ou de ses aînées. Je les remarquai : je la fis chausser, et l’ayant placée commodément sur son lit, je m’escrimai près de deux heures. Je crois, en vérité, qu’elle émit, car elle s’agitait comme une petite enragée à mon lèchement de con… Dès le surlendemain, on l’envoya en apprentissage à Paris, où elle remplit l’horoscope tiré par mon père.
Mes autres sœurs étaient l’une sérieuse, elle me retint dans les bornes, mais j’ai depuis foutu ses deux filles à Paris ; ma troisième était encore trop jeune ; ç’a été une superbe fille à dix-huit ans ; je me rejetai néanmoins sur cette enfant, lorsque je m’aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me fallait un con, depuis que j’en avais palpé un. Je patinai Babiche ; enfin, un dimanche qu’elle était bien arrangée et que ma mère l’avait baignée, je la gamahuchai.
Ce fut à cette bénigne opération que je fus surpris par l’ardente Madeleine au con soyeux ; elle nous examina longtemps avant de nous troubler, et voyant que la petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remîmes décemment. Madeleine ne dit mot ; elle renvoya Babiche, puis elle hasarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la paille de la grange, où j’avais attiré Babiche, et lorsque je fus par terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de ça, jambe de là ! Par hasard je portai la main sous ses jupes, et j’y trouvai l’admirable con soyeux. Ce poil divin détermina mon goût pour elle. Je devins fou du con de Madeleine Linguet, je lui demandai à le baiser.
— Petit coquin ! me dit-elle, attends un moment.
Elle alla au puits tirer un seau d’eau et s’accroupit dessus… Elle revint et badina encore. Enflammé, hors de moi, je lui dis, dans ma fureur érotique :
— Il faut que je lèche ce joli trou !
Elle se mit sur le dos, les jambes écartées, je léchai ; la belle Madeleine hocha du cul :
— Darde ta langue dedans, cher petit ami ! me disait-elle, et je dardais, et elle haussait la motte.
Je fourgonnais avec rage !… Elle eut tant de plaisir qu’elle se récria. Je bandais comme un petit carme, et comme je ne déchargeais pas, j’avais toujours la même ardeur ; aussi m’adorait-elle. Obligée de me quitter, Madeleine me donna des friandises, que je mangeai avec Babiche.
Un soir, ma sœur au con soyeux me dit :
— Cupidonnet, ta jolie broquette est toujours bien roide, quand tu me lèches. Il me semble que si nous étions dans le même lit, tu pourrais la faire entrer dans la bouche de ma petite marmotte que tu aimes tant à sucer et dont le poil est si doux ! J’aurais sûrement bien du plaisir ! Et peut-être toi aussi ? Viens c’te nuit…
Quand tout le monde fut endormi, je me glissai dans le lit de ma grande sœur. Elle me dit :
— J’ai vu mon père, un jour qu’il venait de caresser ma sœur, la belle Marie, qui partait pour Paris, courir sur ta mère, sa grosse broche bien roide, et lui fendre la marmotte ; je vais te montrer, tu feras comme lui.
— Et moi aussi, je l’ai vu.
— Bon ! bon !
Elle se disposa, me plaça sur elle, me dit de pousser, et riposta. Mais elle était pucelle, et quoique bandant roide, je ne pus introduire, je me faisais mal. Pour Madeleine Linguet, elle déchargea sans doute, car elle se pâma.
Oh ! que je regrettai ce joli con soyeux, que je léchais et fourgonnais depuis six mois ! Mon père, Claude Linguet, qui ne me ressemblait pas, éloignait ses filles dès qu’elles l’avaient fait bander. On prétend que Madeleine avait tenté de se le faire mettre par lui… Quoi qu’il en soit, trois jours après, elle partit pour la capitale, où notre frère aîné, l’ecclésiastique, lui avait trouvé une place de gouvernante d’un chanoine de
Saint-Honoré. Ce cafard ne tarda pas à connaître ce qu’elle valait. Il y avait une porte dérobée, de lui seul connue, qui donnait dans la chambre de ses gouvernantes, qu’il allait patiner durant la nuit. Mais il n’avait jamais trouvé de con aussi joli, que le con soyeux de Mlle Linguet ! Il voulut le voir. Sa beauté le ravit, et il n’eut plus de repos qu’il ne l’eût foutu. Une nuit, qu’elle dormait d’autant plus fort qu’elle en faisait semblant, il la gamahucha. Elle déchargea sensiblement. Aussitôt le chanoine monte sur elle et l’enconne. Elle le pressa dans ses bras, en remuant du cul.
— Ah ! mignonne, lui dit-il, que tu as le mouvement bon !… Mais n’as-tu pas de mal ? car je te crois un peu putain !…
Sa chemise et les draps ensanglantés lui prouvèrent qu’elle était pucelle. Il l’adora. Elle foutit saintement avec ce saint homme pendant deux ans, et le mit au tombeau. Cependant il la dota ; ce qui fit qu’elle épousa le fils du premier mari de ma mère.
Comme après le mariage de Madeleine et son retour à Reims j’étais un peu plus formé, je désirai vivement de le lui mettre. Depuis plus de deux ans, j’en étais réduit à patiner et gamahucher ma sœur Babiche, avec quelques-unes de nos cousines germaines. Mais, ou mon vit grossissait, ou tous ces conins imberbes rétrécissaient… Je demandai un rendez-vous nocturne à la nouvelle Mme Bourgelat. Elle me l’accorda pour le soir même. Nous étions à notre ferme, et son mari venait de partir, pour se rendre à Reims, où une affaire l’appelait. Je ne sais par quelle aventure, cette même nuit, mon père se trouva incommodé. Ma mère, après l’avoir secouru, craignant de le gêner, alla se mettre auprès de sa bru. Celle-ci, la voyant endormie, se leva doucement, pour venir coucher avec moi, tandis que de mon côté j’allais à elle. Nous ne nous rencontrâmes pas, malheureusement !… Je me mis à côté de la femme que je trouvai dans le lit. Elle était sur le dos ; je la montai tout endormie et l’enconnai. J’étais surpris d’entrer aussi largement ! Elle me serra dans ses bras, hocha quelques coups de cul, moitié assoupie, en disant :
— Jamais ! Jamais, vous ne m’avez donné tant de plaisir !…
Je déchargeai aussi, mais je m’évanouis sur ses tétons, encore fermes parce qu’elle n’avait pas nourri, et qu’on ne les lui avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous au moment où je m’évanouissais.
Elle fut bien étonnée des mots que venait de prononcer sa doublement belle-mère ! Elle comprit que je l’avais foutue, et elle me reporta dans mon lit encore évanoui… Ainsi donc, c’est dans le con maternel que je venais d’émettre ma première semence !… Ma mère, entièrement éveillée, dit à Madeleine :
— Mais que faites-vous donc, ma fille ?
J’étais revenu à moi. Ma sœur retourna au lit de ma mère, qui lui dit tout bas :
— Ma bru, vous avez de drôles de façons !…
— Mon mari, répondit Mme Bourgelat, me fait souvent mettre dessus ; je rêvais, et je l’ai fait. Eveillée, je suis sautée du lit.
Ma mère crut cela.
Cependant le coup porta. Mme Linguet devint grosse, et accoucha secrètement d’un fils, beau comme Adonis, et elle eut l’adresse de le substituer à un garçon de son fils, cet enfant étant mort en naissant. C’est de lui dont il sera un jour question, sous le surnom de Cupidonnet, dit Petitcoq, mon neveu.
Huit jours s’écoulèrent. Après quoi, bien remis de mon évanouissement, j’eus un autre rendez-vous. Mais admirez mon malheur ! Nous avions été entendus d’une grosse tétonnière, notre moissonneuse, qui dormait dans la grange. Comme Mme Bourgelat devait venir dans mon lit, Mammellasse, qui m’aimait, car elle se branlait souvent à mon intention, et qui d’ailleurs n’était pas méchante, se contenta de dire à mon frère de fermer les nuits la porte de sa chambre à la clef, et de la cacher, pour cause… Il le fit. Mais jugez de mon étonnement, quand, au lieu d’un con soyeux, et de tétons ronds et délicats, je patinai une conasse à crins de cheval, et deux gros ballons bien gonflés. Elle se le mit, je poussai, et j’eus assez de plaisir. Mais je fus encore prêt à m’évanouir.
Enfin je le mis à Madeleine, dans le grenier à foin. J’allais comme un fou, en l’enconnant. Mais au troisième coup de cul qu’elle donna, je m’évanouis…
Madeleine évita de m’accorder des faveurs, dont les suites l’effrayaient ! Mais je ne sentis pas longtemps cette privation : huit jours après la dernière scène, je partis pour venir à Paris. J’y allais pour apprendre ; mais il ne sera pas ici question de mes études. Je fus logé chez la belle Marie, la seconde de mes aînées.
J’avais, pour mon pucelage, fait cocu mon père ; j’avais cornifié mon frère utérin, en faisant décharger, et foutant enfin avec émission une sœur paternelle qu’il avait épousée et que j’engrossai, car Bourgelat n’a jamais eu que cet enfant, venu au monde neuf mois après ma fouterie au grenier à foin. Mais j’avais encore bien de l’ouvrage, avec huit sœurs, dont six, ou du moins cinq, étaient souverainement enconnables.
Mais revenons à Marie, la plus belle de toutes… Un jour de Vierge, Marie était parée, chaussée avec ce goût particulier aux jolies femmes, et un superbe bouquet ombrageait ses blancs tétons. Elle me fit bander. J’avais quatorze ans ; j’avais déjà foutu et engrossé trois femmes, car Mammellasse avait une fille, qu’elle se vantait que je lui avais faite, et qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à Jenovefette Linguet. Ainsi, je n’eus pas des désirs vagues ; je tendais directement au con de ma provocante aînée. Après le dîner, elle alla dormir, dans une alcôve obscure, et s’étendit sur le lit conjugal. Elle avait vu bander son mari, dont la culotte blanche était juste, et elle voulait lui donner le plaisir de le lui mettre parée. Je me cachai pour les guetter. Mais mon beau-frère, après avoir pris les tétons et le con de ma sœur, avoir admiré ce dernier, en éclairant l’alcôve, se réserva sans doute pour la nuit suivante : il se retira doucement ; je lui vis prendre sa canne, son chapeau, et sortir. J’allai pousser un verrou.
En revenant, je refermai les rideaux, le mari les avait laissés ouverts, et sa femme troussée. Je me mis sur elle déculotté, bien bandant, et j’enfilai sa fente, suçant tantôt ses tétons découverts, tantôt ses lèvres entr’ouvertes. Elle me croyait son mari. Un bout de langue me chatouilla. J’étais entré tout calotté. Le filet, que je n’avais pas encore coupé, recourbait mon vit et le faisait paraître gros comme celui de l’époux. Je poussai. Ma belle s’agita, et mon long vit atteignit le fond. Alors ma sœur, demi-pâmée, se trémoussa. Je déchargeai…, et je m’évanouis…
Ce fut ce qui me fit reconnaître. La belle savoura les dernières oscillations de mon vit. Mais dès qu’elle eut éprouvé tout le charme d’une copieuse décharge, elle se déconna en me jetant sur le côté ; elle ouvrit les deux rideaux de l’alcôve, et me regardant :
« Ah ! grand Dieu ! c’est Cupidonnet ! Il m’a déchargé tout au fond ! Il s’est évanoui de plaisir !… »
Je revenais à moi. Elle me gronda, en me demandant qui m’avait appris cela ?
— Ta beauté, lui dis-je, adorable sœur !
— Mais si jeune !
Je lui racontai alors toute ma vie. Comme j’avais patiné, léché le conin de Jenovefette ; comme j’avais gamahuché, enfin enfilé le con soyeux de Madeleine ; foutu Mme Linguet, la croyant Mme Bourgelat ; comment Mammellasse s’était fait enconner par moi ; comment, ne pouvant me passer de con, je léchottais le conichon de Babiche ; comment j’avais engrossé les trois femmes que j’avais enconnées !
— Ah ! ciel !… Mais tu es bien indiscret !
— Je ne le suis avec toi que parce que tu es ma sœur aînée, que je t’ai foutue (le récit que je venais de débiter, les tétons de ma sœur, sa chaussure, me faisaient rebander), et que je vais, divine Marie, te foutre encore.
— Mais mon mari…
— J’ai poussé le verrou…
Elle me pressa contre son beau sein, en me disant tout bas :
—Petit coquin, fais-moi aussi un enfant !…
Je la réenconnai, j’émis sans m’évanouir.
La belle Marie n’avait pas encore eu d’enfant ; je fus père de Mlle Beauconin, fille unique de mon beau-frère de ce nom.
Je passerai toutes les fouteries communes ; ce n’est qu’à force de volupté, de tableaux libidineux tels que les savoureuses jouissances qui vont suivre, qu’on peut combattre avantageusement, dans le cœur et l’esprit des libertins blasés, les goûts atroces éveillés par les abominables productions de l’infâme et cruel de Sade ! Ainsi, je réserve toute ma chaleur pour décrire des jouissances ineffables, au-dessus de tout ce qu’a pu inventer l’imagination exquisement bourrelle de l’auteur de Justine.
Il faut néanmoins, avant de passer aux tableaux que je viens de promettre, rapporter en peu de mots une aventure extraordinaire que j’eus rue Saint-Honoré, à vingt ans accomplis, en faisant mon droit.
J’étais voisin vis-à-vis d’un vieil horloger qui avait une femme jeune et charmante. C’était sa troisième. La première l’avait rendu parfaitement heureux pendant douze ans ; c’était une ivresse. La seconde, durant dix-huit ans, à l’aide d’une sœur plus jeune par laquelle la dame se faisait remplacer au lit dans ses moindres indispositions, pour que son mari ne foutît jamais avec dégoût. Cette excellente épouse ayant cessé de vivre, l’horloger avait épousé, âgé de soixante ans, la jolie, la délicieuse Fidelette, putative d’un architecte et fille naturelle d’un marquis.
La beauté de cette troisième femme n’avait pas d’égale pour le moelleux et le provocant. Son mari l’adorait, mais il n’était plus jeune ! Cependant, comme il était riche, il lui prodiguait tout ce qu’elle paraissait désirer, mais il n’atteignait pas le but, et Fidelette était chaque jour plus triste.
Enfin, un soir, ce bon mari lui dit : « Mon ange, je t’adore, tu le sais ; cependant tu es triste, et je crains pour tes jours précieux. Tout ce que je fais ne te flatte en rien. Parle… c’est un ami tendre qui t’en conjure. Dis-moi ce que tu désires ? Tout, tout ce qui sera en mon pouvoir va t’être accordé…
— Oh ! tout…, dit la jeune femme.
— Oui, tout… fût-ce… Est-ce à ton cœur, est-ce à ton divin conin qu’il manque quelque chose ?
— Tu remplis mon cœur, cher mari. Mais j’ai des sens trop chauds, et quoique blonde cendrée, mon bijou a des démangeaisons… terribles !
— T’est-il indifférent qui le satisfasse, ou aurais-tu un goût ?
— Sans aimer, j’ai un goût, un caprice… Mais je n’aime que toi !
— Qui excite ta main, que je vois, en ce moment, chercher ton gentil petit chose ?
— Tiens ! ce voisin… qui me regarde… et dont… je me suis déjà plainte…
— J’entends, tu as dû me trouver bien bouché ! Passe au bain, mon ange adoré… Je reviens dans l’instant.
Il courut me trouver.
— Jeune voisin, on dit que vous aimez Mme Folin, l’horlogère ?
— Ma foi ! on dit vrai, je l’adore !
— Venez, il en arrivera ce qu’il pourra, allons !
Il me prit la main et nous allâmes chez lui.
— Déshabillez-vous, passez dans ce bain que ma femme quitte. Voilà de mon linge. Régalez-la en nouvelle mariée, ou ménagez-vous pour différentes nuits, à votre choix et au sien. J’adore ma Fidelette, mais pour cette épouse chérie, je suis content dès que je la vois satisfaite, heureuse !… Quand vous l’aurez foutue, que son petit conin aura bien déchargé, je l’enconnerai à mon tour pour lui porter mon petit présent.
Et il me fit entrer dans le lit où sa femme était depuis le bain. Il s’en allait.
— Mon cher mari, s’écria cette timide colombe, tu me laisses seule avec un inconnu !… Oh ! reste, et si tu m’aimes, sois témoin des plaisirs que je ne devrai qu’à toi.
Et elle nous baisa tous les deux sur la bouche. Le lit était vaste : le bon Folin s’y mit avec nous. Je grimpai sur le ventre de la jeune épouse, aux flambeaux allumés, au vu du mari, et j’enconnai roide !… Elle répercutait avec fureur !…
— Courage, ma femme ! criait l’excellent mari en me chatouillant les bourses. Décharge, ma fille ! Hausse le cul ! Darde ta langue !… Ton fouteur va t’inonder !… Toi, jeune vit, plonge… plonge… lime… lime-la !…
Nous déchargeâmes comme deux anges ; je la foutis six fois dans la nuit, et les deux époux furent très contents de moi. J’ai eu cette jouissance céleste et plus qu’humaine jusqu’aux couches de Fidelette, qui perdit la vie en la donnant au fruit de notre fouterie.
Je passerai sous silence mes conilleries avec ma femme clandestine, puisque je n’ai jamais avoué ce mariage. Conquette Ellès était une jolie grêlée, faite au tour, ayant un con tellement insatiable que je fus obligé de lui mettre la bride sur le cou et de la laisser foutre avec qui elle voudrait. Elle était fille d’un traiteur de la rue Saint-Jacques et sœur du libraire Petite - Beauté. Elle est morte syphilisée, longtemps après m’avoir donné deux filles. Ah ! qu’elle foutait bien ! Jamais femme enconnée n’a brouetté son cavalier comme Conquette !… Elle est la seule créature que j’aie enculée, mais sur son invitation, quand sa santé fut douteuse. Elle me donna ensuite le cul de sa sœur cadette, en me disant que c’était encore le sien. Et je le croyais. Mais la jeune personne se faisant enconner, je m’aperçus de la tricherie, dont je ne témoignai rien… Cela fut délicieux, mais ce n’est que de la fouterie ordinaire.
Quand ma belle-sœur fut mariée, ma femme séduisit sa coiffeuse, à laquelle elle recommanda bien de se faire enculer, alléguant que j’y étais accoutumé. Mais cette fille m’ayant averti dans la journée, je l’enconnai la nuit, sans que Conquette s’en aperçût. J’eus ainsi successivement six coiffeuses, toutes jolies, pendant douze ans, ma femme, qui les payait, croyant me cacher par ce moyen qu’elle avait la vérole. Ce fut ainsi que j’attendis les conins délicieux qui m’étaient destinés par la nature.
C’est après la dernière coiffeuse que Conquette mourante, ayant remarqué qu’un de mes cadets courtisait ma fille-nièce Beauconin, qu’on ne voulait pas lui donner, et qu’il en était aimé, proposa à Mariette de se le laisser mettre par son amant. Mais craignant que le jeune homme ne pût la dépuceler, elle me dit que la dernière coiffeuse m’envoyait une de ses élèves, qu’il fallait enconner, et sans parler, parce que, ma nièce couchant dans la chambre voisine, il y avait des raisons pour ne pas envoyer l’élève coiffeuse dans la mienne… Pourvu que je foutisse un jeune con, que m’importait ?… J’allai nu au lit ; je trouvai des tétons naissants, un conin qui tressaillait. Je dépucelai… J’avais enconné trois fois, lorsqu’on vint me faire retirer. Je crus que c’était la convention. Mais ayant écouté, je fus très étonné d’entendre éperonner de nouveau ma monture, et ma femme instruire, en les encourageant, son neveu et sa nièce. Je me remis dans mon lit tout pensif. Le lendemain, je demandai une explication à Conquette.
« Eh bien, quoi ! me répondit-elle, vous avez dépucelé votre nièce Beauconin avant que son cousin le lui mît, parce que je craignais qu’il ne pût la déflorer. »
Je fus enchanté. J’avais eu les prémices de la fille que j’avais implantée un jour de Vierge dans le con de la belle Marie Linguet. Mais je dissimulai ma joie. C’était un excellent pronostic pour les plaisirs dont je me flattais de jouir depuis longtemps, et dont le moment approchait. J’y touche enfin.
On sait que j’avais deux filles, ou que du moins ma clandestine les avait, car je me rappelle qu’elle prétendait que ses véritables filles étaient mortes en nourrice et que… et que… Elle parlait du roi… d’une princesse… Mais elle était si menteuse, que c’eût été une folie de la croire.
Conquette Ingénue, ma fille aînée, me causait des désirs dès l’âge de dix ans. Pendant que sa mère, non encore vérolée, couchait et foutait avec un galant, elle envoyait Conquette dans mon lit… Cette enfant avait la plus jolie conque. Je me fis une règle dès lors de la lui baiser tous les soirs, après lui avoir écarté les cuisses, durant son premier sommeil. J’introduisais légèrement la langue, mais sans lécher. Je m’endormais ensuite, elle remise sur le côté, ses fesses sur mes cuisses, et mon vit pressé entre les siennes.
Dans le jour, j’enconnais ou la maîtresse d’un certain Mivière, avocat, ou une jolie bossue toujours bien chaussée, qui demeurait dans la maison, ou une boiteuse des deux côtés, mais d’une délicieuse figure, et prête à se marier. Elle s’était laissé déflorer par son futur, et depuis ce temps-là, elle ne ménageait plus un très joli con blond. Quand ces trois fouteries me laissaient chômer trop longtemps, je fourgonnais, le vit serré entre les cuisses de Conquette Ingénue, qui, se sentant gênée, l’empoignait, tout endormie, et me faisait éjaculer. Elle avait onze ans. Elle sentit quelque chose et parla. On la mit dans un cabinet fermé.
Elle apprit à dessiner. Lorsqu’elle eut treize à quatorze ans, après une interruption de plus de deux ans, je me trouvai veuf et elle revint à la maison. Elle coucha dans une petite chambre à côté de la mienne. Elle était grandie, faite au tour ; elle avait le pied le plus parfait. Je la fis chausser par l’artiste le plus habile, sur la forme de sa mère, qui était celle de la marquise de Marigny. Puis je devins éperdument amoureux de mon ouvrage.
Mais personne jamais ne fut plus chaste que cette céleste fille, quoique ses mères, soit réelle ou putative, fussent putains, et soient toutes deux mortes de la vérole. Conquette Ingénue ne souffrait pas qu’on prit sur elle la moindre liberté… La providence le voulut sans doute, pour qu’elle en fût un jour plus désirable et plus voluptueuse !
Ainsi, je me trouvai réduit à la gamahucher pendant son sommeil, qu’elle avait profond, heureusement. Je profitais de son premier somme pour la découvrir, admirer son délicieux conin, qu’un joli poil follet commençait d’ombrager, et la gamahucher modérément. Ce ne fut qu’à la dixième nuit que je la sentis me riposter ; je redoublai les coups de langue, et elle émit !… La lumière était éteinte, quand Ingénue s’éveilla, en disant :
« Ah !… ah !… ah !… ça me chatouille… ah !… » Elle crut qu’elle avait rêvé. Cependant elle dagua sa jeune sœur, couchée avec elle, de plusieurs coups de coude, comme si elle eût pensé que cette enfant l’avait chatouillée.
Je me remis dans mon lit, enchanté de ce que ma fille eût déchargé. Cette émission me fit espérer qu’ayant éveillé son tempérament, je pourrais l’enconner bientôt, en faire ma maîtresse et me trouver le plus heureux des hommes !… Mais que j’étais loin de compte, et combien de vits devaient tenter de martyriser ce divin conin avant le mien ! Hélas ! Il fut prêt d’essuyer une iliade de malheurs.
Quoi qu’il en soit, ç’a été ma véritable inclination, la plus constante, la plus voluptueuse, que cette adorable fille, qui n’a eu de rivale que sa sœur. Non, je le dis d’après l’expérience, il n’est pas au monde de plaisir comparable à celui de plonger son vit bandant jusqu’au fond du con satiné d’une fille chérie, surtout si, remuant du cul avec courage, elle décharge copieusement ! Heureux ! Heureux qui cocufie et fait cocufier un gendre également détesté de tous deux !…
Conquette Ingénue eut ses règles la semaine suivante de celle où elle avait enfin déchargé. Ainsi elle était parfaitement nubile. Mais éveillée, je ne pouvais lui ravir aucune faveur essentielle. Ma sœur Marie, qui me connaissait, la mit en apprentissage de modes et du commerce de la bijouterie chez une jolie marchande, dont le mari était chef de bureau, et le bijou de la belle Conprenant me dédommagea, mais sans m’en consoler, des rigueurs de celui de ma fille. Je le mis aussi à ma nièce Beauconin, alors mariée à son cousin. Et sans ce double soulagement, aurais-je pu m’empêcher de violer la provocante Conquette Ingénue ? Eperdument amoureux d’elle, n’osant lui prendre de jour son joli petit poil follet, et ne l’ayant pas la nuit, je me contentais de la faire regarder dans la rue, par une fenêtre à large rebord, ce qui lui mettait à découvert un pied exquisement chaussé, une partie de la plus belle jambe, de sorte qu’en me baissant je voyais la cuisse et le conin, dans certains mouvements, ou lorsqu’elle se disposait à descendre. Je bandais comme un carme. Mais en ce moment arrivaient à point nommé, ou la maîtresse de Conquette Ingénue, ou ma jolie nièce Beauconin, que j’allais enfiler dans ma chambre, après avoir dit à ma fille de se remettre à la fenêtre pour les voir arriver, et au moyen de ma porte entr’ouverte, je voyais le pied provocant, la jambe voluptueuse de celle qui me faisait bander, en foutant soit sa maîtresse, soit sa cousine.
Quatre ans s’écoulèrent ainsi, et je n’eus plus de fouteries. Alors, plus amoureux que jamais de Conquette Ingénue, qui était superbe à dix-huit ans, je résolus de la faire coucher quelquefois chez moi, en la retenant tard, sous prétexte d’une indisposition subite. Elle avait toujours le sommeil aussi profond. Aussi, dès qu’elle était endormie, je la gamahuchais, et je la faisais copieusement décharger. Elle avait une motte superbe, ombragée d’un poil noir, doux et soyeux. Je brûlais d’envie de le lui mettre, mais elle s’éveillait toujours en déchargeant. Aussi me disait-elle :
« Je ne fais que chez vous de singuliers rêves, qui me rendent toute je ne sais comment !… »
La seule chose que je me permisse était de lui demander à baiser son joli pied chaussé, quelquefois sa jambe ; j’allai, un jour, en la tourmentant beaucoup, jusqu’à obtenir de toucher le poil satin de son bijou. Mais elle fut ensuite si fort effarouchée, craignant que je ne parvinsse à la déflorer avant mariage, qu’elle précipita, aidée de sa maîtresse Mme