L'invasion des barbares (TARIK CONNAR Mise hors-la-loi des étoiles 6) E-Book

Jens Fitscher

• Herausgeber: S. Verlag JG
• Kategorie: Fantasy und Science-Fiction
• Sprache: Französisch

Seitenzahl: 88

Veröffentlichungsjahr: 2025

Beschreibung

Alors que sur une planète lointaine, dans un autre temps, le nouveau Wayne-Zeno Uelisch est né et craint désormais pour la vie de sa nouvelle compagne Tarja, dont le corps a également été transformé par un Chron-Bastion, Tarik Connar est élevé au rang de "Plénipotentiaire de la Vie" et doit se défendre contre les attaques des guerriers animaliers du peuple Zisslies. Lorsqu'un jeune guerrier prend son parti, Connar accepte la responsabilité qui lui est confiée et se bat avec lui pour l'alliance planétaire HUrur contre les envahisseurs. Seul avec son nouvel ami Jet'ha, pourra-t-il éviter l'invasion de milliers de guerriers de Zisslie ? Le KORRELAT intervient alors et son meilleur ami Zeno est en grand danger.

Leseprobe

Jens Fitscher

TARIK CONNAR

Mise hors-la-loi des étoiles

Volume 6

L'invasion des barbares 

© 2021 Jens Fitscher

Illustration: S. Verlag JG

Editeur: S. Verlag JG, 35767 Breitscheid,

Tous droits réservés

1ère édition

ISBN: 978-3-96674-351-8

L'œuvre, y compris ses parties, est protégée par le droit d'auteur. Toute exploitation est interdite sans le consentement de l'éditeur et de l'auteur et fera l'objet de poursuites pénales et civiles. Cela s'applique en particulier à la reproduction électronique ou autre, à la traduction, à la distribution et à la mise à disposition du public.

TARIK CONNAR Volumes de la série :

Vol.1 Coordonnées spatiales inconnu

Vol.2 Un plongeon vers les étoiles

Vol.3 La bataille de l'avenir

Vol.4 Signal de détresse des étoiles

Vol.5 Hors-la-loi de la mort

Vol.6 L'invasion des barbares

Vol.7 Destructeur de l'avenir

Vol.8 Crise Case Time Sécularisation

Vol.9 La station spatiale secrète

Vol.10 Manipulation du temps irréversible

Vol.11 Aruru, le Créateur 

Vous ne pouvez pas allonger votre vie, ni l'élargir, mais seulement l'approfondir.

(Gorch Fock)

Contenu

Prologue

Représentant autorisé de la vie

L'attaque des Zisslies

Le réseau énergétique

Ami ou ennemi

La planète Koro

L'Alliance planétaire HUrur

L'invasion prévue

Le SORROW intervient

Alors que sur une planète lointaine, dans un autre temps, le nouveau Wayne-Zeno Uelisch est né et craint désormais pour la vie de sa nouvelle compagne Tarja, dont le corps a également été transformé par un Chron-Bastion, Tarik Connar est élevé au rang de "Plénipotentiaire de la Vie" et doit se défendre contre les attaques des guerriers animaliers du peuple Zisslies.

Prologue

"Je salue le porteur de l'Ancienne Force et Plénipotentiaire des Ellio'sh Tarik Connar, l'éventuel légataire du peuple Ellio'sh. Je suis le Chronor TOHIKUM."

La voix provenait directement de la fente vocale du petit robot blanc.

"Je suis le dernier bastion contre la fin inévitable. J'ai été construite comme une station secrète bien avant que les autres stations de Tohikum ne soient planifiées. Veuillez entrer dans la machine à élever maintenant."

Le petit robot a fait un pas sur le côté.

"Pour la deuxième fois dans la longue histoire du peuple Ellio'sh, il y aura un "Plénipotentiaire de la vie", doté des moyens ultimes de pouvoir pour sauver les peuples de l'univers de leurs propres créateurs."

Connar se tenait devant la boîte en forme de cercueil, quelque peu perplexe. Bien sûr, il avait compris qu'on attendait de lui qu'il grimpe dans cette chose. Mais ce qui devait exactement lui arriver là-bas ne lui avait pas vraiment été expliqué jusqu'à présent.

Ce qui a été décisif pour sa décision, c'est le coup de tonnerre lourd, semblable à un tremblement de terre, qui a secoué tout le TOHIKUM.

Il n'aurait même pas fallu les sirènes d'alarme qui avaient commencé à retentir pour qu'il soit tenté d'agir.

"Les guerriers déploient leurs destructeurs à deux hommes à l'intérieur de la station. Dommages graves aux systèmes électriques. Passage à la puissance de réserve."

Immédiatement, le faible bourdonnement constant qui était dans l'air s'est éteint. Un silence anormal s'est installé dans la pièce désormais sombre. "La machine d'amélioration est prête, Tarik Connar, porteur de la Force des Anciens."

Connar s'était déjà glissé dans la boîte et la dernière chose qu'il a vue, ce sont les yeux de fouine rougeoyants des deux robots de combat arachnéens à l'arrière de leur tête, alors que le conteneur en forme de cercueil se refermait lentement. Au début, il y avait un vide étrange dans ses pensées, mais le doute n'est pas apparu, c'est son intuition qui en était responsable, et elle était très calme.

Puis une phrase du TOHIKUM lui est revenue en mémoire. Elle l'avait qualifié de "légataire tardif du peuple Ellio'sh". Pourquoi un légataire tardif ? Il l'était déjà. 

Représentant autorisé de la vie

Les deux robots araignées de 15 tonnes et de 6 mètres de haut de l'Ellio'sh se tenaient comme des monuments massifs avec des boucliers de protection activés devant la machine de levage.

De lourdes vibrations ont parcouru la pièce. La cloison d'entrée blindée s'était fermée toute seule et hermétiquement lorsque Tarik Connar était monté dans le conteneur en forme de cercueil.

Des explosions peuvent être entendues de l'extérieur et un staccato de tirs énergétiques résonne dans les murs d'acier non isolés.

L'hologramme du panneau de contrôle de la machine d'élévation s'est éteint pendant quelques secondes avant de réapparaître. L'éclairage de la pièce s'est éteint et a laissé place au crépuscule rougeâtre de l'éclairage de secours.

Tout cela n'intéresse cependant pas les deux colosses de combat, qui montent une garde rigide contre tout mouvement devant le conteneur en forme de cercueil. Ils semblaient n'attendre que le moment où les guerriers animaux des Zisslies tenteraient de forcer le passage.

Leurs huit yeux brillaient d'un rouge menaçant dans la lumière couleur chair de la pièce. Leurs armes encombrantes étaient entièrement activées et pointées dans toutes les directions à l'écart du conteneur.

Flottant sur un coussin antigrav, les deux robots de combat ont pu tirer le meilleur parti de leurs huit extrémités, chacune contenant un destructeur laser super lourd.

Une fine poussière s'est échappée du plafond alors qu'une autre forte explosion secouait la pièce.

Les yeux à capacité infrarouge des robots de combat ont rapidement reconnu que la cloison commençait à chauffer lentement et régulièrement. Ils ont calculé une valeur secondaire de vingt minutes jusqu'à ce que le point de fusion soit atteint.

S'il n'y a pas de changement dans la situation actuelle d'ici là, ils devront faire face à une bataille finale féroce.

Leurs cerveaux positroniques calculaient plusieurs scénarios possibles et mémorisaient les meilleures actions d'évasion et d'offensive possibles.

La machine d'amélioration avait déjà commencé son travail. Il s'agissait d'améliorer les capacités spéciales de Connar et de les diriger dans la bonne direction.

Pour ce faire, la machine a dû pénétrer au plus profond de son subconscient ; la séquence de son unité corps-esprit a dû être réalignée à partir de zéro.

Pour ce faire, la machine d'amélioration avait besoin d'identités passées, d'épisodes de la vie de Connar qui avaient déjà une affinité inhérente avec les éléments de base de la création, à savoir l'énergie noire et la matière noire et baryonique, bien avant que Connar ne prenne conscience de son potentiel spirituel.

La machine d'amélioration a cherché et trouvé les premiers indices et lui a permis de revivre les épisodes afin de les utiliser pour construire les bases de ses nouveaux pouvoirs. Connar ne rêvait pas.

Son esprit a fusionné dans l'espace et le temps avec son ego dans le passé et a vécu à nouveau ce qui allait déterminer son avenir.

>Quand je me suis assis dans le lit, il faisait encore sombre dans la pièce. Mes pensées se sont déplacées avec ténacité et j'ai regardé le sol avec la petite coulisse devant le lit. C'était comme un tremblement de l'espace et du temps, comme si une grille avait été brisée et reconstruite en même temps. J'étais toujours assis au même endroit, mais dans mon esprit, dans ma perception immédiate, quelque chose a changé.

Ce ne fut qu'un bref moment. Peut-être pas cinq secondes. J'ai vu, ou plutôt expérimenté consciemment, une sorte de réinitialisation. Je me suis vu me redresser et m'asseoir au bord du lit. Ça a été froid pendant un court moment. Quoi qu'il en soit, c'était mon sentiment subjectif. J'ai eu un léger vertige et un frisson a parcouru ma colonne vertébrale. 

Je suis resté assis en silence pendant plusieurs minutes après, essayant d'imaginer et de comprendre ce qui s'était passé, encore et encore. J'ai touché le lit, le coureur, le sol. Tout était comme cela avait toujours été, maintenant encore. Après. Je suis allé à la fenêtre et j'ai tiré le volet jusqu'en haut. En ouvrant la fenêtre, des cris d'oiseaux amusés me parvenaient. Où étais-je maintenant ? Les couleurs de ce nouveau jour m'ont semblé particulièrement contrastées. 

Ma perception subjective a-t-elle été en quelque sorte influencée ? Je me suis assis sur le bord du lit et j'ai essayé de me souvenir de cette étrange perception que je venais d'avoir. C'était déjà plus difficile pour moi maintenant. Je me suis allongé sur le lit. Avais-je fait une pause dans mon film ou la réalité telle que je la vivais avait-elle été brièvement interrompue ? <

"Pensez à votre situation. Comment pouvez-vous évaluer les perceptions que vous venez de faire ? Pouvez-vous compter sur eux ? Probablement pas, parce que vous ne pouvez pas les expliquer. Vos cinq sens, sentir, humer, goûter, voir et entendre, dont votre corps dispose, ne vous ont rien apporté de bon."

La machine d'élévation a endoctriné ses pensées par des questions pointues et les a amenées dans la direction voulue.

"Question : existe-t-il d'autres sens que ceux connus ?"

>C'était mon heure militaire. À cette époque, j'étais retombé amoureux. Je m'étais assis avec elle toute la nuit dans un pub de rêve et nous avions non seulement parlé, mais aussi dansé et mes sentiments avaient joué au ping-pong. La soirée s'est terminée aussi merveilleusement qu'elle avait commencé.  Je l'ai emmenée au taxi et nous avons convenu de nous revoir le week-end suivant.  Puis, alors que je rentrais chez moi et que je ne cessais de voir son visage dans mon esprit, d'entendre sa voix et qu'elle me manquait déjà, une pensée dérangeante s'est immiscée. C'était déjà comme un éclair de lumière à l'intérieur de moi. La pensée semblait absolue.

"Tu l'oublieras à nouveau. Elle n'a pas de futur dans ta vie. Tu ne la reverras pas !"

Je me suis arrêté brusquement. Les poils de ma nuque se sont dressés. Quelles étaient ces pensées.  D'où venaient-ils ? Pas de ma part, en tout cas.  J'avais des sentiments très différents à ce sujet.  J'ai regardé autour de moi pendant un moment. Il n'y avait personne autour. J'ai continué à marcher lentement.  Encore et encore, j'ai secoué la tête.  Ces mots étranges ont résonné en moi. Les jours suivants, j'ai de nouveau oublié cet événement.  Ce n'est que le week-end, quand elle n'est pas venue, que j'ai commencé à réfléchir. Le numéro de téléphone qu'elle m'avait donné était également erroné.  En tout cas, je n'ai pu joindre personne là-bas. <

"Le subconscient traite toutes les impressions de la journée sans votre intervention. Les événements physiques sont rapportés par les organes des sens physiques. Le subconscient n'est pas fixé sur la matière. Il traite simplement tout, c'est-à-dire beaucoup plus d'informations que vos sens conventionnels. Cherchez à ouvrir votre esprit à la transcendance."

>J'ai aidé mon père sur le chantier de construction. J'ai rempli la bétonnière de sable et de ciment. Ensuite, j'ai eu besoin d'eau. Au moment où le tuyau d'arrosage créait un arc-en-ciel en remplissant l'eau, ils sont arrivés. D'abord un papillon citron.  Puis deux, trois et plus.  Je ne me suis pas laissé démonter. Après tout, c'était une journée d'été chaude et très sèche.  L'eau les attirait. Quand je suis allé remplir une autre pelletée de sable dans la machine, il y avait deux papillons assis dans le sable. Je ne pouvais pas atteindre le sable avec ma pelle sans les blesser ou les tuer. Ils ne voulaient pas partir.  Même avec mes bras et mes mains, je ne pouvais pas les chasser.  Alors j'ai attendu.