La Cellule Némésis - Brian L. Porter - E-Book

La Cellule Némésis E-Book

Brian L. Porter

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  • Herausgeber: Next Chapter
  • Kategorie: Krimi
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2023
Beschreibung

Un groupe de femmes rassemblées dans une clinique de fertilité Belge, où le docteur Margherita Dumas offre un traitement expérimental révolutionnaire à leurs problèmes d’infertilité. Un an plus tard, chacune des femmes donnent naissance à des bébés garçons en pleine santé.
Trente ans après, un mystérieux tueur commence à éliminer les enfants nés à la suite du programme du docteur Dumas L’inspecteur et détective Harry Houston et son équipe sont assignés à reconstituer l’affaire et traîner le tueur en justice.
Avec le temps et des indices au compte goutte, est-ce que Harry et son équipe peuvent trouver le lien entre les éléments du passé et les morts de la progéniture de la Clinique Sobel?
La Cellule Némésis de Brian L. Porter est une histoire effrayante d’exploitation scientifique, de meurtre et de mystère.

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LA CELLULE NÉMÉSIS

BRIAN L. PORTER

TRADUCTION PARBRUNO LAVAL

© Brian L. Porter, 2014

Conception de la mise en page © Next Chapter, 2023

Publié en 2023 par Next Chapter

Couverture illustrée par CoverMint

Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, personnages, lieux et situations décrits dans ce livre sont purement imaginaires : toute ressemblance avec des personnages ou des événements existant ou ayant existé n’est que pure coïncidence.

Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, électronique ou mécanique, y compris la photocopie, l’enregistrement, ou par tout système de stockage et de récupération d’informations, sans la permission de l’auteur.

TABLE DES MATIÈRES

Remerciements

I. Une Nouvelle Genese

Prologue

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 13

Chapitre 14

Chapitre 15

Chapitre 16

Chapitre 17

Chapitre 18

Chapitre 19

Chapitre 20

Chapitre 21

Chapitre 22

II. Le Passage Du Temps

Chapitre 23

Chapitre 24

Chapitre 25

Chapitre 26

Chapitre 27

Chapitre 28

Chapitre 29

Chapitre 30

Chapitre 31

Chapitre 32

Chapitre 33

Chapitre 34

Chapitre 35

Chapitre 36

Chapitre 37

Chapitre 38

Chapitre 39

III. Revelations Finales

Chapitre 40

Chapitre 41

Chapitre 42

Cher lecteur

La cellule Némésis est dédiée à la mémoire de ma mère, Enid Ann Porter (1914 – 2004), dont l’amour et le soutien ne m’ont jamais manqués, et à ma femme, Juliet, qui alimente ses instants dans notre vie quotidienne ensemble.

REMERCIEMENTS

La cellule Némésis a commencé sa vie suivant une courte histoire. L’une des premières à la lire, Sheila Noakes, l’appréciait tellement qu’elle voulait en savoir d’avantage sur les personnages, et m’encourageait à développer l’histoire dans un roman. Ecrire une version longue s’est avéré être une expérience agréable, pour laquelle mes remerciements vont à Sheila. Elle a également lu chaque chapitre afin que la nouvelle version ne perdre rien de l’attirance qu’elle sentait dans la version plus courte.

Le personnage d’Harry Houston repose en grande partie sur l’aide et l’information qui m’a été fourni par l’Inspecteur en Chef des Détectives David Moffat de l’Université de la police écossaise à Tulliallan dans la région de Fife. Son aide a été inestimable dans le développement du personnage d’Harry Houston en tant que personnage et comme un officier de police.

Malcolm Davies a lu et relu La cellule Némésis tant de fois qu’il la connait mieux que moi-même, et je le remercie de son temps ainsi que ses efforts en s’assurant que l’histoire soit restée fluide et concise.

A Graeme S. Houston je lui dois mes remerciements pour la superbe conception de la couverture pour à la fois le livre électronique et les versions papier du livre, et ses encouragements en cours de route. Pour avoir trouvé une maison d’édition pour la version imprimée, ma gratitude va à mon agent Aidana.

En fin de compte, comme toujours, mes remerciements vont à la chère femme Juliet, pour sa patience et son soutien suivant les longues heures qu’elle a passé assise en écoutant le son de mes doigts sur le clavier. Ses critiques honnêtes aident à garder mon écriture droite et précise.

PARTIEUN

UNE NOUVELLE GENESE

PROLOGUE

PRINTEMPS 1974, OSTENDE, BELGIQUE

La femme hurlait, un cri primaire qui représentait la nature inchangée de l’humanité, la continuité physique à travers les âges. Bien qu’elle se le soit promise à elle-même cela n’aurait pas d’importance peu importe la douleur, elle avait finalement cédé à l’envie la plus naturelle associée à la naissance d’un enfant, et au moment où finalement la tête forçait le chemin du canal pelvigénitale et fit son chemin lentement dans le monde, un corps ne pouvait pas en supporter d’avantage. Elle avait entendu tant de fois ce cri par le passé, des autres dans la même position, et avait pensé que ces femmes était faible et incapable de se contrôler. Mais elle le savait.

L’homme dans sa blouse blanche dont elle saisit la main fermement lui parlait doucement, la rassurant, la câlinant. “Cela ne devrait pas être long, il sera bientôt là, et tout ira bien.”

Elle était transpirante; ses jambes souffrait d’être tenu à part depuis si longtemps par les étriers. Il insistait sur elle, au cas où il aurait besoin de prendre des mesures immédiates si des complications se développaient, et son dos souffrait comme s’il n’était plus jamais exsangue de douleur. Encore et encore dans sa tête elle se demandait si tout cela valait ses souffrances et l’humiliation, l’exposition qu’elle endurait, et encore et encore la réponse lui revenait. Bien sût que cela valait la peine!

Comme l’homme l’avait promis, c’était bientôt fini. La douleur se calmait progressivement, et la femme, libérée au moins du poids qu’elle portait dans son ventre pendant tant de mois, et suivant la douleur de l’accouchement fuyant sa mémoire, s’endormait. L’homme était assis en la regardant de contentement, sachant qu’entre eux, ils avaient accompli quelque chose de spécial, peut être comme tous les hommes le sentent en assistant à la naissance d’un enfant, bien que ce fût plus que spécial, et il le savait. Il n’avait aucune idée de ce que l’avenir pourrait leur réserver, mais à partir de maintenant, il baignait dans une lueur de réussite comme il regardait les seins de la femme endormie se soulever doucement sous sa mince robe car elle respirait de manière rythmée dans un sommeil profond et bien mérité.

L’obscurité tombait sur le petit chalet isolé, le son des vagues océaniques se brisant contre la plage voisine. L’homme vérifiait une dernière fois que sa femme était heureusement endormie, et tel un sentiment combiné de soulagement et d’exaltation rampait sur lui, il succomba finalement à la fatigue de ses membres, ses yeux se fermaient lentement, et il dériva également dans un paisible sommeil. Il y avait tellement de travail à faire; cela demanderait du temps, de la patience et beaucoup de tâtonnements. Mais cela pouvait attendre jusqu’à demain.

UN

TURIN, AVRIL 1976

Les nouvelles du monde entier avaient à peine été bonnes le 2Avril de cette année, le Prince Sihanouk du Cambodge démissionnait comme monarque de son pays face à la marée montante du communisme qui avait pris possession de la terre, remplacé par Pol Pot, qui devint Premier Ministre, et dictateur virtuel de cette nation assiégée. Peu de gens auraient pu prévoir à ce moment là l’holocauste qui allait bientôt balayer le Cambodge, tuant des millions de personnes, apportant la peur, la dégradation et la pauvreté pour presque tous ceux qui demeuraient dans la sphère d’influence perverse de Pol Pot.

Alors que les événements en Asie du Sud-est servaient à faire les unes autour du monde, les nouvelles dans de moindres proportions mais d’une importance personnelle intense était le principal sujet de préoccupation au foyer d’Antonio et de Lucia Cannavaro, où les nouvelles d’une importance capitale étaient arrivées.

“La lettre, Antonio, j’ai reçu la lettre de la clinique. J’ai été accepté!”

“Chère, chère, je suis si contente pour toi, pour nous, ma belle femme. Peut-être que maintenant nous serons capable d’avoir une famille dont nous avons rêvé.”

“Oui, mon mari, et ils vont bien nous payer pour me permettre de les laisser utiliser leurs nouvelles méthodes sur moi.”

“Aussi longtemps c’est sûr, je suis heureux ma chérie. S’il te plait, puis-je voir la lettre?”

Lucia passait la lettre à son mari, qui commençait à lire

.

La Clinique Sobel

Bruxelles

28 Mars 1976

+32 (0)2 640 97 97

Chére Madame Cannavaro,

Je suis ravi de vous informer que, suite à votre demande pour séjourner la clinique, et les résultats ultérieurs des tests effectués par notre représentant à Turin, il a été décidé de vous proposer un programme expérimental de traitement de l’infertilité.

Comme cela a été fait lors de votre entretien local, vous devrez passer une période de deux mois en notre compagnie au cours de laquelle nous allons appliquer une technique révolutionnaire développée par notre équipe médicale pour mettre un terme à votre infertilité et j’espère que vous et votre mari seront bénis par votre propre enfant dans un futur proche.

A la fin de votre période ici, vous serez payé la somme convenue de deux milles dollars pour vous récompenser de votre temps que vous passerez ici et pour compenser la séparation d’avec votre mari.

Tout le temps que vous passerez ici, nous procéderons à des pratiques médicales sures et vous ne serez pas en danger de subir des blessures. Comme on vous l’a signalé dans votre entretien, toutefois, les pratiques que nous employons sont révolutionnaires dans le domaine de la médecine, et il est nécessaire que vous ne révéliez pas votre participation à ses essais à quiconque en dehors de votre famille immédiate, et de préférence seulement à votre mari.

Le non respect de ces conditions invalidera cette offre de participation, et votre place sera offerte à une autre dame fortunée.

Veuillez avoir la gentillesse de téléphoner au numéro de téléphone ci-dessus le plus tôt possible afin de confirmer votre acceptation à cette offre, et s’il vous plait faites suivre votre acceptation signée.

Félicitation une fois de plus pour votre réussite, et j’ai hâte de faire votre connaissance lorsque nous nous verrons à la clinique le 1 Mai.

Cordialement

Charles DeVries

Dr. Charles DeVries

Administrateur

Antonio et Lucia dansait autour de leur petit appartement ensemble. Ils étaient loin d’être riches, Antonio faisait de son mieux pour les faire vivre de son travail de mécanicien dans un petit garage au bas de la rue. Lui et Lucia avait essayé d’avoir un bébé depuis qu’ils étaient mariés il y a trois ans. Les tests leur ont montré qu’ils étaient très fortement improbables qu’elle puisse concevoir naturellement car il y avait un petit blocage dans les trompes de Fallope. De plus, Antonio avait un très faible taux de spermatozoïdes, ainsi leurs chances de conception naturelle étaient minimes.

La petite publicité dans le journal local avait semblé être un avertissement de Dieu à Lucia. La nouvelle clinique avait récemment ouvert ses portes au public, et ils cherchaient des femmes infertiles cliniquement diagnostiquées pour prendre par aux essais de leur nouveau traitement pour ce problème. Ils promettaient de très fortes chances de réussite, et même de payer celles qui acceptaient de donner de leur temps.

Lucia avait été ravie d’être inviter par au bureau du médecin local qui avait été désigné par la clinique pour vérifier son aptitude au projet, et avait participé à tous les tests nécessaires et parfois invasifs requis par la clinique. Le docteur avait envoyé son rapport à la clinique et à présent elle avait la lettre, et elle était heureuse, plus heureuse qu’elle ne l’avait ressentie depuis longtemps. Antonio partageait ce bonheur avec sa femme, dansant une fois de plus autour du petit, salon étroit de leur appartement à un lit, où ils espéraient bientôt entendre le son de la voix d’un bébé pour se joindre à eux.

“Nous devrons t’acheter de nouveaux vêtements pour le voyage, et pour ton séjour en Belgique,” dit Antonio.

“Nous ne pouvons pas nous permettre de telles extravagances, Antonio,” répliquait sa femme. “Nous devons économiser l’argent pour le moment où le bébé viendra.”

“Si c’est une réussite,” l’averti Antonio, essayant d’être réaliste par rapport à leurs chances.

“Oh, il viendra, ma chérie, je sais qu’il viendra,” répliqua-t-elle.

Au cours de la semaine prochaine, d’autre couples traverseront l’Europe et les Etats-Unis où d’autres recevront des lettres d’acceptations similaires, et le plaisir du jeune couple italien se reflétait dans la joie et l’excitation éprouvée par ceux qui ont de la chance d’avoir été sélectionnés. A ce moment, le Docteur Charles DeVries, administrateur, pionnier de la nouvelle clinique d’infertilité située au cœur de l’une des plus vieilles villes d’Europe, pourrait demander et se voir récompensé de ce pouvoir donné par ces jeunes gens, telle était leur gratitude de recevoir cette opportunité de devenir parent.

Ils ne pouvaient pas bien sur savoir que DeVries n’aurait peu où pas de rôle à jouer dans le traitement réel qu’ils recevraient à la clinique. Il était après tout l’administrateur de l’établissement, mais est-ce qu’il aimait être le visage public de la clinique, et il avait travaillé dur pour cultiver son image comme le père bienveillant et attentionné de l’établissement. Chaque visiteur de l’installation commentait sa capacité de mettre les plus nerveux des patients rapidement à l’aise.

En quelques semaines, les femmes venaient de partout sur le globe, par air, par mer, et par train en commençant leur séjour à la nouvelle clinique révolutionnaire, où pour chacune d’entre elles l’espoir était de voir leurs rêves de maternité devenir réalité.

DEUX

La dame regarda les deux bambins jouer joyeusement par terre en face d’elle. Les deux garçons étaient parfaits, presque trop parfaits, pensait-elle. Il était si difficile de distinguer l’un de l’autre. Jamais il n’y avait eu de tels jumeaux, pensait-elle, et elle les avait portés dans son corps, leurs avaient donné naissance, et maintenant elle était responsable à chaque minute de leurs vies quotidiennes. Ils l’adoraient, ils dépendaient d’elle, ils interagissaient avec elle d’une manière qu’elle n’aurait jamais cru possible à un moment de sa vie. Ils avaient commencé à parler il y a quelques mois, et tous les deux pouvaient marcher sans aide pendant un long chemin. Elle était fière de leurs progrès. Ils avaient l’esprit vif et actif, comme elle le savait depuis toujours. Après tout, il ne fallait pas chercher plus loin l’homme qui était assis dans le bureau de l’autre côté du mur de la salle de jeux, l’homme qui avait été à ses côtés à travers le processus dans son entier, qui lui avait tenu la main tandis qu’elle donnait naissance aux garçons, et dont le sang et le patrimoine génétique coulaient dans les veines de deux garçons sur lesquels tout le futur dépendait à présent. Son esprit fut une partie du plan qui les avait conçus.

La porte de la salle de jeux s’ouvrait, et l’homme à la peau blanche entra et traversa, puis se mit lui-même à côté d’elle sur le canapé.

“Ils ont l’air bien,” disait-il, avec un sourire convenu sur le visage.

“Bien sur qu’ils vont bien, ils vont toujours bien, n’est ce pas, les garçons?” répétait-elle, exprimant la question purement rhétorique en direction des deux enfants entrain de jouer qui manifestement n’étaient pas sur le point de fournir une réponse.

“Est-ce que tout se passe bien suivant le programme d’éducation des enfants?” demandait l’homme.

“Vous le faites paraitre si clinique,” répondit-elle.

“N’est ce pas ce que vous êtes, un clinicien et le meilleur dans votre domaine, devrais-je ajouter?”

“Oui, bien sur. C’est juste qu’ils n’ont pas de véritable conception et à quel point ils sont importants pour moi comme pour vous.”

“Un jour ils sauront, et ils seront fier de leur héritage, de leur éducation de leur lignée.”

La dame semblait tomber dans une réflexion profonde pendant une minute, et puis elle se leva du canapé et fit signe à l’homme de la suivre. Comme ils se retiraient à l’autre bout de la pièce, les jumeaux parfaitement à l’unisson, se sont stabilisés sur leurs jeunes jambes, et commençait à marcher lentement mais surement, avec une assurance rare pour de si jeunes gens, vers le couple. Alors qu’ils s’approchaient du couple souriant, les garçons ont tendu la main. En premier à l’homme, et puis la dame répondait de manière similaire. Les garçons prenaient la main des adultes, qui les conduisent dans une autre chambre d’enfant joliment décorée où les garçons dormiraient bientôt paisiblement sous les couvertures chaudes de leurs lits construit à cet effet, qui étaient équipés d’un tableau d’équipements de surveillance. C’était l’heure de leur sieste de l’après-midi.

Après s’être assuré que les garçons dormaient en sécurité et que les caméras qui enregistraient chacun de leurs mouvements étaient activés et fonctionnaient correctement, l’homme et la dame quittait la pièce, retraçant leurs pas sur le tapis bleu pastel de la salle de jeux, et firent route vers le bureau qui se trouvait de l’autre côté du mur.

L’homme resta longtemps à regarder par la fenêtre du bureau, comme la dame s’assit pour prendre des notes sur le bureau. Il regardait une famille de merles comme ils se nourrissaient sur la pelouse, la mère, le père et les deux oisillons chassant des vers juteux. Puis vient un écureuil qui courait le long du tronc du grand arbre situé au milieu de la pelouse, anxieux de trouver une nouvelle source de nourriture et revenir à son refuge secret.

L’homme avait de la chance de profiter d’un tel spectacle, depuis la fenêtre car la fenêtre de son bureau était parfaitement située pour observer les petites merveilles de la nature qui se déroulaient régulièrement dans le grand jardin extérieur. Contrairement à la vue panoramique, dans une chambre joliment décorée avec le chauffage central dans laquelle les jumeaux venaient d’être conduit, et dans la salle de jeux superbement équipée et bien éclairée que lui et la dame venait de quitter, il n’y avait pas du tout de fenêtre.

TROIS

BRUXELLES, LE 1 MAI 1976

“Bienvenue, Mesdames, Je vous souhaite la bienvenue. Mon nom est le Docteur Charles DeVries, et au nom de tous les médecins et du personnel de la clinique, je suis heureux de vous souhaitez un bon séjour en notre établissement et un avenir encore plus heureux en nous quittant. Si vous voulez bien donner tous vos prénoms à Angélique ici au bureau, une à la fois s’il vous plait, elle vous attribuera votre chambre et vous les montrera directement. Rappelez-vous, seulement les prénoms, s’il vous plait, Mesdames. Nous aimons préserver la vie privée de nos clients à la clinique, même les unes des autres, donc nous en faisons une condition pour que vous passiez votre séjour ici ce qui conduira à utiliser que vos prénoms lorsque vous conversez les unes avec les autres. Pas de surnoms s’il vous plait, Mesdames, jamais!”

Ce dernier mot fut livré avec une telle force de conviction que certaines des femmes réunies dans le foyer de la clinique ce jour là, elles avaient l’impression de rentrer dans une sorte de camp militaire étrange et qu’elles s’étaient adressées au sergent major du peloton des recrues, plutôt que d’être contrôlé dans une clinique pour la fertilité à la périphérie de la belle ville de Bruxelles par le charmant et extrêmement beau Docteur Charles DeVries.

Chacune de six femmes présentes dans l’espace de réception spacieux et lumineux de la clinique étaient arrivé ce jour, selon les instructions pré-arrangé du Dr. DeVries. Certaines étaient arrivées en Belgique, il y a un, deux où trois jours, mais avait arrangé l’hébergement dans différents hôtels jusqu’au moment où ce fut pour elle l’heure de se présenter à la clinique. Il était certains que chacune d’entre elles avaient été impressionnées comme leurs taxis respectifs les avaient transportés de la petite gare locale à la périphérie de la ville jusqu’à leur destination, et elles observaient les larges pelouses impeccables de l’établissement comme ils les conduisaient sur la route gravelé, qui craquaient de manière significative sous les pneus de leurs cabines. Les jardins bordant les pelouses étaient luxuriants et joliment aménagés, avec un éventail magistral de fleurs dans un ensemble de nuances inimaginables dans les vastes bordures, un vrai délice à voir.

Tout à l’approche de la clinique semblait parler de paix et de sérénité, d’harmonie, et d’un lieu où se détendre, faire de simples choses et apprécier. Il y avait déjà d’autres femmes à la clinique. Les nouvelles arrivées les voyaient se promener dans le parc et profiter du soleil printanier, semblant ne pas se soucier du monde. C’était vraiment un havre de paix, un lieu où elles pouvaient oublier les pressions du foyer, et se concentrer sur une seule chose qui leurs importaient le plus à cette période de leurs vies. Il serait vrai de dire que chacune de ses six femmes se sentaient comme si elles étaient arrivées à un carrefour de leurs vies, et que la nouvelle direction qu’elles étaient sur le point de prendre un tout nouveau avenir optimiste pour elles et les bébés qu’elles espéraient être les leurs avant pas trop longtemps.

Lucia Cannavaro était la première des femmes à atteindre l’accueil, son tempérament latin la faisant se précipiter pour être la ‘numéro un’ quand il s’agissait de vérifier et de leur attribuer leurs chambres. Ce n’était pas de la grossièreté mais c’était Italien!

“Mon nom est Lucia,” déclara-t-elle clairement à Angélique, la réceptionniste, collant strictement à la règle du prénom.

“Ah, oui, Lucia, vous êtes dans l’aile Blenheim, chambre numéro quatre,” disait Angélique, après avoir contrôlé une liste sur le bureau en face d’elle. Elle avait 44 ans, avec les cheveux blonds coupés à hauteur d’épaule, Angélique était une réceptionniste médicale très professionnelle. Elle était également infirmière comme en témoignant l’inscription vive sur son épaule, un uniforme blanc, et un badge identifiant son nom d’infirmière cousue à sa robe au dessus de sa poche vers son sein gauche, depuis laquelle nombre de stylos et une mini-torche se trouvaient, tout soigneusement rangés comme un vrai soldat.

“Prenez un siège, Lucia, et lorsque j’aurais alloué les chambres à toutes les autres dames, je vais pour chacune d’entre vous vous escortez jusqu’à votre logement.”

Lucia s’assit comme il lui était offert de s’installer dans l’un des confortables fauteuils qui étaient placés stratégiquement autour de l’accueil comme Angélique efficacement continuait son travail avec les autres. Comme elle attendait, elle écoutait les autres dames s’identifier auprès de la réceptionniste:

“Katerina,” disait la première, dans un accent que Lucia ne pouvait trouver, suivi de “Mon nom est Theresa,” cette fois dans un accent Irlandais indubitablement.

Angélique ne perdait pas de temps en assignant les deux chambres aux dames la une et la trois, dans la même aile comme Lucia. Il apparu que toutes les femmes seraient logés dans l’aile Blenheim à la clinique, celle-ci étant réservée à celles qui subissent les traitements et procédures expérimentales les plus récentes.

Katerina et Theresa bientôt rejoignaient Lucia dans les fauteuils en attendant, une première américaine nommé Tilly, puis une femme anglaise au nom d’Elizabeth et une fille d’aspect Slave répondant au nom de Christa chacune enregistrée par Angélique et leur attribuait leurs chambres. Il semblait que chaque dame aurait une chambre privée au cours de leur séjour à la clinique, comme le Docteur DeVries l’avait rapidement expliqué qu’il était nécessaire pour certaines procédures à réaliser qu’elles avaient besoin d’intimités, et on pensait que les clients à la clinique se sentiraient d’avantage comme chez elles si les procédures étaient réalisées dans des limites plus simples de leurs hébergements plutôt que dans des conditions d’avantage clinique des salles traitements des laboratoires utilisés dans certains traitements de fertilité les plus courants proposés dans l’établissement. Les traitements proposés dans l’établissement. Chacune à sa chambre, déclarait-il, elles étaient équipées de tous les équipements et appareils nécessaire pour effectué chaque aspect de leurs traitements, et si ce n’était pour le besoin d’air frais et d’exercice, elles pourraient effectivement passer tout leurs temps à la clinique dans leurs chambres, sans même voir la lumière du jour, bien que, comme il l’a fait remarquer en riant, ce serait comme une peine de prison, et pas du tout ce qu’elles étaient venus chercher.

Certaines des femmes ont rit nerveusement à ces mots. Certaines, y compris Lucia, sentait un léger frisson d’inquiétude alors qu’il parlait, comme si le bon docteur n’était pas aussi convainquant qu’il aurait du l’être. Aussitôt qu’Angélique eu fini avec Christa, elle pressa un bouton sur son bureau. Une minute plus tard, comme si par magie, une porte dans le panneau derrière elle glissait en s’ouvrant et un homme en veste et pantalon blanc apparaissait. La porte automatique s’était ouverte dans un telle silence que son entrée les prirent toutes par surprise, et tirait un où deux halètement des femmes entrain d’attendre.

“L’automatisation, la technologie du futur, Mesdames,” disait DeVries, sentant leur incrédulité.

Bien sur, aujourd’hui nous acceptons les portes automatiques coulissantes comme un appareil du quotidien dans les magasins où dans les bureaux mais, en 1976, de telles choses étaient une nouveauté, et comme généralement confiné dans la tête de la plupart des gens dans des scènes dans Star Trek où le Capitaine où les membres d’équipage approchaient d’un mur solide qui soudainement s’ouvrait dans un bruit pour en permettre l’accès jusqu’au pont où jusqu’à un autre quai du Vaisseau Spatial. Le petit groupe de femmes vu la révélation des portes automatiques comme si elles entraient effectivement dans un monde de science fiction.

Le jeune homme, qui se présenta lui-même comme Marc, n’était pas le capitaine Kurk, mais était en fait l’agent médical chargé d’escorter les femmes jusqu’à leurs chambre dans l’aile Blenheim. DeVries parlait une fois encore.

“Vous Mesdames aurez à présent deux heures pour vous installer dans vos nouveaux logements. J’espère que vous y trouverez toute satisfaction. Nous souhaitons que vous vous sentiez à l’aise ici. S’il vous plait, prenez le temps de vous rafraîchir, de prendre une douche, défaire vos bagages, et peut être téléphoné à vos maris pour les informer que vous êtes bien arrivés. Au bout de deux heures je rendrais visite à chacune d’entre vous afin de discuter de la direction que prendront vos traitements individuels. Vous êtes toute unique; vos problèmes de contraception sont individuels et exige une consultation en face à face à tout moment pendant votre séjour à la clinique. Aujourd’hui, tout est question d’assimilation et demain, vous rencontrerez l’équipe clinique qui réalisera les procédures réelles que nous espérons être une réussite en répondant à vos souhaits les plus chers.”

Lucia le considérait comme l’un des hommes les plus respectueux qu’elle n’avait jamais rencontré. Sa voix était calme et rassurante, et elle se sentait confiante qu’elle est prit la bonne décision en répondant à cette publicité.