Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Viktorya Diamond, ancienne romancière traversait la rue quand une voiture faillit la renverser. Aurore se précipita pour l'aider. Du haut de ses 12 ans, elle était très adulte. La romancière très touchée par ce geste se rendit le lendemain chez elle pour faire la connaissance de sa maman. Elle cherchait du travail. Viktorya lui proposa de venir travailler avec elle dans son manoir. Elle accepta, et le jour d'après, elles partaient pour le manoir Diamond. Quelques jours plus tard, la romancière reçue une lettre qui lui demandait de se rendre à son château sur l'île de Kowannora car il y avait des manifestations sismiques inhabituelles. Arrivées là-bas, Mary-Anne eu une drôle de sensation, comme si elle connaissait déjà cette île. Elle remarqua que sa fille Aurore attirait les animaux. Les fleurs avaient l'air de se retourner sur son passage. Mais que se passait-il sur cette île? Pourquoi la terre se mettait elle à trembler quand elle se rendait dans la clairière des Kowanns?
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 90
Veröffentlichungsjahr: 2023
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Dédicace
TABLE DES MATIERES
Une rencontre inattendue
Nouvelle vie
L’île de Kowannora
Le combat des peuples
UNE RENCONTRE INATTENDUE
Aurore était une petite fille de 12 ans. Elle vivait avec Mary-Anne sa maman. Elles habitaient dans un appartement assez vétuste. Mary-Anne enchaînait les petits boulots et travaillait très dur pour pouvoir faire vivre correctement sa petite fille. Aurore l’aidait beaucoup dans ses travaux ménagers. Quand elle rentrait de l’école, elle faisait ses devoirs, ensuite elle s’affairait à cuisiner pour que sa maman n’ait pas à s’en occuper en rentrant et puisse se reposer. Malgré tout, elles étaient heureuses toutes les deux.
Le lendemain matin en allant à l’école, Aurore aperçut une vieille femme qui traversait la rue. Une voiture arriva en trombe, la frôla et elle s’affala sur le sol. La petite fille courue pour secourir la vieille femme. Elle l’aida à se relever. Comme elle boitait Aurore l’installa sur un banc qui se trouvait à proximité. Elle voulait appeler un taxi pour l’amener à l’hôpital, mais la vieille femme ne souhaita pas y aller.
De l’autre côté de la rue, un homme aperçut la scène. Il s’approcha pour aider la petite fille.
C’était un homme distingué à qui on ne pouvait pas donner d’âge.
Il s’approcha et inspecta la cheville.
Elle lui coupa la parole.
Il traversa la rue et se dirigea vers une belle maison avec des balcons bien fleuris. Il revint quinze minutes après, avec un onguent et des bandages. Il s’agenouilla, prit très délicatement la cheville de la vieille dame, posa l’onguent et entoura la cheville de bandage.
Il alla chercher sa voiture, et se gara juste à proximité du banc. Aurore aida la vieille femme à se lever, et l’installa dans la voiture, en faisant bien attention à sa cheville.
En disant ses mots, elle prit les mains de la petite fille. À ce contact, elle ressentit une chaleur l’envahir. Elle la regarda.
La vieille femme regardait Aurore. Elle avait un regard très doux. Elle embrassa la petite fille sur le front et demanda à Simon de faire démarrer la voiture. Il remarqua que Viktorya regardait devant elle, l’air hagard.
Il fit démarrer la voiture, Aurore les regarda s’éloigner jusqu’à ce qu’elle ne la voie plus. Elle éprouvait un sentiment, qu’elle ne comprenait pas. Elle se dirigea vers le magasin pour faire ses courses et rentra chez elle.
Elle commença à faire ses devoirs. Elle s’activait à cuisiner et mettre la table pour le retour de sa maman, quand elle entendit la clé dans la porte.
Aurore lui raconta son histoire avec la vieille dame Viktorya.
Aurore en eut l’air attristée. Sa maman s’approcha, la prit doucement dans ses bras et lui murmura doucement.
Les jours passaient. Aurore pensait souvent à Viktorya. Puis un soir ou elle s’y attendait le moins, elle entendit frapper à la porte. Inquiète car elle était seule, elle s’approcha de la porte.
À ce nom, la petite fille ouvrit la porte. En voyant la vieille femme, elle en fut très émue. Elle la prit par la main et la fit entrer dans l’appartement.
Elle portait un grand panier qu’elle posa sur la table de la cuisine. Elle regarda autour d’elle. Elle remarqua les plantes qui étaient disposées sur une étagère. Il y avait du gui, des coquelicots, du millepertuis et de la mandragore.
Puis le claquement d’une clé dans la serrure la fit sursauter. Mary-Anne entra. Elle fut étonnée de voir une inconnue dans son appartement. Elle regarda sa fille.
Aurore les regardait discuter quand elle eut une idée.
La petite fille se tourna vers la vieille femme avec un regard interrogateur.
Elle s’affaira dans la cuisine, prit le panier et regarda ce qu’il contenait. Il y avait des pots de confiture, du pain, des gâteaux, des légumes et des fruits. Elle prit les légumes et commença à les nettoyer pour ensuite les faire cuire. Puis elles se mirent à table.
Quand elles eurent fini de manger, Viktorya demanda à Mary-Anne ce qu’elle faisait comme travail.
Viktorya regardait Mary-Anne et Aurore laver la vaisselle pour la ranger.
Mary-Anne fut étonnée de cette réponse.
Viktorya se tourna vers Aurore.
Mary-Anne et Aurore commencèrent à préparer quelques affaires. La petite fille regarda Viktorya d’un air triste.
Une fois qu’elles eurent fini de remplir leur sac, elles regardèrent tout autour d’elles. Cet appartement était rempli de souvenirs bons et mauvais.
Charles, le chauffeur de Viktorya, attendait à côté de la voiture. Il ouvrit la portière pour les faire monter. Aurore et sa maman n’étaient pas habituées à tant d’attention envers elles. Viktorya s’installa à côté de Charles et la voiture démarra.
UNE NOUVELLE VIE
Elles s’arrêtèrent aux endroits où travaillaient Mary-Anne, puis ils se dirigèrent vers la propriété de Viktorya. Ils arrivèrent vers un grand portail qui s’ouvrit tout seul à l’approche de la voiture. Elles traversèrent un beau jardin rempli de fleurs, puis une grande maison apparut. Aurore et sa maman avaient les yeux écarquillés. Viktorya les regardait d’un air tendre et amusé en même temps.
Elles franchirent une grande porte sculptée. Elles traversèrent un couloir ou il y avait des tableaux de paysages. Mary-Anne s’arrêta devant une peinture. Ce paysage lui rappelait quelque chose, mais elle ne savait pas trop quoi. Viktorya fut intriguée.
Elles continuèrent leur visite. La salle à manger était garnie de fleurs. Les rideaux aux fenêtres représentaient des oiseaux magnifiques. Le bois des chaises était sculpté en forme de petits anges. Dans la cuisine, Viktorya leur présenta Sophie, la cuisinière. C’était une femme d’un tempérament joyeux. Elle chantait tout le temps.
Sophie remarqua qu’Aurore regardait avidement la table ou trônait un beau gâteau. Elle s’approcha coupa une part et la tendit à la petite fille.
Elle se tourna ensuite vers Viktorya et Mary-Anne