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Comment ai-je pu sombrer ainsi dans les profondeurs abyssales du mal. Combien de 51 m'ont noyé dans une vie morose, de maux si noirs transformant les roses roses en roses noires. Dans ce recueil, je passe par la destruction de ma vie afin de pouvoir renaitre tel le phénix. Mais si je brule en enfer, restera-t-il des cendres afin de pouvoir renaitre ? La mort d'un amour est-il irréversible ? Peut-on guérir des affres de l'amour ? C'est des questions auxquelles je prose mon âme, un voyage intérieur mêlé de fantasmes, de mort back (de retour de la mort, n'allez pas penser autre chose), d'amour avec un brin d'humour autour car on en a tous besoin, pour finir sur une note positive et peut-être y trouver quelque chose d'autre, mieux que l'amour... Je publie ce recueil de proses parfois écrites de façon à les mettre en musique pour peut-être semer une petite graine dans un esprit s'en inspirant et la voir germer un jour, et entendre l'une d'entre elles chantée sur les ondes magiques. J'ai terminé l'écriture de ce recueil vers l'âge de 51 ans. C'est la suite de " Mary, tome 1 : 50 Ça se tente ". Il parle de ma rupture avec l'amour de ma vie dont je vous parlerai en détail dans le tome 3. Ce recueil est écrit avec la réforme de la nouvelle orthographe.
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Seitenzahl: 62
Veröffentlichungsjahr: 2021
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… À moi !
Dans mon pré en boule, je coule
L’
ÉCRITURE ÉMOI ET
M
OI ET MOI
L’écriture est une échappatoire qui me redonne gout à la vie en racontant mon histoire faite de défaites, de douleurs et de mélancolie. Si tout tombe à l’eau, est-ce peine perdue de vouloir continuer d’avancer ?
Je suis hanté par l’écriture
Pour quelle raison suis-je sur terre
Au devenir de l’homme
A
MOURS D
’
ENFER
Destroy
Dans ma bouche, dégout d’amour. Ma vie n’est qu’une poubelle où l’on trouve le meilleur de moi-même. Sauf mes souvenirs que je garde précieusement, afin de me remémorer les plus beaux instants, en essayant d’oublier les autres.
Écoute ma peinture
Poubelle ma vie
Mon adorée, (cf. Recueil Mary, tome 1 : 50 Ça se tente – « L’amour de ma vie ») que je croyais un amour éternel, je l’ai imaginée morte pour ne plus devoir souffrir, un peu à la manière de Freud quand il parlait de tuer symboliquement le père, et ainsi pouvoir grandir sans elle. J’ai fait le deuil de notre amour mais ma peine reste toujours vive. Alors je décide d’aller la rejoindre, et peut-être vivre heureux auprès d’elle dans l’au-delà.
Parole d’amour
La mort
Les bonnes choses
En Harley David song
Chao poteau
Aux larmes, hey, scélérat
On paye tous un jour l’addition
Mon cœur
C’est la vie
Petite mort
Oxymore
Ma faiseuse d’anges
Près de Prévert, comme son soleil immense et rouge
Comme les amants de Prévert
Après la mort, que reste-t-il de l’amour ?
Voyage intérieur
Souvenirs fantasmagoriques dans un rêve de renouveau.
Comme dans un voyage désorganisé
Mai et demi vient à mi-juin
Hymne à ma môme
Allongée dans l’air
Fanny
Caresser ton corps
Chaque jour je prie Dieu qu’elle revienne
De l’amour noir
En pleine nuit
Laissez-moi rêver
Conquêtes et re-con quéquette
J’implore à présent le bon Dieu pour faire renaitre mon amour comme il a ressuscité Jésus, car j’ai beau pêcher dans mes péripéties sexuelles, je ne le trouve plus. Rien y fait, à part dans mes rêves. Quand l’amour s’en va, la messe est dite.
Jésurrection
T’étais où ma belle
Ouvre-toi un peu
Chaque nuit
La pêche à la guigne
Mon saule et moi
Ma petite sirène
Ladies
La valse des aiguilles
Qui pleut le peu, pleut le mieux
L’amour
S
EULITUDE ÉCRITURE
En recherche de solitude et avec l’aide des esprits dont celui de maman, j’ai trouvé la quiétude auprès de mon saule et dans ma maison. Ici, je passe mes jours de repos à écrire ce qu’il me reste à vivre.
L’espace
Oh ma chère solitude
Comme un cheval fou
Maman
Maison à vendre
La vie est poésie
F
INE
L’écriture et la musique pour seules guérisons. Un nouvel élan de positivité et toute ma gratitude à la vie au summum du bienêtre à l’orée de mes 51 ans.
Aujourd’hui, je suis guéri
Vague à l’âme business
Poème 2
Positive attitude
Merci la vie
51
La nouvelle nouvelle des auteurs
C’est trouver la feuille adéquate
Pour pouvoir apposer la peur
De la page vide qu’elle squatte
Sur ma bécane, aucune canne
Les mots s’emboitent, jamais ne boitent
Jamais bancals, jamais de panne
Chantent les phrases à deux-cents watts
Il pleut des mots dans mon cerveau
Ma tête absorbe autant qu’il pleut
Comme le chameau stockant son eau
Je bosse les bons, j’en fais des jeux
Je détourne mes plus belles ratures
À vous en faire péter les burnes
Sans faire dans la littérature
Pourquoi vous prendrais-je la lune
Je suis hanté par l’écriture
Bien sustenté tant elle m’agite
Je suis hanté par l’écriture
Quand l’écriture triture, m’habite
Y en a qui naissent pour devenir aristos
Y en a qui naissent et finissent clodos
Y en a qui naissent pour n’être que des idiots
Moi dans tout ça, je nais, mais je n’ai rien
Je n’ai rien compris à cette vie de chien
Pour quoi, pour qui je passe ici en vain ?
Pour quelle raison suis-je sur Terre ?
Sorti du ventre de ma mère
J’arrive sans aucun repère
Pour repartir six pieds sous terre
Y en a qui passent sans même nous dire bonjour
Y en a qui passent sans même connaitre l’amour
Y en a qui passent même sans aller-retour
Moi dans tout ça, je nais, mais je n’ai que
Que de la poudre aux yeux semée des cieux
Pour quoi, pour qui, dites-moi pour quel dieu ?
Pour quelle raison suis-je sur Terre ?
Sorti du ventre de ma mère
J’arrive sans aucun repère
Pour repartir six pieds sous terre
C’est triste mais si ordinaire
Que ça commence à me plaire
On nous gave de savoir-faire
Mais pour quoi faire, pour quoi faire ?
Quel est le but de nos vies
Devenir riches et bandits ?
Alors vive l’économie
Nous irons droit au tapis
Pour quelle raison suis-je sur Terre ?
Sorti du ventre de ma mère
J’arrive sans aucun repère
Pour repartir six pieds sous terre
Y en a qui naissent pour devenir aristos
Y en a qui naissent et finissent comme Cloclo
Y en a qui naissent pour n’être que des salauds
Moi ici, je suis né, mais je n’ai pas
Je n’ai pas envie de finir comme ça
Pourtant j’aime la vie, je l’aime comme toi
J’y ai bien pensé avant
Mais que vais-je faire après ?
Même si je sais à présent
Le futur est déjà prêt
Le destin peut-il changer ?
Aurais-je le mot de la fin ?
Ma vie sera-t-elle en danger
Si la mort me colle au train ?
Si j’ai quitté mon passé
C’est pour parfaire l’avenir
À présent dois-je y passer
Ou bien dois-je devenir ?
Devenir l’être du temps
Passé à ne savoir être
Que du vent, que du vent
Depuis que l’on m’a vu naitre
J’y pense depuis fort longtemps
J’y pense un peu plus souvent
J’ai des visions de printemps
Mais l’hiver gâche le levant
Au devenir de l’homme
Il ne lui reste en somme
La clé des champs fermés
Du cloaque guêpier
Faut prendre la tangente
Direction la bonne pente
Au devenir de l’homme
Ce qu’il lui reste en somme
Au son du métronome
Prier qu’on lui pardonne
Écoute ma peinture
Comme elle chante mes ratures
Elle dégouline de bruits
Elle entache les ouïes
J’ai projeté mes idées
Sur une toile givrée
À grands boulets de noir
De rouge et de caviar
J’ai attendu la semaine
Attendu que ça prenne
Ça puait les œufs pourris
Mais mon ébauche a pris
Alors je l’ai sculptée
Et puis je l’ai ciselée
Au couteau, au scalpel
Au son des décibels
Pour finir l’aquarelle
J’en ai fait une poubelle
À présent elle crie
Au doux son de la pluie
Écoute ma peinture
Comme elle chante mes ratures
Elle dégouline de bruits
Elle entache les ouïes
Mais si tu crois au ciel