Naître de Nouveau: Christianisme spirituel L'espoir et la foi dans les derniers jours - Robert Winter - E-Book

Naître de Nouveau: Christianisme spirituel L'espoir et la foi dans les derniers jours E-Book

Robert Winter

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Beschreibung

L'auteur veut expliquer au lecteur et lui ouvrir les yeux sur la façon dont il est né de nouveau, sur la raison pour laquelle il ira au ciel et sur ce que la mort sur la croix et la résurrection de Jésus signifient pour lui. Il veut éveiller et enflammer en lui l'amour pour la vérité de son salut, dont Paul parle dans sa lettre aux Thessaloniciens, afin qu'il ne se perde pas. Ce livre est un bref résumé du contenu spirituel du Nouveau Testament. Après avoir lu ce livre, vous aurez une vision plus claire et une meilleure compréhension des déclarations faites par les apôtres dans le Nouveau Testament.

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Seitenzahl: 64

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Naître de Nouveau:
Christianisme spirituel
L'espoir et la foi dans les derniers jours
Copyright 2024 Robert Winter
publié de manière indépendante
Table des matières
Avant-propos
Le fils de l'homme
L'annonce prophétique
La croix et la nouvelle alliance
L'accomplissement de la loi en Christ
La parole et la vérité : le Christ en tant que révélation
La sanctification : Le chemin de la sainteté
Le rôle de la foi dans la vie chrétienne
Le Royaume des Cieux : Une réalité spirituelle
Comprendre la grâce : Le don de Dieu
Le chrétien spirituel : Vivre en Christ
La fin des temps : Une perspective chrétienne
Avant-propos
Dans ce livre, j'aimerais vous expliquer, sur la base de la parole biblique, comment et pourquoi les croyants iront au ciel. Pourquoi le Fils de Dieu, et seulement le Fils de Dieu, est mort sur la croix et quelle est la signification de ce mystère de Dieu pour chaque croyant. Je veux vous donner une compréhension de la vérité essentielle du Nouveau Testament, une approche de la grâce et de la gloire de Dieu, et expliquer à chacun ce que Jésus a fait pour lui et ce que Dieu attend de tous les croyants dans leur vie quotidienne. L'une de ces tâches consiste à ramener les gens dans une relation avec leur Père céleste, le Dieu vivant, les sauvant ainsi du jugement inévitable du monde et de ses errements. J'ai résumé tout cela de manière succincte afin que Jésus n'ait pas à se demander quelle foi il trouvera à son retour. Après avoir lu ce livre, vous aurez une base pour décider de l'une des principales affirmations de l'Évangile : "Crois-tu ou ne crois-tu pas ?"Après avoir lu ce livre, vous verrez et comprendrez mieux les déclarations des apôtres dans le Nouveau Testament.
Le fils de l'homme
Césarée de Philippe était une ancienne ville romaine située au pied du mont Hermon, aujourd'hui à la frontière syro-libanaise. Elle était l'un des principaux lieux de culte du dieu païen Pan. Des fouilles ont révélé un sanctuaire troglodyte et des niches creusées dans la roche pour accueillir des statues de nymphes. Pan est représenté comme un animal, avec l'arrière-train, les pattes et les cornes d'une chèvre ; son nom signifie "paître". Dans la mythologie grecque, Pan était le dieu des lieux désolés, de la nature sauvage, des bergers et des esprits de la nature. Les bergers lui faisaient des sacrifices et craignaient sa vue. Au Moyen Âge chrétien, Pan était utilisé pour représenter le diable.
Dans le Nouveau Testament, les évangiles de Matthieu et de Marc nous apprennent que Jésus et ses disciples se trouvaient à Césarée de Philippe. On suppose qu'ils sont passés devant le sanctuaire et que Jésus a interrogé ses disciples au sujet du Fils de l'homme.
Qui dit-on que je suis, moi, le Fils de l'homme ? Ils répondirent : Les uns disent que tu es Jean-Baptiste ; les autres, Élie ; les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes. Il leur dit : Mais vous tous, qui dites-vous que je suis ?  Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Jésus lui répondit : Tu es heureux, Simon Barjona ; car ce ne sont pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux.
Je te dis aussi que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes de l'enfer ne prévaudront pas contre elle.[1]
Cette conversation révèle la base fondamentale, le roc inébranlable de l'Église de Jésus. La confession de Pierre selon laquelle Jésus est le Messie, le Christ, le Fils du Dieu vivant, est le roc sur lequel l'Église, la "communauté des appelés", est construite et qui ne peut jamais être détruite. Cela a été révélé à Pierre par le Père céleste, et non par la logique ou la compréhension, et Pierre l'a cru et l'a confessé publiquement devant tous les autres. La mort, la malédiction du péché, ne peut pas nuire à la communauté ; elle est aussi synonyme de vie éternelle au ciel au lieu de la damnation par le péché. Cette confession de Pierre comprend l'onction de Jésus pour agir au nom de Dieu et avec l'autorité de Dieu, que la vérité se trouve en Jésus, que la personne renoncera à son ancien mode de vie, se repentira et renouvellera fondamentalement sa pensée et sa vie spirituelle.[2] Elle comprend également la guérison du cœur, de l'âme, des infirmités physiques et des maladies, et conduit, par la foi en Jésus et la reconnaissance de son amour pour l'homme, à un caractère chrétien et à une attitude chrétienne dans la vie, fondée et enracinée dans l'amour, la transformation intérieure, l'œuvre de Jésus de l'intérieur pour faire croître et construire son Église.[3] Par le sang versé du Fils de Dieu, les péchés sont pardonnés et le croyant reçoit la vie éternelle en cadeau. [4]
Le nom Jésus, le Fils du Dieu vivant, indique une relation d'amour et d'intimité avec Dieu en tant que Père vivant et aimant, ainsi qu'une participation à sa Trinité divine.
...une voix sortit de la nuée, et dit : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection ; écoutez-le tous.[5]
Dans la béatitude de Pierre, dans la réponse de Jésus : Nous pouvons reconnaître dans la béatitude de Pierre, dans la réponse de Jésus : "Béni sois-tu, Pierre...", le projet originel de Dieu pour le salut de l'humanité. Béni est la traduction du mot grec "makarios", qui signifie en grec "suprêmement" ou "très béni". Pierre, fils de Jonas, a reconnu que Jésus, le Messie, était le Fils de Dieu. Le peuple choisi par Dieu a reconnu dans les Écritures que Jésus était le Messie prophétisé, qui serait et est la plus grande bénédiction possible pour l'humanité.[6] Mais l'élite religieuse de l'époque, les pharisiens et les sadducéens, l'ont rejeté parce qu'ils avaient l'esprit du monde, ne connaissaient pas les Écritures ni la puissance de Dieu pour le salut, et négligeaient les points les plus importants de la Loi, à savoir la justice, la miséricorde et la foi.[7] Le peuple juif attendait un chef qui le conduirait à l'indépendance et rétablirait son autorité sur son propre pays.                                                                
Même le diable appelle Jésus le Fils de Dieu et lui pose une question tentante dans le désert :
Le tentateur s'approcha de lui, et dit : Si tu es le Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains. Il répondit : Il est écrit que l'homme ne vivra pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.[8]
Il a tenté Jésus de transformer les commandements gravés sur la pierre, les Dix Commandements, en pain de vie éternelle, c'est-à-dire de l'inventer sans accomplir les prophètes et les psaumes.
Jésus a répondu à cette discussion en disant "Il est écrit..." et l'homme doit "...vivre de toute parole qui sort de la bouche de Dieu". Nous ne devons pas seulement vivre d'une partie de la Parole de Dieu, mais de chaque parole. La Parole écrite de Dieu, la Bible, qui est sortie de la bouche de Dieu et qui subsistera éternellement.
En effet, Jésus-Christ, le Fils de Dieu, est la Parole de Dieu :
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était avec Dieu, et Dieu était le Verbe. Et le Verbe s'est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, la gloire du seul enfant du Père, pleine de grâce et de vérité.[9]
"Le Christ a été revêtu d'une tunique trempée dans le sang, et son nom est appelé Parole de Dieu.[10]