Soumise aux Narcos - Mila Leduc - E-Book

Soumise aux Narcos E-Book

Mila Leduc

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  • Herausgeber: Mila Leduc
  • Kategorie: Erotik
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2020
Beschreibung

Il m'a trahi...
Je pensais que nous étions amoureux - mais mon copain au lieu de çà pour se débarrasser de sa dette envers le cartel mexicain, il m’a fait passer la frontière et vendue à ces malfrats.
Maintenant, je suis coincée dans un bordel mexicain, et Dieu sait où. Je suis toute seul, je ne parle pas la langue - et ils sont sur le point de me vendre au plus offrant.

Et puis il apparaît...
Diego - le baron de la drogue le plus dangereux et le plus redouté. Mais il me veut moi.
Ce Diego est une armoire à glace, tatoué et musclé. Je tremble de peur lorsqu'il me conduit dans sa forteresse isolée dans le désert. Mais alors que je me retrouve à la merci du baron de la drogue le plus recherché, je commence à réaliser qu'il y a plus dans cet homme arrogant et terrifiant qu'il n'y paraît.

Je vais devoir l’apprivoiser si je veux survivre dans ce nouveau monde ! Diego va-t-il se laisser aller à mes côtés ? Ses punitions ne seront-elles pas trop intenses ? Sexe, drogue et malfrat font-ils bons mélanges ?

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Soumise aux NARCOS

Mila Leduc

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mon fiancé est une enflure de première catégorie, enfin je rectifie, mon ex-fiancé. Je m’appelle Salomé, mais tout le monde m’appelle Mae. J’ai 23 ans et j’étais sur le point de me marier, mais ce connard qui est aussi un gros menteur de m’as pas dit qu’il devait de l’argent à un des Cartels mexicain qui travaille à côté de chez nous, m’as fait passer la frontière et m’a vendue sans aucun scrupule n’y remords à ces gens.   

Je me retrouve donc, Dieu sait ou quelque part au Mexique, sans parler un mot de mexicain et enfermée dans une espèce de chambre sans fenêtre et sans rien d’ailleurs, à si j’ai le droit à un matelas, après tout c’est mieux que rien.   

Je vous avoue qu’après avoir eu vraiment peur et à deux doigts de la crise cardiaque, je suis passée au stade de la haine envers ce fumier d’Emerson. Je le déteste et si j’arrive à sortir d’ici vivante je jure que je vais le retrouvée et lui faire la peau coute que coute.   Donc, me voilà depuis près de deux jours, enfermée ici.  Sans savoir ou je suis et pour seul traducteur un gamin qui s’appelle Luis et qui est très gentil d’ailleurs, mais aussi le seul qui parle à peu près ma langue.   

Il m’a expliquée que quand le moment sera venu je serai vendu au plus offrant pour rembourser la dette d’Emerson, qui à mon avis est encore plus grosse que ce qu’il m’a expliquée vue qu’il ment comme il respire.   

Il n’a jamais eu beaucoup d’argent, et cet abruti à donc décider de demander de l’argent à des personnes qui ne sont absolument pas digne de confiance, au lieu d’aller voir je ne sais pas moi, un putain de banquier.   

   

Luis revient avec mon repas, toujours avec son sourire d’enfant, qui laisse penser qu’il peut être quelqu’un d’innocent. Je ne lui pose pas trop de question sur sa vie et sur ce qu’il fait ici, même si j’avoue que ça me démange.   - Holà chica, comment tu vas aujourd’hui ?   

Je souris un peu, j’adore son accent quand il me parle, c’est adorable.  - Holà Luis, (et oui je commence même à apprendre sa langue du coup, quand on est enfermée et qu’on a eu le droit à une seule chose, autant en profiter, j’ai donc demandée un dictionnaire mexicain pour pouvoir parlée avec eux). Ça va et toi ?   

Il hoche la tête et me donne mon plateau, et s’installe avec moi.  - Il ne reste que quelques jours ici Mae, pronto, El Chefe Diego viendra te voir pour t’emmener voir les acheteurs potentiels.  - J’espère qu’ils seront aussi gentils que toi.  Il rigole un peu, mais pas un rire humoristique plus sarcastique.  - Je n’y compterais pas si j’étais toi chica.   Je secoue la tête et continue de me demander comment j’en suis arrivée là.   

Il y a trois jours, j’étais en voiture pour partir en vacances, et je me retrouve enfermée dans un cartel Mexicain, sans savoir ou je suis. Des fois je me dis que c’est le karma et que j’ai du être une personne horrible dans une vie antérieur pour être dans cette situation.   

Après avoir fini de manger, il reprend mon plateau et me dis qu’il passera dans l’après-midi.  

J’hoche la tête et le remercie pour le plateau et d’être aussi gentil avec moi, c’est bien le seul. Les autres mecs qui sont ici et d’ailleurs qui font deux mètres et probablement 150 kilos de muscles, ne parlent pas un mot de ma langue et continue de vouloir me parler en espagnol, j’ai quelques bases mais je ne suis pas bilingue non plus. Alors j’hoche la tête et je souris, en attendant que ça se passe, et que je puisse enfin sortir d’ici.   Une fois Luis partit, je soupire et reprends mon petit dictionnaire, mon acolyte de ces deux derniers jours, et je lis. Je mémorise les mots, les significations, après tout j’ai que ça à faire, autant mettre mon temps libre à profit, et puis bon j’ai toujours voulu apprendre cette langue, au moins j’en ai enfin l’occasion.   Dans l’après-midi, Luis revient avec une sorte de valise. Il dit bonjour à mes « gardes » et m’apportes même un café, dieu merci, je lui en serai reconnaissante toute ma vie.  Je ne comprendrai jamais comment un garçon aussi gentil peut travailler avec des hommes comme ça.  

Enfin, ils sont peut-être gentils mais j’ai quand même mes réserves sur le sujet.     - Merci Luis pour le café, je crois que c’est ce qui me manque le plus.  Je soupire et le boit, il sourit et s’assied en face de moi et ouvre sa grande valise.  - Le grand boss veut te rencontrer.  - Le fameux Diego ? Celui qui fait peur à tout le monde ?  J’hausse un sourcil quand il me regarde en fronçant les sourcils.  - Ne le prend pas à la légère surtout pas Diego, c’est un des chefs de cartel les plus recherchés dans presque tous les états d’Amérique du Sud, et un des plus riches aussi. Alors fait attention malgré tout. On ne sait jamais à quoi s’attendre avec lui.   J’hoche un peu la tête sans être convaincu pour autant. Après tout, ces deux ou trois derniers jours ont été les pires de ma vie, alors j’essaye de relativiser, qu’est ce qui pourrai m’arriver de pire ? Que ce fameux Diego veuille de moi ?  

Je rigole intérieurement en essayant de ne pas y penser. D’après tous les films que j’ai pu voir sur les cartels, leur chef et toujours vieux et moche donc bon. Luis me fait revenir sur terre en claquant des mains.   - On va te préparer chica, je t’ai pris une robe noire, d’après moi c’est taille et je t’ai ramenée du maquillage.