Soumission // 2 Sagas Erotiques - Mila Leduc - E-Book

Soumission // 2 Sagas Erotiques E-Book

Mila Leduc

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  • Herausgeber: Mila Leduc
  • Kategorie: Erotik
  • Sprache: Französisch
  • Veröffentlichungsjahr: 2020
Beschreibung

Découvrez dans cet ouvrage de Mila Leduc, 2 sagas hot et coquines à souhait aux prix exceptionnel de 6,99€ !

Le Cadeau du Boss
James
J'ai vraiment eut la poisse quand mes parents sont morts et qu’ils m'ont laissé en charge de ma jeune sœur, mais je me suis battu et j’ai réussi à atteindre des sommets. Le problème, c'est qu'il y a toujours quelqu'un qui essaye de prendre votre place.

Cette personne a voulu saboté mon entreprise, mais elle m’a en fait rendu service. Ça l'a menée à moi. Gia était un cadeau tombé du ciel, une vraie surprise, mais pas forcément une bonne surprise !

Gia
La perte de ma mère avait fait des ravages sur moi, mais j'avais besoin d'aller de l'avant. Je devais trouver un nouvel emploi, même si cela signifiait mentir et que cela fonctionnait.

J’ai donc menti pour obtenir un gros poste dans une belle et riche entreprise, mais le big boss a commencé a avoir des doutes et une relation de suspicion et d’espionnage à commencer au bureau entre nous deux… cela était très excitant et rendait mon job incroyable… et puis savoir qu’un patron riche et sexy vous observe en permanence, çà change tout !

Prends-MOI toute la NUIT
Marina décide de partir à Ibiza avec quelques copines pour les vacances, elle qui n’est pourtant pas trop fan de musique électronique a décidé de les suivre pour s’amuser !

Après une soirée bien arrosée, elle perds ses copines dans la boite, et rentre alors seule le long de la plage et tombe sur un beau garçon, Tom, un américain très sympathique avec qui elle se balade, puis ce dernier lui propose un bain de minuit… bien évidement ils n’ont pas de maillot de bain… elle refuse… mais quand elle voit le beau Tom se mettre entièrement nu pour aller à l’eau, elle peut alors observer son torse musclé, ses belles fesses, et son membre déjà à moitié dressé… une vision torride pour Marina, qui n’a pas été depuis longtemps au contact d’un homme !

Marina se laissera-t-elle aller à ses pulsions ? Quelles surprises lui réservent ces vacances ? La nuit, les hommes, la fêtes, et une orgie de sexe feront-ils bon ménage ?

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Soumission – 2 Sagas érotiques

Mila Leduc

Le Cadeau du BOSS

Je n’arrive pas à croire que je vais frapper à cette porte, le supplier de m’écouter… peut-être que je vais le sucer ? Qui sait… peut-être que c’est même moi qui en aurait envie, sur le coup… En tout cas, il ne pourra pas dire que je n’ai pas sorti le grand jeu. Brushing impeccable, décolleté avantageux, je sais de quoi je suis capable, mais lui ne s’en doute pas encore… Allez, il faut y aller maintenant, sinon il va penser que je me défile… un, deux, trois…

Toc toc

- Entrez.

Alors quoi, je tremble, j’hésite ? Il n’est plus temps maintenant, il fallait penser aux conséquences. Dommage, je l’aimais bien, ce James Marsalla, je lui aurais bien sauté dessus, au lieu de me faire virer par lui comme une vieille chaussette.

Maintenant, restons dignes, ce sera toujours ça de gagné. Peut-être même que je vais lui faire un tel effet qu’il va vouloir me donner un poste avec plus de responsabilités ! Allez, ouvre cette porte, ma petite Gia, assez tergiversé ! C’est quoi ce bruit ? Bon, voilà qu’il vient m’ouvrir !

- Je savais que c’était vous. Entrez immédiatement.

« Immédiatement », il est bien gentil, mais je ne sais pas dans quel état je vais sortir de ce bureau moi… S’il était moins attrayant, ce serait plus facile… quelle idée d’être aussi sexy, même avec le regard noir ! Mais bon, advienne que pourra… Suivons-le…

Deux mois plus tôt

James

- Et vous avez travaillé chez Bown’s&co ? Comme trésorière adjointe ?

- C’est exact.

- Pourquoi avoir quitté un poste si prestigieux ? Ce n’est pas banal !

Je considérai avec intérêt la jeune femme qui se tenait en face de moi, dignement dressée sur sa chaise. Son CV m’avait tout de suite interpellé, lorsqu’il s’était agi de trouver un remplaçant à Mike, qui me secondait avec efficacité depuis cinq ans. Mais la femme de ce dernier, qui travaillait avec Médecins Sans Frontières, venait de partir pour Israël, aller simple sans certitude de retour.

Ce cher Mike, dont le seul défaut que je lui connaissait était d’être complètement toqué de sa femme, avait décidé de la suivre et de faire l’expérience de l’expatriation. Je ne lui enviais pas du tout ce que je considérais comme un exil, ni plus, ni moins.

En plus, son absence créait autour de moi un vide qui menaçait de me faire sombrer dans l’ennui.

J’avais peu d’appétence pour les chiffres et les histoires de caisse, répondit la candidate avec un adorable haussement d’épaules. Je voulais me frotter à un poste plus... excitant. Me lancer un nouveau défi.

Tiens donc... Décidément, cette fille me plaisait bien. Moi qui désespérais d’apporter un peu de piquant au travail, me choisir comme directeur adjoint une charmante coéquipière promettait de remplir cet objectif. D’autant plus si elle aimait l’émulation.

Je reculai un peu sur ma chaise, afin d’être plus confortablement installé, et cette poignée de secondes fut suffisante pour l’observer : la jeune personne, qui s’appelait Gia Kayne, avait les yeux clair et des sourcils bien dessinés qui lui conféraient un regard volontaire. Son menton était légèrement pointu, c’était charmant et enfantin. Je m’amusais un instant à tenter de deviner la longueur de ses cheveux, relevés en un chignon strict. Elle était rousse, et je l’imaginais flamboyante et bouclée.

Elle gardait les yeux fixés sur moi, sans donner l’impression d’être intimidée, ou angoissée par l’entretien. Sa contenance était tranquille : vu son impressionnant CV, cela ne m’étonnait qu’à demi.

Elle devait, malgré son âge, être rompue à ce genre d’exercice. La vérité, c’est que j’étais assez admiratif : s’il m’avait fallu travailler d’arrache-pied pour mener l’entreprise au point où elle était arrivée, je n’avais pas le mérite d’avoir gravi peu à peu les échelons, puisque j’avais hérité de l’affaire de mes parents.

Bref, je n’avais jamais eu le besoin d’essayer de me vendre : ce à quoi cette jeune femme réussissait admirablement.

Son regard limpide me troublait plus que de raison. Je devais pourtant continuer à lui poser des questions, je ne pouvais pas lui confier le poste sur un coup de tête : la survie de l’entreprise en dépendait.

- Vous vous sentez capable de gérer une équipe de plusieurs dizaines d’employés ? Vous n’avez jamais expérimenté un poste dans les ressources humaines, à ce que je vois.

- Ce n’est pas un problème. J’ai suffisamment d’empathie et de franchise pour ne pas faire traîner les choses, et je tiens à ce que tout le monde trouve son compte dans sa vie professionnelle. J’ai écumé plus d’une fois les rôles subalternes pour savoir ce que l’on peut ressentir dans cette situation. Sans prétention, je pense pouvoir me faire apprécier assez vite de n’importe qui.

- Je veux bien vous croire, répondis-je en riant presque, tant sa sincérité me désarmait.

Elle sourit légèrement, et croisa les jambes, découvrant une bande de peau blanche à se damner en haut d’un bas mi-opaque de couleur noire. Je crois avoir cillé de manière assez visible, mais ma candidate eut la pudeur de ne rien laisser paraître.

Sans quitter cette merveilleuse vision des yeux, je rassemblai mes idées, qui se trouvaient parasitées par des flashs qui n’avaient que peu de lien avec le travail, et finis par ouvrir la bouche :

- Et bien, chère Gia, je pense qu’il est temps de vous parler un peu plus de l’entreprise pour laquelle vous souhaitez travailler. Sachez donc que Marsalla Coffee a été fondée par mon grand-père, immigré italien, dans les années cinquante. Il a eu une idée de génie : promouvoir l’excellent café italien dans une frange de la population américaine férue de culture européenne. Ce fut un franc succès, si bien qu’il commença à embaucher : mes parents s’emparèrent de l’affaire quand mon grand-père mourut.

Vous n’êtes pas sans savoir qu’il est facile de boire du bon café à peu près n’importe où aujourd’hui : mes parents engagèrent alors un véritable travail de communication autour de la marque, afin de valoriser nos produits. Les cafés Marsalla sont des produits de luxe... j’insiste là-dessus car, en tant que directrice adjointe, vous aurez sans doute un rôle de représentation dans l’entreprise. En tout cas, c’est comme cela que travaillait votre prédécesseur. Nous sommes extrêmement attentifs à la qualité de nos cafés, et aux conditions humaines dans lesquelles ils sont produits.

Je ne me lassais pas de regarder Gia m’écouter, le front plissé, attentive. Une fois que j’eus terminé ma phrase, je la laissai intégrer les informations, puis lui demandai si elle avait des questions. La seule qu’elle me soumit me prit au dépourvu.

- Dois-je comprendre que vous me faites confiance ?

- Et bien, répondis-je, déstabilisé par une attaque si franche, vous correspondez parfaitement à ce que je recherche, et vous avez suffisamment d’expérience pour que je ne perde pas trop de temps à vous apprendre les ficelles du métier ; je ne vous cache pas qu’il y a énormément de travail, l’entreprise est en plein essor ces derniers temps.

Un sourire plus expressif s’épanouit sur le visage de ma nouvelle adjointe, qui sembla s’animer toute entière.

- Merci. Vous ne le regretterez pas.

J’y compte bien. Je lui donnai congés, en lui demandant de se présenter dès lundi. Dès qu’elle fut sortie, je repris mon souffle : cette fille m’avait tourné la tête, il fallait que je sois plus rigide si je voulais travailler avec elle.

Mais aussitôt, je haussai les épaules : après tout, beaucoup de temps avait coulé depuis ma dernière histoire, et je n’aurais pas été contre une petite aventure. Cette jeune femme semblait suffisamment censée pour que je m’y intéresse.

J’ai rejoins ma voiture arrimée à cette pensée, sans réaliser qu’une obsession si soudaine était pour moi une totale nouveauté : je me sentais poursuivi par de puissants effluves de verveine. Ce week-end là, j’attendis le lundi avec plus d’impatience que d’habitude.

Gia

Je levai d’un bond, dès que j’entendis le réveil sonner. Depuis que je travaille dans cette nouvelle boîte, je n’avais plus aucun mal à me lever le matin. L’ambiance de travail était tellement grisante, je ne m’attendais pas à ça ! Chez Marsalla Coffee, la première chose qui m’avait frappée, c’était que tout le monde avait l’air content d’aller au boulot.

Une chose est sûre, ça me changeait du supermarché où je travaillais avant la mort de Maman : James n’était pas le genre de patron à venir vous hurler dessus si les tâches n’étaient pas rendues à temps. C’était reposant...

Je passai dans la salle de bains : la mécanique du matin était bien huilée à présent. Je me maquillai peu : un soupçon de mascara, du baume à lèvres transparent... Je brossai vigoureusement ma chevelure opulente, et l’entortillai en un amas compliqué de tresses fixées par une multitude de pinces et d’élastiques.

Je me prenais souvent à rêver, lorsque James se penchait vers moi pour me parler, de la façon dont je pourrais dénouer mes cheveux pour l’impressionner.

Ma physionomie changeait alors complètement : avec le chignon, j’avais l’air plus strict mais aussi, paradoxalement, plus fragile... Je jetais un dernier coup d’œil dans le miroir, me tirais la langue en signe d’encouragement, et c’était parti.

Dans la voiture, ce matin-là, je m’accordai un peu de temps pour brancher mon Mp3 et choisir la musique qui allait m’accompagner jusqu’au bureau.

Depuis six semaines que j’avais pris mes quartiers dans l’entreprise, j’aimais les matins. Je n’avais plus le temps de penser. Je n’arrivais pas à réaliser ma chance, ni mon audace : lorsque ma copine Amy m’avait fait savoir que Marsalla Coffee cherchait un nouveau directeur adjoint (elle le tenait d’une de ses vagues connaissances, car c’est le genre d’informations qui ne se diffusent que par bouche-à-oreille), je n’avais pas hésité longtemps.

Je connaissais la boîte par ouï-dire : elle était toujours très bien référencée dans les classements qui étudiaient l’impact humain et écologique des entreprises, et en cela forgeait le respect d’une partie de la population.

Je savais aussi que les produits qu’elle vendait étaient luxueux, trop sans doute pour être distribués dans le misérable supermarché dans lequel j’avais erré pendant deux ans. En tout cas, ni Maman ni moi ne connaissions le goût de leur café.

Mais, complètement déprimée par l’absence de perspective professionnelle, livrée à moi-même depuis la mort de Maman et tenaillée par le désir de renouer avec le risque, je demandai à Amy le contact de la vague connaissance en question et me présentai à elle en mentant outrancièrement sur mes diplômes et mes compétences. Il s’était avéré que cette personne avait une place privilégiée dans l’entreprise.

Impressionnée par mon faux CV, elle promit de le faire passer au plus vite au directeur, James Marsalla. Ce nom me fit rêver des nuits entières : je me demandais à quoi pouvait bien ressembler un homme puissant, je l’imaginais gros et chauve, transpirant et libidineux.

J’avais été si surprise de me trouver face à un homme jeune et, disons-le, extrêmement sexy qu’il m’avait fallu faire appel à tous mes talents de comédienne pour ne pas me laisser déstabiliser.

J’avais eu l’impression qu’il pouvait lire en moi, mais, vu la façon dont il s’était laissé abuser en dix minutes, il ne devait pas être si perçant qu’il s’en donnait l’air. J’avais même eu l’impression qu’il n’était pas insensible à mon charme... oserais-je le penser ? Ce ne serait pas pour me déplaire.

Je choisis finalement un morceau de Queen, et allumai le contact : une nouvelle vie commençait pour moi, sous de brillants auspices. Je chantais à tue-tête en m’engageant sur le périphérique : « We are the champions, my friend... »

Assise à mon bureau, je considérais rêveusement le dossier ouvert devant moi : je devais régler les flux d’exportation avec un de nos revendeurs de Chicago, qui s’octroyait sans doute un peu plus de marge qu’il n’était nécessaire. J’étais dépourvue de toute connaissance dans le domaine juridique, et cette affaire me passait au-dessus de la tête.

Pourtant, James m’avait demandé de recevoir l’homme qui nous avait mis la puce à l’oreille, un technicien du secteur comptable, afin qu’il m’expose plus précisément les données du dossier.

On frappa à ma porte : c’était le fameux Mr Stomp. Il semblait un peu anxieux. J’entrepris de le mettre à l’aise :

- Asseyez-vous Mr Stomp, je ne vous propose pas de café, les capsules ne sont pas le genre de la maison et je n’ai malheureusement ni cafetière ni filtre dans mon bureau.

La plaisanterie ne le dérida qu’à moitié. Il s’assit, tout raide dans son costume étriqué. Sa cravate l’étranglait. Je ne pus l’empêcher de comparer sa dégaine à l’élégance naturelle, même un peu instinctive, de James. A

lors que je feuilletais le dossier pour me donner une contenance et m’apprêtais à ouvrir la bouche, la porte de mon bureau s’ouvrit sans crier gare. Je levai la tête : c’était James. Je dissimulai ma surprise ; que faisait-il ici ?

- Bonjour Kayne, bonjour Stomp. Je suis content d’arriver à temps.

A temps pour quoi, Marsalla ?

Il passa derrière le bureau et s’adossa contre la baie vitrée. Il n’y avait que deux chaises dans mon bureau, mais je n’avais pas l’intention de lui proposer d’aller en chercher une troisième : il ne manquerait plus qu’il se sente bienvenu ! Je commençais à comprendre qu’il avait l’intention d’assister à l’entretien, et cette perspective ne me réjouissait pas. Il allait falloir jouer finement. Je déglutis ; les deux hommes attendaient que je parle.

Bien, Mr Stamp, je propose que vous m’exposiez clairement les données qui vous font avoir de tels soupçons. Je ne vous cache pas qu’une accusation doit s’appuyer sur de solides éléments :

Bernies

 est l’un de nos meilleurs collaborateurs, et nous ne pouvons pas risquer de perdre son appui sur des chimères.

Je sentais un regard de feu poignarder ma nuque : j’étais déconcentrée, j’avais trop chaud, je maudissais cet entretien qui ne se passait pas du tout comme prévu.

C’était la première fois que je me sentais mal à l’aise dans cette boite. Stomp se mit à parler : il était à l’inverse de moi, c’est à dire qu’il prenait en assurance au fur et à mesure qu’il exposait ses arguments.

Quant à moi, si mes yeux et l’ensemble de mon visage, que je savais imperturbable, pouvaient donner l’impression que j’écoutais avec attention, poussant même la comédie jusqu’à prendre en note les quelques mots et nombres que j’arrivais à percevoir distinctement, mon esprit était très loin de ces hostilités de chiffre d’affaire.

Je posai quelques questions factuelles, qui ne pouvaient pas me compromettre. Par chance, mon interlocuteur était suffisamment prolixe pour ne pas que j’aie à faire preuve d’un quelconque savoir-faire technique. Une fois repliés ses dossiers et conclu son exposé, j’avais l’intuition que nous avions fait le tour de la question.

Merci, Mr Stomp, dis-je tout sourire, vous pouvez disposer. Vous nous avez grandement aidé. L’entreprise vous sera gré d’un tel service.

Un soupçon de fayotage, dans ma situation, ça peut toujours aider... Le comptable, visiblement soulagé, me salua de manière plus détendue qu’à l’arrivée et quitta le bureau. Le regard qui broyait ma nuque ne m’avait pas laissé une seconde répit. Je pouvais parier qu’il était venu moins pour écouter l’exposé de Stomp que pour observer mes réactions : qu’espérait-il remarquer ?

Pour ne pas avoir à me retourner tout de suite, je fis mine de mettre de l’ordre dans les papiers étalés sur mon bureau, l’air infiniment concerné.

- Quelles sont vos conclusions, Kayne ? Que devons-nous faire ?

La question, posée sans préambule, me prit au dépourvu. Je crois avoir rougi, pour la première fois de ma vie ! Je balbutiai :