Sous la jupe d'Aphrodite - HZL - E-Book

Sous la jupe d'Aphrodite E-Book

HZL

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Beschreibung

Le plus charnel des plaisirs décrit sous forme de poésies...


« L’érotisme c’est d’offrir à son corps les éclats lubriques de son esprit »
L’être humain a toujours désiré lover son désir en de profondes et séduisantes imaginations. L’être humain demeure un concentré de plaisirs bouillonnants.
HZL nous délivre ici une folie érotique ( sans simulations ) à travers l’enivrement de personnages nés de la jupe fendue d’Aphrodite.
A consommer sans modération, puisque l’amour charnel ne tue pas.
Breuvage nacré, coule sur ton visage,
Telle une rivière semée de turbulences,
Langue curieuse happe ce nectar sauvage,
Et roule en cette gorge, cette divine semence.


Succombez au charme de ce nouveau recueil de poésies sous la magnifique plume de HZL !


À PROPOS DE L'AUTEUR


HZL compose en parallèle de son métier de cuisinier, une poésie instinctive 











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HZL

SOUS LA JUPED’APHRODITE

Art en Mots éditions

Poésie

Illustration graphique : Graph’L

Images : 123rf

Art en mots éditions

BOUCHE À BOUCHE

Je te sens si peu farouche,

À l’approche timide de ta bouche,

Je tire ta crinière pour faire violence,

À ton envie de princesse en errance.

La grandeur humide badine ma langue,

De gauche à droite, de haut en bas,

Cavalcade de fluides qui tanguent,

Les morts espionnent la suite des ébats.

Ton haleine parfum d’agrumes,

Enivre mon palais de mille et une nuits,

C’est ton désir que je hume,

Au feu de tes gémissements infinis.

Abreuve-toi de cette chevauchée,

D’une bataille rangée, bouche à bouche,

Nos antres paraissent si ravagés,

Par la fureur de nos escarmouches.

ORGIE

Orgie bestiale,

Des âmes en débandades,

La sueur amirale,

Coule au corps en cascade.

CONFESSE

J’ai voulu gravir la plus belle des dunes,

Voir si la vague de tes hanches s’absout,

À la caresse symphonique de ma plume,

Au souffle ardent, à ma langue serpentine.

Il y en a eu des balbutiements au passage de mes mains,

Sur ta peau blanche de déesse, sur tes désirs prolixes,

Il y en a eu de l’imagination au bout de mes doigts,

Quand ton bassin se souleva, de l’ombre à la lumière.

J’ai voulu happer le plus beau des monts,

Dont le sommet se dressait au bord de mes lèvres,

Tel un phare guidant ma bouche en déroute,

Aspirant à la volupté, l’ultime extase.

Il y en a eu des murmures à l’approche de mon regard,

Des embruns de plaisir, des saveurs salines en ton écrin,

Je ne suis pas fesse-mathieu dans mes désirs indomptables,

Mais je préfère le dessin de ta cambrure pour me con-fesser.

EN DESSOUS DE LA CEINTURE

Je puise dans cette source solaire,

L’appétit gargantuesque et polisson,

Sentir enfler le priape autoritaire,

Contre une croupe cambrée, ondulant à l’unisson.

ÉPHÉMÈRE

La plus belle des histoires, grattée sur les cordes d’une guitare,

Une groupie, une harpie, au fond de mon lit de musicien, en mode jubilatoire,

Je me sens gourou de l’amour, aux portes des nuits blanches,

Assassin de la débauche, quand je caresse ses hanches.

Nu face à la glace, ma pudeur pour unique costume,

Je drague ma mémoire dans un bol d’oxygène,

L’étrangère qui gémit au fond de mes draps, se consume,

Aux claquements de mon fouet, à l’asphyxie d’un bas de laine.

La sirène d’Ulysse se noie dans la baignoire d’ivoire,

Quand ma main plaque sa tête dans l’eau tourbillonnante,

Elle s’extasie de cette fausse mort, et se trémousse pour apercevoir,

La douceur de mon bas-ventre, mon envie arrogante.

La plus terrible des histoires, perdue sur une portée de notes,

Celle d’une prisonnière d’un soir, jouissant dans la tiède atmosphère,

Elle ondule sur mon oreiller, c’est une esclave « morte »,

Un jouet délicieux d’une nuit, une soumise, un delirium éphémère.

LE PHARE DE VÉNUS

On parle de foudres aux ébats éclairés d’une lumière,

Au pied du phare de l’entrejambe, un estuaire profond,

La bouche en éclaireuse d’une cadence si lente,

Pas à pas j’explore ce diamant furibond.

PETIT HOMME

Petit homme,

Caché sous l’ombre de ma fenêtre,