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"Donne-moi une raison de continuer à me battre pour cette vie où tu n'es nulle part et partout à la fois". Ce livre retrace une relation d'amour qui disparaît, qui s'étiole jusqu'à ne plus exister. Comment vivre quand on aime encore mais que tout est devenu souvenirs ?
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Seitenzahl: 43
Veröffentlichungsjahr: 2024
A tous ceux qui rêvent de l’amour
mais ne le trouvent pas,
A tous ceux qui pensent l’avoir trouvé
et subissent les blessures éternelles de l’abandon,
A tous ceux qui rêvent et gardent espoir
malgré la douleur, malgré les échecs,
malgré les peines.
Je vous souhaite de trouver votre personne.
celui qui rend heureux ou malheureux, celui
rend libre ou escalve, celui qui génère rêves
ou cauchemars.
Rencontre orageuse
Tomber dans tes bras
Faire fleurir mon cœur
Ne jamais guérir
Vivre avec les souvenirs
les heures sont une seconde avec toi
ce «nous» m’est encore familier
tes bras sont ma maison
je t’aime
reste
tes yeux sont un voyage
amour
l’amour dure une vie, une éternité, une seconde
écouter de la musique tous les deux au bord de la mer
rêver d’une vie que nous ne pourrons jamais avoir
Quand j’ai croisé tes yeux-orage,
entre le bleu clair du ciel
et le bleu contrarié de la mer
j’ai su que c’était toi
et que tu ramènerais dans ma vie
le soleil qui se cachait
derrière la tempête.
Il y a des rencontres
plus évidentes que d’autres,
des vibrations qui s’accordent
et se répondent.
Tu sais,
je n’ai pas encore réussi
à me remettre de notre rencontre.
Tu as été comme un éclair
dans mon existence.
L’orage qui est venu
balayer la tempête,
le premier rayon de soleil
d’un printemps naissant,
l’écume de l’océan
qui adoucit les rêves
et tu sais,
j’ai toujours aimé la mer
elle apaise mes angoisses
comme tu as réussi
à apaiser la crainte
que j’avais de la vie.
Tu sais,
je me sentais tellement mal,
j’avais tellement envie de partir,
de m’enfermer dans ma chambre
et de ne plus jamais en sortir.
Tu sais,
je n’avais plus aucun espoir,
c’est ta voix,
c’est tes yeux,
c’est tes mains,
c’est ton existence
c’est tout cela qui m’a permis
de me lever le matin.
Tu sais,
je ne pourrai jamais
te l’avouer
mais cette rencontre
aussi orageuse qu’elle a été
m’a sauvé la vie
et a permis à un avenir d’exister.
- alors merci
Ton charisme,
ta prestance,
ton charme,
tout cela a illuminé ma vie,
tu es comme la lumière
d’une bougie
qui vacille mais
ne s’éteint jamais.
Je ne comprenais pas pourquoi ton image était restée coincée dans mes yeux. Tu étais là tout le temps comme une peinture accrochée dans toutes les pièces de ma maison, tu as envahi sans le vouloir tout mon monde intérieur en détruisant toutes mes croyances, en réduisant à néant tout ce que je croyais avoir construit pour me protéger du monde. J’avais cette impression étrange qu’en un regard tu avais su qui j’étais, je n’avais plus aucun secret, aucun mystère ne pouvait te résister et au début j’avais détesté cela avant de comprendre que ton image, celle qui accompagnait mes jours et mes nuits était ma plus grande chance, je garderai pour toujours ce tableau dans ma maison.
- musée d’âme
Qui es-tu ?
Qui es-tu toi qui portes le mot amour
comme une bannière ?
Qui es-tu toi qui hantes mes jours ?
Qui es-tu toi qui apaises mon âme ?
Qui es-tu toi qui feras un jour souffrir
mon cœur de bonheur ?
Qui es-tu pour avoir bravé l’orage, les éclairs
et la foudre, pour t’être ainsi trouvé sur ma route,
toi l’idéal retrouvé qui guide une existence ?
J’aimerais te rencontrer
à nouveau tous les jours.
Je n’oublierai jamais tes yeux,
ton visage peut-être,
mais pas tes yeux,
ils ont transpercé
mon âme
de part en part
et la cicatrice ne guérira pas cette fois.
- blessure éternelle
Moi qui aimais tant parler,
notre rencontre m’a fait taire à jamais,
je suis restée sans voix
devant
tant
de
beauté.
L’angoisse qui habitait
mon ventre s’en est allée
tu lui as fait peur je crois.
Avant toi,
je n’avais jamais rencontré
quelqu’un qui était capable
de faire taire et de tuer
les monstres qui vivaient
dans mon corps et dans mon esprit.
Peut-on figer le temps ?
J’aimerais te garder
pour toujours à mes côtés.
J’ai l’impression
que notre rencontre
a ravivé l’éclat en moi
que je croyais endormi
pour toujours.
Pourtant l’orage au-dessus de ma tête
me faisait si mal que je n’ai pas su tout de suite
percevoir la bienveillance dans tes yeux,
cet amour qui ne s’éteindrait jamais.
J’ai d’abord eu peur
parce que je ne comprenais pas ce qu’il se passait.
Aujourd’hui je sais,
tu es la meilleure chose qui me soit arrivé.
J’ai l’impression
que tu m’as sauvée
au moment où tu as posé
ta main sur mon dos
et sur mes hanches.
C’est comme si tu m’avais chuchoté dans un souffle :
« ne t’en fais pas, maintenant
je suis là, pour toujours ».
Ma douleur n’a pas disparu à ton contact
mais nous sommes aujourd’hui deux pour la porter.
Je n’étouffe plus, je commence à rejoindre la surface.
Je pensais n’être rien
mais à ton contact
j’ai eu l’impression de respirer,
j’aurais aimé te hurler que je t’aimais
mais je n’en avais pas le droit,