Collection érotique | Histoires courtes érotiques sales - Les femmes aiment le sexe - Ewa Heart - E-Book

Collection érotique | Histoires courtes érotiques sales - Les femmes aiment le sexe E-Book

Ewa Heart

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Beschreibung

Les 10 histoires d'Eva Love sont "érotiques" à coup sûr. Les histoires de sexe sont sans tabous, variées et garanties sales. Érotique adulte. Le sexe n'a jamais été aussi sale qu'ici. La sexualité et le partenariat sont les besoins fondamentaux de chaque femme et de chaque homme. C'est pourquoi nous avons besoin de sexe et d'érotisme régulièrement et longtemps pour les actes sexuels. Les fantasmes et les désirs sont très différents. Le désir de mon coeur est d'exciter sexuellement les femmes et les hommes avec mes nouvelles et ainsi contribuer à une vie sexuelle plus épanouissante. ************************************************** ******************* Thèmes: à partir de 18 ans Sexe anal Partage de femme Cocu MILF M.I.L.F. romans érotiques de 18 non censurés Érotisme Érotique de 18 non censurée romans d'amour érotiques français Histoires de sexe de 18 ans non censurées histoires courtes érotiques Sexe français Histoires de sexe de 18 Érotique Cocu Wifesharer Histoires de sexe de 18 Parler sale Érotique de 18 non censurée gratuit Romans d'amour français Érotique à partir de 18 Littérature érotique Livres érotiques Cocu français Romans érotiques Histoires de sexe Romans érotiques Livres Erotiek Meilleures ventes de romans Erotiek Livres de sexe avec un échantillon Roman érotique romans d'amour érotiques histoires érotiques Histoires de sexe Érotique allemand Ebooks érotiques français Ewa Heart Histoire de sexe gratuite histoires de sexe gratuites

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Veröffentlichungsjahr: 2020

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Collection érotique

 Les femmes aiment le sexe

Confession d'une femme libertine

22h15: Nous arrivons, ma femme et moi, gare de Lyon pour voir le dernier TGV pour Marseille démarrer sous nos yeux. Quelle déveine, nous allons devoir emprunter un train Corail qui va voyager toute la nuit pour nous amener à Marseille au petit matin.

Passablement contrariés par ce contre temps, nous nous installons à la buvette pour patienter jusqu'au départ de ce Corail prévu à 23h30.

Nous venions de passer la journée chez nos amis Serge et Christine, rencontrés quelques mois auparavant et qui nous avaient fait découvrir le monde des amours anticonformistes, en un mot celui de l'échangisme. Cette initiation fera l'objet d'un prochain récit.

Pour l'heure, nous avions été invités aujourd'hui car c'était l'anniversaire de Serge et nous ne pouvions pas ne pas y ass****r malgré la distance qui nous séparait.

Pas mal d'échangistes bien sûr parmi les invités, mais aussi de la famille, des enfants et des amis non-échangistes. Donc, obligation de réserve pour ne choquer personne, cela va de soi.

Après le repas, fort bon d'ailleurs et, comme à l'accoutumée, bien arrosé, Serge avait mis de la musique et les couples de danseurs s'étaient formés. Malgré l'obligation de bonne tenue, quand le couple s'avérait être un couple d'échangistes, nous nous connaissions presque tous pour avoir participé, les uns et les autres, à de précédentes soirées coquines, il était alors très difficile de respecter à la lettre les consignes de discrétion et un œil averti aurait pu déceler des étreintes un peu trop appuyées ou des lèvres vagabondes sur des nuques qui n'attendaient que cela. Sans compter quelques mains voyageuses sur des seins frémissants ou s'insinuant avec malice sous les pans de vêtements par trop vaporeux ou judicieusement échancrés.

Tout cela pour vous dire que ma femme et moi-même étions un tantinet émoustillés et que nous avions hâte de nous retrouver dans l'intimité de notre demeure pour une étreinte libératrice de ces tensions érotiques accumulées.

Malheureusement, la couche douillette et accueillante s'était éloignée avec le TGV raté.

À cette heure déjà avancée de la soirée, la buvette était quasiment déserte. Les banlieusards avaient quitté la capitale pour rejoindre leurs cités-dortoirs où les attendaient gosses et télé, triste quotidien des masses laborieuses.

Là, où nous nous étions installés pour passer le temps, un pilier nous cachait de la salle et nous pouvions presque nous sentir isolés.

J'avais ouvert un journal, acheté au kiosque voisin, et tentais laborieusement de m'intéresser aux dernières nouvelles. Près de moi, sur la banquette de moleskine rouge, Nicole, ma femme, se trémoussait sur place, dansant d'une fesse sur l'autre comme prise de la danse de Saint-Guy, et ne sachant que faire pour occuper cette attente imprévue. Manifestement, elle tentait de m'arracher à la lecture de mon journal en me bisouillant le cou et en laissant courir sa main, de mon genou à l'intérieur de ma cuisse, en un ballet synchronisé. Amusé par son manège, je m'arrachais à ma lecture et jetais un œil dans sa direction.

Elle était légèrement penchée vers moi, pour mieux me caresser et son chemisier sans doute insuffisamment boutonné, baillait ostensiblement dévoilant ses deux seins nus, impudiques en ces lieux, dont les pointes roses dardaient effrontément au milieu de larges aréoles brunes.

Ce spectacle, à la limite de l'indécence, me fit l'effet d'une décharge d'adrénaline et je sentis mon sexe aussitôt gonfler et se tendre dans mon pantalon.

La coquine, pourtant, sur mes recommandations, avait ce matin en s'habillant revêtu un charmant ensemble coordonné string/soutien-gorge en satin saumon que je lui avais offert à son dernier anniversaire. Les consignes entre nous étaient clairement établies. Au quotidien, pas de sous-vêtements, car j'adorais la savoir nue sous ses robes ou tailleurs, mais dès qu'il s'agissait de sorties plus protocolaires, j'appréciais qu'elle porte de jolis dessous sexy.

Nicole, qui avait suivi mon regard et perçu mon étonnement, fit perfidement remonter sa main sur ma cuisse et, profitant de la protection visuelle du journal, la posa sur la bosse qui, maintenant, déformait outrageusement mon pantalon. Ses doigts se refermèrent sur ma hampe turgide et la serrèrent à la limite de la douleur pour la relâcher aussitôt et laisser place à ses ongles acérés qui entreprirent un ballet diabolique, alternant griffures et picotements à travers l'alpaga de mon vêtement.

Focalisant mon attention sur autre chose pour ne pas défaillir sous ses caresses de plus en plus précises, je lui demandai d'une voix rauque :

– « Quand as-tu retiré ton soutien-gorge ? »

– « Tout à l'heure en dansant. » me répondit-elle .

– « Un de mes cavaliers essayait maladroitement de me caresser les seins et semblait avoir des difficultés à passer ses doigts sous le satin de mon bonnet pour atteindre mes tétons, alors, je me suis esquivée aux toilettes pour retirer mon soutien-gorge. À mon retour, nous avons repris la danse et il a pu tout à loisir caresser ma poitrine et titiller mes tétons. C'était divin, j'ai bien failli jouir devant tout le monde. Heureusement, la danse s'est arrêtée à temps. »

Pendant cette confession, je fis glisser ma main le long des ses flancs en une caresse langoureuse qu'elle apprécia aussitôt en ronronnant comme une chatte amoureuse et en activant le rythme de ses propres caresses sur mon sexe maintenant en zone rouge « Danger d'explosion imminente ». Comme ma main atteignait sa hanche, nouveau choc, nouvelle surprise. Je ne sentais pas, sous le fin tissu de sa jupe, l'élastique de son string. Mes doigts se firent plus inquisiteurs et passant dans son dos, à la limite de ses reins, cherchèrent mais ne rencontrèrent rien qui puisse attester de la présence du fameux string saumon.

– « Et le string ? » lui demandais-je, « Quand l'as-tu retiré ? »

Avec la plus grande candeur, me fixant de son air mutin de sainte nitouche, elle me dit tout de go :

– « Pendant que nous dansions, pendant la série de slow qui dura presque une demi-heure, un type m'a invité et nous avons dansé. Au deuxième slow, j'ai senti qu'il bandait très fort et qu'il frottait son sexe, qui me paraissait énorme, contre mon ventre. J'étais très excitée car il ne laissait rien paraître. On aurait dit un séminariste tant son attitude était irréprochable, presque distant, mais à chaque pas je sentais son gourdin toujours plus dur, toujours plus gros qui roulait contre mon bas ventre et parfois même, comme il n'était pas très grand, je sentais nettement la tête de se sexe, tentant de se loger à l'entrée de ma grotte. Je suis sûre qu'il ne devait pas porter de slip pour que je le sente si bien à travers le fin tissu de ma robe. Je mouillais comme une folle, mon minou était en feu et ma liqueur d'amour commençait à inonder ma petite culotte.

Au troisième slow, quand les lumières se sont presque complètement éteintes, excepté les quelques bougies qui restaient allumées, je l'ai senti farfouiller entre nos deux corps et j'ai failli m'évanouir de surprise et de honte, de crainte d'être vus. Il venait de libérer un chibre monstrueux, long comme jamais je n'en avais vu de pareil et gros comme mon poignet. Un véritable sexe d'âne ai-je aussitôt pensé. En plus de le sentir battre contre mon ventre, en passant à proximité d'une bougie, j'ai pu l'apercevoir, dressé vers mon estomac, menaçant, tout congestionné et tendu comme un poing levé. Un long frisson me parcourut alors, et je me suis plaquée contre mon cavalier pour masquer, pour cacher cette chose monstrueusement désirable.

Mon cavalier dut prendre ce rapprochement pour une reddition, car tout en continuant de danser, sa main s'est mise à fureter dans les plis de ma jupe, cherchant la fente qui lui donnerait accès à ma chair nue. Il était habile le bougre car, très vite, j'ai senti ses doigts sur la peau nue de mon ventre et qui descendaient plus bas, cherchant à écarter mon string pour accéder à mon intimité.

Très vite il y parvint et je sentis un doigt se poser sur la perle nacrée de mon clitoris et entreprendre de le masser avec beaucoup de douceur et de savoir-faire. J'étais aux anges, ma cyprine coulait sur ses doigts lui témoignant mon extrême excitation et mon abdication à toutes ses exigences. Le doigt inquisiteur quitta mon bouton exacerbé et, délicatement, entreprit d'écarter les lèvres de ma fleur d'amour pour s'enfoncer enfin au plus profond de ma grotte devenue incandescente. Il me manipula ainsi de longues minutes me poussant aux frontières de l'orgasme. Sentant ma fin proche, il retira, à mon grand regret, ce doigt diabolique et, saisissant sa hampe démesurément dressée, il la fit passer entre les pans de ma jupe et la guida entre mes cuisses. Je sentis alors le mufle énorme de sa queue peser à l'entrée de ma chatte de nouveau protégée par le fin satin de mon string. Mais d'un doigt expert, mon inconnu écarta de nouveau le fin rempart et délicatement positionna son gland, gros comme une mandarine entre mes lèvres intimes. Une légère poussée de ses reins vers le haut et déjà, la bête monstrueuse s'insinuait entre mes nymphes délicates et investissait peu à peu mon vagin trempé et avide de cette intrusion sauvage.

Mon tourmenteur, qui avait légèrement fléchi ses jambes pour faciliter l'intromission, se redressa soudain et j'eus l'impression d'être littéralement ouverte en deux. Son sexe monstrueux me remplissait toute et je sentais son mufle cogner contre ma matrice. C'était à la limite de la douleur tellement il était gros et long.

Mais le coquin savait y faire, car reprenant le rythme de la danse, il entreprit de faire naviguer sa virilité dans mes chairs distendues. Entrant et sortant au rythme du slow comme une bielle bien huilée, il me pilonnait savamment, me faisant gravir inexorablement les degrés qui allaient me conduire à l'extase. Je n'étais plus qu'un sexe, honoré par un autre sexe. Plus rien n'existait autour de moi que cet orgasme qui montait, montait du creux de mes reins ou il avait pris naissance pour irradier mon ventre, mon sexe qui, maintenant, de ses muscles intimes, pompait ce dard dévastateur. Ce plaisir qui maintenant envahissait ma poitrine, durcissait mes tétons à l'extrême limite du supportable tant ils étaient devenus sensibles. Ce plaisir qui me coupait le souffle, me nouait la gorge au point d'étouffer mes gémissements et mes râles. Ce plaisir qui enfin explosa dans ma tête en un feu d'artifice titanesque, de milles couleurs vives, à l'instant où je sentis que mon amant se vidait dans mon ventre, éclaboussant mes parois intimes de jets puissants et chauds de sa semence qui n'en finissait plus d'envahir mes chairs.

Anéantie, assommée de plaisir, à la limite de l'évanouissement, je le sentis se retirer, mon string reprendre sa place, et le membre dévastateur reprendre le chemin du pantalon de mon cavalier.

La série de slow s'achevait. La lumière revenait. Mon tourmenteur avait rejoint les autres. Je sentais ma grotte déborder du trop-plein de semence reçue. Alors je partis vite vers les toilettes pour me refaire une petite beauté et retirer ce string maintenant inondé du sperme gluant de ce cavalier si fougueux.

Voila, mon chéri pourquoi je n'ai plus ma petite culotte. »

Il va sans dire que ce récit, cette confession, m'avait mis dans un état indescriptible. Malgré moi, sous le journal, ma main avait accompagné les péripéties de Nicole d'une masturbation énergique et à plusieurs reprises, j'avais failli craquer et, à mon tour, souiller mes sous-vêtements. En attendant, l'heure du train approchant, mon érection étant trop évidente pour me lever et arpenter les quais de la gare, je devais me calmer et retrouver une attitude digne.

C'est alors que Nicole, oubliant déjà son récit sulfureux, m'annonça qu'elle allait faire un petit pipi avant de quitter la buvette.

Soudain saisi d'une pulsion subite, je la suivis trois minutes plus tard et la rejoignis dans les toilettes dont je pris soin de verrouiller la porte. Elle était ressortie du pipi-room et, penchée devant la glace, se refaisait une beauté.

Sans un mot, je vins me placer derrière elle, lui courbai le torse sur le marbre du lavabo et relevai sa jupe jusqu'à la taille, lui rabattant le tissu sur la tête.

Ses petites fesses nues étaient là, offertes, blanche porcelaine sous la lumière crue du néon. Tranquillement, je sortis mon sexe bandé depuis notre arrivée à la buvette et entretenu dans cet état par ses confessions érotiques, et posément le positionnai à l'entrée de sa vulve qui, sans doute, devait encore être lubrifiée des générosités spermatiques de son amant cavalier.

D'une poussée presque violente, irraisonnée, je l'embrochai jusqu'à la garde, mes testicules venant s'écraser contre ses fesses délicates. Mon gland butait à l'entrée de son utérus. Je me mis alors à la labourer à grands coups de boutoir, entrant et sortant de son ventre, de plus en plus vite et de plus en plus sauvagement, comme pour exorciser cette petite jalousie latente qui existe toujours même chez les échangistes aguerris. Cette once de jalousie qui fait que les retrouvailles post bacchanales des Amours Plurielles sont toujours intenses et délicieuses.

Nicole râlait de plaisir, venant à la rencontre de mes coups de bélier comme pour mieux se faire pénétrer et accompagner, participer à mon châtiment de la femme infidèle.

Ses râles se muèrent en hennissements sur-aigus quand elle sentit mon plaisir exploser au fond de son intimité en jets puissants et répètes.

Je me retirai de ce puits d'amour trop accueillant, me rajustai de concert avec Nicole et nous rejoignîmes notre train maintenant en gare, montant dans le dernier wagon, le plus proche, tant nos jambes étaient cotonneuses et grand notre désir de récupérer dans un compartiment que nous espérions vide afin de dorloter notre complicité amoureuse jusqu'à destination.

Mais les choses et les événements ne se passent jamais comme prévu et ce voyage fut une nouvelle expérience, objet de mon prochain récit.

Comment je suis devenu cocu

C'était il y a maintenant quelques années...Ma femme Nadia et moi Karim, âgés tous deux de vingt-cinq ans, habitions un petit appartement à Rabat et ma femme avait le privilège de travailler dans la rue même de notre domicile, à quelques dizaines de numéros. Moi-même je travaillais un peu plus loin mais aussi dans la même ville.

Nos horaires ne correspondaient pas vraiment et, si mon épouse pouvait renter déjeuner à la maison, il n'en était pas de même pour moi.

Ma femme, Nadia, était secrétaire dans son entreprise et les impératifs de son emploi faisaient qu'elle rentrait à des horaires peu réguliers, entre 18 heures et 20 heures du soir.

Moi-même, toujours rentré avant elle, je m'y étais habitué.

Jeune mariés, nous étions pressés de dîner pour nous retrouver dans notre chambre, pour nous livrer à des ébats qui pouvaient durer plus d'une heure, Après quoi, nous pouvions nous livrer à nos loisirs préférés avant de nous coucher et, très souvent, de nous livrer à de nouveaux ébats avant de nous endormir.

Nadia était très sensuelle. C'était souvent elle qui prenait l'initiative des caresses qui entraînaient rapidement les pratiques les plus excitantes: masturbations réciproques, cunnilingus, fellations et finalement de longues copulations ou, tous deux, nous nous manifestions bruyamment, jusqu'à nos orgasmes réciproques qui, très souvent, étaient simultanés.

De jeunes amants, de jeunes mariés, prennent vite l'habitude de se livrer à un coït qui devient quotidien et même si l'un ou l'autre tente de "pimenter" ces pratiques, tout devient vite prévisible. Ce qui fait que les assauts ont tendance à s'espacer pour finalement ne devenir qu'hebdomadaires ou mensuels, sauf imprévu.

Cet imprévu ne devait pas tarder à arriver.

Un jour que Nadia était rentrée à la maison un peu plus tard que de coutume, je lui trouvai une attitude que je ne lui avais pas connue jusqu'alors: elle parlait peu et son regard fuyait le mien. Mais bientôt le quotidien reprit le dessus: dîners, conversations banales, télévision, lecture du journal et enfin coucher, bien calme. Je remarquai toutefois qu’elle s'était attardée un peu plus que d'habitude dans la salle de bains...

Les jours qui suivirent s'écoulèrent sans que je repense à cette soirée qui, pourtant, avait éveillé mon attention.

Une semaine plus tard, elle rentra de nouveau plus tard, encore plus tard, avec la même attitude, comme absente. Sans lui poser la moindre question, je me montrai plus pressant, plus affectueux mais elle resta assez froide. Je me dis alors que je verrais si elle allait encore s'attarder dans la salle de bains...Et c'est ce qui se passa.

A partir de ce moment, des idées très diverses se mirent à traverser mon esprit qui débouchaient toujours sur la même interrogation: ma femme me tromperait-elle?

La semaine s'écoula sans que cette question ne cesse de me préoccuper.

Le mercredi, parce que maintenant, je savais ce qui m'attendait le mercredi, elle rentra en retard, encore un peu plus en retard que les deux fois précédentes. Je me décidai, non pas à la questionner, mais à interférer dans le déroulement de ce qui me semblait devenir un rituel. Je m'approchai de ma femme, beaucoup plus pressant que d'habitude, l'embrassai et commençai à la caresser...Et là, je sus: elle sentait l'homme !

Envahi par cette certitude, je me rapprochai de ma chérie qui, après un temps de recul, se laissa caresser avec cependant une certaine réticence. Je l'attirai vers le canapé avec une force que je n'utilisais jamais, car elle était toujours docile dans nos rapports amoureux et j'en vins aux caresses plus précises. Plus je me faisais pressant, plus je sentais une odeur qui n'était pas la sienne, une odeur qui m'excitait. Plus mon excitation montait, moins Nadia se montrait réticente à mes assauts.

C'est ainsi que j'en arrivai à glisser ma main entre ses jambes qu'elle referma d'abord (ce qu'elle ne faisait jamais) pour enfin les entrouvrir de mauvaise grâce. Ce qui me permit d'atteindre sa culotte que je découvris mouillée, non pas comme d'habitude, mais trempée, légèrement gluante à l'extérieur et franchement gluante à l'intérieur. Je ressentis comme un coup dans le bas-ventre qui se traduisit par une érection telle que je n'en avais jamais eue. J'entrepris alors de dévêtir ma chérie alors que, moi-même, je quittai mes vêtements et, couvrant son corps de baisers, je sentais toujours cette odeur... J'en arrivai alors à son sexe vraiment gluant et en approchai le nez et la bouche, reconnaissant à coup sûr du sperme mêlé à sa mouille. Je me mis à la humer, à lécher ses lèvres et son clitoris tout enduits de ce foutre et enfin, le visage plein de ces sécrétions, je l'embrassai à pleine bouche.

Il n'était plus besoin de nous parler: nous nous étions compris. Fou d'excitation, les mains tremblantes, le souffle court, tel que Nadia ne m'avait jamais vu, je pénétrai son vagin de mon sexe qui entra avec une facilité que je compris très bien: je nageais dans le sperme de l'amant de ma femme et cela m'excitait au plus haut point !

Nadia, que mon excitation, dont elle comprenait le sens, faisait mouiller abondamment, se pressait comme jamais elle ne l'avait fait, contre mon sexe, ce qui m'amena à glisser mes doigts vers son anus où se trouvait encore plus de sperme que dans sa chatte (son amant avait dû commencer par là) et que, montrant mes doigts ainsi enduits face à nos deux visages, je les portais à ma bouche pour les lécher et enfin embrasser ma femme. Nous nous embrassions à pleine bouche dans le sperme de son amant!

Nous avons ensuite baisé, baisé à fond, nous regardant dans les yeux, jusqu'à ce que nous hurlions dans le même orgasme...

Ensuite, repus, nous pûmes retrouver le cours de notre soirée, sans évoquer un seul instant ce que nous savions tous deux.

Discrètement cependant, je m'emparai de sa culotte et la mis dans un sachet en plastique, sans avoir encore d'idée précise de ce que j'en ferais…

Le lendemain, je m'éveillai comme souvent après le départ de ma femme. Notre lit exhalait, après les étreintes de la veille, l'odeur spécifique de l'amour. Mais cette fois-ci, cette odeur semblait plus forte, différente, à tel point que je me trouvai vite excité. Je me calmai cependant vite avec une bonne douche et entamai une journée de travail, de celles où l'on ne dispose d'aucun moment pour soi. Ce qui était le cas à ce moment de ma vie professionnelle où j'étais ce qu'on appelait alors sérieusement un « jeune cadre dynamique ».

Je rentrai le soir, comme toujours, avant Nadia. Je savais que nous étions jeudi et que je ne devais pas m'attendre à ce qu'elle rentre tard, comme les trois derniers mercredis. Je m'avouais que j'en étais presque déçu...quand me revint à l'esprit ce que j'avais fait la veille de sa culotte. Je le l'avais cachée dans le tiroir d'un meuble et, assis sur le canapé, j'ouvris le sachet où je l'avais mise, les mains tremblantes. Un parfum très fort et très caractéristique parvint à mes narines. Avec délectation, je sortis la culotte. Une sage culotte en coton uni, rose. Je déployai l'entrecuisse et trouvai ce que je savais pouvoir y trouver: du sperme en abondance qui, mêlé à la mouille de Nadia, n'avait pas encore séché et, à l'arrière du sous-vêtement, du sperme mêlé à un rien d"excréments. J'étais fou d'une excitation telle que je n'entendis pas la clé tourner dans la serrure et que ma femme me surprit ainsi, dans une attitude qu'elle comprit tout de suite.

Sans un mot, elle vint près de moi sur le canapé. Après un regard sur la culotte et un regard vers moi, elle se saisit de son sous-vêtement et, les yeux plantés dans les miens, elle huma avec délectation ces sécrétions et, finalement, frotta sa culotte contre ses lèvres et, après un temps d'hésitation, elle approcha son visage du mien. Je sentis ainsi, près de mon visage et mêlée à l'haleine de ma chérie, l'odeur ravivée de ce que je venais de sentir. C'est alors que j'approchai mes lèvres des siennes et que nous commençâmes à nous embrasser, nos lèvres gluantes du liquide visqueux et odorant, excités tous deux comme nous ne l'avions jamais été.

Nadia retira sa culotte, releva sa jupe et m'attendit, jambes écartées, couchée sur le canapé. Son sexe ouvert était déjà ruisselant de mouille. Libérant ma verge douloureusement comprimée par mon pantalon, je la vis surgir de mon slip, turgescente: elle était tout à coup énorme, bien plus grosse que je ne l'avais eue jusqu'à présent. Elle avait dû faire aussi cette impression sur elle qui la regardait avec une surprise non dissimulée.

Je pénétrai Nadia et je ressentis la sensation nouvelle pour moi de glisser dans son vagin plein de mouille avec une grosse bite. L'odeur sur nos lèvres ne nous quittait plus et nous nous livrâmes à une étreinte fougueuse mais très longue au cours de laquelle elle eut plusieurs orgasmes ruisselants. Hurlant de plaisir, haletante, bavant, la bouche ouverte, elle ne cessait de se presser contre mon pubis à tel point qu'à un moment (ce qui ne nous était jamais arrivé jusqu'à présent) j'atteins le fond de son vagin. Ce qui provoqua chez elle le spasme d'un nouvel orgasme qui provoqua mon éjaculation. Celle-ci se fit en plusieurs épanchements au cours desquels je sentis mon corps se raidir complètement et mon coeur défaillir.

Nous restâmes ainsi sans bouger, comme pétrifiés par le plaisir, pendant longtemps. Jusqu'à ce que peu à peu, ma verge retrouve le repos en même temps que le vagin de ma chérie commençait à se refermer...

Nous nous réajustâmes ensuite pour retrouver le cours de nos occupations quotidiennes mais je remarquai que ni l'un ni l'autre n'étions passés par la salle de bains.

Repassant dans le salon, je vis que la culotte qui avait provoqué notre étreinte avait été rangée dans son sachet et qu'elle l'avait posée, bien en vue, sur une étagère, derrière le canapé. Cette constatation me provoqua un coup au ventre qui ne fut pas loin de provoquer une nouvelle excitation. Mais, l'habitude étant une seconde nature, nous continuâmes la soirée selon son cours habituel.

Après le repas, nous regardâmes la télévision, chacun dans un fauteuil et non à deux sur le canapé comme à notre habitude. De temps à autre, je rencontrais son regard : les yeux battus, le maquillage qui n'avait pas été refait, les cheveux recoiffés à la hâte. Elle me souriait seulement des yeux, le reste du visage restant impassible. J'avais déjà remarqué cette particularité rare chez elle mais là, elle me semblait encore plus évidente. Peu de gens savent être éloquents avec seulement une certaine fixité dans le regard et un imperceptible clignement des paupières. C'était tout Nadia: habituellement peu exubérante et même plutôt réservée, elle savait néanmoins être passionnée et capable de déchaînement jusqu'au paroxysme. Tout en accordant un intérêt limité à ce qui se déroulait sur l'écran, nous restâmes ainsi pendant plusieurs heures sans parler, jusqu'à ce qu’elle se dirige vers la chambre.

Je la suivis et remarquai qu'elle avait abandonné ses vêtements en désordre sur une chaise et qu'elle n'était pas passée par la salle de bains, contrairement à son habitude. Seule une faible veilleuse, commandée par une télécommande, diffusait une lueur à peine suffisante pour se mouvoir dans la pièce.

Je quittai mes vêtements pour me retrouver nu auprès d’elle et me saisissant de la télécommande, j'éteignis complètement la lumière. Nous nous retrouvâmes ainsi dans l'obscurité complète où seule la respiration de ma chérie me manifestait sa présence. Et je m'approchai d'elle lentement, restant cependant à distance, j'entendis alors son souffle se faire plus court, plus fort. Je m'approchai encore, encore un peu jusqu'à sentir son odeur et l'odeur...Cette dernière provoqua immédiatement une érection plus forte: j'étais tendu à un point que j'en avais presque mal. Je m'approchai encore et me mis à humer puis à renifler son visage dont le souffle était devenu plus court, encore plus court...Elle repoussa draps et couvertures et , sans la voir, je la savais ouverte, offerte.

J'approchai encore son visage pour renifler particulièrement le contour de ses lèves et son souffle se faisait de plus en plus fort; elle émettait même quelques sons rauques. Je posai enfin ma main tremblante délicatement à plat contre son sexe.

Il était débordant de mouille et, à mon contact, Nadia eut un spasme court et violent au cours duquel elle expulsa ce que je crus être de l'urine. Je continuai encore mes caresses sans être trop précis pour ménager son clitoris et sa vulve que je savais complètement congestionnés. N'y tenant plus, j'en vins cependant à son clitoris que je découvris énorme. Il faisait presque cinq centimètres et il était en érection complète. Instinctivement, je compris que je devais un peu le ménager, si je voulais que nos ébats durent.

Je n'avais jusqu'à présent pas remarqué la taille du clitoris de ma femme, soit parce que j'étais surtout préoccupé par la pénétration, soit parce qu'elle n'avait jusqu'à présent jamais atteint un tel degré d'excitation.

Je revins donc délicatement vers cet appendice qui devenait mon centre principal d'intérêt pour constater qu'il avait désormais atteint les cinq centimètres. En dessous de lui, la vulve était entrouverte et il en coulait un flot de mouille. Je trempai mes doigts dans ce délicieux liquide pour revenir vers le clitoris. Nadia, à mon contact, émit un gémissement, prit ma main et dirigea le bout de mon index et de mon majeur pour que, avec le concours du pouce, je puisse tenir son clitoris. Je commençai à le faire rouler lentement entre mes doigts et elle commença à se tordre sous la caresse mais elle revint vers mes doigts quelle dirigea de façon explicite pour me faire comprendre que je devais en quelque sorte la branler, comme un petit zob.

Quand je me mis à la toucher avec habileté à cet endroit, son souffle devint rauque, a****l, bestial à un tel point que lui seul aurait suffi pour provoquer mon excitation la plus extrême. Je continuai cette masturbation et Nadia maintenant hurlait de façon presque continue et dit inconsciemment entre ses dents:

« Vas-y AHMED, continue, continue, n'arrête pas ! Branle ta salope jusqu'à ce qu'elle explose ! »

Cette phrase, murmurée à mon oreille, m'excita d'autant plus que AHMED, ce n'était pas moi ! Je continuai bien sûr, complètement tendu et exclusivement concentré sur son plaisir à elle. Au point où elle en était, je ne croyais pas possible qu'elle soit encore plus excitée et pourtant, alors que je masturbais son clitoris de plus belle, elle guida ma main, lui imprimant un rythme plus rapide, de plus en plus rapide. Elle se rapprocha de mon oreille et murmura :

« Vas-y Ahmed ! Fais jouir ta salope avec ton gros zob, vas-y, je viens !!! »

Elle continua par un hurlement dont l'intensité augmentait avec le rythme de la masturbation de son clitoris qui, dès lors, devint frénétique...À un moment, dans un dernier hurlement émis à pleine gorge, elle se raidit entièrement. Cambrée dans un orgasme extrême, elle arrosa mon visage d'un jet abondant, aussi court que puissant et son sexe expulsa, dans un bouillonnement sonore, les sécrétions abondantes de notre précédent coït.

Nadia n'était cependant pas encore repue. Elle m'invita à la pénétrer de mon sexe. Elle était tellement excitée que son vagin était encore tout ouvert et que je sentais son clitoris entre nos deux pubis. Elle mit ses mains sur mes fesses et avec une force surprenante pour sa frêle constitution, elle me poussa plus profondément en elle, disant cette fois à haute voix « Vas-y Ahmed, baise-moi à fond, baise ta salope ! ». Elle m'amena ainsi au contact du fond de son vagin, ce qui provoqua notre orgasme simultané, d'un paroxysme partagé qui s'accompagna de hurlements tels qu'ils ne pouvaient pas avoir été ignorés du voisinage.

Nous restâmes ainsi longtemps, côte à côte, dans le silence et l'obscurité, jusqu'à ce que Nadia se rapproche de moi et pose une main sur mon sexe ramolli. Approchant son visage du mien, elle murmura « J'ai encore envie que tu me baises Ahmed ! J’adore ton gros zob ! »

N'ayant pas retiré sa main de mon sexe, elle n'a pu ignorer le soudain afflux de sang qui le rendait cette fois plus dur encore, si c'était possible. Elle se mit à me chevaucher et, attirant du sperme et de la mouille de l'intérieur de sa chatte, elle amena ce mélange vers son anus. Ensuite, d'autorité, elle plaça ma bite entre ses fesses et s'empala par l'anus.

La sensation que j'éprouvai alors fut très intense. D'abord, je n'avais jamais sodomisé ni ma femme, ni personne d'autre d'ailleurs, ensuite je découvris que la sensation était tout autre que celle procurée par la pénétration vaginale, enfin je m'expliquais encore mieux les traces d'excréments mêlés au sperme dans la culotte de Nadia...

Ma femme, au-dessus de moi, tremblait d'excitation et elle me dit, d'une voix de gorge que je ne lui connaissais pas « Oh que c'est bon...vas-y à fond Ahmed, casse-moi le cul ! ». Elle se rendit vite compte, en me sentant comme elle, trembler d'excitation, que ce qui m'excitait le plus c'était de m'entendre appeler AHMED alors que je m'appelle Karim...Elle en rajouta en hurlant :

« Défonce-moi Ahmed, défonce-moi ! ».

Ce qui me fit jouir à fond, au plus profond de son cul en même temps que je ressentais les effets de l'orgasme puissant de Nadia qui se traduisit par des contractions spasmodiques de son anus, bien plus puissantes que celles de son vagin.

Et depuis, ma femme se fait toujours baiser par son amant AHMED, 2 à 3 fois par semaine. Je ne le connais pas et je ne l’ai jamais vu.

Yvonne est elle une dominatrice où une soumise?

Souvent on me pose la question ... soumise ou dominatrix ? Bah, un peu des deux en fait...cette histoire se déroule sur deux chapitres ou je mets en scène via des fantasmes mes deux tendances.

Chapitre 1 , Yvonne en mode soumise:

Il était confortablement assis dans un fauteuil d'une place et me fixait d'un regard perçant tout en tenant une cravache de ses deux mains en signe de menace et de domination sur moi.

Il se servait de son bras gauche pour tapoter sa cravache dans sa main droite , elle était en mouvement pour bien me faire comprendre qu'il n'allait pas hésiter a s'en servir contre moi et ça commençait deja a bien m'exciter...

Il s'était finalement levé et s'avança vers moi avec une démarche sure, affirmée, mais lente. Il tourna ensuite autour de moi comme si j'etais sa proie tout en regardant bien attentivement mon corps de haut en bas. Il s'était mis derriére moi pour soulever ma robe avec sa cravache dans le but de voir ma culotte. Le vetement etait deja trés court car il découvrait deja la casi totalité de mes jambes mais il voulait en voir plus ...

Nous étions en été, en pleine nuit. La chaleur étouffante due a un soleil trop agressif de la journée avait laissé place a une douce fraicheur de soirée estivale. Les fenêtres étaient entre ouvertes , le vent faisait de temps a autre entrer la bonne odeur des sapins qui entourait son manoir. Il n'avait allumé que deux chandeliers de quelques bougies , mais il n'en necessitait pas plus puisque la pleine lune éclairait la piéce a travers le voilage des fins rideaux .

Il decida enfin de rompre le silence : "Déshabille toi" , me lançait t'il sur un ton froid et autoritaire. Je me suis vite retrouvée devant lui en culotte et soutien gorge, ma mini robe ample bleue turquoise était trés simple et rapide a enlever . "Ecarte " me disa t'il ... Il passait sa cravache entre mes jambes, a l'interieur des cuisses, il me carressait sans le faire de ces propres mains.

J'avoue que cela m'excitait au plus haut point. Il montait sa cravache tout le long de ma jambe jusqu'a ma chatte. Il frottait sa cravache sur mon minou encore recouvert par ma culotte par des mouvements qui allait de l'avant et de l'arriére. Ses frottements commençait a me faire mouiller de plus en plus.

Il se recule un peu et fixe ma culotte... Juste aprés avoir ricané a propos de choix de lingerie qui m'habillait: "Tu portes une culotte vraiment haute... c'est pas une gaine pour effacer un petit bidon a travers les vetements ça...? hahaha...montre moi ça, je veux voir ..."

Je lui coupe la parole en lui disant : "C'est ce que vous m'avez dit de mettre ça par mail que ça vous excitait, maintenant ça vous fait rire ?" "Je dois vraiment refaire toute ton education petite peste ! et en plus tu oses me répondre ! " Il se remis sur le canapé , me regarda sévèrement en me sommant de venir sur ses genoux ... je me prenais une volée de fessées et il me dit. "La prochaine fois que tu prends la parole sans mon autorisation , ce n'est pas des gentilles fessées que tu auras , ce sera des coups de cravache sur ton gros cul... c'est compris ? " "Oui , c'est compris" "Oui qui? espéce de mal elevée ?!!" me disa t'il en me pinçant les fesses "Oui maitre"

Quand il a fini de me corriger , il me dit de m'asseoir sur ses genoux et m'ordonne d'enlever mon soutient gorge, c'etait bien le seul vetement qui m'habillait encore. Il travaillait mes seins avec douceur mais fermeté. Il soupesait energiquement ma poitrine sans me faire mal. Il s'occupait de mes tétons , dés qu'il avait réussi a me les faire pointer , il les mordillait de plus en plus pour tester ma résistance... il n'attendait qu'un cri de douleur de ma part pour lui signaler ma limite. Il m'a punie pour avoir échappé un bruit de ma bouche, mais en même temps c'est ce qu'il voulait , me faire souffrir...

Il claqua des doigts pour me faire comprendre que je devais me mettre a quatre pattes sans delais. Il m'interdit de bouger d'un pouce jusqu'a ce qu'il revienne, il quitta la pièce sans un mot d'explication. Quelques minutes plus tard , il était revenu avec une boite de gateau qu'on donne a la boulangerie. Il y avait deux tartelettes aux fruits rouges recouverts de chantilly et deux grosses part de fondant au chocolat.

Je devais me mettre a quatre pattes devant lui, a ses pieds, et tout bien finir jusqu'a la dernière miette. Il me parlait avec autorité, faisait des commentaires sur mon physique tout en caressant mon ventre qui pendait vu ma position , et de temps en temps, il prenait fermemant mes hanches larges dans ses mains pour les malaxer, les secouer...

"Regardez moi ça, comment elle est devenue grosse. C'est ce qui arrive quand on est trop gourmande, aprés on gonfle de partout...

"Tu vas être sage et tout bien finir , les femmes comme toi avec de jolie formes , je m'amuse a les faire grossir encore plus, tu ne demandes pas mieux espéce de petite salope qui aime m'excité avec ses jolies rondeurs" "Je ne t'ai pas apporté de gamelle , c'est pour les chiennes ,toi tu es trop grosse pour en etre une , tu es une vache , une enorme vache même qui n'arrete pas de grossir..."

" Si tu continue comme ça, tu finiras obèse ... mais tu sera sévèrement punie si tu en arrive la, je te ferai transpirée pour que tu reperde tout tes kilos "

Mon maitre ne cessait de me mettre la honte sur mon poids et ma gourmandise tout en m'obligeant a engloutir ces gateaux... j'étais a quattre pattes , je mangeais avec mes doigts , j'en mettait partout. Jamais je me suis sentie aussi humiliée et excitée en même temps. J'avais cedé a mes plus bas instinct et je voulais en rien arreter , au contraire , j'etais si émoustillée , que je continuait a engloutir ses gateau tout en écoutant les vexations du maitre en même temps. Des gouttes de cyprine dégoulinait de ma chatte , le maitre le voyait et continuait de plus belle , il aimait ma docilité et bandait de plus en plus dur.

Quand j'eut tout fini, il passait ses doigts sur mes lévres salies de chocolat et de chantilly. Il les mis dans ma bouche pour que je nettoie. Il aime ma façon de téter ses doigts epais et longs et spontanement, il me met son noble sexe dans sa bouche. " Tu aime avoir la bouche pleine grosse gourmande... je le sais"

Il faisait des commentaire positifs sur ma façon de sucer ,trés positifs même. D'un coup, il a fermé ses yeux et a pencher sa tete en arriére pour ne plus dire un mot.

Le jour commençait a poindre , le ciel etait deja passé de la couleur noire a bleue trés foncée , mais on en avait pas fini pour autant... mon maitre n'avait pas encore glissé son sexe de dominant dans ma petite chatte bien mouillée et bien ouverte a cause d'exquis preliminaires bien humiliants.

L'un comme l'autre on voulait réaliser nos fantasmes. Monsieur voulait s'encanailler avec une "meuf de quartier" et moi je voulais gouter au sexe d'un aristocrate... On s'etait deja bien chauffé sur le net avec des mails trés coquins.

Il a compris ce que j'attendais de lui ... je voulais me faire dominer par un homme plus agé que moi, avec de l'experience pour etre sure que cela soit bien fait. De son coté , il aurait voulu aller plus loin dans la torture et la domination , mais il a bien entendu le fait que je voulais que cela reste tout de même soft. Il a été emerveillé par les photos de mon corps que je lui avait envoyé par boite mail.

J'etais casi nue ou avec un petit minimum de vetements , mais assez pour qu'il devine mes formes , sans pour autant lui devoilé mes parties intimes sur photo. Il a particuliérement préféré celle ou j'etais les seins nus, ne portant qu'une veste de survetement noire a capuche avec la fermeture entiérement ouverte pour lui montrer ma poitrine généreuse ainsi que mes tétons un peu travaillés.

Il m'avait ce soir en chair et en os devant lui , il pouvait enfin me toucher, me palper et glisser son sexe dans le mien.

Il m'allonge sur le lit et m'attache les deux bras et les deux jambes a ses barreaux pour que je ne puisse plus bouger mais m'offrir docilement a lui. Il me baillone pour ne pas que ces voisins et son personel soient reveillés par une heure aussi matinale, parcequ'il a envie de me prendre avec beaucoup de fougue et prevoyait que j'allais vraiment crier de plaisir et de douleur mélangés.

Il commence a faire des commentaires sur ma petite chatte bien serrée ,toute mouillée et trés chaude aussi... et projettait l'idée de m'écarter encore plus mon vagin lors de nos futures séances. Il faisait de divins va et viens dans ma chatte , mon plaisir montait de plus en plus... il était sur moi tel un dominateur et me fixait d'un regard casi glacial et moi je me soumettais , en pleine jouissance.

Heureusement qu'il m'a boyonné, car je disait des cochonneries vraiment honteuse sous l'effet de l'excitation et de la jouissance sexuelle. Il a vite compris que je décollait au plus haut point et que je lachais de obsenités de ma bouche. Il a donc eu l'idée de me liberer la bouche pour entendre tout ce que je disais

"Oui, je suis votre grosse salope , vous me faites tellement jouir...aaah, c'est bon.... je ferais tout ce que vous voudrez tellement vous me faites du bien ... défoncez moi comme la pire des truies oh oui ...je vous appartient, je vous appartient"

Aprés avoir raler et ejaculer mon maitre se pose sur mon corps. Il me dit que lorsque je serai a peine reveillée d'ici plusieurs heures, il exigera une bonne pipe matinale pour bien commencer sa journée.

Chapitre 2 : Yvonne en mode dominatrice

Mon soumis est à genoux , vétu d'un simple boxer et m'attends dans le salon sans bouger jusqu'a ce que je finisse de me préparer dans la salle de bain ... je suis vraiment motivée a lui faire payer trés chér ma mauvaise humeur du jour.

D'habitude , je suis plutot du genre a lui faire subir des humiliations psychologiques , mais la, vu mon degrés d'enervement , il va désormais se rendre compte que j'ai autant de force qu'un mec!

Nous sommes chez moi, en plein aprés midi, les talons de mes cuissardes claquent sur le parquet pour annoncer mon arrivée. Il me regarde , admiratif, alors que de mon coté, seul le mépris le plus singulier se lit dans mon regard.

"Tu es belle " me disa t'il Il s'en est pas fallu de plus pour qu'il fasse monter ma colère d'un cran: "Mais pour qui tu te prends a me faire des commentaires sur mon physique sans que je te demande quoi que se soit ? t'es malade ou quoi ? Je lui décolle une grosse giffle, si forte que sa tête tourne du côté gauche,puis il me regarde les yeux équarquillés d'etonnement, mais vu le regard mittraillant que mes yeux bleus et gris lui portent , il finit pas baisser la tête: "Pardon... je... je.... "Je QUOI ?? "je ne voulais pas t'enerver , je suis désolé"

"Mouais... ça va pour cette fois. Alors que l'on soit bien clair, si il y a bien une chose que je deteste , c'est qu'un homme se prenne la liberté de me faire des commentaires sur mon physique... que ce soit en positif ou négatif , je ne veux rien savoir, vous n'avez que ça a me dire ou quoi?...des t'es belle, t'es pas belle... bande d'abrutis."

Je tournais autour de lui , decidée a l'embrouiller pour qu'il ne sache même plus quel comportement avoir, ni quoi dire. Je me met devant lui et je lui demande "Tu les aimes mes jambes? Il hesitait a me repondre , vu le savon que je lui ai passé quelques minutes auparavant...il les regardait ne sachant que dire. Aprés mure reflexion , il me répond timidement "oui, tu as de belles jambes ...elles sont longues , ça fait vraiment beau des jambes d'un métre"

Suréxcitée je lui hurle "mais quel con ! mais quel con ! ... j'ai jamais vu ça ! vas y sort le métre qui a dans le tiroir la ! Il s'exécute sans broncher et reviens vers moi avec le ruban. "Bon, tu vas les mesurer par toi même mes jambes, histoire que je te mette bien face a ta connerie" "C'est 94 centimétres plus exactement... Il s'était trompé de 6 centimétres...donc ça lui valait 6 coups de talons enfoncés profondément dans son anus. Soudain, on sonne a la porte , c'était mon amante.

"Aw!... je suis trop contente de te voir , viens , je vais te présenter a l'autre débile la " "Dis bonjour à mon amie, espéce de mal poli"

Etonnée de voir un homme chez moi, elle me demande ce qu'il faisait la ... je lui reponds de ne pas s'occuper de lui et de faire comme ci il n'existait pas. Sous les yeux excités du soumis, je fais l'amour a mon amante.

Je l'embrasse en la poussant doucement sur le lit. Je souléve sa mini robe évasée pour lui caresser l'interieur des cuisses. Je lui laisse, pour commencer, sa culotte en faisant plein de baisers sur sa chatte charnue. Elle commence a miauler et j'ai une irresistible envie de m'occuper de ses gros seins. Je la déshabille completement , de mon coté , j'enleve rapidement mon body en velour vert pour sentir au plus vite son corps sur le mien.

Je m'allonge sur elle en bougeant de gauche a droite pour profiter pleinement du moelleux de ses formes. Je téte par la suite ses seins goulument en faisant plein de bruit avec son téton dans ma bouche. Elle me caresse les cheveux avec une douceur absolue et me dit que je suis son petit chaton et qu'elle veut aussi s'occuper de moi.

Elle se met sur moi et malaxe suavement mes hanches et vue la largeur, y'a de quoi faire, ça a duré un bon petit moment et j'ai adoré ça. J'aime bien quand une nana me touche , j'ai vite remarqué que les caresses de femmes sont toujours plus douces que celle des hommes, pourquoi ça, franchement j'en sais rien , mais c'est un constat.

J'ai tapoté son sexe et nous étions toute aussi humide l'une que l'autre...aprés un bon 69... enfin, si on peut appellé ça comme ça , je l'ai doigté comme jamais. J'y suis allée a crechendo en commençant avec un doigt , puis deux, puis trois. Aprés avoir fait de simple va et viens dans son minou chaud et humide, j'ai gigotté mes doigts en les laissant profond dans sa chatte. Elle n'arretait pas de jouir et j'aimais entendre ça. J'aime quand le plaisir est partagé entre les deux partenaires, j'aime donner et recevoir...

Aprés tout ces preliminaires , je voulais avoir quelquechose de gros et de dur entrer et sortir de ma chatte.

Je m'approche du soumis en lui disant "je suis suréxcitée , je veux avoir un gros truc dans ma chatte , léve toi " Il avait une bosse au niveau de son boxer que je tapote , je fini par le déshabiller completement et je dis a mon amie "regarde, il bande comme un cochon" Elle ricanait un peu, et je lui dit , attends, on va se marrer encore plus. "Regarde soumis dans ma chatte , touche la, profites en, c'est pas souvent que je t'y autorise... t'as vu comme c'est mouillé... et tu dois faire comment quand c'est comme ça ? " "Heu... te pénétrer ?"

"Pffff... mais tu n'es vraiment qu'un imbecile... va me chercher le gode plutot , mais qu'est ce que tu m'enerves aujourdhui... tu le fais exprés ou quoi ? attends, ce que tu vas te prendre quand elle sera partie !!!"

Sous les yeux excités et frustrés du soumis, nous nous sommes finies au gode. Lorqu'elle est partie , je me suis retrouvée face a lui , il avait la tete baissée et redoutait le pire. Je lui tends un objet emballé dans un beau papier cadeau et je lui dit avec un sourire ironique "ouvre, c'est pour toi" Il defait le papier et découvre une ceinture , je lui ordonne de se mettre a quattre pattes pour lui montrer comment on s'en sert.

Aprés plusieurs coups bien violents en silence je lui dit : oui je sais, je ne suis vraiment pas sympa avec toi , mais tu ne demandes pas mieux n'est ce pas ? Il me réponds "oui j'aime ça, mais des fois je trouve que tu vas un peu loin " Je le fusille du regard "comment ça ?!! tu reveux des coups ou quoi ?" en lui tirant les cheveux au point de faire basculer sa tete a l'arriére.

"Non, non, te t'enerves pas , mais depuis que nous nous fréquentons , tu ne m'as laissée pénétrer ta chatte que 2fois, j'ai beaucoup aimé , je ferait n'importe quoi pour qu'on le refasse, a chaque fois que l'on se voit je fais toujours de mon mieux en espérant que ..." Je lui coupe la parole sans ménagement "On ne t'as jamais appris qu'il ne faut pas trop abuser des bonnes choses ? Me passer dessus ça se merite, aller, rentre chez toi , je t'ai deja assez vu comme ça pour aujourdhui."

Un vrai maso qui paye pour tout mes ex... je suis partagée entre dégout et admiration de le voir aussi pret a tout. Temps qu'il ne comprendra pas que venant de moi ,il ne récoltera que de la frustration , il aura encore beaucoup d'occasions de se faire humilier de son plein grés...

Rencontre fortuite

Un après-midi je flane dans la rue piétonne de la ville ou je réside et je m'attarde devant les magasins ou des vêtements sont exposés à l'extérieur quand survient un incident: une personne me bouscule. En me retournant je vois que c'est un homme d'une cinquantaine d'année grand, aux cheveux poivre et sel, d'une bonne corpulence et au physique agréable. Il s'excuse de m'avoir bousculée puis nous échangeons quelques paroles avant de poursuivre notre chemin chacun de son côté.

Le lendemain j'aperçois le même homme attablé à la terrasse d'un bar, je l'observe sans discrétion tout en continuant mon chemin, il se rend compte de ma présence et me salue, je lui souris.

Le surlendemain je suis surprise quand, dans la rue piétonne, il surgit devant moi.

„bonjour charmante dame“.

„bonjour monsieur l'écraseur“.

„je m'excuse encore pour l'autre jour, pour me faire pardonner je voudrais vous offrir un verre“.

Je lui souris.

„vous êtes direct, boire un verre pourquoi pas mais je ne sais pas si cela sera suffisant pour obtenir mon pardon“.

„je ferais ce qu'il faut pour obtenir la rédemption“.

„pour ça je ne sais pas si un simple verre suffira“.

Nous nous regardons en riant puis je le suis et nous nous installons à la terrasse du bar ou je l'ai vu la veille. Nous parlons tout en buvant une bière, il me questionne sur moi et j'en fais de même sur lui, il est marié mais comme sa femme n'aime pas marcher et qu'elle est occupée il se promène seul. Nous rions beaucoup car c'est un bon blagueur et je soupçonne qu'il soit adepte de l'adage qui dit: "femme qui rit.....". Au moment de nous quitter comme je le pressentais il demande à me revoir, intéressée je n'hésite pas et rapidement rendez-vous est pris.

Comme pour passer le temps je me rends de temps en temps dans une association il m'est facile de m'absenter sans éveiller les soupçons de mon mari. La première fois que je revois l'homme qui se prénomme Maxime nous nous promenons sur le port puis il m'offre un verre. Avant de nous quitter il me suit dans un recoin d'une rue peu fréquentée. Sans hésiter je me colle contre lui et passe mes bras autour de son cou pendant qu'il enserre ma taille.

Ses lèvres sont sur les miennes, sa langue pénètre dans ma bouche qu'elle fouille à la recherche de ma langue que je ne tarde pas à mêler à la sienne, elles se battent comme deux chiens fous pendant un bon moment. Je sens contre mon ventre une bosse grossir là ou se trouve son sexe. Le long baiser terminé je me détache de lui bien qu'il aie envie d'approfondir notre relation. Je lui fixe un autre rendez-vous puis je le quitte.

Lors de notre rencontre suivante, attablés côte à côte dans le coin le plus discret d'un bar je me comporte comme une salope, une de mes mains s'égare sous la table. Je caresse sa cuisse la plus proche puis sans me soucier du lieu ou nous sommes ma main remonte vers son entre-jambes et se pose sur l'endroit ou je sais trouver son sexe, rapidement à cause de mes caresses appuyées celui-ci qui me paraît avoir une bonne taille augmente de volume et déforme énormément le pantalon. Maxime est gêné et troublé pendant que je lui souris satisfaite de moi.

„tu te rends compte de ce que tu fais et tu sais qu'on peut nous voir“.

„oui, pourquoi? ça ne te plait pas“.

„si mais pas ici. A ton air j'avais bien compris que tu étais une petite salope mais je ne pensais pas que c'était à ce point“.

„tu n'as encore rien vu et tu ne sais pas jusqu'à quel point je peux être salope“.

„j'aurais plaisir à découvrir jusqu'à ou tu peux aller mais ailleurs qu'ici“.

„quand tu veux, je ne suis pas contre“.

Je prends une de ses mains et la glisse sous ma robe contre mon intimité qu'il se met à caresser timidement.

Rapidement il retire sa main car il s'est aperçu qu'un couple attablé plus loin nous observe.

„ta chatte est toute chaude“.

„certainement qu'elle a envie de quelque chose“.

„mon pénis aussi mais on ne va pas continuer ici, on nous regarde“.

„cela ne me gêne pas, ça va peut être leur donner l'envie de participer“.

„à leur air je ne crois pas, leurs visages reflètent plutôt l'indignation“.

Cela me fait rire. Il nous faut attendre que l'érection de Maxime cesse avant de quitter le bar.

Il m'accompagne sur un parking ou à l'abri derrière un véhicule utilitaire nous nous enlaçons et échangeons de longs baisers. Sans gêne et malgré sa réticence je baisse le zip de son pantalon et glisse une main à l'intérieur ou après avoir écarté le caleçon je saisis un pénis que je trouve de bonnes dimensions à qui je donne une bonne érection en le caressant et le masturbant. Maxime passe une main sous mon blouson et caresse mes seins par dessus ma robe puis la main quitte ma poitrine, soulève mon vêtement et se glisse dans ma culotte. Il caresse mon sexe puis un doigt me pénètre et s'agite dans mon intimité, j'écarte les jambes, les envies augmentent dans mon ventre. Des voix et des pas se rapprochent de plus en plus de l'endroit ou nous sommes sur le parking, nous reprennont une attitude un peu plus décente tout en continuant à nous embrasser. Mon partenaire est un peu refroidi par le fait de risquer d'être vus, nous décidons d'en rester la et convenons d'un nouveau rendez-vous pour quelques jours plus tard.

Le jour dit je flane depuis un moment sur le remblai en bordure de l'océan quand je vois Maxime arriver. Il m'embrasse sur les lèvres puis me demande de le suivre. Il m'entraîne vers les cabines de plage qui restent à demeure toute l'année et en ouvre une porte avec une clé puis me tire à l'intérieur avant d'en refermer la porte. Il ouvre un sac et en tire une lampe de camping qu'il allume et m'explique qu'il avait loué cet endroit pendant les vacances pour ses enfants et avait fait un double de la clé au cas ou. Il enserre ma taille de ses bras et m'embrasse longuement. Il me déshabille en commençant par le blouson, ensuite il me débarrasse du maillot, du soutien-gorge, du pantalon et du string.

Une fois nue il me caresse partout, il agace et tord mes tétons, il insiste sur ma chatte puis il la doigte avant de se mettre à masturber mon clitoris, j'écarte les jambes pour mieux profiter de ce qu'il me fait. Je commence à caresser son sexe par dessus le pantalon. Il m'abandonne, fouille dans le sac qu'il avait amené en sort un plaid qu'il étale sur le plancher en bois de la cabine qui est assez vaste pour qu'on puisse s'y allonger sans trop de gêne. Pendant qu'il retire ses vêtements je me couche sur le plaid, il s'allonge à côté de moi et regarde mon corps.

„c'est mignon tout ça, tu as un beau corps“.

„merci mais tu n'es pas mal non plus et surtout je ne peux qu'être intéressée par le beau morceau qui fait des siennes entre tes jambes“.

„gourmande“.