Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE - Ewa Heart - E-Book

Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE E-Book

Ewa Heart

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Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE Fantasmes sexuels pervers pour lui et elle Fanatiques sexuels du genre pervers - qui ne le fait pas? Il échoue généralement simplement à agir. Parce que les tabous ou les frontières qui existent dans notre société doivent souvent être franchis. Il est temps de vivre librement votre désir et de vous amuser avec le sexe. Érotique sans tabous. Que ce soit le sexe anal ou en groupe, gangbang ou FFM, partage de femme ou cuckolding. Chacun a droit à la satisfaction de ses penchants sexuels. Histoires de sexe pour adultes seulement Thèmes de contenu: Roman érotique à partir de 18 ans Sexe anal Wifesharing Cocu français Trentenaire M.I.L.F. Érotique pour les femmes romans érotiques de 18 non censurés Érotique français Érotique de 18 non censurée romans d'amour érotiques Histoires de sexe de 18 non censurées histoires courtes érotiques Sexe français Histoires de sexe à partir de 18 ans Érotique Cocu Wifesharer Histoires de sexe à partir de 18 ans Parole sale Erotica à partir de 18 non censurée gratuitement Romans d'amour allemand Érotique à partir de 18 ans Sexe dans le mariage Littérature érotique Livres érotiques Romans érotiques Histoires de sexe Histoire érotique Romans érotiques Livres érotiques Roman d'amour érotique Meilleures ventes de romans érotiques Livres sexuels avec des échantillons de lecture Roman érotique romans d'amour érotiques histoires érotiques Histoires érotiques Histoires de sexe érotique Ebooks érotiques Roman d'amour érotique Histoire de sexe gratuite Histoires érotiques histoires de sexe gratuites Anthologie érotique Échange de partenaires Érotique pour les hommes Histoire érotique Sexe anal Histoire d'amour Sexe par derrière Sexe en partenariat

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Seitenzahl: 203

Veröffentlichungsjahr: 2020

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Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE

Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXEUne femme sensuelleLa sensualité mystérieuse d'une femmeÉpanouissement sexuelSortez de la vie sexuelle quotidienneUn fantasme insatisfaitPlaisir et tourment sont proches l'un de l'autreSéduction de ma secrétaireMa nouvelle expérienceJe lui appartiensUne vraie femme de rêvePage de copyright

Histoires de sexe sales: NOUS AIMONS LE SEXE

Une femme sensuelle

J’enseignais le graphisme depuis 3 ans aux adultes dans un collège privé et cet étudiant, toujours assis au fond de la classe, était de loin le plus timide que je n’avais jamais eu et il me plaisait bien. Il plaisait à tout le monde en fait, il était vif, intelligent, brillant et drôle. De plus cet homme-là était né pour faire du graphisme. Il était et de loin l’étudiant le plus talentueux que j’avais eu. Pourtant, comme moi il approchait la cinquantaine, une vocation sur le tard probablement. Moi j’avais commencé a étudier dans ce domaine a 21 ans et j’avais passer ma vie dans le graphisme et ça l’intimidait, je le sentais. Je l’embarrassais beaucoup ! Même si je projetais l’image d’un petit bout de femme sur d’elle, décider, une fonceuse qui n’as peur de rien, j’étais tout le contraire, une timide moi aussi. Ça m’avait tout pris pour me décider à me lancer dans l’enseignement et la première semaine avait été un véritable calvaire pour moi. Mais j’adorais ça et je me sentais bien maintenant dans cette nouvelle carrière mais seul et Luca était beau, en plein mon genre.

J’étais séparé depuis deux ans et coté sexe c’était au point mort littéralement, je fonçais dans le travail sans trop y pensé, et ce gars me plaisait et je lui plaisais, je le voyais bien juste a sa manière de me regarder, de baisser les yeux quand je me retournais après avoir écrit au tableau. Les autres gars le faisaient aussi, mais lui c’était plus par respect que par peur d’être surpris, ça se sentait. Ou il rougissait un peut quand je me penchais a coté de lui pour lui expliquer quelque chose sur son ordinateur.

Il était grand, mince, un profil à la Sherloc Holmes et secret. Il portait constamment des jeans et une veste de cuir user. Pendant les pauses je discutais toujours avec mes étudiants mais c’était surtout les filles qui m’accaparais, Luca écoutait, jamais loin. Après trois mois de cour je compris qu’il ne se lancerait pas, il devait me croire marier ou en couple ou il était tout simplement trop gêné pour le faire. Moi je lavais entendu dire a un autre qu’il était séparer et vivait seul. De plus il devait se dire qu’une enseignante ne sortirait jamais avec un étudiant, mais pourquoi pas, on était entre adultes ici, je n’enseignais pas a des ados pourvu qu’on ne le cri pas sur les toits.

Un beau jour a la toute fin des cours je décidais de prendre les devants et de l’aborder, mais de quelle manière ça, je n’en savais encore rien... J’avais rarement couru après un homme depuis la vingtaine et ça me stressait, je le comprenais donc très bien. Autant je pouvais être gêné moi aussi autant je pouvais être directe et foncer pour bien des choses. Je me mis en tête de l’inviter a souper simplement, mais je le rater a la sortit des classes, il avait disparu. Je remis donc cela a demain sauf que, comme pour bien des gens timides parfois quand on se décide ces tout ou rien et la....

Le lendemain au collège j'entrai dans mon bureau vêtu d'une jupe étroite noire un peut plus courte qu’a l’habitude, bas nylon noir a large bande élastique aux cuisses, chandail a col rouler, moulant, noir également et un rouge éclatant sur mes lèvres bien rondes. Aux pieds je portais des petits souliers noirs aux talons plats, je déteste les talons hauts, ça fait trop rebondir mes seins et a l’approche de la cinquantaine les miens gonflait, ramollissais et remuait de plus en plus et je déteste attirer l’attention, surtout devant mes étudiants. Habituellement je cachais ma poitrine sous des tailleurs, mais pas cette fois. Ce n’est pas que je les est si gros que ça mais, ça attire l’attention des étudiants mâles et il en oublie d’écouter. Mais ce matin la quand j’entrai en classe le regard des gars s’alluma et les filles lâchèrent un « ouuhhh... » extrêmement gênant pour moi je les rappeler a l’ordre, en disant, « OK ! OK ! Les filles, » en déposant mes affaires sur le bureau et Luca n’était pas là, sa place habituelle au fond de la classe était vide. « Merde ! » Je me sentais ridicule a présent vêtu comme je l’étais et si maquiller, enfin pas tant que ça mais pour moi c’était beaucoup. Puis je me dis que les étudiants penseraient que c’était parce que c’était la dernière journée.

Mais en regardant a nouveau vers le bureau vide mon cœur se resserras un peut, il n’avait jamais manqué une seule journée et la, c’était la dernière et il fallut qu’il choisisse celle-là pour s’absenter et moi pour me décider. Je pouvais toujours consulter son dossier, mais oserai-je l’appeler. Pourquoi pas ? Tant pis, y me restait qu’as ne pas trop m’étirer sur la pointe des pieds en écrivant au tableau.

— Personne n’a vu Luca, demandai-je, ça ne lui ressemble pas d’être en retard !

Tout le monde fait non.

— Sexy notre prof ce matin, lança Monique toujours assise au premier rang en me matant des pieds à la tête comme le ferais un gars et en souriant.

Il y eut des murmures amuser.

— Bon, bon, OK ! Dis-je a nouveau me sentant rougir, on commence....

Une heure plus tard je compris qu’il ne viendrait pas à sa dernière journée de cour. Au lunch du midi à la cafétéria avec les autres j’en avais fait mon deuil. Mais soudain il arriva, calme et poser sans rien dire. Je souris soulager en mordant dans mon Sand-Winch. Mon cœur s’emballa...

De retour en classe j’évitai de trop le regarder mais je sentais ses regards a lui sur mon cul, ou je l’imaginais. En tout cas les autres eux, me le regardait sans arrêt ! Je trouver le temps long surtout quand j’écrivais au tableau j’avais toujours l’impression que ma jupe levait trop et que l’on pouvait voir la bande décorative de mes bas. Je passai la journée a avoir des bouffés de chaleur les aisselles humides.

Vers 4 h, à la fin de cours, je le vis s’apprêter à sortir comme les autres mais pas question de le rater cette fois et quand il passa devant moi en me saluant je lui dis d’aller à mon bureau quelques minutes. Mon cœur se mit à battre en rangeant mes papiers, il me regarda étonner mais sans rien dire, je souris disant au revoir et souhaitant bonne chance aux autres puis filer aux toilettes nerveuses. La peur du refus ma toujours terroriser, comme la plupart des gens j’imagine et cela provoqua chez moi une envie pressante.

Une fois aux toilettes je soupirer assise sur le bol petite culotte aux genoux en vidant ma vessie, je m’essuyer, tirer la chaîne puis soupirer encore en remontant mes slips et allant me laver les mains et me remettre un peut de rouge. J’étais assez joli je le savais, sans être d’une grande beauté. Beaucoup d’hommes m’abordaient avant que je ne me jette corps et âme dans l’enseignement et j’avais eu pas mal de relation à une certaine époque. Une petite brune tout de même attirante, j’avais encore une belle silhouette pas trop de gras, ni trop ronde ni trop mince avec de jolies jambes et la, sans réfléchir, je fis une chose qui n’était pas moi du tout. J’entrai a nouveau dans une cabine sous une impulsion soudaine et je glisser les mains sous ma jupe et je retirer mes slips et les fourrer dans ma mallette métallique. J’en frissonner en me demandant pourquoi je faisais ça et surtout si j’aurais le courage de sortir et de me promener dans l’école fesses et sexe a l’air pratiquement. Mes bras se couvrirent de grosse chair de poule, mais étrangement j’aimais cette sensation d’interdit.

Et je le fis, je sortis des toilettes nerveuses, en frissonnant chaque fois que je croisais des étudiants ou d’autres enseignants et mon cœur battait plus vite et ma vulve mouillait. J’avais l’impression que ça se lisait sur mon visage que je ne portais plus mon slip et qu’il était dans ma petite valise qui battait contre ma cuisse, ma main qui serrait la poignée était moite de sueur. Je filer rapidement a mon bureau espérant ne pas rencontrer le directeur de l’école qui s’arrêtait tout le temps pour me parler. Il en pinçait pour moi, je l’avais vue dès mon premier jour, mais il était marié et père de 3 enfants et ça ne l’avait pas empêché de m’inviter à un souper en tête à tête. J’avais refusé net et il n’avait pas insisté, mais il me parlait chaque fois qu’on se croisait. Mais heureusement je ne le vis pas et entré dans mon bureau comme si j’avais le diable aux trousses, le cœur battant à toute allure et je rie toute seul, me trouvant idiote. On frappa a la porte aussitôt, « seigneur y devait être juste derrière moi et regarder mon derrière, » me dis-je en souriant, je le fis entré.

Mon cœur bondit en le voyant hésiter devant la porte ouverte, je lui dis de venir s’asseoir. Il semblait aussi intimider que moi, il entra et s’installa sur la chaise devant mon bureau sans rien dire croisant ses longues jambes. Il portait des runnings minces noir et blanc ceux que les artistes préfèrent et moi également l’été.

Il me regarda et me sourit, c’est la que je compris ce que j’avais envie de faire et mon pouls grimpa quand je m’assis sur le coin du bureau face a lui jambe croiser. « Pourquoi je faisais ça ? » J’avais juste a lui demander de venir souper chez moi, il serait venu j’en suis sur. Mais quelque chose que je ne contrôlais pas m’ordonnait d’être provocante. Je le sentis aussitôt très mal alaise, pauvre lui, a mon âge je savais très bien quel effet pouvait avoir sur un homme de jolie jambe bien moulé dans des bas noirs et une jupe courte. Assise comme ça les muscles de mes cuisses gonflèrent, mon sexe se dilata de plus en plus humide, j’avais l’impression d’en sentir l’odeur en souriant a Luca, je sentais même mon anus poisseux légèrement étirer contre le tissu de ma jupe, ça me donnait de drôle de sensation. Je me donnais l’impression d’être une professionnelle qui racole un client, pas juste une femme qui en pince pour un bel homme.

Jamais je n’avais été aussi allumeuse, je ne me sentais pas correct de faire ça mais en même temps j’avais tellement envie de lui que j’en avais mal au ventre. En faite je n’avais plus le contrôle sur moi, plus du tout. Je sentis un feu couvrir dans mes veines, mes seins gonfler dans mon soutien-gorge noir en dentelle, même mes mamelons qui s’allongeait et me chatouillaient et devaient paraître, je n’oser même pas regarder mais mes joues s’empourprèrent encore plus tandis que je ramenais mes cheveux fins derrière mes oreilles essayant de paraître calme et détendue. Je dus avaler ma salive avant de lui demander :

— Pis Luca, qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?

Il déglutit aussi, ça devait le mettre dans tout ses états d’avoir mes jambes juste sous les yeux....Si je les avais décroisés et écartés juste un peu il aurait eu une vue imprenable sur mon sexe. Pensé ça me donna encore la chair de poule et me fit suer abondamment, sous les seins surtout et dans ma craque de fesses.

— Prendre de petite vacance, ç’a été six mois intensifs.

— WAIS, c’est très intense comme matière., affirmai-je croisant les bras sous mes seins les gonflant encore plus.

Du coin de l’oeil je vis cette fois mes mamelons qui paraissaient terriblement, là je voulais fondre, une bouffée de chaleur me monta au visage. Je replier mes orteils dans mon soulier droit mon talon en sortit et le soulier tomba entre ses pieds. « Merde ! » me dis-je en décroisant les jambes pour me pencher en même temps que lui en m’agrippant au rebord de la table, il le regarda amuser et le ramassa.

Mon cœur s’emballa et sans vraiment réfléchir j’écartai les cuisses et quand il se releva mon soulier en main il ne put s’empêcher de jeter un regard sous ma jupe, très vite, mais pas assez pour que je ne m’en aperçoive pas et il le savait et rougie, cela avait été plus fort que lui et je l’avais voulue inconsciemment mais ça, il ne le savait pas. Que devait-il penser en voyant que je n’avais pas de petite culotte, en apercevant ma vulve humide et ma toison ovale, que j’enseignais sans slip. Je doute qu’il comprît que c’était juste pour lui, n’empêche que son regard sous ma jupe me fît un effet du diable. Il devait me prendre maintenant pour une satanée vicieuse.

— Merci ! Dis-je aussi embarrasser que lui en tendant mon pied comme Cendrillon.

Il agrandit les yeux de surprise en apercevant mes petits orteils aux ongles couverts de rouge sombre juste sous son nez, je les replier, la, il avait une sacrée vue sur mon entrejambe. Il dut me prendre le mollet pour me le remettre, sentir la pression délicate de ses doigts firent que mes pulsions sexuelles prirent le dessus, je n’en pouvais plus. Une fois mon soulier en place il se redressa en croisant les bras mal a l’aise visiblement, je le regarder droit dans les yeux sans resserrer les cuisses. Il devait avoir les aisselles tout aussi trempes que les miennes et un début d’érection. Visiblement il se demandait ce qui lui arrivait, c’est la que je compris vraiment qu’il me prenait pour une femme inaccessible pour lui, je lui sourit et dit :

— Luca, j’ai envie de toi !

Il souleva les sourcils, il semblait se dire. « Moi, ces pas possible. » C’était mignon comme tout.

— De moi ?

— Mais oui ! Affirmai-je amuser.

— Wow !

Je ris, c’était vraiment charmant, ces yeux presque noirs me firent craquer, je voulais qu’il se passe quelque chose là, maintenant, je ne me tenais plus. Un autre m’aurait déjà étendu sur mon bureau et écarter les cuisses mais pas lui, pas par qu’il était imbécile, juste par timidité et manque d’assurance. Mais la maudite porte de mon bureau ne se barrait pas et n’importe qui pouvait entré à tout moment, je me lever en disant :

— Suis-moi !

Je décidai alors de l'entraîner dans les toilettes pour handicapé juste à côté. Heureusement ce couloir était peu fréquenté, je ne vis personne, mais quelqu’un pouvait surgir à tout moment.

Je flottais en marchant avec Luca sur mes talons, j’étais comme drogué, comme sur un trip de pote. Étrangement j’avais l’impression d’être une prisonnière en pleine tentative d’évasion. Je sentais plus qu’a l’habitude mes seins sursauter, mais surtout mes fesses a l’air et ma fente mouillée, « ici au travaille » réalisai-je pleinement et j’amenais un gars dans les toilettes. Ma vision semblait se limiter a ce qu’il y avait devant moi et mon bas me ventre me chatouillait. En fait, j’avais maintenant une telle envie de me faire prendre que j’en avais presque une crampe à l’estomac.

La maudite toilette me sembla dix fois plus loin qu’à l’habitude et mon coeur sursautait chaque fois que j’entendais des bruits de pas ou un rire. Enfin arriver on entra rapidement, je barré la porte et me tourner vers lui, je dus lever le menton bien haut pour le regarder droit dans les yeux en croisant mes mains sur sa nuque pour qu’il penche la tête vers moi, je plaquer aussitôt ma bouche sur la sienne et sortit la langue. Il me serra contre lui avec une force étonnante pour un homme aussi mince tout en me frenchant avec vigueur. Je perdis aussitôt toute contenance, cela faisait trop longtemps que je n’avais pas senti l’étreinte d’un homme, une vraie délivrance !

C’était si bon; sentir son corps, sentir son sexe gonflé contre mon ventre, sentir mes seins écraser contre son torse, sentir mes mains sur ses petites fesses à présent et les siennes sur les miennes. Un long et délicieux frisson me traversa le corps des pieds à la tête tandis que nos langues joutaient furieusement. Mon sexe gonfler pulsait avide de sentir une verge dure s’y enfoncer et je ne songeais plus qu’à laisser ses mains d’artiste aux doigts fin et long courir partout sur mon corps.

Je lui en ramener une sur mon sein droit par-dessus le chandail qu’il pressa avec moi un long moment. Il devait en rêver depuis longtemps car il m’enlaça avec encore plus de fougue, presque à me casser en deux en repoussant ma langue dans ma bouche. Je dut me mettre sur la pointe des pieds sentant mon gros orteil droit percer mon bas et mes talons sortir de mes souliers. Je m’en débarrasser avec joie et les repousser derrière moi. La tête me tournait j’aurais aimer qu’il prenne les devants et me saute dessus, me penche sur les lavabos, soulève ma jupe et enfonce ça bite en moi mais je le sentais toujours réserver alors j’abaissai cette même main sous ma jupe par devant, la soulevant et lui fit presser ma fente humide, la frotter, puis je le fis enfoncer son doigt le plus long en moi.

J’étais si mouillé que son majeur entra facilement jusqu’à la jointure. J’en frémis de tout mon être en gémissant dans sa bouche tandis qu’il l’agitait en repliant les autres doigts. Je lui tenais la main et le fit me pénétrer comme je le souhaitais tandis que nos langues s’enroulaient toujours l’une contre l’autre, je perdais la tête et c’était bien. Je sentis rapidement un orgasme se pointer parce que ces jointures frappaient mon pauvre clitoris bander dur et déjà sortit de sa cachette.

Je le fis accélérer, le vas et viens de son doigt glissant me rendait folle, mes jambes flageolaient, je n’avais pas ressenti un tel plaisir depuis si longtemps et j’eus un petit orgasme en mouillant encore plus et gémissant comme une enfant. Tout ça était trop excitant, son doigt, l’endroit, lui, m’être promené sans slip, sa langue si habile dans ma bouche. Mes genoux se frappèrent, l’orgasme me traversa le bas ventre comme une petite décharge électrique. Je repousser sa langue en geignant et appuyer ma tête contre sa gorge sur son épaule et fit stopper son doigt en serrant plus les cuisses a lui écraser la main. J’en tremblais en reprenant mon souffle sentant mon cœur s’emballer. Mon vagin semblait pris de convulsion. Il attendit patiemment que je reprenne mes sens en me caressant le dos de l’autre main et me baisant la joue. C’était gentil mais si doux surtout. Pauvre lui pensai-je tout à coup en sentant toujours la bosse sous son pantalon.

Je retirer son doigt de mon sexe en me reculant un peut et l’amener a ma bouche et le sucer en enroulant ma langue autour en sentant quelque goutte de liquide vaginale couler a l’intérieur de mes cuisses. Son goût salé m’emplit la bouche. Il me regardait les yeux petits, luisants de désir fou, il fixait mes lèvres arrondies autour de son doigt laissant son autre main presser mes seins. Je savais très bien à mon âge ce que je faisais et ce que je me préparais à faire mais c’était délicat dans l’état ou il se trouvait et surtout dans l’état ou je me trouvais. Je me sentais déchirer entre l’envie de le sentir en moi, là, tout de suite, et l’envie de lui sucer la bite. Il en mourait d’envie et je faisais tout pour ça et j’en avais envie aussi et tant pis si cela se terminait comme ça, j’avais bien l’intention de le ramener chez moi.

Sans rien dire je sortis son doigt de ma bouche et me laisser tomber à genoux en passant mon chandail par dessus ma tête le jetant sur le lavabo tout près, heureuse de le voir me regarder avec envie, puis dégrafée mon soutien-gorge, mes seins tombèrent, je le retirer et il prit le même chemin que le chandail. Il m’admirait comme figer tandis que je détachais son jean et baissait sa fermeture éclair rapidement presser de voir son sexe. Je baisser jean et slip d’un même mouvement jusqu’au genou et ça bite, longue, droite, sans prépuce bondit sous mon nez et gonfler a bloc, sursautant a chaque battement de son cœur. Je me mis à saliver comme une affamée en le regardant palpiter, regardant aussi ses testicules sans aucun poil qui pendait très bas, sans poil non plus sur le pubis ni sur les cuisses, elle était lisse et douce comme des jambes de femme. Ça m’étonna qu’il se rase les jambes mais ça me plaisait. Je n’ai jamais aimé les hommes trop poilus. Mon cœur battait à vive allure en replaçant mes cheveux en arrière sentant mes seins se balancer et le carrelage de céramique qui me faisait mal aux genoux et déchirait mes bas, tant pis.

Alors regardant Luca droit dans les yeux je pris mes seins les soulever et coincer son sexe entre eux. Ils l’entourèrent complètement, mes mamelons durcit et sensible se touchait et je commencer à le masturber comme ça tandis qu’il me caressait la tête doucement et à chaque aller-retour entre mes seins ma langue venait lécher le bout de son gland qui rougissait déjà.

Et c’est la que je vis par un des grands miroirs au dessus des lavabos des pieds dans le cabinet juste derrière nous dont la porte était fermer. Mon cœur bondit, mon sang se glaça et je reconnus les petits runnings vert lime à fleurs blanches de Monique. Seigneur il fallait que ce soit une de mes étudiantes en plus, sur le coup je ne pensais qu’a fuir, si elle en parlait je perdais mon emploie, sans parler de la gêne, de mon embarras une fois devant le directeur. Mes joues sont devenues si brûlantes qu’on aurait pu y faire cuire un oeuf. Mais je vis quelle ne bougeait pas, elle écoutait, peut être se masturbait-elle, ou quelle attendait simplement qu’on en finisse et moi paniquer je continuais mon mouvement de vas et viens les doigts enfoncer dans mes seins. Mon cœur voulait me sortir de la poitrine, puis je me dis que comme on n’avait rien dit jusqu’a maintenant, peut être que Monique ne savait pas qui nous étions a moins de regarder et je l’aurais certainement vue faire. Ça devait l’exciter de nous entendre, de deviner ce que l’on faisait et étrangement, de penser ça m’excita encore plus. Je me sentais sur la corde raide, mais d’un autre coté, Monique quittait l’école des quelle sortirait d’ici et les autres était probablement déjà tous parti, alors....

Luca soupirait et geignait faiblement toujours silencieux, profitant pleinement de la situation sans savoir que nous étions épiés et ça me plaisait maintenant. Il devait croire qu’il rêvait, moi aussi d’ailleurs, ce n’était vraiment pas moi ça être aussi vicieuse dans un endroit public tout en me sachant espionner en plus. Moi si prude habituellement et soudain, des bruits de talon haut dans le couloir, je figer paniquer. Luca regardait la porte, quelqu’un tournait la poignée. Dans mon énervement je ne me rappelais plus si je l’avais barré ou non. La peur de me faire surprendre cette fois soit par le directeur soit par un autre enseignant me fit dresser les cheveux sur la nuque, une montée d’adrénaline décupla tous mes sens. Moi à genoux, a moitié nue coinçant la bite d’un de mes étudiants entre mes seins ouf... La fin de ma carrière dans ce collège.

On tourna la poignée, la secoua, elle était barrée, je lâcher un long soupir... Les pas s’éloignèrent, je me rendis compte que mon cœur c’était pratiquement arrêter, Luca sourit, soulager lui aussi visiblement, je placer un doigt contre mes lèvres pour qu’il ne dise rien à cause de Monique et je me remis a la tache. Son gland qui surgissait de ma chair tendre semblait avoir redoublé de volume et une goutte claire de liquide séminal s’en écoulait en s’étirant. Je la lécher il grimaça, c’était saler, si bon. J’avais chaud, je frissonnais, j’étais nerveuse, excitée, troublée, je ne savais plus si je devais aller jusqu’au bout ou filer avec lui chez moi.

Mon cerveau fonctionnait mal, mon corps ne semblait plus m’obéir, mais tout ce que je ressentais était si bon et la, en me penchant pour lécher son sexe, Luca, qui n’en pouvait plus sans doute, se mit a remué son membre ce qui poussa son gland entre mes lèvres. Je le laissé faire un moment, ça me chatouillait les seins et les lèvres. Il devait jubiler être terriblement excité, autant que moi si non plus. Il devait rêver de moi depuis longtemps. L’imaginé se masturber en pensant a moi me donna une nouvelle fois la chair de poule. J’avais toujours une sacrée envie de le sentir en moi mais plus maintenant, pas ici, pas avec l’autre juste à côté, oh non. J’allais gémir avec ma voix de petite fille si embarrassante, pas question. J’ai bien cru qu’il me viendrait sur la gorge à le voir grimacer, mais, non, il stoppa les joues rouges.

Je lâcher mes seins et saisis son sexe si dur entre mes petites mains et l’enfoncer dans ma bouche en écartant les mâchoires au maximum me sentant saliver comme une démente tandis que son gland glissait sur ma langue et contre mon palais jusqu’a ma gorge ou presque.

Je le sentis frémir, je serré les lèvres et commencer a le sucer lentement, donnant de la tête en aspirant, enduisant son membre de salive épaisse. Ça me coulait sur le menton jusque sur les seins qui se balançaient mollement. Mes pointes étaient si dures que ça me faisait presque mal et mon sexe si mouillé qu’il dégoûtait mouillant mon anus. Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais là je me dépassais. Sucer un gars dans une toilette publique en se sachant espionner ces une sacrée sensation.