Histoires érotiques interdites- Les femmes aiment le sexe - Ewa Heart - E-Book

Histoires érotiques interdites- Les femmes aiment le sexe E-Book

Ewa Heart

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Beschreibung

Les 10 histoires d'Eva Love sont "érotiques" à coup sûr. Les histoires de sexe sont sans tabous, variées et garanties sales. Érotique adulte. Le sexe n'a jamais été aussi sale qu'ici. La sexualité et le partenariat sont les besoins fondamentaux de chaque femme et de chaque homme. C'est pourquoi nous avons besoin de sexe et d'érotisme régulièrement et longtemps pour les actes sexuels. Les fantasmes et les désirs sont très différents. Le désir de mon coeur est d'exciter sexuellement les femmes et les hommes avec mes nouvelles et ainsi contribuer à une vie sexuelle plus épanouissante. ************************************************** ******************* Thèmes: à partir de 18 ans Sexe anal Partage de femme Cocu MILF M.I.L.F. romans érotiques de 18 non censurés Érotisme Érotique de 18 non censurée romans d'amour érotiques français Histoires de sexe de 18 ans non censurées histoires courtes érotiques Sexe français Histoires de sexe de 18 Érotique Cocu Wifesharer Histoires de sexe de 18 Parler sale Érotique de 18 non censurée gratuit Romans d'amour français Érotique à partir de 18 Littérature érotique Livres érotiques Cocu français Romans érotiques Histoires de sexe Romans érotiques Livres Erotiek Meilleures ventes de romans Erotiek Livres de sexe avec un échantillon Roman érotique romans d'amour érotiques histoires érotiques Histoires de sexe Érotique allemand Ebooks érotiques français Ewa Heart Histoire de sexe gratuite histoires de sexe gratuites

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Seitenzahl: 126

Veröffentlichungsjahr: 2020

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Histoires érotiques interdites- Les femmes aiment le sexe

Histoires érotiques interdites- Les femmes aiment le sexeFantasme ou réalitéUn repas épicéThérèseMon prof d'espagnol m'offre sa femmeMa femme IsabelleSoumise dans un parkingUne inconnue dans le métroRéunions intimesPetits flirts entre amisLou, la chambre d'hôtelPage de copyright

Histoires érotiques interdites- Les femmes aiment le sexe

Fantasme ou réalité

Bonjour, je m'appelle Josée, j'ai 24 ans, mariée et je vais vous raconter comment j'ai découvert le plaisir sexuel.

Il y à 10 ans moi et mon frère jumeau Pierre nous vivions avec nos parents. Je me souviens de cette soirée de septembre ou mes parents son sortis avec des amis et que Pierre est chez un ami pour la soirée. Moi je viens de prendre ma douche et vêtue de mon pyjama il me reste plus qu'à me sècher les cheveux. Mon sèche cheveux etant briser je veux me servir de celui de ma mère, je le cherche en vain dans sa chambre, je regarde dans son placard et je ne le vois pas, mais il y a son sac de voyage dans lequel elle met ses souvent ses cosmétiques. Je le prend et suis surprise d'y découvrir un vibromasseur, trois godes, un en forme de pénis en érection, un long avec un gland de pénis à chaque bout, un autre assez long gros comme un doigt et les trois semblent fonctionner à piles.

Il y à aussi deux cassettes vidéo, une titrer 'Plaisir solitaire' et l'autre noir sans titre. Ma raison me dicte de ranger le tout, mais ma curiosité me pousse à regarder au moins le contenu d'une cassette. Je décide donc de visionner celle sans titre, donc après avoir allumé le téléviseur de mes parents j'insère la cassette dans le vidéo. Je m'assois sur le fauteuil et je fais play sur la controle à distance. Dès les premières images je comprend que c'est un vidéo amateur filmé par mes parents. En effets j'entend la voix de mon père qui invite ma mère à venir dans le champs de la caméra. Il n'a pas à la prier beaucoup car je l'entend lui dire qu'elle est prête.

L'image me dévoile ma mère dans un déshabillé de dentelle, sous lequel elle ne porte rien, dévoilant ainsi ses seins et sa vulve à la caméra. À ce moment j'ai envie de tout fermer, mais ma curiosité est encore plus forte et je me calle dans le fauteuil pour voir la suite. Diriger par la voix de mon père, ma mère s'agenouille dans le lit et sous une musique de blues elle commence à se caresser par dessus son vêtement. Elle remonte ses mais sur ses hanches, passe le long de ses seins , monte sur son cou et relève ses long cheveux chatain. Elle ondule le corps et se caresses ainsi un petit moment. Un plan rapprocher de ses seins me montre ses mamelons qui pointent sous la dentelles. De ses deux mains ma mère les caressent en en pinçant légèrement les bouts.

Ses mains redescendent vers son ventre et continuent sur sa vulve.À cette simple caresse ma mère soupir fort et remontent sur ses seins qu'elle massent avec plus de f***e pendant que sa respiration s'accélère. Sous le conseil de mon père elle retire son léger vêtement et se présente complètement nue. Toujours à genoux elle écarte les cuisses dévoilant son sexe raser au zoom de la caméra. De voir ma mère se donner du plaisir ne me laisse pas de glace. Machinalement j'ai ouvert la blouse de mon pyjama et je me caresse d'une main la pointe durcit de mes mamelons. Ma mère glisse ses mains entre ses cuisses largement écartées et pose ses doigts de chaque coté de sa vulve. Elle écarte ses lèvres vaginales et dévoile son clitoris à la caméra pendant que je l'entend respirer très fort. Je vois à l'écran un gros plan des petites lèvres et du clitoris tout luisant de plaisir. Quand elle glisse un doigt sur son clitoris gonflé,ma mère pousse un râle de plaisir. Au début elle le caresse lentement, mais après quelque coup de son majeur, elle augmente son rythme.

Moi ma main caresse toujours mes seins, c'est la première fois que je prend plaisir à me les carresser. Ma blouse est grandement ouverte et mes seins gonflés de désir me font presque mal. Mais le plus étrange pour moi c'est la sensation de moiteur que je sens entre mes cuisses.

À l'écran ma mère se masturbe maintenant en frottant son clitoris vivement. Les yeux fermer elle semble y trouver son plaisir. D'une main elle masturbe son clitoris et de l'autre elle malaxe tour à tour ses deux seins. Mal à l'aise elle s'étend sur le dos au milieu de son lit, écarte largement les jambes et recommence sa masturbation de ses deux mains. D'une main elle tient ses lèvres ouverte et de l'autre elle glisse son majeur sur son clitoris et descent jusqu'à son vagin qu'elle pénêtre, puis en ressort et remonte jusqu'à son clitoris. Elle s'applique ce mouvement de va et vient pendant que je l'entend respirer de plus en plus fort.

Moi aussi j'ai glissée ma main dans ma culotte de pyjama. Je me suis déjà caressée le clitoris, mais c'est la première fois que je le touche si mouiller. Les yeux river sur l'écran je me masturbe en tournant mon majeur autour de mon clitoris.

Le corps de ma mère ondule sous ses caresses, qui vont de plus en plus vite. Les mains de ma mère suivent le rythme de sa respiration, puis d'un coup je la vois qui sursaute, tout son corps se tend et pendant qu'elle pousse un long râle elle referme les jambes emprisonnant sa main sur son sexe, pendant que de son autre elle se pince les seins.

Dans mon fauteuil je sens un premier orgasme monter. Une sensation que je n'ai jamais sentie me fait tourner la tête. J'aime la sensation mais comme je ne comprend pas la réaction de mon corps je cesse mes caresses me contentant ainsi du léger plaisir que j'ai ressentie.

Ma mère, elle ne c'est pas arrêter après son orgasme. N'aillant pas suivi tout ce qui c'est passé à l'écran à cause de mon premier plaisir, je retrouve ma mère de nouveau étendue sur le dos les jambes écartées. Mais cette fois elle à en main le vibromasseur que j'ai vue tout à l'heure dans son sac. J'entend un léger bourdonnement quand elle met le contact. Elle écarte d'une main sa chatte découvrant son clitoris. Elle glisse le bout du vibromasseur entre ses lèvres vaginales. En un instants son visage grimace sous le plaisir que lui procure les vibrations, elle ne respire plus elle râle, elle soulève les fesses en poussant des petits 'oui' laissant comprendre que la jouissance monte en elle de nouveau. Soudain ça y est, elle pousse un long râle de plaisir pendant que tout son corps sursaute tendu sous l'effet de l'orgasme qu'elle subit. D'une main emprisonnée entre ses cuisses elle continue sa masturbation et de l'autre elle masse ses seins.

De nouveau j'ai une main entre mes cuisses et me masturbe depuis un petit moment. Je regarde vers le sac sur le lit, ma conscience me dit que j'en ai assez vu et fait. Mais le plaisir que me donne ma main sur mon clitoris m'invite à essayer le vibromasseur. L'excitation est plus forte que la raison, je me lève et prend l'appareil dans le sac. Pendant qu'à l'écran ma mère se caresse encore avec ses mains moi je branche le vibromasseur près du fauteuil. Je suis si excitée que je retire mon pyjama et je me couche sur le tapis les yeux vers la télé. De nouveau ma mère se masturbe avec le jouet que j'ai entre les mains. J'écarte les jambes et comme je l'ai vue faire d'une main j'écarte mes lèvres vaginales. Je met le contact, entend le bourdonnement et les vibration de l'appareil dans ma main.

À la télé ma mère semble de nouveau sur le point de jouir. Lentement j'approche le bout vibrant de mon clitoris. Ma mère pousse déjà ses cris de jouissances, quand le bout touche mon clitoris. Des milliers de frissons parcours mon corps à cet instant. J'ai peur de ce qui arrive, mais le plaisir est si grand que je continue à glisser le bout vibrant sur mon clitoris. Je ferme les yeux alors qu'un spasme s'empare de mon corps. Tout mon corps se tend, la tête me tourne, je respire très vite et une décharge semble venir de mon sexe et se dans tout mon corps pendant que je laisse tomber le vibromasseur et applique une main sur mon sexe comme pour le calmer.

Je reprend mes sens je suis couchée en position fétale, une main entre les cuisses et l'autre sur mes seins. Je me sens épuiser tout mon corps est si détendu que je ne peux m'empêcher de laisser couler quelque larmes. À la télé ma mère est encore en plein orgasme, moi je décide que c'est assez et me relève pour tout ranger avant l'arriver des autres.

Quand je fais face à la porte de la chambre je sursaute et je sens mes jambes faiblir, en effet Pierre est dans le cadre de la porte le pénis en érection sorti de son pantalon, il le tient d'une main et de l'autre il a recueilli le sperme de son éjaculation.

Un repas épicé

Histoire trouvée sur le net il y a de nombreuses années. Pour ne pas qu'elle tombe dans l'oubli

Ce soir là, nous recevions Jules, un ami de longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé que de coutume.

Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et nous en étions arrivés à parler tour de poitrine. Celui de mon épouse étant plus qu’avantageux (95D), je le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, Louanne se mit à rougir, gênée. Jules, répliqua qu’elle ne devait surtout pas en avoir honte et qu’il m’enviait de pouvoir faire l’amour à une femme avec d’aussi jolis seins.

A cet instant, étant placé juste à coté d’elle, je déposais un baiser dans son cou.

L’alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête, je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier, ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face d’elle. Très excité par la situation, je continuai mes caresses et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant ce spectacle, Jules n’en croyait pas ses yeux et ne savait trop quoi faire.

Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d’habitude très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter devant un autre homme. Les petits soupirs qu’elle poussait prouvaient d’ailleurs le désir qui montait en elle.

Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine devant les yeux de Jules, ravi du spectacle et commençant à se douter de la fin de la soirée que j’envisageais. La respiration d’Louanne s’était faite haletante et ses tétons pointaient comme jamais : Je me mis à les sucer à tour de rôle.

Je sentais Jules partagé entre la gêne et l’excitation et je lançais « Ce serait dommage d’avoir deux bouches et deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ? ».

La réponse de mon épouse me stupéfia : « Et surtout deux bonnes queues… »

Je fis alors lever Louanne et la conduisit vers le canapé en faisant signe à Jules de nous rejoindre.

En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, mon épouse était en train de se faire lécher et caresser les deux seins en poussant de petits râles plaintifs. Jules s’en donnait à cœur joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons. De ma main libre, je commençais à lui caresser l’intérieur des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle était déjà humide et en l’écartant, je découvrais une chatte toute poisseuse d’excitation dans laquelle j’introduisis deux doigts.

Comme si c’était le signal du départ, elle commença à masser nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant plus largement les cuisses. Jules s’agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement, ne lui laissant que ses collants et escarpins vernis.

«Faites moi jouir» nous dit alors Louanne, d’une voix tellement excitée que j’eut du mal à la reconnaître.

Ne se le faisant pas dire deux fois, Jules enfonça sa langue entre ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins tout en l’embrassant dans le cou. Ses tétons pointaient comme des torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très largement les jambes afin que Jules puisse la fouiller au plus profond de son sexe. Je remarquais qu’il en profitait également pour lui soulever légèrement les reins afin de titiller son petit trou.

- «Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant ma queue de mon pantalon.

Jules m’avait de nombreuses fois complimentée sur le postérieur de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de l’admirer dans cette posture.

Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, Louanne présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l’anus. Dans le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même temps que son jus d’amour me dégoulinait littéralement dans la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment. Jamais elle ne m’avait si bien sucé, faisant disparaître à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.

Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Jules qui s’était enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour. Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale, et son gland violacé par le désir. Mon épouse se mit alors à nous sucer à tour de rôle puis se cantonna à la bite de Jules, me faisant ainsi comprendre qu’il serait peut être temps de me servir de la mienne.

Je me plaçais donc derrière elle et commençais à l’enfiler lentement, faisant pénétrer ma verge centimètre après centimètre.

«Baise la comme une chienne pendant qu’elle me suce » me lança Jules qui avait l’air d’apprécier le traitement de faveur qu’accordait mon épouse à sa grosse queue.

Alors qu’une demi-heure auparavant nous discutions autour d’un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus, en train de baiser comme des sauvages sur le canapé, les gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de mes coups de bite.

Jamais je n’avais connu sa chatte aussi trempée. J’avais l’impression d’enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de mes couilles claquant contre ses fesses.

Louanne se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos. Aussitôt, elle vint s’empaler sur ma queue tout en continuant à sucer la verge de Jules. Ses mouvements de bas en haut faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m’empressais de peloter. Placé comme je l’étais, je ne pouvais pas en rater une miette et je voyais distinctement la grosse bite de mon pote aller et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire comme la dernière des salopes m’excitait énormément et je devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.