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"Histoire de la déesse ou de l’énergie féminine" vous propose une immersion dans l’incarnation de la déesse sur Terre, symbolisée par la mystérieuse « énergie féminine ». Cette force singulière, intrinsèque à la femme, se révèle par sa capacité à engendrer et à perpétuer la vie, tout en s’ancrant dans une source spirituelle millénaire. À travers l’étude des civilisations antiques et des déesses qui les ont marquées, cet ouvrage éclaire l’importance des énergies féminine et masculine sacrées, tout en interrogeant les raisons de l’affaiblissement de cette divine puissance à travers les âges. Plongez dans cette réflexion enrichissante qui vous invitera à redécouvrir la beauté et le pouvoir du féminin, offrant une perspective inédite sur l’équilibre sacré de notre existence.
À PROPOS DE L'AUTRICE
Infirmière diplômée en gérontologie, spécialisée dans l’accompagnement en fin de vie, psychopédagogue et sophrologue,
Françoise Avril a été initiée par de nombreuses traditions anciennes. Auteure de plusieurs ouvrages sur la santé, elle se sert de ses rencontres avec plusieurs maîtres spirituels à travers le monde pour étayer son propos sur l’énergie féminine ou la déesse.
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Seitenzahl: 129
Veröffentlichungsjahr: 2024
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Françoise Avril
Histoire de la déesse
ou de l’énergie féminine
© Lys Bleu Éditions – Françoise Avril
ISBN : 979-10-422-5013-3
Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.
Je dédie cet ouvrage à :
Mes sœurs qui m’ont permis d’être et que j’aime,
Jacqueline, Anne-Marie et Monique ;
mes enfants, Olivier, Elise, Dominique, Doryanne ;
mes parents pour m’avoir enseigné la liberté de pensée,
de tolérance et qui m’insufflent cette force au-delà du miroir
Albane, Enzo, Madyson, Johanna, Lancelot, Emma,
Brayan Lila, Aaron, Lysaline, Luan, mes petits-enfants,
Liens qui représentent une longue route de travail,
de recherche d’étude, d’observation et de réalisation de soi
Je dédie cet ouvrage aux maîtres spirituels rencontrés :
Amma, Mére Meera, Sai Baba, Mooji,
Source d’inspiration
– Vivre & mourir pour revivre, Le Lys Bleu Éditions, 2023 ;
– Encyclopédie des champs magnétiques Aura & Chakras, Médecine quantique, Éditions de l’Ara, juillet 2021 ;
– Médecine énergétique des auras et des chakras, Éditions Équilibre ;
– Pèlerinage vibratoire avec Marie Magdalena à Marseille, Éditions le Persée ;
– Médecine quantique des corps électromagnétiques, Éditions des 3 monts.
DVD
– Des soins allopathiques vers les soins énergétiques ; Production Deboswka.
Déesse, réveille-toi !
Il était une fois…
Notre santé, notre richesse, notre emploi, notre foyer et notre harmonie ne dépendent donc pas d’un Dieu lointain, ils ne dépendent jamais d’un canal, d’une personne ou d’un lieu, mais sont éternellement à notre portée, toujours présents au fond de notre conscience ; et la reconnaissance de ce fait est la prière exaucée.
Moi et mon père, nous sommes un.
Jean 10 verset 30 – Bible Segond
Et cela rend compte de la plénitude de l’être individuel.
Joël S. Goldsmith – La voix infinie
Oh Déesse, lève-toi !
Femme de l’éternité,
Femme de la terre,
Femme du monde,
Femme si dévouée,
Reine de liberté
Comment ne pas t’honorer ? Nous te saluons !
Ta force, ta puissance inégalée, ton éclat, nous les glorifions !
Françoise Avril (mars 2021)
Infirmière diplômée et spécialisée en gérontologie avec un engagement particulier dans l’accompagnement en fin de vie, Françoise Avril a su enrichir sa pratique et sa vision de la santé en élargissant ses compétences bien au-delà des soins classiques. Psychopédagogue, généalogiste, sophrologue, relaxologue et astrologue, elle s’est initiée aux savoirs anciens de diverses traditions, puisant dans des sources variées pour offrir un soutien holistique à ses patients. Ses nombreuses rencontres avec des maîtres spirituels à travers le monde ont nourri sa réflexion et son approche de la santé, lui permettant de développer une vision unique et inclusive de l’humain.
Auteure de plusieurs ouvrages sur le bien-être et la santé, elle partage dans ses écrits la richesse de ses expériences et de son savoir, tout en portant une attention particulière à l’exploration de l’énergie féminine, qu’elle désigne comme « la déesse ». Cette quête, qu’elle considère comme le cœur de son parcours, est devenue une source d’inspiration et d’engagement pour faire rayonner les mystères et la force de cette énergie universelle. Son travail vise à transmettre une compréhension profonde de la puissance de cette énergie et à inviter chacun à renouer avec cette essence.
Métamorphoser l’ouverture, transformation, mutation
La conscience :
Germe de l’immensité, de la fécondation, de l’intuition, de la clairvoyance, de la claire-audience, elle va bien au-delà de l’infini, pure conscience cosmique où tout est UN.
Certains scientifiques, tels que le physicien Vladimir Shcherbak et l’astrobiologiste Maxim Makukov1, précisent aujourd’hui la présence de gènes extraterrestres au sein du génome humain, d’où proviendrait le bond géant de l’humanité (voir aussi les travaux d’Anton Parks et Zecharia Sitchin).
La plus vieille civilisation du monde serait celle des Dravidiens en Inde du Sud, mais il semblerait que la déesse eût existé aussi sur l’île Blanche (voir pages 39 et 40).
J’ai bien aimé ce texte d’Honorine Ortiz2 praticienne EMDR à Poitiers. J’ajouterais néanmoins que, même si nos gènes sont affectés par les travers ou malheurs que nous vivons, nous pouvons les restaurer, comme nous le prouve aujourd’hui l’épigénétique (Bruce Lipton, leader mondialement reconnu dans l’unification de la science et de l’esprit, et l’une des voix les plus écoutées dans la nouvelle biologie, auteur de La biologie des croyances et L’effet lune de miel, Éditions Ariane. J’ai travaillé en live avec le Dr Lipton pendant de nombreux mois).
Cela ne m’empêche pas de poursuivre la généalogie sur des sites compétents, car en fait, les histoires parfois étranges ou extraordinaires de nos ancêtres sont passionnantes. Et parmi les miens, certains ont survécu à la grippe espagnole, à la typhoïde, à la diphtérie et probablement à la peste noire… Ce qui nous donne une certaine résistance.
Et surtout, on découvre les métiers et les talents transmis, tels que la musique, le chant, la sculpture, la peinture, l’écriture, etc.
Je vous donne un bref aperçu d’une lignée.
Donc pour exister, il nous a fallu :
2 parents
4 grands-parents
8 arrière-grands-parents (bisaïeuls)
16 arrière-arrière-grands-parents (trisaïeuls)
32 arrière-arrière-arrière-grands-parents (quadrisaïeul)
64 penta-grands-parents (penta-aïeuls)
128 hexa-grands-parents (hexa-aïeuls)
256 hepta- grands-parents (hepta-aïeuls)
512 octa-grands-parents (octa-aïeuls)
1024 ennéa-grands-parents (ennéa-aïeuls)
2048 déca-grands-parents (déca-aïeuls)
Ainsi en additionnant les 11 dernières générations, on obtient 4 094 ancêtres, tous nés environ 300 ans avant votre naissance ou la mienne.
Prenez un moment et réfléchissez :
– D’où venez-vous ?
– Combien de batailles avez-vous menées ?
– Combien de fois avez-vous eu faim ?
– Combien de disputes avez-vous eues ?
– À combien de vicissitudes nos ancêtres ont-ils survécu ?
– D’autre part, combien d’amour, de force, de joie et d’encouragements nous ont-ils laissés ?
– Quelle part de leur pouvoir de survie, chacun d’eux a-t-il laissé en nous pour que nous puissions vivre aujourd’hui ?
Nous n’existons que grâce à tout ce que chacun d’entre eux a traversé, et vécu en expérience heureuse ou malheureuse.
Tout cela devrait être l’occasion d’honorer nos ancêtres !
D’ailleurs, les anciennes tribus telles que les Dogons (peuple du Mali, en Afrique de l’Ouest) ou les Aborigènes d’Australie, mais aussi les Hopis ont des rituels qui vénèrent et glorifient les anciens.
Pourquoi la déesse et l’énergie féminine n’ont-elles plus leur place dans notre monde alors qu’elles portent le fœtus ou l’être de demain ? Que nous soyons homme ou femme, nous sommes constitués de deux polarités, l’une masculine, encensée, et l’autre féminine, peu ou pas valorisée. Or, sans cette dernière, il n’y aurait pas d’existence possible. Tout comme il serait impensable de se passer de l’énergie masculine pour développer une intériorité équilibrée.
Les femmes n’ont eu de cesse de tenter de concilier ces concepts en partageant vie de couple, de famille, de mère, de vie active à visée professionnelle comme dans l’engagement, afin d’acquérir un épanouissement personnel ou altruiste.
Malgré ce que le féminin a subi comme destruction depuis la quatrième race-racine (Atlante, c’est aussi au temps de Sumer sous le règne de Gilgamesh, Mésopotamie), malgré la violence et la peur intrinsèque qui en découlent. N’est-ce pas là un challenge de vie militante ?
Quelques figures contemporaines inspirantes illustrent à merveille la réalisation de ce défi et je citerai Mère Meera, Amma, Ma Ananda Mayi, Gangaji, Ganga Mira, Tenzin Palmo, personnalités spirituelles et mystiques méditantes et renonçantes des 20e et 21e siècles.
La liste serait incomplète si je ne mentionnais pas Marie-Madeleine ou de Magdala, qui fut le point de départ de mon cheminement spirituel.
Ma source d’informations m’a conduite à réaliser un voyage énigmatique, au cours duquel j’ai pu découvrir des aspects inconnus et insolites de ce personnage, qui joua un rôle aussi pertinent dans le Nouveau Testament.
Inspiratrice première de ce livre, elle m’a amenée sur la route des shamans et des maîtres spirituels yogis Nagas, qui m’ont guidée pour les voyages, mais aussi à écouter la musique inspirée et à découvrir des lectures passionnantes. À ce titre, il me paraît logique de lui consacrer un chapitre.
Si je vous raconte en fin de ce livre les détails de mon périple, c’est qu’il est indispensable de connaître les forces telluriques de la terre de Cuba, son histoire, ses origines, afin de comprendre la suite du récit et l’intervention de Marie-Madeleine, le pourquoi de cette recherche approfondie de la déesse de la féminité, et le pourquoi de sa disparition.
Il m’aura fallu vingt ans de synchronicités et de réflexions pour aboutir à cet ouvrage, pour lequel je n’étais pas prête avant cela, apprenant auparavant à recevoir, à comprendre, à assimiler, à entendre et à interpréter les signes. Il faut également se rappeler que la peur est née en Lémurie, qu’elle s’est implantée en Atlantide, et qu’elle représente le commencement de l’introduction de la peur au sein de vos sentiments, touchant ainsi l’aspect féminin.
Sans l’énergie féminine, rien n’existerait, mais ne devons-nous pas développer dans notre intériorité l’énergie père-mère ?
Dans l’univers de Kryéon
N’oubliez pas que l’histoire ancienne enseigne. Il fut un temps, sur cette planète, où les femmes arboraient une bannière nécessaire ; le flambeau du chamanisme, c’était une chose tout à fait naturelle, que les hommes acceptaient et chérissaient. Ils faisaient appel aux femmes pour bénéficier de leur aide et de leurs conseils. C’était, pour elles, un principe de vie fondamental.
Kryéon, Femmes de la Lémurie – Éditions Ariane
Partout où vous touchez la terre dans un état éclairé, elle reste changée : votre présence dans cette vie change Gaia. Les vieilles âmes sont à l’avant-garde de ce processus, et moins de la moitié de 1 % de la race humaine doit faire ce que vous avez fait pour effectuer un changement permanent sur cette planète, un changement de conscience qui a été prédit pour 2012.
Kryéon
Les hommes doivent apprendre la gentillesse.
La mission des femmes est d’enseigner la gentillesse aux hommes.
Il est temps que les hommes s’assoient et écoutent,
Il est temps que les femmes se lèvent et parlent.
Il y avait une reconnaissance entière et complète de l’importance de la sagesse féminine.
Kryéon page 140 (Femmes de la Lémurie) – Éditions Ariane
et le livre d’Anton Parks – Eden – Éditions Nouvelle Terre
Dans l’univers de la doctrine secrète de Blavatsky
La race mère de l’humanité s’est développée sur l’Île Blanche située quelque part sous le désert de Gobi et reste le phare de tous les maîtres des maîtres, environ 60 000 ans avant l’ère chrétienne.
Après un terrible cataclysme, qui dévasta toute la région, l’île fut isolée et connut son apogée 45 000 ans avant l’ère chrétienne.
Les temples présents sur l’île étaient d’une beauté inégalée, construits sur une base de pierres cyclopéennes, bâtis en forme de pyramide de marbre blanc, parsemés d’or et surmontés d’un dôme resplendissant (voir photo temple en Lémurie).
D’après la doctrine secrète de Blavatsky, l’Île Blanche exista jusqu’à la dernière grande période glaciaire. Il n’en resta qu’un désert, immense et sauvage, dans lequel se serait trouvée l’île.
Lorsque l’île disparut, elle fut renommée dans toute l’Asie : Shamballa.
Nous pouvons retrouver dans le Kalki Purana, page 73 (Éditions de la Tarente) :
« O Vishvakarman ! Construis Shamballa ! Des palais d’or incrustés de pierres précieuses et de bijoux, et que le travail soit exécuté par les meilleurs architectes. »
La doctrine secrète de Blavatsky indique que les déesses descendirent de Vénus pour ensemencer la Terre. Cette terre sacrée se trouvait à l’emplacement du pôle Nord actuel.
C’est sur cette terre sacrée originelle que s’élevait la première race divine androgyne.
La région était verdoyante, presque tropicale. L’île se trouvait dans une vaste mer intérieure, qui s’étendait de l’Asie centrale au nord de l’actuelle chaîne himalayenne et de son prolongement occidental, aujourd’hui le désert de Gobi. De nos jours, si le désert de Gobi était sondé par nos appareils sophistiqués, on retrouverait un temple en or (voir les écrits d’Edgar Cayce).
C’était la première race mère de l’humanité, arrivant par des objets volants. Dans le Temple de Shiva à Kanchipuram, en Inde du Sud, il y a des fresques le signifiant (voir photo du vimana).
Nous le retrouvons dans la tradition hindoue, signifiant « engins volants », ainsi que dans les textes du Mahabharata, du Ramayana et du Bhagavata Purana.
Dans la littérature ufologique, l’observation d’ovnis stipule une radiance comparée à un soleil. Cela peut nous rappeler les visions de Fatima, qui en réalité venait probablement d’un ou plusieurs ovnis.
Nous pouvons retrouver aussi les anciens vimanas dans la culture tibétaine, dans le Kanjur et le Tanjur, qui mentionnent des machines volant très haut dans le ciel. Pour cette philosophie tibétaine, l’aéronef serait resté en orbite, d’où l’on pouvait apercevoir la Terre.
Les Nagas
Je me souviens, c’était en Inde du Nord, à l’une des plus grandes fêtes spirituelles et pèlerinages du monde, la Kumba Méla. Je me trouvais avec un groupe en 2013 pour vivre ce moment unique dans ma vie : la rencontre de tous les sages de l’Inde profonde ainsi que les sages de l’Himalaya.
En effet, dans ce moment magique, ce moment unique, ce moment exceptionnel, rencontrer de visu tous ces sages est un instant remarquable, extraordinaire. Soudain, vous entendez un brouhaha intense, tel une avalanche se détachant de la haute montagne, et vous vous retrouvez entouré, descendant de la montagne par milliers, de Nagas. J’étais stupéfaite !
Plus tard, nous marchions tranquillement pour aller les découvrir dans leur environnement.
Je fus attirée par un Naga qui méditait. Je m’approchai et m’installai à genoux devant lui.
Ses cheveux lui descendaient jusqu’aux pieds. Il était nu. Puis, tout à coup, il prit tous ses cheveux et me bénit avec. J’étais recouverte par cette longue chevelure. Je perdis pendant quelques instants la notion du temps, de l’espace, des objets, des lieux, des personnes : j’étais UNE avec TOUT.
Photo de ma collection personnelle
lors de la Kumbh mela de 2013
Nous ne devons pas oublier que Gautama le Bouddha était entouré de Nagas.
Dans le règne humain, le mental est la clé de l’évolution supérieure et de l’union de la matière au subtil. On peut finalement se libérer et s’unir au monde intérieur (physique, émotionnel, mental). Retrouver le discernement, l’activité, la lucidité, la perspicacité, l’adaptabilité.
L’évolution du mental atteindra ses points les plus élevés dans les 500 prochaines années. L’homme a développé son mental pendant les troisième, quatrième et cinquième races mères.
En parallèle, il a développé l’intuition.
Le vimana
Temple en Lémurie
Lémurie avant cataclysme
À l’époque lémurienne, il y a environ 18 millions d’années, des aéronefs étaient en partie physiques et en partie éthérés.
On retrouve dans les grandes traditions anciennes des fables ou des histoires les mentionnant en Amérique du Nord, du Sud, en Chine et en Inde.