Histoires de sexe érotiques: Fantasmes explicites pour adultes avec triolismes, jeux de rôle, premières fois lesbiennes, femdom, candaulisme, MILFs, anal, BDSM, échanges de couples, bisexualité et plus encore. E-Book
Roxy Sin
2,99 €
Mehr erfahren.
DES HISTOIRES TORRIDES POUR FAIRE MONTER LA TEMPÉRATURE !
Laisser libre cours à votre imagination coquine est une expérience grisante, parfaite pour décompresser après une longue journée stressante. Mais parfois, l’imagination ne suffit pas.
Plongez dans des récits sensuels, débordants de désir, où les préliminaires osés et les scénarios torrides vont bien au-delà de vos fantasmes les plus secrets.
Fini les histoires fades, les personnages sans relief et les dialogues crus qui cassent l’ambiance.
Histoires de sexe érotiques est une collection envoûtante de récits sulfureux, remplis de moments sexy, audacieux et salement excitants, qui vous feront frémir d’impatience.
Tous vos fantasmes les plus brûlants sont ici !
Des plans à trois enflammés, échanges de partenaires, maris cocus, domination féminine, premières expériences lesbiennes, MILFs et bien plus encore — tout y est.
Que vous ayez quelques minutes avant d’aller travailler ou toute la nuit devant vous pour céder à vos envies les plus folles, ce livre vous promet des instants inoubliables, en solo ou à plusieurs.
Alors, prêt à passer à l’action ?
Prenez votre jouet préféré, votre partenaire — ou vos partenaires — et donnez vie à ces fantasmes.
Une nouvelle aventure vous attend… laissez-vous emporter dès maintenant.
Das E-Book können Sie in Legimi-Apps oder einer beliebigen App lesen, die das folgende Format unterstützen:
Veröffentlichungsjahr: 2025
Ähnliche
Histoires de sexe érotiques
Fantasmes explicites pour adultes avec triolismes, jeux de rôle, premières fois lesbiennes, femdom, candaulisme, MILFs, anal, BDSM, échanges de couples, bisexualité et plus encore.
Roxy Sin
Droitsd’auteur©2025 par Roxy Sin
Tous droits réservés.
Il est illégal de reproduire, dupliquer ou transmettre une quelconque partie de ce document, que ce soit par voie électronique ou sous format imprimé. L'enregistrement de cette publication est strictement interdit et tout stockage de ce document est interdit, sauf autorisation écrite de l'éditeur, à l’exception de brèves citations utilisées dans le cadre d’une critique littéraire.
Table Des Matières
Pardonnez-moi, mon Père
Lestalonsépaisdes solides chaussures en cuir de Sœur Mary Immaculata résonnent dans la caverne de l’église vide. Il est tard. Les rangées de bancs sont vides de repentis ou de personnes cherchant le réconfort dans la prière.
Le Père Peter s’est débarrassé de ses habits de confessionnaliste depuis des heures, mais il est là, quelque part, peut-être en train de s’occuper des bougies de dévotion ou de ranger les livres de prière.
Il s’occupe de cette vieille église avec la même dévotion constante que les prêtres plus âgés. Seulement, il n’est pas si vieux. Non, Père Peter n’est pas vieux et Sœur Mary se demande constamment pourquoi un homme comme lui s’est entrer dans les ordres. Il ressemble plutôt à un membre d’un groupe de rock, bien qu’elle ne fasse pas attention à ce genre de choses. Ou peut-être que ses larges épaules conviendraient mieux à un service d’incendie et de secours. Il est grand et fort, avec des traits sévères.
Elle est certaine que sa présence austère effrait les jeunes communiants plus que les menaces de damnation et des flammes de l’enfer. Et pourtant, il est populaire, toujours avec un nombre important de disciples. Sa vraie nature est cachée derrière un masque de sévérité.
« Sœur Mary », sa voix profonde l’enveloppe d’une manière que la lumière de Dieu n’achève jamais vraiment.
Avec une inspiration soudaine, Sœur Mary se tourne vers le prêtre. Ses cheveux noirs sont gominés, son col blanc se détache sur le noir de sa chemise. « Vous êtes ici tard. Je m’apprêtais à fermer. »
Il lève a main et, avec une extrême désinvolture, fait claquer la languette à l’arrière du col et lenleve. Il suit le mouvement en déboutonnant le bouton supérieur de sa chemise.
La bouche de Sœur Marie s’assèche alors qu’elle se concentre sur son long cou, sur la façon dont les poils de sa barbe soulignent les ombres créées par les tendons et les muscles et sur la proéminente pomme d’Adam. Elle réagit comme s’il était en train de se déshabiller complètement devant elle et ne se contentait pas d’enlever la bande de plastique blanche qui l’identifie comme prêtre. Il continue à déboutonner sa chemise.
« Père » est tout ce qu’elle réussit à dire. Elle sent l’air frais envelopper ses jambes et remonter le long de ses cuisses, apaisant une brûlure entre ses jambes qu’elle ne veut pas et qui devint de plus en plus chaude.
« Qu’est-ce que vous faites ? »
« Je vais m’entraîner maintenant, si vous avez fini. Je peux fermer. »
Elle déglutit difficilement. « Je crains d’avoir un besoin soudain de me confesser. »
« Tout de suite ? »
« Immédiatement », dit-elle. Elle se retourne et marche d’un pas décidé vers le confessionnal le plus proche.
Elle s’assoit à l’intérieur et ferme la porte derrière elle, attendant que Père Peter entre de l’autre côté. Il fait chaud dans cet espace restraint. Sans réfléchir, elle passe la main dans ses cheveux et enlève le foulard gris. Très vite, elle déboutonne et enlève le gilet qu’elle porte par-dessus sa simple robe grise.
Elle transpire. C’est comme si elle a franchi les portes d’un sauna. Elle remonte sa jupe sur ses genoux, espérant qu’un peu de cette brise fraîche qu’elle a sentie tout à l’heure se faufilerait jusqu’ici et ferait baisser la température.
La porte de son côté du confessionnal s’ouvre, la large silhouette de Père Peter bloque le peu de lumière qui vient du reste de l’église.
Sœur Mary laisse échapper un gémissement. « Pardonnez-moi mes pensées impures. »
Le gémissement qui suit n’est pas le sien.
Soudain, Père Peter est dans le petit espace avec elle. Ses mains glissent le long de ses cuisses, écartant ses jambes. Sa chemise, complètement ouverte, dévoile un torse musclé et couvert de poils. Elle ne peut pas s’en empêcher, elle tend la main et caresse la poitrine devant elle. Ses muscles sont épais, la tentation et le péché le sont encore plus.
Elle commence à déboutonner le devant de sa robe. La chaleur dans le petit espace est trop intense être supportée. Elle a besoin d’air sur sa peau, elle a besoin que Père Peter la touche. Si l’air estchaud, son toucher l’est encore plus. C’est sûrement le signe qu’ils sont des conduits de l’enfer. Et c’est si bon.
Sœur Mary peine à trouver ses mots. Elle doit le supplier de la pardonner, son apparence a envoyé le mauvais message. Mais elle n’en est pas si sûre, car ce contact interdit est l’expérience la plus étonnante de sa vie, aucun doute.
Pére Peter enfouit son visage dans son cou, sa bouche suce et embrasse sa peau, tandis que ses mains parcourent sa chair.
Sœur Mary trouve sa boucle de ceinture et la défait. Elle retient son souffle en libérant sa bite. Elle est grosse et pulse comme s’il s’agissait d’un outil du Diable lui-même. Elle a vu des phallus comme celui-ci sur des satyres grecs et romains. Et il est dur, très dur, quand elle l’entoure de sa main.
Père Peter la soulève, se déplaçant de manière à être sur la banquette. Il écarte ses sous-vêtements avec une habileté qui laisse entendre qu’il a déjà fait cela auparavant. Elle est à califourchon sur ses genoux et avant qu’elle ne puisse vraiment réfléchir — comment peut-elle réfléchir quand il crée ces sensations dans son corps — il abaisse les hanches de Soeur Mary et s’enfonce en elle.
Ses murs intérieurs s’étirent et il la remplit. Ses yeux s’écarquillent. Cette sensation est plus que paradisiaque. Comment les joies de la chair peuvent-elles être considérées comme un péché alors qu’elle est aussi proche de Dieu qu’elle pense l’avoir jamais été.
Père Peter s’enfonce en elle. Il grogne sous l’effet de ses efforts.
Elle se penche en avant et capture sa bouche avec la sienne. Il plonge sa langue dans sa bouche avec la même force et le même rythme que sa bite dans sa chatte. Sœur Marie n’existe plus, elle n’est plus qu’un réceptacle de désir et de besoin.
Elle sort un sein de son soutien-gorge. Elle veut que sa bouche soit contre elle. Elle pousse son mamelon contre lui. Il le saisit avant de baisser la tête pour le sucer et le mordre.
Laissant sa tête tomber en arrière, Sœur Mary chevauche Père Peter et le laisse être aspiré en elle.
La pression et la félicité s’accumulent dans sa chatte à chaque pression de sa bite. Jamais son corps n’a connu pareille sensation, tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle en veut plus et qu’elle a besoin qu’il s’enfonce plus fort en elle. Elle se balance et presse ses hanches contre lui, essayant de le faire pénétrer encore plus entre ses jambes.
Elle s’agrippe à lui alors que la pression se fissure et qu’elle n’est plus certaine de son environnement. Elle a l’impression que tout en elle a explosé. Elle voit des étoiles et son corps n’est plus que feu. Un feu que le Père Peter continue à nourrir.
Elle s’effondre autour de lui, ne contrôlant plus ni son corps ni ses pensées. Elle s’en remet entièrement à lui. Lorsqu’elle commence à gémir et à crier sous l’effet de l’extase provoquée par l’action de leurs corps, Père Peterlui couvre la bouche avec sa grande main. D’une manière ou d’une autre, cela la fait s’effondrer encore plus.
Elle n’a aucun contrôle et se contente de s’accrocher à lui alors que Père Peter s’enfonce en elle et grogne en lui suçant le mamelon. Elle ne peut s’empêcher de haleter pendant qu’il la soulève et la pilonne.
Soudain, les dents serrées et avec un rugissement étouffé qui ressemble à celui d’une bête sauvage, Père Peter explose de chaleur.
La chatte de Sœur Mary réagit et commence à se contracter et à aspirer tandis qu’il se déverse, chaud et humide, en elle. Il cesse de pousser. Elle reprend le mouvement de balancement et de pulsation, aspirant tout de lui en elle. Elle estmaintenant le réceptacle de sa semence et elle veut en être remplie.
