L’impromptu - B.G. Durand - E-Book

L’impromptu E-Book

B.G. Durand

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Beschreibung

L’impromptu reprend le parcours de Franz Schubert depuis sa naissance jusqu’à sa mort, mettant en relief les étapes fondamentales de son existence. Les anecdotes qui soulignent son caractère sont vraies, mais bénéficient quelquefois d’un éclairage personnel de B. G. Durand. Mélangeant la poésie au récit, il vous invite à suivre les cadences de sa plume.


À PROPOS DE L'AUTEUR


Fort de sa culture littéraire, et du piano qui l’a bercé pendant son enfance, B. G. Durand lève sa plume en l’honneur de Franz Schubert dans L’impromptu. Essayant de retrouver les changements de ton très fréquents chez Schubert, il nous propose une écriture rythmée faisant écho à sa musique.

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Seitenzahl: 46

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B. G. Durand

L’impromptu

Recueil

© Lys Bleu Éditions – B. G. Durand

ISBN : 979-10-377-6828-5

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

L’enfance

La naissance

Le 31 janvier 1797

un faubourg de Vienne

la maison de

l’écrevisse rouge

J’at,,,

tennds

une nécessité

il a bien fallu

je suis sorti

de mon

tableau

un grand front

un chapeau large bord plat noir

insondable

cheveux noir en baguette

grande cape châtaigne

grandes jambes

debout

je

marche

cent pas l’aller le

retour

le premier cri

du 12e enfant

il en reste 3 sur

11

la survivance encore

impromptue

la vie ne tient qu’à

une bribe de brume

une brisette

Semmelweis n’est pas encore

la

Quelques années plus tard, anniversaire

La neige le givre cercle

les carreaux

par le pertuis

un monde

blanc

rue

trottoir

jardin

cour

préau

toit

arbre

à l’intérieur

un poêle

douce chaleur

regard vers maman tendresse

Frantz les lèvres remuent

belle voix

claire voie

grésillement des beignets

charme des oreilles

charme de la bouche

tête contre hanche

une main dans les cheveux

L’entrée à l’école

C’est la maison familiale

camaraderies intenses

rires

joies

cris

lueurséclabouissement

L’apprentissage musical

Devant le père

les yeux rive tés sur la

partition

sur les longs cheveux fin du

violon

les doigts à pas de

loup

le son déjà

harmonieux

à côté du grand frère Ignaz

les yeux rive tés sur la

partition

sur les languettes blanches et

noires

les doigts légers

quelques mois plus

tard

le père le fils

plus de leçon a

donné

Un dimanche

ite missa est

le parvis de l’église

lointain l’orgue se

tait

l’organiste apparaît

la demande

de l’enseignement

à,,, voir

La mise au tombeau ou la résurrection

Un morceau à déchiffrer

l’organiste,,, coi

pour le chant c’est possible

pour la musique du dialogue

L’ambiance extérieure

Dans la rue des soldats en

armes

Bonaparte est devenu

Napoleon

les espoirs de LBW envolés

Vienne souffre

la valse

envolée

L’ambiance intérieure

Mort de l’ oncle

regroupement familial

promiscuité

Été 1808

Studieux

préparation du concours du

Konvikt

lycée d’état

prise en charge des études pour les petits chanteurs qui y sont

reçus

une chambre toute petite

les volets clos

lasombritude

les yeux repos

le sommeil déambule

un habit bleu clair

sur la chaise

demain le concours

d’entré

Le concours

Une estrade

au milieu un vieux

Monsieur

de chaque coté deux acolytes

le vieux

Monsieur

somnole

bats ses

oreilles

secoue sa

trompe

bats son flanc

yeux clos

soudain le réveil

un habit bleu clair

une voix précise claire

le vieux Monsieur

Antonio Salieri

ma che qu’il est bon

celui-là

Demain entrée au konvikt

La petite chambre les volets clos

lasombritude

peut-être la dernière fois

les yeux ouvert

les idées ont pris le train

pas de gare pour l’arrêt

l’esprit travaille

bousculade de note

nouvelle rencontre

assoupissement tardif

Le konvikt

Le départ de la maison

Avec le père et le grand

frére

une giboulée balaye les

yeux

la grande porte ouverte

de grands couloirs

des rangées de têtes plus ou moins hautes

défilent

blondes ou

brunes

parmi celles-ci

Frantz

lèvres fermées

regard alpha et oméga

vers le dedans

la solitude

La salle de musique

L’orchestre du konvikt

maître Ruzicka dirige

petit Frantz debout

derrière un grand

assis

Joseph Spaun

l’horizon la

partition

les yeux en at,,,

tente

une rencontre

Exercice musical du soir

Quelques mois écoulés

petit Frantz devant

assis à coté du

grand

maître Ruzicka sort

petit Frantz monte sur

le

pupitre

ses mains

ses bras

ses yeux

ses oreilles

en symbiose

dirige

surveille

exprime

La salle de musique

Quelques mois plus tard

un dimanche après-midi

le couloir

Joseph Spaun

la porte

ouverte

une musique

inconnu

Frantz au piano

la main serre

l’ épaule de

Frantz

quel charme

quelle découverte

quelle admiration

avoir un seul ami

le travail

exprimer ses pensées

ses émotions

par la musique

parole muette

Toujours le dimanche

Les deux garçons au

piano

quatre mains

une amitié

le début du

catalogue

Le départ de Spaun

Solitude redoublée

parole encore

raréfié

torréfié

La fin du printemps

Je suis la

je suis revenu

sur la petite place

sous les fenêtres ouvertes

les promeneurs pressade

bousculade

l’orchestre son premier

violon

Les vacances d’été

Nouvelle escapade

l’air du temps

permet de voler

aux jambes

aux oreilles

devant sa maison

une fenêtre entrouverte

la bande des quatre

deux violons un alto(et quel alto)

un violoncelle

la famille

mélodie inconnue

l agréabilité

La reprise scolaire

La famille à nouveau

quitté

l ami absent

l errance entre deux murs très

longs

le vagabondage devant le clavier

sur des chemins sans routes

des destinations sidérales

Le premier piano enchanté

Le soleil se pose

sur un oreiller de sable et de

collines

passe derrière la tête du

lit

la clarté se fond