Le Zodiaque Égyptien - Édouard Devilliers - E-Book

Le Zodiaque Égyptien E-Book

Édouard Devilliers

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Beschreibung

Jean-Baptiste Prosper Jollois et Edouard Devilliers sont deux grands égyptologues et ingénieurs des Ponts et Chaussées français auxquels on doit notamment la découverte du tombeau d’Amenhotep III à l’ouest de la Vallée des Rois. Ils ont réalisé le premier relevé précis du zodiaque de Dendérah, un bas-relief éblouissant découvert lors de l’expédition en Egypte de Bonaparte. Représentant la voûte céleste et ses constellations, cette oeuvre magistrale orne le toit du temple d’Hathor dans une chapelle dédiée à Osiris. Ce bloc de grés sculpté date de la période ptolémaïque et est exposé au musée du Louvre à Paris. 
Dans cet ouvrage, ils détaillent les figures des constellations égyptiennes et font le parallèle avec la table des paranatellons attribué à Ératosthène.

SOMMAIRE : 
Avant Propos
Partie I. NOTIONS GÉNÉRALES SUR LES MONUMENTS ASTRONOMIQUES ANCIENS QUI ONT SERVI À NOS RECHERCHES.
Chapitre Ier. Raisons qui portent à croire que les monuments astronomiques des égyptiens sont fondés, comme tous ceux de l’Antiquité, sur des observations paranatellontiques.
Chapitre II. Nécessité de comparer les différents monuments astronomiques de l’antiquité avec la sphère, considérée à diverses époques et à diverses latitudes, et conséquences particulières qui en résultent pour la table des paranatellons attribuée à Ératosthène.
Chapitre III. Des divers monuments astronomiques que l’on peut mettre en parallèle. 
Partie II . DES SITUATIONS ET DES FIGURES DES CONSTELLATIONS ÉGYPTIENNES ; DE LEUR NOMBRE ; DE L’ORIGINE DE LEURS NOMS. DE L’ÉTABLISSEMENT DU ZODIAQUE, ET DES SYMBOLES AFFECTÉS AUX PLANÈTES. 
Chapitre Ier. Parallèle général des différents monuments astronomiques anciens, et examen particulier de chaque constellation, d’où résulte la connaissance de la majeure partie des astérismes égyptiens. 
Chapitre II. Du nombre des constellations égyptiennes.
Chapitre III. De l’origine des noms des constellations ; de l’époque des monuments astronomiques d’Esné, et de l’établissement du zodiaque.
Chapitre IV. Des emblèmes sous lesquels les égyptiens paraissent avoir représenté les planètes.

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Le Zodiaque Égyptien

Jean-Baptiste Prosper Jollois

Édouard Devilliers

Alicia Editions

Table des matières

Avant-propos

I. Notions générales sur les monuments astronomiques anciens qui ont servi à nos recherches.

Chapitre Ier. Raisons qui portent à croire que les monuments astronomiques des égyptiens sont fondés, comme tous ceux de l’Antiquité, sur des observations paranatellontiques.

Chapitre II. Nécessité de comparer les différents monuments astronomiques de l’antiquité avec la sphère, considérée à diverses époques et à diverses latitudes, et conséquences particulières qui en résultent pour la table des paranatellons attribuée à Ératosthène.

Chapitre III. Des divers monuments astronomiques que l’on peut mettre en parallèle.

II. Des situations et des figures des constellations égyptiennes ; de leur nombre ; de l’origine de leurs noms. De l’établissement du zodiaque, et des symboles affectés aux planètes.

Chapitre Ier. Parallèle général des différents monuments astronomiques anciens, et examen particulier de chaque constellation, d’où résulte la connaissance de la majeure partie des astérismes égyptiens.

Chapitre II. Du nombre des constellations égyptiennes.

Chapitre III. De l’origine des noms des constellations ; de l’époque des monuments astronomiques d’Esné, et de l’établissement du zodiaque.

Chapitre IV. Des emblèmes sous lesquels les égyptiens paraissent avoir représenté les planètes.

Avant-propos

Les bas-reliefs astronomiques des Égyptiens1 ont été promptement reconnus aux signes du zodiaque qu’ils renferment, et dont la ressemblance avec ceux de notre sphère est telle, qu’il est impossible de s’y méprendre. Sans cette circonstance, ces monuments seraient peut-être restés dans la foule des antiquités muettes que les curieux ont vainement interrogées jusqu’à ce jour. Un premier pas fait dans l’explication de quelques-unes des pages les plus intéressantes de la langue hiéroglyphique a dû nous encourager à pousser nos recherches sur la route qui semblait s’aplanir devant nous ; et nous avons essayé de trouver la signification des figures nombreuses qui accompagnent les douze astérismes principaux. De fortes inductions nous portaient à les considérer comme des constellations. Il était naturel, en effet, de penser que les figures que nous ne savions pas encore interpréter, et celles que nous avions déjà reconnues, avaient un sens analogue. En rapprochant de notre sphère les bas-reliefs égyptiens, nous y avons d’abord trouvé quelques constellations dans leur véritable situation. Mais pourquoi plusieurs autres, très reconnaissables par leurs formes, avaient-elles été totalement déplacées ? Pour lever cette difficulté, nous avons eu l’idée de recourir aux calendriers des anciens et à leurs poèmes astronomiques, qui sont tous fondés sur les aspects paranatellontiques des astres.Nous avons reconnu alors que les bas-reliefs égyptiens sont des monuments du même genre. Cette considération, en effet, explique naturellement les transpositions que nous avons remarquées, et qui tiennent aux relations établies dans l’antiquité entre les astres qui étaient au même instant à l’horizon, soit au levant, soit au couchant ; en sorte que des constellations très éloignées dans le ciel, et même en opposition, avaient un sens emblématique analogue, et par conséquent pouvaient être rapprochées dans des bas-reliefs allégoriques.

Les tables des paranatellons sont susceptibles de variations, à raison des époques et des latitudes auxquelles ont été faites les observations dont elles se composent ; en sorte qu’elles portent avec elles leur date, par la nature même de leur construction. Cette considération nous a fait apercevoir que la table attribuée à Ératosthène, ou même à Hipparque2, est d’une origine très ancienne, et que les observations qu’on y a rassemblées remontent au même temps que le zodiaque d’Esné. Nous avons reconnu pour lors la possibilité de trouver des rapports entre les zodiaques d’Esné et les tables des paranatellons d’Ératosthène : nous avons examiné en même temps une sphère à pôles mobiles, montée à la même époque et à la latitude d’Esné. Nous avons étendu notre comparaison aux zodiaques de Dendérah, parce que les différences des époques et des latitudes entre les monuments de ces deux villes ne sont pas assez considérables pour causer de grandes variations dans les aspects des paranatellons. Enfin, nous avons consulté aussi tous les monuments astronomiques des Orientaux qui ont pu nous fournir des renseignements utiles.

Ce parallèle de nos dessins avec la sphère et avec les traditions anciennes nous a fait retrouver dans les bas-reliefs égyptiens la plus grande partie des constellations connues des Grecs. Nous n’avons point cherché à tout expliquer, et nous n’avons pas craint d’exposer nos doutes, parce que nous sommes convaincus que la plus grande réserve est indispensable, lorsque l’on s’engage dans le labyrinthe des antiquités égyptiennes, où la vérité ne se présente jamais qu’environnée d’une foule d’erreurs séduisantes. Mais nous avons fait connaître aussi les indices, même légers, qui nous ont paru ne devoir pas être négligés : ce sont des pierres d’attente pour continuer l’édifice dont nous espérons avoir fondé solidement quelques parties.

La suite de nos recherches nous a conduits à démontrer plusieurs faits, et entre autres, que le zodiaque circulaire est un planisphère céleste, construit suivant une méthode particulière et ingénieuse ; que l’époque de son établissement peut se déduire de la situation de son écliptique, c’est-à-dire de la ligne circulaire excentrique sur laquelle les signes du zodiaque sont placés ; que les zodiaques rectangulaires sont aussi des planisphères, mais construits suivant une autre méthode de projection ; enfin, que le centre du planisphère circulaire et la partie supérieure des autres appartiennent à l’hémisphère boréal, tandis que le cercle de bordure du premier et la ligne inférieure des seconds représentent l’hémisphère austral. Cette dernière considération explique de quelle manière les anciens ont pu se représenter que l’édifice céleste était porté de tous côtés sur la mer.

Nous avons fait voir aussi comment l’observation des paranatellons a fourni les moyens de distinguer et de désigner chacune des parties du zodiaque, qui fut divisé successivement en douze signes, en trente-six décans et en trois cent soixante degrés : car toutes ces subdivisions de la route du soleil avaient des noms dans l’antiquité ; noms qui se rattachaient, ainsi que ceux du zodiaque, aux circonstances de la vie civile, aux fêtes religieuses, et à tout ce que les hommes ont de plus essentiel dans leurs usages et de plus solennel dans leur culte. Nous avons fait voir les rapports qui existaient dans l’origine entre les douze divisions solaires et les vingt-huit maisons lunaires ; enfin, nous avons essayé de reconnaître les emblèmes sous lesquels les Égyptiens ont représenté les planètes.

Denderah (Tentyris). Zodiaque sculpté au plafond de l’une des salles supérieures du Grand Temple.

1Voyez l’Atlas de la Description de l’Égypte, A., vol. I, pl. 79 et 87, et vol. IV, pl. 20 et 21.

2Petau, Uranologion, pag. 256, edit. 1630.

Partie I

Notions générales sur les monuments astronomiques anciens qui ont servi à nos recherches.

Après avoir indiqué les résultats principaux de notre travail, et avant d’entrer dans le développement de toutes les preuves sur lesquelles il est appuyé, nous croyons devoir exposer quelques considérations générales sur les monuments astronomiques de l’antiquité qui ont servi à nos recherches. Ce sera l’objet de cette première section, que nous diviserons en trois chapitres.

Chapitre Ier. Raisons qui portent à croire que les monuments astronomiques des égyptiens sont fondés, comme tous ceux de l’Antiquité, sur des observations paranatellontiques.

La confusion dont on est d’abord frappé à la première vue des bas-reliefs astronomiques des Égyptiens, disparaît devant une analyse méthodique de ces compositions et l’on s’aperçoit bientôt que les douze astérismes principaux sont environnés d’un plus ou moins grand nombre de représentations d’hommes, de femmes, d’animaux, de plantes et d’instruments, au milieu desquels on ne les distingue facilement qu’à cause de leur ressemblance avec les signes du zodiaque qui nous a été transmis par les Grecs. Quant aux figures accessoires, la première idée qui nous vint à l’esprit, fut qu’elles étaient aussi des constellations. Toutes nos recherches et nos réflexions nous ont de plus en plus confirmés dans notre opinion, et nous ont même conduits à des résultats plus étendus que nous ne l’avions espéré ; car nous avons retrouvé parmi ces figures la majeure partie des constellations dont les calendriers des anciens ont conservé des souvenirs. Si ces constellations ne sont pas, au premier abord, aussi faciles à reconnaître que les douze signes du zodiaque, cela tient à des circonstances dont l’explication exige que nous entrions dans quelques détails.

Les dénominations des groupes d’étoiles qui font partie de la bande zodiacale, et notamment les douze signes, n’ont point éprouvé de variations ; l’ordre suivant lequel ils sont rangés dans les catalogues, n’a point été interverti, parce que le soleil, en parcourant l’écliptique dans son mouvement annuel, les présentait périodiquement et régulièrement aux yeux des observateurs. Non seulement le soleil, mais la lune et les planètes, dont les divers mouvements étaient connus des anciens, attiraient sans cesse les regards vers la région du ciel qu’ils parcouraient.

Il n’en est pas de même des constellations extra-zodiacales. Leur succession n’étant pas invariablement fixée par la marche du soleil ou des corps planétaires, on la fit dépendre d’autres considérations. On les observa aux instants de leurs levers et de leurs couchers, et on les associa aux constellations zodiacales qui se levaient ou se couchaient en même temps qu’elles. On remarqua aussi les étoiles qui se levaient tandis que les signes du zodiaque se couchaient, ou qui se couchaient tandis que ces signes montaient sur l’horizon. Ces diverses observations servirent à construire les tables des paranatellons1, qui furent d’un usage très répandu dans l’antiquité, et qui servirent de base à tous les calendriers des anciens ; car, lorsque Virgile prescrivait aux laboureurs de régler leurs travaux sur les observations des astres, il se servait d’une méthode employée bien longtemps avant lui, et qui consistait à considérer avec attention les étoiles dont les levers et les couchers indiquaient les saisons, et par conséquent les travaux de la campagne.

Pour concevoir les variations qui peuvent exister dans les tables des constellations extra-zodiacales, construites d’après l’observation des paranatellons ou d’autres phénomènes semblables, il est nécessaire de se représenter comment ces phénomènes s’offrent aux yeux des observateurs. Sous l’équateur, il n’y aurait pas de raison pour que les tables des paranatellons dressées dans la plus haute antiquité eussent éprouvé plus d’altération que l’ordre des constellations zodiacales. Les étoiles qui se lèvent au même moment, passent ensemble au méridien, et le soir se couchent à la même heure ; car les cercles qu’elles décrivent sont coupés en deux parties égales par l’horizon. Mais dans la sphère oblique, c’est-à-dire pour un observateur placé sur un point de la terre sensiblement distant de l’équateur et du pôle, ces cercles étant inégalement coupés par l’horizon, les mêmes phénomènes n’ont plus lieu. Les étoiles qui sortent ensemble de l’horizon oriental, ne passent pas à la même heure au méridien, et les différences sont encore plus notables pour les heures de leurs couchers ; car les astres paranatellons sont compris dans des fuseaux formés par deux grands cercles qui ne se croisent pas aux pôles dans ce cas, comme dans celui de la sphère droite2. Il résulte de là que les apparences célestes de cette nature varient à raison des latitudes, et que des tables de paranatellons, dressées à la même époque, mais à des latitudes différentes, ne se ressembleraient pas. Il est évident que les différences seraient d’autant plus sensibles que les constellations seraient plus éloignées de l’équateur. De plus, si l’on suppose que ces observations ont été faites à une même latitude, mais à des époques éloignées de quelques siècles les unes des autres, les tables des levers et des couchers qui en résulteraient, différeraient encore, à cause du mouvement rétrograde des étoiles fixes.

Toutes ces considérations expliquent le peu de conformité qui doit exister entre des tables des paranatellons dressées à diverses époques, partie sur des tables plus anciennes, partie sur des observations réelles. C’est peut-être aussi la cause à laquelle on doit attribuer la dissemblance des zodiaques égyptiens entre eux3 ; car nous pensons que ce sont des tableaux paranatellontiques ou des calendriers plus ou moins complets. Le cercle d’or du tombeau d’Osymandyas, où étaient représentés, suivant Diodore4, les levers et les couchers naturels des astres, était un monument de même nature.

Ces bas-reliefs instructifs, que les premiers astronomes grecs avaient probablement consultés, durent leur servir à construire les tables des levers et des couchers des étoiles et les calendriers qu’on leur attribue.

1Paranatellon, se levant ensemble ou au même moment. Les paranatellons sont les astres pris hors du zodiaque à droite ou à gauche, qui montent sur l’horizon, ou descendent au-dessous, durant le même temps que chacun des degrés de chaque signe met à monter ou à descendre. Les paranatellons étaient encore les astres ou constellations qui se levaient lorsque les signes se couchaient, ou qui se couchaient lorsque les signes se levaient. On voit que l’acception que l’on a donnée au mot de paranatellon, est plus étendue que l’étymologie de ce mot ne le comporte, puisque l’on appelle paranatellons les astres qui sont en même temps à l’horizon, soit au levant, soit au couchant. On y a même compris quelquefois ceux qui sont dans le même temps au méridien supérieur. La manière dont les constellations tiennent aux douze signes par leurs levers et leurs couchers, est ce que l’on appelle la théorie des paranatellons. C’est le fond astronomique des poèmes mythologiques, comme des calendriers sacrés, dont les époques étaient marquées par les levers et les couchers des constellations. Les calendriers anciens sont basés sur la théorie des paranatellons. (Dupuis, Orig. des cult., t. ter, part. II, p. 191.) Virg. Georg. Lib. I.

2Nous devons prévenir le lecteur que, pour bien concevoir ce que nous disons ici, et même la plus grande partie de ce mémoire, il est presque indispensable qu’il ait sous les yeux un globe céleste à pôles mobiles. Celui qui a été imagine par Dupuis, nous ayant paru insuffisant, nous en avons fait construire un qui a plus de solidité, qui est plus facile à manœuvrer, et qui, par conséquent, donne plus promptement des résultats très exacts. Il est monté entre deux cercles concentriques en cuivre. Le cercle intérieur est réuni au globe, au moyen d’un axe qui passe par les pôles de l’écliptique ; et les deux cercles tournent l’un dans l’autre, sur deux tourillons dirigés vers le centre de la sphère, et situés de part et d’autre à 23° 30’ de l’axe passant par les pôles de l’écliptique. Le grand cercle, qui est un méridien, est encastré dans l’horizon ; et le plus petit, qui représente toujours le colure des solstices, se meut entre l’horizon, le méridien et le globe. On voit que, par cette disposition, on peut faire parcourir à ce colure toutes les positions possibles autour du pôle de l’écliptique, et suivre, par conséquent, tous les changements qui résultent de la précession des équinoxes. Par un moyen fort simple, et qu’il serait trop long de décrire ici, on fixe à volonté le colure dans toutes les positions possibles autour de l’écliptique ; en sorte que le globe n’est plus mobile que sur les deux tourillons qui se trouvent aux positions correspondantes des pôles. Comme l’horizon est distant du globe de toute l’épaisseur du petit cercle, on se sert d’une plaque en cuivre bien dressée, qu’on pose sur l’horizon et qu’on pousse contre la sphère, afin d’avoir la facilité d’observer très exactement les levers et les couchers des astres. Nous avons montré notre globe à M. Poisson, et l’avons engagé à faire monter dans le même système ceux qu’il va publier Nous avons aussi adapté à notre sphère un petit appareil propre à suivre les observations qui se rapportent aux levers héliaques des étoiles, mais il serait superflu d’en donner ici la description.

3Les deux zodiaques d’Esné ont entre eux beaucoup plus de ressemblance qu’avec ceux de Dendérah, et réciproquement ceux de Dendérah ont entre eux des analogies qu’on ne retrouve pas dans ceux d’Esné.

4Diod. Sic. Bibl. hist. lib. i, pag. 59, edit. 1746.