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J'ai parfois l'impression que les auteurs reprennent mes idées publiques et gratuites sur les réseaux pros, en rajoutent une part qui me paraît évidente, mais qu'eux développent. Si c'est le cas, c'est tout à notre honneur. Heureusement, je traite ici d'autres sujets aussi. C'est mon cinquième livre. J'ai fait dense pour le lecteur. Il est normalement capable d'une telle lecture avec un niveau Bac. Pour moi, c'est court et c'est bien (le mieux est l'ennemi du bien). C'est un livre qui interroge et donne des pistes de remise en question, de la culture actuelle, ainsi que de la science.
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Seitenzahl: 48
Veröffentlichungsjahr: 2020
Préface
QUINQUAGÉNAIRE et décalé mais lucide
CULTURE SCIENCES: votre radio écho
CONCLUSION
Postface
Annexe : Biographie de Damien siobuD
« Il y a bien des formes de culture sur cette planète, dont deux rivales, la protectrice et la prédatrice. Mon regret serait que la prédatrice s’impose comme une monoculture. Ainsi, on me prendrait pour rival si l’on ne comprenait pas que je préférerais en créer de nouvelles plutôt que d’envisager une culture unique »
Dadu
Tout à fait, mon ami, moi, je voulais dire « la protectrice (qui protège les peuples autochtones) », mais ça peut être plus spécifique à quelqu’un, comme l’enfant qui encourage l’équipe de foot la plus faible, par esprit sportif ou par empathie (en fait, c’est un terme ouvert, on le comprend comme on le ressent, selon sa culture). Merci pour ton intérêt.
Damien siobuD
Je me lève en pensant à mon culot de remettre le caractère obtus de la science en question, ne fonctionnant qu’avec distance par rapport à elle. L’idée de ma petite personnalité contre de gros moyens financiers (en fait énormes) qui relèvent presque de la secte qui a réussi me surprend moi-même… de la même manière que mon père a remis en question l’Église dans son écrit Tout est relatif, c’est absolu (écrit trop troublant qu’il a retiré).
Ce livre ne se voudra donc qu’un « ?! », une remise en question (même sur les styles d’écriture). Ces idées suspendues sont en fait des interrogations à « décrocher » pour qui le ressent.
Dadu
L’ESCLAVAGISME PAR L’ARGENT
Les machines remplacent tellement l’homme de plus en plus dans toutes les tâches que déjà, LE TRAVAIL INTELLECTUEL DEVIENT la seule tâche qu’il nous reste et de ce fait LA TÂCHE INGRATE :
Là où il devrait y avoir un honneur à réfléchir, à savoir faire, cela devient de plus en plus pénible. Nous aurions dû gagner en temps LIBRE, nous « gagnons » en ESCLAVAGE…du fait d’une course à l’argent. En effet, il s’avère que nous ne courons même plus après notre bonheur, mais après l’ARGENT tellement cette culture remplace celui qui l’a créée, j’insiste : CETTE CULTURE REMPLACE CELUI QUI L’A CRÉÉE.
Si ainsi, l’homme s’est créé des outils pour chasser, il pouvait encore pratiquer le troc pour ses besoins grâce à cette pratique, à ses créations d’outils, à sa médecine et ses connaissances. Par l’agriculture, il est venu à s’approprier des terres, voire à les délimiter. La propriété aurait donc donné, par un côté quantifiable du bien, une valeur à une monnaie, qu’elle soit plume ou coquillage. La monnaie naissante devenant alors stockable (le coquillage se conserve, pas une denrée), évaluable, mais aussi le début d’une société à capitaux (stock de coquillages ou de pièces de monnaie), impôts, démesure progressivement croissante. Nous stock-ons ainsi l’argent, le faisons fructifier en placements, spéculations… Pour certains, la dette est révélatrice d’enrichissement.
À L’HEURE ACTUELLE, UN PAYS MODERNE NE DEVRAIT-IL PAS ÉVALUER SA RICHESSE, NON PAS EN PIB, MAIS EN NOMBRE D’HEURES TRAVAILLÉES BÉNÉVOLEMENT POUR LA CAUSE HUMAINE ? Nous devrions ne pas avoir à compter notre argent, mais avoir un téléphone portable, par exemple, qui nous dise si un projet, un achat est VIABLE, compte tenu des données fournies (ou collectées).
DE CE FAIT, NOUS AURIONS RÉELLEMENT ESPOIR D’ALLONGER L’ESPÉRANCE DE VIE HUMAINE QUI, SI L’ON Y REGARDE BIEN, NE CROÎT PAS, MAIS DÉCROÎT À L’ÉCHELLE PLANÉTAIRE. (Comme en Angleterre, qui emploie déjà les mots « shit life » comme si nous n’étions pas responsables de notre bonheur !)
NOUS VIVONS AU TROISIÈME MILLÉNAIRE, NON PAS À L’HEURE DE L’HUMANISME, MAIS DE L’ARGENT
L’argent dont nous dépendons, s’il avait une raison d’être, maintenant s’amasse comme on a besoin de sa drogue. Plus le revenu sera élevé, plus la drogue sera « efficace ». En fait, l’argent est une ADDICTION qui n’a pas de genre, on dit de l’argent qu’« on en veut toujours plus » et l’on ne sait ce qui nous a fait « commencer », si on en est conscient !
En fait, on est plutôt accro à l’argent (addicted) et on ne le voit même pas, qu’on naisse avec ou sans (?). Il y a une notion de travail, mais les notions d’équité deviennent contestables.
« Dis, papa, le temps partiel à domicile, ça veut dire qu’il faut travailler le jour et une partie de la nuit ? »
« Un rêve écrit sur papier avec une date devient un but. Un but élaboré en étapes devient un plan. Un plan élaboré en actions devient réalité. »
Auteur inconnu
— Ce cinquième livre n’est que questionnement, remise en question, je laisse ceux qui le souhaitent formuler le but s’il doit y en voir un. Les étapes, les plans et actions doivent-ils être élaborés par la société occidentale entière ? En effet, elle est concernée par l’argent (ses monnaies qui rivalisent) et sa foi dans les sciences (nous y reviendrons). Pour l’instant, comme un livre en correction, ce n’est qu’un « ?! » et cela peut le rester.
LE CHANGEMENT
Donc, à une heure dix, après un feu d’artifice que je ne suis pas allé voir (eh oui, il y a quelques petits changements depuis, chez moi, bien des années). CHANGER, SI C’EST JUSTE POUR TOURNER SA VESTE, CE N’EST PAS UN CHANGEMENT.
« Qu’est-ce qu’un 14 Juillet ? Une explosion de violence jouissive dans le ciel pour que l’homme montre qu’il veut conquérir, si ce n’est coloniser, les étoiles. L’homme est souvent méchant, l’homme dans sa généralité et par son ignorance est un monstre, ces explosions dans le ciel nous le rappellent. Ce monde est celui du plus fort, soutient le bouquet final, quelle qu’en soit l’harmonie.
Et je verse ma larme sur ceux qui n’ont pas d’arme.
Et je verse mes sens sur ceux sans défense. »
JE VIEILLIS
La télévision m’horripile, même l’émission de JL Reichmann (la préférée de ma femme) me paraît indécente.