Veillées de Guerres - Damien Siobud - E-Book

Veillées de Guerres E-Book

Damien Siobud

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Beschreibung

Des analyses différentes de celles auxquelles il nous a accoutumés, sur la présidence qui tournerait au vinaigre pour ceux qu'on croirait protégés, à la suite d'un préambule sur une guerre qui n'offre de regard complaisant sur aucun de ses concitoyens, notre auteur semble rebelle. Dans un huit clos où s'entrechoque chez lui la masse d'informations qui deviendrait gangrène, il se débat dans ses conflits internes comme ceux externes à son pays, ne trouvant comme à son habitude que des pistes d'investigation qu'il ne sait ni ne veut vérifier tellement elles l'effraient. Dans ce livre, l'auteur s'interroge, prend parti, dénonce, hésite et conclut avec Brassens que "mourir pour des idées, d'accord, mais de mort (plus que) lente". Il ne laisse personne indifférent, poussant le lecteur à se questionner à son tour. Damien Siobud n'a cette fois pas le coeur à l'humour et souhaiterait qu'on s'alerte. Il fait le lien entre Neimad SIOBUD (de "Ce Qu'Elle Peut Voir") et Damien.

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Seitenzahl: 17

Veröffentlichungsjahr: 2022

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Table des matières

Préambule

I – Il faudrait des riches et des pauvres ?!

II - Bienvenue dans « l’extrême centre » (!)

Interlude

III - Parallèle Koweït - Ukraine, pour que l’hégémonie cesse

CONCLUSION : La France, un pays pauvre

ANNEXE

Préambule

Tout le monde est contre la guerre, MAIS TOUT LE MONDE LA FAIT !

Et si nous étions responsables des malheurs que nous pleurons… À quoi servent ces pleurs ? Ce serait la colère ou un mea culpa contre nous qu’il faut, qui arrêterait cette guerre (?) Il faudrait au moins avoir essayé et ce n’est pas notre cas. Nous n’avons pas le droit de pleurer devant nos crimes.

Je ne vous agresse pas, ce n’est pas contre vous, ou, au moins, aussi contre moi : nous sommes nés vendeurs d’armes, ces ventes financent nos écoles, nos églises… (!) Pleurer soulage, nous ne méritons pas ce privilège.

Encore nos crimes se perpétuent, dès l’école pour former des stratèges, à cent mètres, deux cents mètres et cinq cents mètres de chez moi. Le Prytanée, ils appellent ça. J’en vis, ma ville en vit et je ne peux lutter contre ça.

Encore nos crimes se perpétuent par les barrages EDF qui inondent l’Amazonie.

Nos banques polluent avec leurs économies, l’économie tourne #économie mais l’un n’empêche pas l’autre. Ce que je mange, un agriculteur pour le produire quelque part en meurt…

Nous avons droit au luxe des belles voitures, des yachts, des stations de ski… MAIS LE LUXE DE PLEURER, je vous en prie, RAVALEZ-LE.

Nous n’avons pas le droit de pleurer, ou alors sur notre sort.

« Alors que je n’arrivais pas à dormir à cause du bruit de l’eau tombant goutte à goutte dans un seau, j’ai commencé à réfléchir au problème. »

Faut-il pleurer doucement, comme un enfant ou garder nos larmes jusqu’à exploser contre les siens ? Mes larmes, je les retiens.

Ce livre se lit comme des nouvelles toutes écrites en temps de guerre.

I – Il faudrait des riches et des pauvres ?!