Erhalten Sie Zugang zu diesem und mehr als 300000 Büchern ab EUR 5,99 monatlich.
Cet ouvrage est dédié à toutes les personnes qui souffrent de coliques néphrétiques oxaliques, et il offre aux détenteurs de l'ouvrage du même auteur : " Quelle alimentation pour les coliques néphrétiques oxaliques ? " un ouvrage complémentaire. De nombreuses recettes parfaitement adaptées à la lithiase oxalique, à base de poisson, de viande, de légume vert, de féculent, ainsi que des desserts gourmands, vous sont proposés, toutes et tous plus faciles les uns que les autres à élaborer, vous permettant ainsi de mieux gérer l'alimentation spécifique que cette pathologie exige. Deux semaines de menus totalement inédits, parfaitement adaptés aux coliques néphrétiques oxaliques, incluant les recettes proposées au sein de l'ouvrage, vous sont également proposées.
Sie lesen das E-Book in den Legimi-Apps auf:
Seitenzahl: 93
Veröffentlichungsjahr: 2022
Das E-Book (TTS) können Sie hören im Abo „Legimi Premium” in Legimi-Apps auf:
Œufs farcis
Œuf dans tomate
Orphie au vin blanc sec
Suprême de dorade
Délice de cabillaud
Bars sauce tomate
Hareng en marinade
Congre sauce provençale
Sole meunière
Parmentier de saumon
Sardines au four
Coquille de poisson
Moules à la marinière
Noix de saint Jacques sautées
Dinde braisée
Pintade aux choux de Bruxelles
Poule au blanc
Tarte ortie et poulet
Poulet aux olives
Galette de bœuf haché
Filet mignon au soja
Poulet au riz complet
Pain de viande de veau
Veau aux carottes
Veau à la crème d’amande
Escalope de porc farcie
Veau sauce franche
Porc sauce au vin
Croquettes de veau
Agneau auxfèves
Foie en cocotte
Gras double aux oignons
Sauté de lapin
Terrine de lapin
Canard au quinoa
Soissons sauce tomate
Haricots rouges au poulet
Fond d’artichaut garni
Salade de champignons
Avocat garni
Coulis de tomates et poivrons
Potage crème de fèves
Gratin d’aubergines
Purée de carotte
Girolles aux herbes
Aubergines sautées
Gâteau de courgettes
Haricots verts à la hongroise
Salade auxpommes
Gratin de chou romanesco
Régal aux amandes
Crème pâtissière
Crêpes aux bananes
Délice de fruits rouges
Gelée d’orange
Riz condé aux brugnons
Crème de pommes
Crème à la vanille
Mousse au café
Crêpes exotiques
7 jours de menus automne/hiver
7 jours de menus printemps/été
Limitezl’utilisation des matières grasses.
Parez et dégraissez vos viandes autant que possible avant leur intégration à vos plats.
Ne pas cuisiner avec des aliments salés : viandes et poissons séchés ou fumés, lardon fumé, anchois en saumure, olive à la grecque, etc.
Privilégiez l’utilisation des féculents complets : pâtes complètes, semoule de blé complet, riz complet, farines complètes...
Si vous utilisez des pâtes brisées ou feuilletées industrielles, n’oubliez pas qu’il en existe des allégées en matières grasses !
Cuisinez régulièrement des légumes secs.
Ne cuisinez pasles légumes verts suivants : rhubarbe, oseille, betterave, épinard, bette, carde, céleris, persil et asperge.
Si des produits laitiers sont utilisés dans vos plats, utilisez les avec parcimonie : lait écrémé ou demi-écrémé, fromage blanc maigre, crème fraîche allégée en matières grasses...
Ne pas intégrer de fromage affiné dans vos recettes.
Vous pouvez avantageusement remplacer dans certains desserts lactés le lait de mammifère par un lait végétal nature de votre choix.
Limitez les agrumes dans vos recettes.
Ne pas trop salervos plats. Dans le meilleur des cas, utilisez du sel de régime (chlorure de potassium) à la place du sel de table.
L’utilisation de l’alcool est possible dans vos plats, mais attention à ce que celui-ci puisse s’évaporer pendant la cuisson !
Evitez de citronner(avec du jus de citron frais) vos plats. Ne pas les persiller non plus. Ne pas poivrer.
NB: les diverses graines de proposées au sein des recettes de cet ouvrage sont facultatives, elles vous sont proposées pour leurs très grandes qualités nutritionnelles*. *Idem pour toutes les farines de proposées (celles-ci sont remplaçables par de la farine de blé complet dans les mêmes proportions).
Je vous conseille mon ouvrage : « Recettes et menus pour les coliques néphrétiques oxaliques » qui vous guidera très efficacement dans l’élaboration de vos recettes.
Les modes de cuisson à favoriser sont les suivants : grillade, dans une poêle antiadhésive sans matière grasse, rôti, papillote, à la vapeur, à l’eau, en braisé (pas trop souvent) ou en sauté dans une cocotte.
➢ Sur le grill:ne pas huiler la viande, le poisson ou le grill ! Utilisez le grill très chaud, ainsi il n’y aura pas adhérence entre la grille et l’aliment. Ce mode de cuisson est très vivement conseillé car ainsi les graisses de constitution fondent et l’aliment devient alors beaucoup plus digeste !
➢ Dans une poêle antiadhésive :un peu d’huile végétale peut être utilisée mais avec parcimonie. Sinon, si vous ne souhaitez pas utiliser de la matière grasse, utilisez la poêle très chaude, pour cela vaporisez un peu d’eau dans la poêle, dès que l’eau s’est évaporée, la poêle est assez chaude. En général, cuisinez ensuite votre viande dans la poêle mais à feu moyen afin d’éviter la carbonisation de l’aliment qui est en train de cuire.
➢ En papillote :enveloppez dans du papier aluminium des petites pièces de viande ou de poisson en aromatisant : fines herbes, ail, thym, feuilles de laurier sauce, citronnelle, sel, quelques épices diverses (pas de poivre) puis fermez la papillote très hermétiquement. Cuisson au four ou à la vapeur. Pas de vin blanc sec ou autre alcool dans la papillote : en effet, l’alcool se retrouvera prisonnier de la papillote, car il ne réussira pas à s’évaporer !
➢ Dans le four :grill, brochette ou rôti à réserver aux pièces les plus grosses. Afin d’éviter le dessèchement des pièces à cuire il est possible d’adjoindre un bol d’eau dans le four pour y maintenir une atmosphère plus humide.
➢ A la vapeur:dans le panier de l’autocuiseur, dans le couscoussier ou encore entre deux assiettes au-dessus d’une casserole. Les pièces peuvent être accompagnées de légumes et d’aromates qui vont donner du goût, mais également l’eau qui pourra être enrichie très avantageusement de nombreux aromates : thym, feuilles de laurier sauce, romarin, citronnelle... le liquide bouillant doit toujours se situer au niveau inférieur de la passoire ou du panier contenant les aliments à cuire.
➢ A l’eau :commencez par préparer un court bouillon très parfumé : dans de l’eau froide et salée, incorporez des carottes coupées en fines rondelles, ail, oignon en rondelles, deux clous de girofle, thym, deux feuilles de laurier sauce, romarin, blancs de poireaux... puis laissez cuire à feu moyen pendant 45 minutes dès ébullition. Ensuite, laissez refroidir le court bouillon en le passant au chinois (il ne vous reste donc plus que le bouillon parfumé). Ensuite les pièces à cuire au court bouillon seront incorporées au court bouillon tiède ou froid et la cuisson débutera à feu moyen.
➢ Dans une cocotte :soit la cocotte a un revêtement antiadhésif, soit la cocotte est à fond épais. Un peu d’huile végétale peu être utilisée mais avec parcimonie. Au mieux, si la quantité de matières grasses utilisée est faible ou inexistante, faites sauter vos viandes dans la cocotte bien chaude mais pas à feu vif, tout en remuant sans cesse les morceaux de viande à l’aide dune spatule en bois.
➢ Au four à micro-ondes :possibilité de faire des papillotes mais uniquement avec du papier cuisson sulfurisé. Le problème de ce mode cuisson c’est que la cuisson est rapide et que les aliments n’ont pas le temps de s’imprégner du goût des aromates.
➢ La cuisson en braisé :il s’agit d’un mode de cuisson très intéressant pour les viandes de troisième catégorie, c’est-à-dire les viandes nécessitant une longue cuisson... La méthode est très simple à mettre en pratique et en plus, si votre viande est bien parée, le plat obtenu est peu gras, Voici la méthode à mettre en œuvre :
1- Dans une cocotte (au mieux en fonte émaillée) avec couvercle indispensable, bien chaude, faire rissoler les morceaux de viande découpés en quartiers de taille moyenne dans un peu d’huile végétale à feu moyen à vif.
2- Une fois les morceaux de viande bien rissolés, les réserver dans un plat à part.
3- Dans la cocotte, faire revenir ensuite des oignons coupés en dés ou en lamelles ainsi que des carottes préalablement parées, lavées et découpées en rondelles, les faire rissoler ensemble à feu moyen jusqu’à la caramélisation des oignons.
4- Réintégrer les morceaux de viande dans la cocotte avec les oignons caramélisés et les carottes, introduire le bouquet garni, sel et mouiller avec de l’eau tiède, ou mieux avec du bouillon de viandes ou de légumes maison (pas de kub industriel), avec possibilité également de le faire avec pour moitié de vin rouge... Le liquide de mouillement ne doit pas dépasser la hauteur de la viande, au mieux le liquide de mouillement doit atteindre les 2/3 du niveau de la viande.
5- Bien tout mélanger à feu vif en décollant les sucs au fond de la cocotte avec une spatule en bois, si vin rouge ajouté, laisser bouillir à feu vif et à découvert pendant 10 minutes, car ainsi l’alcool s’évaporera du plat et il n’en subsistera que les arômes.
6- Laisser cuire à feu doux pendant au moins deux heures, voire trois heures et toujours à couvert. Possibilité de mettre de l’eau dans la rigole du couvercle, ce qui accentuera le cycle d’arrosage de cuisson au sein de la cocotte. A noter que plus la cuisson est longue (proche des 3 heures et plus), et plus la viande sera tendre. De temps en temps, venir contrôler que la viande ne colle pas dans le fond de la cocotte.
7- Possibilité en fin de cuisson de réduire la sauce de braisage obtenue : à feu moyen, couvercle retiré, laisser cuire en remuant sans cesse : l’eau de constitution s’évapore et le liquide de mouillement se concentre ainsi en arômes.
➢ Les ragoûts :il s’agit de cuire des viandes ou des poissons dans des roux à base de farine de blé, de fécule de pommes de terre, de Maïzena... Ce plat est riche en graisses cuites et il est peu digeste
C’est très simple. Un déjeuner et un dîner équilibrés doivent toujours apporter obligatoirement :
- Un féculent. Il s’agit d’un plat qui apporte du riz, des céréales (blé, orge, seigle, etc. telles des pâtes, de la semoule...) ou des pommes de terre. En général, il est tout à fait possible d’éviter de consommer des féculents au cours du dîner.
- Un apport en viande, poisson ou œufs (VPO). Il est cependant recommandé dans le cadre de la lithiase oxalique d’en consommer à chaque repas de la journée.
- Un apport en légumes verts et en fruits (hormis ceux d’interdits).
- Un apport en produit laitier d’origine animal ou végétal. (Dans le cadre de votre lithiase, se limiter à un produit laitier d’origine animale par jour et pas de fromage affiné).
- Un apport modéré en matières grasses de très bonne qualité : huile d’olive extra vierge par exemple.
Pour vous accompagner dans l’équilibre quotidien de vos menus, je vous proposerai ce petit paragraphe en entête de chaque recette :
Dominance nutritionnelle du plat
Féculent
Laitier
VPO
Légume vert
Fruit
* VPO : viande, poisson ou œufs.
Le but étant d’être mieux guidé(e) dans l’accompagnement de votre plat au sein de vos menus, et ce afin d’assurer votre équilibre alimentaire.
Par exemple, s’il s’agit d’une recette de riz au lait écrémé, et bien la case « Laitier » et « Féculent » seront cochées car la dominance de votre plat est à la fois à base de lait (produit laitier) et à la fois à base de riz (féculent), et donc dans votre repas ou ce dessert sera dressé, il n’y aura plus besoin de consommer un autre produit laitier ni un autre féculent pour assurer votre équilibre nutritionnel au sein du repas concerné.