Parler le langage de l'univers - Christophe & Carine Allain - E-Book

Parler le langage de l'univers E-Book

Christophe & Carine Allain

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Beschreibung

Comment prendre conscience de la communication permanente qui existe entre nous, les autres et l'univers?

Ce livre regroupe des éléments de travail pour appréhender le monde psychique mais aussi stabiliser la nouvelle alchimie chez chacun, afin de vivre sereinement ces changements collectifs profonds et commencer à profiter de la nouvelle conscience subtile qui s’ouvre à l’humain.

Ce guide spirituel aborde les bases du lâcher-prise et de la restructuration de notre cerveau, dans le but d'intégrer la communication subtile à notre perception de la réalité et de nous connecter avec chaque élément de l'univers.

À PROPOS DES AUTEURS

Christophe Allain est né en 1973 à Marseille. Informaticien pendant 10 ans, il devient l’auteur d’un blog et de trois livres (éditions atlantes) qui retracent son parcourt dans le monde spirituel et de l’énergétique. Il propose depuis 2009 des consultations individuelles et des stages de développement personnel.

Carine Allain est née en 1973 à Aubagne. Après des études de Géologie, elle devient responsable de magasins. C’est en 2009 qu’elle décide d’utiliser ses perceptions énergétiques dans le domaine du développement personnel, en proposant des consultations individuelles et en animant de stages. Elle est l’auteur de deux blogs.

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Parler le langage de l’Univers

Christophe Allain et Carine Allain

Parler le langage de l’Univers

Nous remercions Didier sans qui ce livre n’aurait pas vu le jour,

Et tous les stagiaires qui ont participé à un travail en forêt avec nous.

Ceci est une réédition du livre « techniques simples de symbiose avec le vivant. »

Il aborde les bases du lâcher-prise et de la restructuration de notre cerveau dans le but d’intégrer la communication subtile à notre perception de la réalité.

C’est avant tout un travail sur la conscience qui est proposé ici.

L’humain qui se sent seul et croit posséder la seule forme d’intelligence dans l’univers n’est peut-être pas aussi seul ni aussi intelligent qu’il le croit.

Simplement, il n’est pas capable de prendre conscience de la communication permanente qui existe entre chaque élément de l’intelligence ultime qu’on appelle l’univers.

Ce livre est une initiation de base afin de mettre de la conscience sur cette communication, afin d’apprendre du monde en se respectant et en respectant l’univers qui nous donne vie à chaque instant. 

TRAVAIL SUR SA STRUCTURE CONSCIENTE, ET NONPASSUR SA STRUCTURE INCONSCIENTE !

Dans les deux tomes du « Journal d’un éveil du troisième œil » (Ed. Atlantes), je vous ai successivement décrit les étapes par lesquelles j’étais passé en ce qui concerne mon évolution personnelle.

L’acceptation, tout d’abord, de ce monde incroyable auquel je venais d’accéder, l’exploration de ses infinies facettes avec son cortège de questionnements vis-à-vis des nouvelles formes de vies que j’ai découvert alors.

Tout n’était qu’énergie, et derrière chaque énergie émergeait une conscience qu’il me fallait regarder en pleine lumière, même si cette dernière pouvait me brûler un peu lesyeux.

Un peu comme un jeune chien il m’est arrivé, parfois, d’enchaîner les expériences sans toujours écouter spontanément la voix du Maître… intérieur !

J’ai visité bien des mondes, et ce que j’en ai relaté n’avait pas forcément la couleur vive de ce que j’avais vécu, mais constituait un témoignage qu’il me semblait nécessaire d’apporter.

Non pas pour devenir le énième à vouloir asséner sa vérité, je m’en suis toujours méfié, mais pour apporter un éclairage supplémentaire, différent, mais non moins sincère, dont la difficulté principale a davantage consisté à tenter de traduire dans notre monde en 3D, des concepts, des expériences et des ressentis d’une essence supérieure, avec des dimensions supplémentaires.

Ne voulant pas me cantonner à la relation de mes aventures personnelles, j’ai entrepris avec mon 3e livre « Vacuité » (Ed. Atlantes) un cheminement direct vers chacun, en essayant de baliser diverses pistes pour que tous se prennent en main, dans la mesure où ils émettent le souhait de le faire.

Souvent, les gens pressentent ou ressentent, mais ne savent pas forcément enclencher les actions qui pourront les relier plus profondément encore, avec eux-mêmes.

Les techniques développées dans ce troisième livre correspondaient d’ailleurs à cette métamorphose énergétique qui accompagnait le développement de notre planète, et avaient notamment pour but de faire en sorte que ceux qui décideraient de faire un pas vers eux-mêmes se sentent soutenus et encouragés pour développer les ressources personnelles ne demandant qu’à émerger.

Aujourd’hui, il m’apparaît encore plus évident que l’accélération énergétique actuelle, ainsi que les flux profondément transformateurs qui se déversent quotidiennement sur la terre, appellent davantage à un regard intérieur destiné à faire sauter les structures et les schémas anciens qui n’ont plus lieu d’être.

Arrêter de nourrir le mental, vivre dans l’action juste et le moment présent, voilà qui pourrait signer mon engagement actuel, notamment à travers les stages que j’organise et qui m’ont permis d’approcher des milliers de personnes, me confronter à leurs problématiques, comprendre leurs ressorts, décortiquer leurs structures… bref une expérience unique et irremplaçable pour qui s’intéresse à l’humain.

Ce quatrième livre vous raconte un peu ce que je pratique lors de ces stages, car désormais, l’énergie ne se vit plus en solitaire, mais à travers le groupe puisque ce dernier représente la nouvelle voie qu’il convient d’arpenter.

À travers un échange collectif où chacun nourrit l’autre de ce qu’il est, et reçoit en retour l’énergie du groupe, j’ai voulu exprimer les riches constatations qu’il m’a été donné de faire depuis plus de deux ans, afin que cette expérience humaine intense et unique, profite à qui voudrait l’entendre par la voie ducœur…

NOTRE FONCTIONNEMENT : APPROCHE DU PRINCIPE.

Il me semble nécessaire de donner en préambule, quelques informations de base pour aborder les techniques de travail sursoi.

Globalement, on peut travailler sur soi via trois niveaux :

–Matière, corps, densité, temps linéaire.

Il s’agit là du niveau conscient que chacun utilise d’ailleurs chaque jour pour percevoir et interagir avec le monde.

–Énergie, structure multidimensionnelle, temps simultané.

Nous trouvons ici le niveau inconscient, celui de l’âme. Il est utilisé depuis la nuit des temps par les magiciens, les chamans, les druides, les sorciers, les guérisseurs.

Dans ce niveau, le monde apparaît comme un océan d’énergie multidimensionnelle ou tout a lieu simultanément, si bien que l’on perçoit ainsi à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de soi (avec plus ou moins de précision et de sens suivant le développement de ces perceptions chez chacun d’entre nous). – Vacuité, Rien, omnipotence.

Nous atteignons là le niveau subconscient d’où tout semble jaillir à partir de rien, celui qui est perçu par les mystiques.

Dans ce niveau on « devient » à la fois sa part omnipotente et l’univers lui-même. Cette perception s’avère très puissante, mais en contrepartie il semble difficile d’en ramener quelque chose de simple et de cohérent à moins que les chakras 5, 6 et 7 fonctionnent pleinement et soient synchronisés (mot juste), ou que les chakras 1, 2, 3 fonctionnent pleinement et soient synchronisés (action juste).

Ces trois niveaux existent et sont déjà présents chez tout le monde, mais pas forcément perçus. L’évolution de la personne amène celle-ci à les percevoir constamment et simultanément.

En résumé, la personne perçoit simultanément le conscient, l’inconscient et le subconscient quand elle est très « éveillée ». Que cela soit sur son intérieur ou sur le monde extérieur, ce qui revient d’ailleurs au même à ce niveau de perception.

L’éveil total provoquerait la disparition de l’expérience humaine, puisqu’il ne peut plus y avoir d’intérieur et d’extérieur, juste la totalité.

TECHNIQUES DE TRAVAIL SURSOI.

Il existe une infinité de manières pour travailler sur soi. Nous allons maintenant en énumérer quelques-unes et tenter de les expliquer sommairement.

Mental, ou la forme donnée : (chakra 5, chakra3).

Plus la personne se situe dans le mental, plus la technique va se révéler complexe. C’est principalement le chakra 5 qui sera utilisé (la modélisation du monde) ainsi que le 3e chakra (la manière dont chacun se situe socialement). Ce niveau permet de travailler sur la forme des choses, mais pas sur les problèmes defond.

Souvent, quand la technique se montre très complexe, il y a des chances qu’elle soit complètement creuse.

C’est très occidental de privilégier à tout prix la forme sur le fond. Le fruit de notre éducation… On peut se montrer tout pourri à l’intérieur, mais il faut avoir l’air propre et en bonne santé !

Ce travail faisant partie d’un tout, il apparaît nécessaire de donner une forme aux choses, de trouver sa place par rapport aux autres, bien que cela ne soit pas suffisant ensoi.

Énergie et structure multidimensionnelle (chakra 6, chakra2).

Ce niveau fonctionne avec deux outils principaux :

L’intention impliquant la mise en mouvement de l’énergie et sa transmutation.

L’attention pour se mettre à l’écoute d’une énergie précise.

Chakra 6 : aller percevoir Chakra 2 : Créer.

À chaque fois que l’on agit à ce niveau, on pratique un travail intermédiaire qui modifie les choses en profondeur.

Le souci vient de la complexité de ce niveau-là, qui ne peut pas être pleinement intégré par le mental, celui-ci pouvant juste lui donner une forme limitée qu’il comprend.

Dès lors, l’incompréhension de ce que l’on fait, comme des énergies que l’on met en mouvement ainsi que l’incapacité à comprendre les informations transmises par l’énergie (à un niveau au-delà des mots et du temps linéaire) provoque la principale source de confusions et de problèmes que rencontrent tous les médiums, clairvoyants ou « channels » de tous poils.

Dans ces niveaux, nous nous retrouvons face à des réalités multidimensionnelles que chacun aborde à partir de ses croyances profondes. Partant, si l’on est dans la négation on va y chercher la négation, et si l’on se retrouve dans le manque, on va chercher le manque, etc.Comme les choses s’y déroulent en temps simultané (et instantané) il devient très facile de mettre un désordre important dans ces niveaux-là, chez soi comme chez les autres.

Le recours à des « guides » est donc souvent utilisé, se révélant à la fois sage à un moment donné de son évolution, mais inutile dès lors que l’on peut aborder le niveau situé au-dessus (vacuité).

Le guide ne révèle qu’un niveau plus profond de nous-mêmes, tout en étant simultanément une créature ou un être extérieur (!), car il ne faut pas oublier qu’au bout du compte nous sommes l’univers entier qui rêve de lui-même et tout réside ennous.

Il prend la forme adaptée à nos croyances pour nous guider dans nos perceptions, mais également dans les transformations que l’on opère sur les autres, pouvant devenir présent, consciemment ou non, et changer de forme régulièrement jusqu’à ce que nous n’ayons plus besoin de nous donner une forme ou de donner une forme au monde.

Ce moment signifie alors que l’on est prêt à aller au niveau au-dessus.

Toutes les techniques du type chamanique, druide, sorcier, etc., fonctionnent sur ce principe extérieur/intérieur. On contacte un « esprit » (ou une énergie) par l’intérieur ou l’extérieur (un lieu, une plante, etc.), et l’on travaille à partir delui.

Énergie ou esprit : c’est la même chose.

Le terme « énergie » convient tant que l’on n’a pas réalisé que l’univers est intelligent et conscient de lui-même, ce qui, au passage, se révèle typique du dogme scientifique dans ses mauvais côtés comme dans sa volonté de manipuler l’univers, en jouant à l’apprenti sorcier (car dire que l’univers est intelligent revient à dire que dieu existe, ce que la science a nié dans son dogme de départ).

Si l’on a compris que toute énergie est consciente d’elle-même et qu’elle modélise le monde à sa manière propre, que nous-mêmes ne sommes que cela, on peut appeler un esprit conscient. Cela revient au même, tout dépend au final de la manière dont nous comprenons le monde.

Dans ces niveaux, les catastrophes proviennent de plusieurs choses :

–Ne pas comprendre que la vision positif/né-gatif ne dépend que de celui qui regarde. Tout sert à quelque chose, transformer une énergie sous prétexte qu’elle nous apparaît négative alors qu’elle maintient l’équilibre sur plein de choses conduit généralement à s’en prendre plein la gueule : si l’on enlève un petit pilier sous prétexte qu’il est moche, on se prend parfois le plafond sur la tête !

–Ne pas comprendre que le monde s’avère trop complexe pour le cerveau humain, qui comprend à peine en 3 dimensions alors que les niveaux vont jusqu’à la dimension infinie. Incompréhensible quoiqu’il arrive pour nous, car déjà en 4 dimensions on ne comprend plusrien.

–Vouloir intégrer le savoir de l’univers et le pouvoir de l’univers dans un petit corps d’humain ne marche pas. C’est une illusion de l’Ego (donc du système de survie) qui peut conduire à différentes aberrations de fonctionnement.

–Vouloir « sauver son corps » à tout prix et le faire finalement au détriment de sa vie elle-même, donc se faire des vies abominables juste pour « survivre » ce qui est peine perdue puisque la mort arrivera tôt ou tard, et que l’énergie change de forme, mais ne peut pas être détruite : nous changeons de corps et d’esprit, nous changeons de monde, mais nous « sommes » toujours. À l’extrême, on trouve la logique de « coaguler » son état, pour essayer de devenir immortel (voies ésotériques). La confusion entre notre nature réelle et le corps et l’esprit que l’on incarne devient totale dans cette logique.

–Vouloir « sauver son âme » à tout prix (Ego spirituel), ce qui se trouve à la source de toutes les religions. La croyance judéo-chrétienne dans son excès négatif, qui valorise la vie de souffrance et de déni en croyant que cela amène quelque chose se révèle assez typique. Inutile de dire que cela ne sert à rien au vu de l’univers. Chaque expérience n’apporte qu’elle-même. Croire que l’on a des dettes ou des devoirs, signe le niveau mental (celui d’avant).

–Croire que l’énergie est « finie » et que nous pouvons manquer (intoxication du niveau mental situé juste avant, donc de la forme matérielle que l’on donne au monde), alors que l’énergie jaillit de rien à l’infini et répond à notre demande. La croyance du manque crée le manque, puisque le monde ne se montre pas rationnel par lui-même, c’est notre perception qui le rationalise ! On trouve ici la croyance qui voudrait que le bonheur soit fini, et que si l’on se sent heureux on le vole forcément à quelqu’un, alors que si l’on souffre, on enlève la souffrance de quelqu’un (judéo-chrétien). Ce qui s’avère totalement faux puisque chacun possède le bonheur ou la souffrance que son niveau inconscient crée, sans que cela affecte réellement les autres. On ne peut donc pas prendre le fardeau d’un autre, juste faire semblant.

Vacuité, Rien (chakra 7, chakra1).

À ce niveau, il ne peut plus vraiment arriver de problème.

Le monde se vit dans le présent, donc en dehors du futur et du passé, lesquels sont perçus comme des constructions multiples et multidimensionnelles infinies qui changent sans arrêt.

On perçoit que l’univers change de forme constamment, tout en n’étant Rien, comme si tous les phénomènes jaillissaient du Rien et se résorbaient simultanément.

Le manifesté et le non manifesté apparaissent aussi présents l’un que l’autre.

À ce niveau-là commence une réconciliation avec l’univers. Cette perception enlève la notion de positif/négatif ou de conflit.

Il s’agit plutôt d’une réconciliation avec soi-même (ce qui revient au même), comme si l’on réintégrait tout comme un phénomène jaillissant denous.

Il devient également évident que notre vie n’est qu’une construction permettant de se démontrer soi-même, comme une œuvre d’art qui n’a d’autre sens que d’exister et peut ainsi prendre une infinité de formes.

En réalité, il n’y a pas UNE « réalisation » de l’humain, mais une infinité de manières de se réaliser, la structure des « maîtres reconnus » étant toujours différente, chacun amène quelque chose de différent. La notion de « Maître » n’a donc aucun sens en dehors du mental, car au final, chacun démontre ce qu’il veut par sa vie, et quand on a « tout » démontré on n’a, dès lors, plus aucune raison d’être envie.

Il devient également évident que chacun n’incarne qu’une cellule d’un seul et même corps (l’humanité elle-même) et qu’il n’existe pas de réalisation individuelle en termes de but à atteindre par sa vie elle-même. L’humanité vit toutes les expériences, il appartient à chacun de démontrer la sienne à sa manière, dans l’action, et de la vivre au présent.

TRAVAIL SUR SOI ET LES AUTRES.

Alignement des trois niveaux :

Si l’on arrive à percevoir ces niveaux-là, au lieu d’avoir une vie construite sur un seul niveau, on se retrouve alors à exister sur deux ou trois niveaux simultanément, chacun ayant son propre fonctionnement tout en se montrant interdépendant. Ce qui signifie que l’on peut se trouver en train de courir, travailler, ou se battre dans la matière, en même temps que percevoir des niveaux d’énergie qui bougent et recevoir les informations qui jaillissent, voire les mettre en mouvement simultanément, en se rendant compte que tout jaillit de rien à un niveau plus haut, pour peu que l’on reste présent dans son centre.

Ces trois niveaux demeurent complètement différents selon leur niveau de regard, mais coexistent totalement.

Le travail le plus intéressant consiste en fait à établir les liens entre eux, non seulement chez soi, mais aussi chez l’autre, même si la personne ne les perçoit pas. Cela conduit à une réconciliation de la personne avec sa construction et sa vie elle-même.

Le travail se fait alors sous plusieurs aspects.

–Alignement Vertical : travail sur le haut et le bas (vérité en haut, jouissance enbas).

Le haut passe par de la méditation, qui peu à peu s’intègre dans l’action pour finalement devenir un état constant.

Le bas passe par deux possibilités.

Une voie totalement ascétique, où l’on ne s’autorise rien sauf une discipline de fer (de faire), soit par une voie totalement libre où l’on s’autorise tout ce que l’on désire réellement (non pas par opposition, mais bien par l’écoute de ses vrais besoins ou envies).

Les deux voies incarnent la même énergie et mènent au même endroit.

–Alignement Horizontal : travail sur la communication avec les autres, la société et le monde où l’on est incarné.

Il passe donc par une acceptation de la symbiose avec les autres, puis avec le vivant de la planète.

Le croisement du vertical et de l’horizontal permet de travailler le centre.

Encore une fois, les techniques sont légion pour travailler tous ces aspects.

MENTAL, ÉMOTIONNEL, STRUCTURE DES HUMAINS ACTUELS.

À partir du moment où l’on travaille sur un aspect, les autres aspects sont obligés de se rééquilibrer, car contrairement à notre éducation qui veut tout « découper » dans l’univers, l’expérience montre que tout se trouve interdépendant. Par conséquent, si l’on agit sur un élément, quel qu’il soit, tous les autres réagissent obligatoirement.

Après un travail qui dure depuis les années 2000 sur plusieurs milliers de personnes, voilà donc un petit résumé des dysfonctionnements à corriger chez nous, à partir des informations renvoyées par les structures des gens, par rapport à leur fonctionnement réel dans le présent. Je n’ai pas trouvé de manière plus simple pour donner l’information et expliquer la technique utilisée par la suite.

Techniques de guérison contre fonctionnement naturel :

Tout se passe comme si l’humain ne fonctionnait plus correctement depuis longtemps, et que nous passions notre temps à essayer de le « soigner » en compensant ses dysfonctionnements plutôt qu’en les corrigeant.

Notre fonctionnement se résume à celui de cellules d’un corps, et comme tout s’avère toujours similaire dans l’univers, ce qui est en haut est comme ce qui est enbas !

L’humanité constitue donc un corps dont chacun de nous incarne une cellule. Les cellules forment le corps et le corps répare naturellement chacune de ses cellules, lesquelles se montrent naturellement guérisseuses les unes pour les autres.

La planète elle-même formant un nid douillet pour l’humain, son rôle consiste à en prendre soin, pour lui fournir ce qui lui manque.

À force de fonctionner de manière « anormale », nous avons fini par mettre des « armures » contre les autres, mais également des « armures » contre le naturel et le vivant. Comme si nous nous étions coupés non seulement de la communication entre nous, mais également avec notre environnement. À l’heure d’internet et des téléphones portables, la communication humaine réelle n’a jamais été aussi inexistante, remplacée par des rapports « virtuels » et des « armures magnétiques » qui nous empêchent encore plus de nous contacter les uns les autres dans la vie réelle.

Dans un corps, si la cellule nie le corps ou que le corps nie la cellule, cela ne fonctionnepas.

La définition d’une cellule cancéreuse se résume d’ailleurs à celle d’une cellule qui ne communique plus avec le corps, et qui devient immortelle (refuse de mourir) en essayant de se cloner à l’infini.

Comportement de groupe.

Ce comportement apparaît dans le niveau humain et social.

On y retrouve la logique de « Maître », c’est-à-dire la petite cellule qui se croit tellement « parfaite » qu’elle veut imposer son modèle à tout le corps.

On trouve aussi la voie ésotérique qui veut rendre ce corps et cet esprit rudimentaire « immortels ».

Socialement, depuis des milliers d’années, nous n’avons eu que deux comportements possibles : l’individu qui nie le groupe (capitalisme) ou le groupe qui nie l’individu (communisme).

Vouloir que toutes les cellules du corps soient identiques (des cellules de pied par exemple) constitue une erreur fondamentale, le corps ayant besoin de cellules différentes pour exister. Le communisme a donc montré ses limites. Qu’une cellule se mette à pomper toutes les ressources de l’organisme, essaye de devenir immortelle et n’écoute plus les besoins du corps, cela ne fonctionne pas non plus. Ça s’appelle un cancer. Le capitalisme est construit sur ce modèle et ne fonctionne donc pas non plus ce que nous commençons à réaliser.

Une autre erreur fondamentale tient dans la manière d’utiliser des « leaders » dans notre modèle social. Le leader se met systématiquement en dehors du groupe, alors qu’il doit, lui aussi, faire partie du groupe. C’est juste un rôle qu’on lui demande de jouer et uniquement cela !

Il en découle deux comportements :

a – Le leader nie le groupe et le met au service de son seul profit (le cas le plus fréquent).

b – Le leader se nie lui-même et disparaît au profit du groupe. Il ne peut survivre bien longtemps et devient inefficace du fait de son absence.

Les deux cas sont dysfonctionnels avec la même énergie de dysfonctionnement à labase.

Depuis environ 2 ou 3 ans, une énergie nouvelle est disponible, même si nous ne pouvons pas encore l’utiliser socialement.

On peut être un individu qui enrichit un groupe, et le groupe répare naturellement chacune de ses cellules. Il devient également possible d’entrer ou de sortir du groupe sans se blesser ou blesser les autres tandis qu’avec l’ancienne énergie la chose s’avérait impossible. Si l’on est musulman, on ne peut pas devenir chrétien du jour au lendemain et inversement, surtout si l’on change d’avis tous les jours.

Cette énergie disponible et utilisable socialement depuis 2016 nous permet une vraie transformation pour autant que nous en ayons le désir.

Cela ne signifie pas non plus que la société va « se transformer d’un coup » ce qui n’aurait d’ailleurs aucun sens, mais plutôt qu’il est désormais possible de commencer à la penser autrement, ce qui s’est révélé impossible jusqu’alors, quoi que l’on en dise, puisque l’énergie au sens collectif ne s’était pas montrée disponible pour cela. Tous ceux qui se sont essayés à des fonctionnements sociaux différents sont tombés dans deux travers impossibles à dépasser :

–Gérer le donner/recevoir, qui se situe au niveau médiéval chez nous. Je donne ce que je suis, je reçois ce dont j’ai besoin traduit un fonctionnement cellulaire, donc le fonctionnement humain normal. Pour l’instant nous sommes davantage dans le modèle de la cellule cancéreuse (je pompe toutes les ressources et je veux tout donner moi-même, ou bien rien).

–Construire la société sur une base de jouissance et pas « en opposition à un système ou à quelque chose », ce qui rend, au passage, la société totalement dépendante de ce à quoi elle s’oppose. Les hippies se sont construits en opposition à la guerre. De manière contradictoire ils ont donc totalement besoin de la guerre pour exister. Les sociétés actuelles sont construites en opposition à l’ennemi (en survie). Elles ont donc besoin de trouver sans cesse de nouveaux ennemis ou bien de les inventer pour exister.

Cette énergie nouvelle peut donc être utilisée en dehors du cadre habituel depuis cette période, c’est d’ailleurs celle que j’utilise sans cesse en stage. Il en résulte un rapport humain très facile, et où tout le monde enrichit le groupe et bénéficie de l’énergie du groupe en retour, où il n’est pas nécessaire d’entrer dans un moule ou de se « ranger » à un système de pensée. Où chacun constitue une porte d’entrée amenant quelque chose aux autres, en résolvant une problématique collective.

Cela se révèle assez saisissant à expérimenter. Cette énergie étant utilisable à titre personnel et pouvant facilement être intégrée aujourd’hui par n’importe qui. Il suffit simplement d’avoir la conscience de ce que l’on appelle (comme souvent avec l’énergie) …

En termes de « chakras » :

Les chakras 1 à 7 servent à avoir conscience de soi, ils gèrent l’individualité. Sans eux, un humain n’est qu’un tas d’énergie sans conscience de lui-même, au milieu d’un océan d’énergie et sans moyen de s’en distinguer ou d’exister.

Les chakras 8 à 12 gèrent le rapport au groupe, ils n’ont pas de lien avec l’individualité, mais font le lien avec le vivant de la planète et le reste de l’humanité. Ils permettent à l’humain de dépasser le simple niveau de l’individu.

8 à 10 : une manière de faire le lien avec le groupe.

: faire le lien avec l’humanité.

: faire le lien avec le vivant de la planète.

L’évolution réelle se situant dans la conscience qui grandit, pas dans la « coagulation » d’un état, très peu évolué au demeurant au niveau de l’univers.

FONCTIONNEMENT TÊTE, VENTRE,CŒUR.

Remis dans leur fonctionnement normal :

La tête donne une forme au monde (mental).

Le ventre donne la couleur au monde (émotionnel).

Le centre interconnecte le tout (cœur).

Il s’agit là de bien comprendre notre système pour savoir ce qu’il faut changer ensoi :

Éducation mentale.

Notre éducation occidentale met au premier plan le mental en tout puissant, négligeant tous nos autres aspects, de manière générale.

Le mental, à l’origine, représente l’outil de modélisation du monde, c’est lui qui lui donne une forme, ainsi que la manière dont nous le percevons. Il agit, en quelque sorte, comme l’écran d’un ordinateur, cherchant à donner une forme aux choses et à les rationaliser, en faisant tout entrer dans des cases, mais en se montrant incapable de faire autre chose. Ce qu’il ne connaît pas, il ne le valide pas par définition, et ne peut regarder que lui-même, et pas au-delà.

Comme il s’érige en tout puissant, cela entraîne plusieurs conséquences majeures dans notre civilisation :

a – Nous considérons ce que nous percevons comme la seule réalité.

b – Nous nous considérons comme au sommet de l’évolution dans l’univers puisque nous ne percevons pas ce qui est plus évolué !

c – Nous attachons une énorme importance à la forme des choses et à l’apparence, notre médecine, notre science sont basées sur l’apparence des choses et pas sur le fond. Il faut -a minima- que quelque chose soit décelé par un appareil de mesure pour que nous en tenions compte, l’appareil servant de substitut à notre cerveau et à nos sens, considérés comme inaptes et jamais réellement développés.

Or, notre mental se trouve non seulement érigé en tout puissant, mais de surcroît, il s’avère passablement défaillant !

Il lui manque le fonctionnement de structuration à l’âge adulte ainsi que la capacité de se remettre simplement en question, ce qui constitue, normalement, le rôle privilégié de l’adolescence.

L’enfant apprend (crée de nouveaux schémas mentaux) en jouant.

L’adolescent va chercher quelque chose qui est extérieur au système et le ramène en lui donnant une forme.

L’adulte utilise le système connu en y faisant le tri pour y trouver sa place, il peut alors approfondir ce qu’il connaît.

C’est comme si, une fois adultes, nous n’utilisions que la partie adulte du cerveau, et pas la partie apprentissage et intégration de l’inconnu.

Un peu comme un constat qui aboutirait à ce que l’adulte de notre société soit devenu incapable d’apprendre. Il en découle un « substitut » d’apprentissage qui devient long, poussif et très dur à gérer, consistant à faire valider par les ancêtres sur une demi-génération une information nouvelle pour qu’elle soit intégrée, au lieu d’accepter l’apprentissage et l’intégration naturelle de choses, ce qui devrait normalement se vivre en instantané.

Du coup, notre société et notre mental demeurent complètement figés et ont beaucoup de mal à intégrer les nouveautés.

Si l’on veut remettre le mental en fonctionnement normal, il est impératif de réintégrer son fonctionnement enfant (apprentissage) et adolescent (intégration d’un élément neuf à partir de son système).

L’enfant et lejeu