Pour une lecture limpide du Yi Jing - Arlette De Beaucorps - E-Book

Pour une lecture limpide du Yi Jing E-Book

Arlette De Beaucorps

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Beschreibung

Pour une lecture limpide du Yi Jing propose une analyse rigoureuse et accessible des soixante-quatre hexagrammes, rédigée dans une langue claire, fluide et structurée. Chaque commentaire s’accompagne de conseils concis, aisément applicables aux questionnements contemporains. Résolument ancrée dans la pratique, cette approche s’appuie sur plus de quarante années d’étude, enrichies par les enseignements de grands spécialistes chinois contemporains, encore peu traduits en français. Cet ouvrage se distingue par l’équilibre qu’il instaure entre exigence interprétative et clarté d’expression, éclairant le texte ancien sans le dénaturer. S’adressant tant aux débutants qu’aux lecteurs avertis, il fait du Yi Jing un véritable outil de discernement au service de la vie quotidienne.

À PROPOS DE L'AUTRICE 

Arlette de Beaucorps étudie, pratique et enseigne le Yi Jing depuis plus de quarante ans. Coauteure en 2010 de "Le Yi Jing, pratique et interprétation pour la vie quotidienne", elle proposait alors une lecture accessible fondée sur la traduction de Javary et Faure. Dans Pour une lecture limpide du Yi Jing, elle approfondit son approche en s’appuyant sur les travaux de maîtres chinois contemporains, offrant une lecture parlante, claire et pragmatique.

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Seitenzahl: 143

Veröffentlichungsjahr: 2025

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Couverture

Titre

Arlette de Beaucorps

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pour une lecture limpide du Yi Jing

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Copyright

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

© Lys Bleu Éditions – Arlette de Beaucorps

ISBN : 979-10-422-7491-7

Le code de la propriété intellectuelle n’autorisant aux termes des paragraphes 2 et 3 de l’article L.122-5, d’une part, que les copies ou reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective et, d’autre part, sous réserve du nom de l’auteur et de la source, que les analyses et les courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle, faite sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause, est illicite (article L.122-4). Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constituerait donc une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

À mes petits-enfants,

Noah, Yanis, Lou et Max.

 

 

 

 

 

 

Préface

 

 

 

Le présent ouvrage, que vous tenez dans vos mains, est, à plusieurs égards, une œuvre originale, novatrice et atypique. Ne sous-estimez pas son apparente simplicité, car l’objectif premier de son auteure est de clarifier l’interprétation du Yi Jing. Dans le milieu universitaire, il est courant de dire qu’écrire quelques bonnes pages synthétiques, concises, est bien plus difficile que de s’étaler sur des dizaines et des dizaines de pages. À cet égard, ce livre constitue l’aboutissement d’un effort colossal de synthèse s’étalant sur plusieurs années. Permettez-moi de vous retracer le contexte de sa création, qui est également lié à mon propre cheminement.

Originaire de Chine, mais élevé principalement en Suisse, je me suis intéressé au Yi Jing dans le but de découvrir les racines culturelles de mes ancêtres. En 2015, alors que j’étais en première année d’études de psychologie, j’ai rencontré Arlette. J’ai suivi les cours sur le Yi Jing qu’elle dispense encore aujourd’hui et cet ouvrage m’a captivé au point que j’ai changé mon cursus universitaire pour m’orienter en sinologie et en sciences des religions afin d’approfondir mes connaissances de ce système divinatoire et de la culture chinoise ancienne. Dans les pays occidentaux, la traduction du Yi Jing de Richard Wilhelm est généralement la plus connue et la plus influente. En revanche, dans les pays francophones, celle de Cyrille Javary et de Pierre Faure a connu une certaine notoriété au cours des deux dernières décennies. Cette traduction du Yi Jing est populaire auprès d’un public en quête de développement personnel et de spiritualité, mais elle fait l’objet de critiques de la part des sinologues. Durant les cours d’Arlette, nous utilisions principalement la traduction de Javary (il existe des alternatives, elles posent d’autres types de problèmes), mais nous travaillions dans une volonté d’élargir nos sources et nos recherches avec un esprit critique. Ce qui mérite d’être souligné, c’est le fait qu’Arlette a toujours tenu en haute estime les sinologues universitaires, en particulier son ami Jacques Pimpaneau et le professeur Jean-François Billeter. Cet aspect de sa personnalité m’a beaucoup influencé et m’a inspiré la décision d’étudier la Chine ancienne à l’université.

En 2017, dans le cadre de mes études, j’ai reçu l’opportunité de séjourner pendant une année à l’Université de Pékin (Beida). Cette institution académique jouit d’une réputation sans pareille en Chine grâce à son département de langue et littérature chinoises, qui compte les plus éminents spécialistes des lettres chinoises. C’est aussi dans ce lieu que sont nés plusieurs importants mouvements de contestation en Chine au cours du XXe siècle. Il était clair que je ne pouvais pas refuser une telle occasion. Quelques semaines seulement après mon arrivée à Beida, j’ai appris l’existence d’une association d’étudiants dédiée à l’étude du Yi Jing et j’ai rejoint ses rangs. Les membres ne venaient pas seulement des départements des lettres, mais de plusieurs autres disciplines. Par exemple, le président de l’association était un jeune étudiant chinois en ingénierie de 20 ans. Officiellement, l’association se consacrait à l’étude du Yi Jing, mais, dans les faits, ce qui passionnait réellement ses membres était la divination. Remarque importante : la divination mentionnée dans ce texte n’est pas un art de prédiction du futur, mais plutôt une pratique visant à résoudre un problème rencontré dans le présent ou à éclaircir un choix à faire. La philosophie qui animait la pratique de cette association était la suivante : « Peu importe à quel point le pronostic est défavorable, l’essentiel est de toujours trouver un moyen de redresser la situation et de suivre la bonne voie. » Cette approche m’avait surpris, puisqu’elle reflétait exactement les idées prônées par Arlette. En effet, certains adeptes du Yi Jing ont tendance à dramatiser les conséquences négatives d’un hexagramme considéré comme défavorable. En revanche, Arlette a toujours défendu l’idée de ne pas s’apitoyer sur son sort, de ne pas chercher l’annonce d’un futur prédéterminé, mais plutôt d’aller de l’avant selon les circonstances.

Pendant mon séjour à Beida, j’ai appris que le Yi Jing y était enseigné dans le département de philosophie. Il s’agissait d’un enseignement théorique et académique, mais cela n’empêchait pas la petite salle de cours d’être remplie de monde, dont beaucoup étaient des adultes d’âge mûr qui venaient en auditeurs libres. Trouver une place assise s’avérait être une tâche ardue, car la salle était pleine à craquer. Des Chinois se tenaient même devant la porte d’entrée pour entendre les paroles de Wang Xin, le professeur responsable de ce cours. Quelque temps plus tard, j’ai pu m’entretenir seul avec Wang Xin, qui m’a recommandé quelques lectures, notamment les écrits de Huang Shouqi et de Zhang Shanwen, deux grands experts contemporains du Yi Jing.

Après mon retour en Suisse, chargé de livres, Arlette a rapidement exprimé son intérêt pour mon expérience avec le Yi Jing à Beida, en particulier pour les ouvrages de Huang Shouqi et de Zhang Shanwen. Il est important de souligner qu’Arlette déplorait à maintes reprises, et à juste titre, que les récentes publications françaises sur le Yi Jing ne tenaient souvent pas compte de la profonde érudition chinoise. Très rapidement, elle a pris la décision d’étudier ces ouvrages et d’écrire un nouveau livre. Ne sachant pas lire le chinois, elle a fait appel à deux docteures en études chinoises (Marie Wyss et Lisa Tang) et à moi-même (alors étudiant), pour qu’on lui traduise le livre Traduction annotée du Livre des Mutations de Huang Shouqi et Zhang Shanwen. Elle a choisi cet ouvrage parce qu’elle avait développé une affinité personnelle avec l’approche de ces auteurs. De plus, elle a aussi beaucoup travaillé avec Lisa Tang sur l’ouvrage Annotations modernes sur le texte ancien du Livre des Mutations de Gao Heng, qui est généralement considéré comme le plus grand spécialiste chinois moderne du Yi Jing. Arlette n’est pas du sérail académique sinologique et elle est à la retraite depuis une dizaine d’années. En ce sens, son investissement est absolument remarquable et mérite d’être salué.

La réalisation du présent livre a exigé environ six années de labeur. J’ai apporté une certaine contribution, tout comme Marie Wyss et Lisa Tang, mais la maîtresse d’ouvrage est incontestablement Arlette. Il convient également de mentionner qu’Arlette et moi avons certains points de vue divergents en raison de nos approches respectives. En tant qu’historien du Yi Jing, je procède selon une démarche scientifique, historique et anthropologique. Je cherche à comprendre comment ce livre a été interprété dans les divers contextes historiques chinois, en particulier au cours de sa période de création, sur laquelle j’ai consacré mon mémoire de master. Arlette, quant à elle, a une préoccupation bien différente : elle souhaite que le Yi Jing soit utile à nos contemporains de manière pratique. Son projet, qui est au cœur de ce livre, consiste à adapter ce texte plurimillénaire dans un langage moderne qui résonne avec les préoccupations des gens du XXIe siècle. Naturellement, cette différence d’approche fait en sorte que nos avis divergent sur certains points, notamment sur la façon de rendre compte, en français, du sens du texte du Yi Jing. Cependant, bien que nos chemins diffèrent, nos buts sont identiques, à savoir transmettre notre passion pour ce monument littéraire de la Chine ancienne.

Le présent ouvrage n’est pas un texte universitaire, mais n’est pas non plus un simple livre de développement personnel teinté de spiritualité chinoise. On pourrait dire qu’il se situe plutôt à mi-chemin entre ces deux genres littéraires. Il ne constitue pas non plus une nouvelle traduction du Yi Jing, car il s’agit d’une entreprise extrêmement compliquée sur laquelle bon nombre se sont cassé les dents. De mon point de vue, je dirais que ce livre est une sorte de « Nouveau commentaire pratique du Livre des Mutations », qui s’inspire largement de certains grands experts contemporains chinois. J’utilise le terme « commentaire » pour évoquer la grande tradition d’exégèse du Yi Jing par les lettrés chinois (Yixue), que vénère particulièrement Arlette. En outre, l’ouvrage Traduction annotée du Livre des Mutations, sur lequel s’appuie Arlette, puise abondamment dans cette tradition exégétique qui s’est étendue sur une période de deux millénaires. Il faut aussi noter que ce livre contient une part de la vision personnelle d’Arlette, qui découle de ses 40 ans d’expérience avec la pratique du Yi Jing. Ainsi, il ne faut pas voir ce livre comme un reflet parfait des écrits des commentateurs chinois, mais plutôt comme un ouvrage qui mêle une étude attentive de ces derniers à son expérience personnelle, notamment le souci de rendre l’interprétation des oracles du Yi Jing la plus accessible possible à tout le monde. À titre personnel, je considère ce livre, original et atypique, comme une synergie entre tradition et modernité.

Pour conclure, je tiens à exprimer ma profonde gratitude envers Arlette, qui a allumé en moi la passion pour le Yi Jing, ce qui a changé la trajectoire de mon destin. Selon certaines sources anciennes chinoises, le Yi Jing a pour but de « résoudre les doutes ». Je souhaite que les personnes qui liront ce livre puissent découvrir ou redécouvrir le Livre des Mutations sous un jour nouveau et que celui-ci éclaire leur chemin.

 

Sylvain Yuan

Historien du Yi Jing

Le 17 avril 2025

 

 

 

 

 

Introduction

 

 

 

Le Yi Jing fait partie de mon quotidien. Études, lectures, consultations, enseignements, séminaires, voyages, rencontres, écriture, je côtoie ce texte depuis des dizaines d’années. Une exploration qui se poursuit, émaillée de découvertes, de réponses parfois et, souvent, de questions. Je me souviens de mes débuts, je mesure le chemin parcouru, mais j’ignore la destination.

 

Lors de l’analyse d’un tirage, mon fil conducteur est toujours d’expliquer la symbolique en restant au plus près des textes, en les clarifiant au mieux. Je me base sur les experts chinois et sur mon expérience. En situation de consultation, j’évite toute influence personnelle pouvant pesersur la décision finale de mon interlocuteur, celle-ci lui appartenant.

 

Pour interpréter le plus précisément possible la dynamique des hexagrammes, je me suis intéressée aux trigrammes. Ce qui au départ apparaissait comme intuitif fut confirmé par mes recherches. Le fruit de mon travail fut publié dans le « Yi Jing pratique et interprétation pour la vie quotidienne » coécrit avec Dominique Bonpaix. Cet ouvrage était basé uniquement sur la traduction de Cyrille Javary et Pierre Faure. Le présent livre n’est pas une suite, mais une approche complètement différente, fruit de plusieurs années de travail.

 

La lecture d’un hexagramme peut dérouter. On s’y fait. Perplexe, je le suis davantage quand mon ressenti diverge de celui des commentateurs auxquels je me réfère, ceux qui sont dans ma bibliothèque depuis desannées. Les sources sont innombrables, on le sait, d’autres interprétations existent, d’autres réponses à mes questions ou d’autres questions.

 

Faire connaître le Yi Jing et l’enseigner est une grande source de satisfaction et permet de mieux appréhender la nature humaine. À l’occasion d’un cours, je fis la connaissance d’un étudiant suisse d’origine chinoise, Sylvain Yuan, très vite passionné par ce classique qui le rapprochait de ses racines.

 

Dans le cadre de ses études de sinologie, il partit faire un séjour académique dans la célèbre université de Pékin pour découvrir, à peine arrivé, que le Yi Jing y avait sa place. Dans la Chine d’aujourd’hui, ce texte est étudié au cœur du département de philosophie de cette faculté, l’unedes plus prestigieuses du pays. De plus, sur le campus de Beida (université de Pékin), il existe une Association pour l’étude du Yi Jing regroupant des étudiant·e·s de l’université, toutes filières confondues. Ils s’intéressent particulièrement à ce texte ancien, l’étudient et pratiquent des tirages. Sylvain rejoignit ce groupe. Au fil des mois, nos échanges furent fréquents et enrichissants, nous comparions nos analyses de tirages et nos synthèses. Poursuivant ses études, il envisagea d’écrire un mémoire de master en études chinoises sur le Yi Jing.

 

Le Yi Jing est certainement le classique qui a été le plus commenté en Chine, toutes époques confondues. Étudier la totalité des commentateurs est une tâche impossible, il faut faire des choix. Un professeur de philosophie de Beida lui recommanda une série d’ouvrages académiques de référence.

 

Parmi tous ces ouvrages, comment sélectionner ceux qui me conviendront le mieux ? Sylvain m’a aidée à faire ces choix.

Trois professeurs contemporains ont retenu mon attention :

Gao Heng (dont j’avais entendu parler par le professeur Jean-François Billeter) avec une approche historique.

Huang Shouqi et Zhang Shanwen qui ont une démarche plus philosophique, se référant aussi à des commentateurs de toutes les époques.

 

En possession de ces ouvrages en chinois, il restait un problème majeur : la barrière de la langue. Il n’existe aucune traduction.

 

Commence alors un travail d’envergure. La langue chinoise est subtile. Les Chinois ont un mode de pensée qui leur appartient, un caractère peut être traduit de différentes façons en fonction du contexte et de l’époque. Traduire des textes chinois implique de posséder d’excellentes connaissances de la langue, de la culture et de l’histoire chinoise.

Ensuite, il est fondamental de relier cette traduction avec la civilisation occidentale actuelle, afin de la rendre compréhensible.

 

Durant ces années, Marie Wyss, docteure en langue, littérature et civilisation chinoise, Lisa Tang Mi, docteure en langues et littératures d’Asie, ainsi que Sylvain Yuan, sinologue, historien du Yi Jing et anthropologue des religions ont traduit, à ma demande, ces commentaires en français. Pour chaque hexagramme, ils m’ont expliqué les choix de ces trois commentateurs. La pluralité de ces traductions m’a permis d’en extraire une synthèse pour rédiger cet ouvrage. Je leur en suis très reconnaissante et les remercie vivement. Les commentaires que je découvre alors se réfèrent à des interprétations que les Chinois étudient et réinterprètent depuis des siècles. Pour la plupart, je ne les connaissais pas.

 

Au cours de ce travail, j’ai constaté par exemple que dans les commentaires des professeurs Huang Shouqi et Zhang Shanwen, rien n’est jamais irrémédiablement fermé, contrairement à ce que signifie le terme « fermeture » souvent employé dans certaines traductions occidentales. Redoubler d’efforts est nécessaire pour faire évoluer la situation ou pour la traverser au mieux. Mes analyses sont toujours effectuées dans ce sens. Ceci m’a confortée dans mes choix de ces auteurs chinois, car mon ressenti correspondait à leur approche. Dans des situations difficiles, j’interprète les textes de manière constructive en suggérant toujours une porte de sortie.

 

L’ouvrage que vous tenez dans vos mains est inédit. Il vous donnera un éclairage différent par rapportà celui des livres édités en français. Ma recherche s’est concentrée sur une approche novatrice : intégrer directement les commentaires d’éminents spécialistes chinois contemporains. Il ouvre des perspectives, offre des complémentarités en termes d’analyse et éclaire le texte du Yi Jing lui-même dans ses composantes historiques et philosophiques.

 

Il est destiné à tous, aux pratiquants expérimentés comme aux débutants. Je propose :

– Une synthèse claire et concise inspirée de ces commentateurs et de mon expérience personnelle.
– Des conseils courts directement applicables aux préoccupations du consultant.

 

Ce livre n’est pas une traduction du Yi Jing. Si le lecteur désire prendre connaissance du texte initial, je recommande les livres suivants, cités dans leur ordre de parution.

Ils ont été réalisés à des périodes différentes, avec des connaissances et une approche de la culture chinoise très variées. Ils ont le mérite d’exister, car traduire le Yi Jing n’est pas chose aisée.

– Le Yi King de Paul Louis Félix Philastre (1837-1902) chez Zulma, préface de François Jullien.
– Le Yi King de Richard Wilhelm (1924) si vous maîtrisez l’allemand, préférez l’original à la traduction d’Etienne Perrot (1967).
– Les signes et les mutations de Wang Dongliang et Raymond Tartaix (L’Asiathèque – 1998).
– Yi Jing de Cyrille J.-D. Javary et Pierre Faure (2002).

 

 

 

 

 

Méthodes de questionnement