Quand la religion devient l’arme du diable. E-Book

Bruno Polizzi

• Herausgeber: Youcanprint
• Kategorie: Sachliteratur, Reportagen, Biografien
• Sprache: Französisch
• Veröffentlichungsjahr: 2023

Beschreibung

Je ne crois pas que le diable existe, mais s'il devait vraiment exister, ce serait lui qui aurait inventé les religions. Imaginez cette scène, dans laquelle un jeune garçon de 18 ans, tout juste sorti d'une secte presque de force, presque en fuite, se retrouve pour la première fois libre dans une ville moderne. Son esprit est rempli de pensées et de sensations contradictoires alors qu'il observe les gens qui vont et viennent, la confusion dans sa tête qui se confond avec le désordre de la circulation et la vivacité de la vie urbaine. Tout à coup, le garçon remarque un oiseau qui s'envole d'une cage ouverte et se sent profondément frappé par le symbolisme de la scène. L'image lui rappelle sa propre libération de la secte et le sentiment de liberté qu'il a atteint. En regardant autour de la ville, il se rend compte qu'il y a tout un monde qui l'attend, plein d'opportunités et de possibilités.

Leseprobe

Résumé

1.      Avant-propos.

2.      Je m’appelle Bruno.

3.      Quand la religion devient l’arme du diable.

4.      Les religions extrémistes et le danger pour la société

5.      Religion et pouvoir politique : une combinaison dangereuse

6.      Le fanatisme religieux et ses conséquences

7.      Quand la religion justifie la violence

8.      L’influence du diable dans l’histoire des religions

9.      L’obsession de la religion pour le péché et la culpabilité

10.        L’hypocrisie religieuse et les dommages qu’elle cause à la société

11.        La lutte pour la vérité : le prétexte de la religion

12.        Le rôle de la religion dans la propagation de la haine et de la discrimination

13.        Quand la religion devient une prison.

14.        Les conséquences de la déshumanisation dans les conflits religieux

15.        Les guerres de religion et leur impact sur l’histoire

16.        Quand les prêtres bénissent les armes et les soldats

17.        La tension entre religion et modernité

18.        Les secrets de la caste vaticane

19.        Le rôle des religions dans la création de stéréotypes et de préjugés

20.        La religion comme instrument de contrôle social

21.        Comment les religions utilisent la peur de l’enfer pour subjuguer les gens

22.        L’enfer et le paradis et l’ignorance des peuples.

23.        Quand la religion entrave la science et la raison

24.        Les religions et leur attitude à l’égard de la diversité

25.        L’importance de la laïcité pour garantir la liberté religieuse

26.        Quand la religion devient une arme de propagande politique

27.        La recherche de la vérité au-delà des dogmes religieux.

28.        Spiritualité, spiritisme, religion ?

29.        Spiritisme et spiritualité, pourquoi vont-ils bien ensemble ?

30.        Religion ou secte, il n’y a pas de différences

31.        Le libre arbitre, parce que ce n’est pas si évident.

32.        Le spiritisme et la peur de l’inconnu : comment les religions diabolisent la pratique spirituelle pacifique

33.        Les racines de la diabolisation du spiritisme : histoire et culture des religions.

34.        La comparaison entre doctrine spiritique et religions traditionnelles : différences et affinités.

35.        La peur de l’inconnu : pourquoi certaines religions rejettent la pratique de l’esprit.

36.        Démystifier le spiritisme: la vérité sur la communication avec les esprits des morts.

37.        Spiritisme et liberté spirituelle : surmonter les préjugés pour découvrir une nouvelle spiritualité.

38.        Conclusion.

39.        Lectures recommandées :

40.        Merci!

Quand la religion devient l’arme du diable.

Je ne crois pas que le diable existe, mais s'il devait vraiment exister, ce serait lui qui aurait inventé les religions.

Bruno Polizzi

https://polizzibruno.it/

Tous les droits sur ce livre sont réservés.

Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite, stockée, transmise ou utilisée sous quelque forme ou support que ce soit, électronique, mécanique, photocopiée, enregistrée ou autre, sans l’autorisation écrite de l’auteur.

Ce livre est une œuvre de fiction.

Toute ressemblance avec des personnes réelles, vivantes ou décédées, ou avec des événements ou des lieux réels est purement fortuite.

L’auteur n’a pas l’intention d’offenser une personne ou une entité avec ce livre.

Droits d’auteur Bruno Polizzi, 2023.

Imaginez cette scène, dans laquelle un jeune garçon de 18 ans, tout juste sorti d'une secte presque de force, presque en fuite, se retrouve pour la première fois libre dans une ville moderne. Son esprit est rempli de pensées et de sensations contradictoires alors qu'il observe les gens qui vont et viennent, la confusion dans sa tête qui se confond avec le désordre de la circulation et la vivacité de la vie urbaine. Tout à coup, le garçon remarque un oiseau qui s'envole d'une cage ouverte et se sent profondément frappé par le symbolisme de la scène. L'image lui rappelle sa propre libération de la secte et le sentiment de liberté qu'il a atteint. En regardant autour de la ville, il se rend compte qu'il y a tout un monde qui l'attend, plein d'opportunités et de possibilités.

1.Avant-propos.

Bruno est un homme qui a passé sa jeunesse au sein d’une communauté religieuse, que beaucoup de gens appelleraient une secte. Et il a été exposé dès son plus jeune âge à l’endoctrinement et au contrôle des relations interpersonnelles, le tout justifié par les règles religieuses strictes et les dogmes imposés par la communauté. Au fil des ans, cependant, Bruno a commencé à sentir le poids de l’oppression autour de lui et a décidé d’abandonner la religion afin de vivre une vie libre et normale.

Dans son livre « Quand la religion devient l’arme du diable », Bruno partage son expérience personnelle concernant le rôle de la religion dans la vie des gens. L’auteur vise à stimuler une réflexion critique sur la religion et ses implications, invitant le lecteur à regarder au-delà des limites imposées par les religions organisées et à chercher sa propre vérité spirituelle en lui-même.

Le livre est divisé en chapitres, dont chacun présente les réflexions et les croyances de l’auteur sur différents thèmes, y compris le contrôle des relations interpersonnelles, la sexualité et la liberté personnelle. Bruno ne cherche pas à convaincre le lecteur, mais plutôt à partager son expérience personnelle et ses idées pour stimuler une discussion franche et ouverte sur la religion.

En résumé, le livre de Bruno est une œuvre autobiographique qui invite le lecteur à regarder au-delà des dogmes et des règles imposées par les religions organisées, pour trouver sa propre liberté spirituelle et personnelle. L’auteur vise à lancer un débat sur le rôle de la religion dans la vie des gens, dans l’espoir d’aider ceux qui ont été victimes d’endoctrinement et de contrôle à trouver une issue vers une vie libre et pleine.

Bruno a décidé de partager avec les lecteurs ses opinions sur le rôle de la religion dans la vie des gens, à travers le titre provocateur « Quand la religion devient l’arme du diable ». En outre, Bruno parle également du bénéfice de la spiritualité en nous, qui a souvent été diabolisée par les religions.

2.    Je m’appelle Bruno.

Dans ce livre, j’ai décidé de partager l’histoire de ma vie avec vous. Je suis né en 1965 dans la belle ville toscane de Lucques, où j’ai passé les premières années de ma vie. Mon père était soudeur, mais malheureusement en Italie à cette époque, il y avait peu de travail. Alors, quand j’étais encore très jeune, nous avons dû quitter notre pays, nos habitudes et nos amis pour chercher fortune ailleurs. Le destin nous a conduits à Bruxelles, en Belgique, où il y avait une forte demande de main-d’œuvre qualifiée, en particulier de soudeurs. Mon père a immédiatement trouvé du travail.

Le jour où nous sommes arrivés en Belgique a été difficile. Je me souviens encore quand mon oncle Paolo m’a accompagné à ma nouvelle école primaire, qui était si différente de celle que j’avais connue en Italie. Je me sentais perdue et peu sûre, et seul son câlin m’a fait me sentir mieux.

Mais malgré les difficultés initiales, j’ai appris à m’intégrer dans la société belge et à créer de nouvelles amitiés. J’ai découvert une nouvelle culture, appris une nouvelle langue et développé de nouvelles compétences. Mon expérience m’a appris que même lorsque tout semble aller mal, il y a toujours de l’espoir au coin de la rue.

Quand j’avais 6 ou 7 ans, mes parents sont devenus sympathisants d’un groupe religieux qui est souvent étiqueté comme une secte. Peu de temps après, mes parents ont décidé de monter dans la hiérarchie du groupe, démontrant leur fidélité par le baptême. Ayant grandi dans ce contexte, et vu mon jeune âge, tout ce qui se passait dans ce groupe, pour moi était normal. Si c’était juste et acceptable pour mes parents, il était entendu que c’était bon pour moi aussi. Ma vie et ma normalité étaient complètement conditionnées par la doctrine du groupe religieux. Entre nous, nous nous appelions toujours « frère » ou « sœur », comme « Bonjour sœur Martin » ou « Bonsoir frère Dupont ». Nous ne rencontrions qu’avec les autres membres du groupe, lors de réunions, de dîners, de mariages, de barbecues et de toutes les autres activités sociales. À l’école, si nous avions de la chance, nous n’avions le droit de jouer qu’avec d’autres enfants de la même foi. Sinon, nous étions toujours seuls, parce que les autres enfants étaient considérés comme « DU MONDE », c’est-à-dire qu’ils ne nous convenaient pas, étrangers à nous.

Une fois que j’ai grandi un peu, la vie dans la communauté religieuse dans laquelle j’ai grandi a toujours été restrictive. Il était interdit de célébrer les anniversaires, les jours tels que Noël et le Nouvel An, et d’autres événements similaires. Il était interdit de fumer, de consommer de la drogue, pour les jeunes adolescents, il n’était pas recommandé de regarder des émissions de télévision dans lesquelles on voyait des personnes danser, s’amuser, échanger des baisers innocents, car ces activités étaient considérées comme mauvaises et appartenant aux « peuples du monde ». Cela m’a toujours fait sentir exclue de tout et de tout le monde. En grandissant, nos intérêts ont changé, mais l’endoctrinement au sein de la communauté nous a suivis main dans la main et de près, devenant de plus en plus restrictifs.

En outre, non seulement les fêtes étaient interdites, mais les relations amoureuses étaient également strictement contrôlées. C’était considéré comme un péché d’avoir une petite amie ou un petit ami en dehors du groupe, et si quelqu’un le faisait, il risquait l’expulsion. Il était vivement recommandé de ne nous fiancer qu’avec des personnes de la même religion, puis de les épouser. Les relations sexuelles avant le mariage étaient également considérées comme un péché, tout comme la masturbation.

Tout cela était justifié en disant qu’à l’extérieur, « DANS LE MONDE », tout le monde était mauvais, parce qu’ils commettaient la fornication et l’adultère, pratiquaient l’homosexualité, prenaient de la drogue et faisaient beaucoup d’autres choses considérées comme immorales. On nous a dit que nous étions les seuls purs et vrais, et que nous devrions éviter de nous contaminer avec ces pratiques pécheresses. Tout cela nous a fait sentir exclus et différents de la société en général.

Le contrôle de la sexualité et des relations amoureuses était extrêmement fort et rigide, et conduisait souvent à des situations de tension extrême au sein des familles. Beaucoup de gens devaient choisir entre suivre leurs propres désirs et la nature humaine, ce qui signifiait être exclus de la communauté   et se sentir humiliés par le groupe, ou obéir aux règles et aux dogmes imposés par la religion. Cela a provoqué un grand conflit intérieur, qui pourrait avoir des conséquences très négatives sur la santé mentale et le bien-être psychologique des personnes impliquées.